$@FwLOVariable(annee,2019)

$@FwLOVariable(numProg,159)

$@FwLOVariable(libelleProg,Expertise économie sociale et solidaire information géographique et météorologie)

$@FwLOVariable(enteteSousTitre,Justification au premier euro)

$@FwLOStyle(styleB3Programme, non)

Justification au premier euro


Éléments transversaux au programme

Éléments de synthèse du programme


 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

Numéro et intitulé de l'action
ou de la sous-action

Prévision LFI 
Consommation 

Titre 2 *
Dépenses
de personnel

Autres titres *

Total
y.c. FdC et AdP

Titre 2 *
Dépenses
de personnel

Autres titres *

Total
y.c. FdC et AdP

10 – Gouvernance, évaluation, études et prospective en matière de développement durable

 
 

14 246 860
13 877 986

14 396 860
13 877 986

 
 

14 246 860
14 644 020

14 396 860
14 644 020

11 – Etudes et expertise en matière de développement durable

 
 

201 281 114
199 516 482

201 281 114
199 516 482

 
 

201 281 114
199 516 482

201 281 114
199 516 482

12 – Information géographique et cartographique

 
 

90 308 261
89 293 349

90 308 261
89 293 349

 
 

90 308 261
89 281 378

90 308 261
89 281 378

13 – Météorologie

 
 

188 771 452
187 039 849

188 771 452
187 039 849

 
 

188 771 452
187 039 849

188 771 452
187 039 849

14 – Economie sociale et solidaire

 
 

18 394 587
17 613 647

18 394 587
17 613 647

 
 

18 394 587
17 460 061

18 394 587
17 460 061

Total des crédits prévus en LFI *

 

513 002 274

513 002 274

 

513 002 274

513 002 274

Ouvertures / annulations y.c. FdC et AdP

 

-5 019 725

-5 019 725

 

-4 779 951

-4 779 951

Total des crédits ouverts

 

507 982 549

507 982 549

 

508 222 323

508 222 323

Total des crédits consommés

 

507 341 313

507 341 313

 

507 941 789

507 941 789

Crédits ouverts - crédits consommés

 

+641 236

+641 236

 

+280 534

+280 534


* hors FdC et AdP pour les montants de la LFI

 

Le montant executé du tableau pour l'action 10 n'est pas retraité des REJB ni des erreurs d'imputation.

Le montant retraité en AE est de 14 424 000 € et de 14 643 464 € en CP.


Le montant exécuté du tableau pour l'action 14 n'est pas retraité des REJB ni des erreurs d'imputation.

Le montant retraité en AE est de 17 706 940 € et de 17 460 616 € en CP.


Les-restes-à payer sur le programme 159 reposent essentiellement sur les actions 10 et 14. En effet, les actions 11 et 13, qui ne portent que des dépenses pour charges de service public ou des subventions annuelles, ne peuvent engendrer de restes-à-payer. Les restes-à-payer au titre de l’action 12 ne concernent que des dépenses de la mission d’information géographique, et ne représentent en 2019 que 50 k€.


Concernant l’action 10, les paiements sur des engagements des années antérieures sont évalués à partir d’une clef de répartition qui reste stable d’année en année.


Concernant l’action 14, il est nécessaire de différencier les restes-à-payer au titre de la sous-action 01 (ESS) et les restes-à-payer au titre de la sous-action 02 (DLA). Les restes à payer des DLA représentent 25 % des engagements réalisés en 2019 au titre de cette action. Pour ce qui est de la sous-action 01, les paiements sur les engagements des années antérieures dépendent des rythmes de décaissement prévus dans le cadre de conventions pluriannuelles passées entre le HCESSIS et des acteurs de l’ESS. Le rythme des paiements varie ainsi selon l’état d’avancement des projets conventionnés.

 

   Passage du PLF à la LFI

 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

 

Titre 2
 

Autres titres

Total

Titre 2

Autres titres

Total

PLF

0

513 961 068

513 961 068

0

513 961 068

513 961 068

Amendements

0

-958 794

-958 794

0

-958 794

-958 794

LFI

0

513 002 274

513 002 274

0

513 002 274

513 002 274

 

Les crédits inscrits en PLF 2019 ont fait l'objet d'une minoration de 958 794 € en AE et CP par amendement gouvernemental pour garantir le respect de la norme de dépense en valeur de l'Etat.

 

   Modifications de maquette

Aucune modification de maquette n'est intervenue en 2019.

 

   Réserve de précaution et fongibilité

 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

 

Titre 2
 

Autres titres

Total

Titre 2

Autres titres

Total

Mise en réserve initiale

0

5 494 966

5 494 966

0

5 535 619

5 535 619

Surgels

0

200 000

200 000

0

400 000

400 000

Dégels

0

0

0

0

0

0

Réserve disponible avant mise en place du schéma de fin de gestion (LFR de fin d'année)

0

5 694 966

5 694 966

0

5 935 619

5 935 619

 

La réserve de précaution a été intégralement annulée par la loi de finances rectificative n° 2019-1270 du 2 décembre 2019.

En AE, un surgel de 200 000 € a été opéré sur les reports de crédits budgétaires de 231 235 €.

En CP, un surgel de 400 000 € a été opéré sur les reports de crédits budgétaires de 432 052 €.

 

Dépenses pluriannuelles

Grands projets informatiques


 

   Géoportail

Le Géoportail de l’IGN est un outil-clé qui permet aux citoyens, développeurs et décideurs d’avoir accès à des informations géographiques fiables pour comprendre les territoires, définir les politiques publiques, développer la e-administration numérique, l'information des citoyens et l’économie numérique.


Le projet pérennise le Géoportail dans une infrastructure maîtrisée par l’État. L’accès se fait via un site de consultation (https://www.geoportail.gouv.fr). Une nouvelle offre de service à destination des services publics et de nouvelles interfaces de programmation (API) pour développeurs sont mises en place. Il contribue à la mise en œuvre de la loi sur le service public de la donnée et à la directive européenne visant à construire une infrastructure d'information géographique dans la communauté européenne (directive INSPIRE) pour favoriser la protection de l'environnement.


Le pilotage du projet est assuré par l'IGN, Institut national de l'information géographique et forestière.

 

Année de lancement du projet

2015

Financement

IGN et PIA

Zone fonctionnelle principale

Information géographique

Coût et durée du projet

Coût détaillé par nature

(en millions d'euros)

 

2016
et années
précédentes

2017
Exécution

2018
Exécution

2019
Prévision

2019
Exécution

2020
Prévision
PAP 2020

2021
et années
suivantes

Total

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

Hors titre 2

-0,30

-0,30

0,90

0,90

0,80

0,80

2,40

2,40

1,00

1,00

3,70

3,70

2,20

2,20

8,30

8,30

Titre 2

1,60

1,60

1,40

1,40

1,00

1,00

0,60

0,60

0,60

0,60

1,60

1,60

1,60

1,60

7,80

7,80

Total

1,30

1,30

2,30

2,30

1,80

1,80

3,00

3,00

1,60

1,60

5,30

5,30

3,80

3,80

16,10

16,10


 

Évolution du coût et de la durée

 

Au lancement
 

Actualisation

Écart en %

Coût total en M€

14,13

16,10

+13,98 %

Durée totale en mois

41

68

+65,85 %

 

L’année 2019 a été principalement marquée par la fin de la migration du Géoportail vers la plateforme d’hébergement interministérielle OSHIMAE. Les ressources Géoportail sont désormais accessibles via le Réseau Interministériel de l’Etat (RIE). Toutefois, en raison de difficultés rencontrées en phase de migration puis en phase d’exploitation, et qui ont généré des surcoûts, un audit de sécurisation du Géoportail a été lancé par la direction interministérielle du numérique (DINUM) afin de vérifier si les modalités techniques et organisationnelles en place permettent d’assurer un niveau de fiabilité compatible avec la visibilité et les usages du Géoportail d’aujourd’hui et de la Géoplateforme de demain.

L’évolution 2019, comme celle constatée en 2018, s’appuie sur les montants constatés lors la dernière mise à jour de l’étude Mareva, analyse produite avant l’exécution au 31/12/2019.

L’augmentation du coût et l’allongement des délais d’exécution du projet ont été identifiées dès mars 2019, et ont été présentées à la DINUM.

Les principales raisons de ces évolutions sont les suivantes :

- le décalage de la migration de l’infrastructure Géoportail

- la suppression de coûts techniques dont la portée ne remet pas en cause la sécurité de l’infrastructure

- un ajustement des charges humaines internes (actions de développement)

 

 

Contrats de projets État-Région (CPER)


Génération CPER 2007-2014

 

Prévision 2019

Consommation 2019

Consommation cumulée

Action / Opérateur

Rappel
du montant
contractualisé

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

10 - Gouvernance, évaluation, études et prospective en matière de développement durable

10 100 000

 

23 975

 

 

 

 

Total

10 100 000

 

23 975

 

 

 

 


 

Génération CPER 2015-2020

 

Prévision 2019

Consommation 2019

Consommation cumulée

Action / Opérateur

Rappel
du montant
contractualisé

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

10 - Gouvernance, évaluation, études et prospective en matière de développement durable

5 383 000

647 000

647 000

441 807

520 424

 

 

Total

5 383 000

647 000

647 000

441 807

520 424

 

 


 


 

Les contrats de plan Etat-région (CPER) permettent de soutenir les projets territoriaux de développement durable (études, concertations locales, choix d'actions, etc...). Le financement de ces projets permet aux collectivités de définir de véritables stratégies territoriales de développement durable donnant une cohérence à l'ensemble des actions menées sur leur territoire. Les CPER soutiennent également les démarches d'éducation au développement durable, assurant le déploiement d'actions éducatives, de formation et de sensibilisation, soit vers des publics adultes (habitants ou professionnels), soit vers les jeunes, en favorisant leur implication active dans la mise en oeuvre des projets territoriaux, plans et schémas régionaux de transition écologique et énergétique. Environ 150 opérations sont soutenues par an sur ces deux thèmes.


 

Suivi des crédits de paiement associés à la consommation
des autorisations d'engagement (hors titre 2)


 

AE 2019

 

CP 2019

 

 

 

AE ouvertes en 2019 *
(E1)

507 982 549

 

CP ouverts en 2019 *
(P1)

508 222 323

 

 

 

AE engagées en 2019
(E2)

507 341 313

 

CP consommés en 2019
(P2)

507 941 789

 

 

AE affectées
non engagées
au 31/12/2019
(E3)

0

 

dont CP consommés en
2019 sur engagements
antérieurs à 2019

(P3 = P2 – P4)

4 288 764

 

 

AE non affectées
non engagées
au 31/12/2019
(E4 = E1 – E2 – E3)

641 236

 

dont CP consommés
en 2019 sur
engagements 2019

(P4)

503 653 025

 

Restes à payer

Engagements ≤ 2018 non
couverts par des paiements
au 31/12/2018 brut
(R1)

13 491 492

 

Travaux de fin de gestion
postérieurs au RAP 2018
(R2)

-66 362

 

Engagements ≤ 2018 non
couverts par des paiements
au 31/12/2018 net

(R3 = R1 + R2)

13 425 130



CP consommés en 2019
sur engagements
antérieurs à 2019
(P3 = P2 – P4)

4 288 764



=

Engagements ≤ 2018 non
couverts par des paiements
au 31/12/2019
(R4 = R3 – P3)

9 136 366

 

 

AE engagées en 2019


(E2)

507 341 313



CP consommés en 2019
sur engagements 2019

(P4)

503 653 025



=

Engagements 2019 non
couverts par des paiements
au 31/12/2019
(R5 = E2 – P4)

3 688 288

 

 

Engagements non couverts
par des paiements
au 31/12/2019

(R6 = R4 + R5)

12 824 654

 

 

Estimation des CP 2020
sur engagements non
couverts au 31/12/2019
(P5)

4 982 500


 
 
NB : les montants ci-dessus correspondent uniquement aux crédits hors titre 2
 
 

* LFI 2019 + reports 2018 + mouvements réglementaires + FDC + ADP + fongibilité asymétrique + LFR

Estimation du montant
maximal des CP
nécessaires après 2020
pour couvrir les
engagements non
couverts au 31/12/2019
(P6 = R6 – P5)

7 842 154

 

E2 = Les AE engagés sont présentées sans retraitement des REJB.

Justification par action

Action 10

Gouvernance, évaluation, études et prospective en matière de développement durable


 

Prévision LFI

Réalisation

 

(y.c. FdC et AdP)  

Titre 2

Autres titres

Total

Titre 2

Autres titres

Total

Autorisations d'engagement

 

14 396 860

14 396 860

 

13 877 986

13 877 986

Crédits de paiement

 

14 396 860

14 396 860

 

14 644 020

14 644 020

 

L'analyse de l'exécution des crédits de l'action 10 se fera sur les montants retraités des retraits d'engagements budgétaires sur années antérieures (REJB) pour un montant de 546 569,39 € en AE, et d'erreurs d'imputation manifestes pour - 555,82 € en AE et CP, soit 14 423 999,90 € en AE et 14 643 463,84 € en CP.

 

Éléments de la dépense par nature


 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

Titre et catégorie

Prévision LFI
y.c. FdC et AdP
 

Réalisation

Prévision LFI
y.c. FdC et AdP

Réalisation

Titre 3 : Dépenses de fonctionnement

9 633 860

9 423 578

9 633 860

9 916 883

Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

9 633 860

9 240 528

9 633 860

9 786 472

Subventions pour charges de service public

 

183 050

 

130 411

Titre 5 : Dépenses d’investissement

90 000

145 574

90 000

219 975

Dépenses pour immobilisations incorporelles de l’État

90 000

145 574

90 000

219 975

Titre 6 : Dépenses d’intervention

4 673 000

4 308 834

4 673 000

4 507 162

Transferts aux entreprises

 

280 386

 

317 046

Transferts aux collectivités territoriales

 

43 474

 

132 923

Transferts aux autres collectivités

4 673 000

3 984 974

4 673 000

4 057 193

Total

14 396 860

13 877 986

14 396 860

14 644 020

 

DEPENSES DE FONCTIONNEMENT

Les dépenses de fonctionnement du CGDD (après retraitements) ont été de 9 884 651 € en AE et de 9 916 327 € en CP, pour une prévision de 9 698 147 € en AE et CP, et se répartissent comme suit :


1. Etudes en matière d'évaluation et d'intégration du développement durable dans les politiques publiques : 2 066 085 € en AE et 2 255 088 € en CP


Les crédits ont financé des travaux et études économiques et méthodologiques sur les thématiques suivantes :

- le développement d'instruments, de données et d'analyses sur la fiscalité écologique, les comportements des agents économiques, l’économie des ressources naturelles et des risques, permettant d’éclairer et d’étayer les orientations des politiques publiques relevant des MTES et MCTRCT ;

- l'intégration des préoccupations environnementales dans les politiques publiques (transports, agriculture, énergie, industrie, etc.) aux échelles européenne et nationale ;

- la formulation d’avis obligatoires sur les plans, programmes et projets impliquant le lancement d'études visant à fournir un appui technique et méthodologique sur des projets d’aménagement, d'infrastructures et d'exploitation de ressources naturelles ;

- le soutien à la mise en œuvre de démarches éco-responsables chez les acteurs publics et privés, conduisant à mettre en place diverses actions en faveur de l’adoption de modes de consommation et de production durables, notamment par la promotion des écolabels, l’investissement socialement responsable, la mise en œuvre du plan national pour l’achat public durable, la mobilisation des établissements publics et entreprises publiques pour un comportement durable.


En outre, ces crédits ont financé la gestion du fonds d'indemnisation des commissaires enquêteurs (décret n° 2002-1341 du 5 novembre 2002) assurée par la Caisse des dépôts et consignations.


Une partie des crédits a été déléguée aux directions régionales de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL) pour leur donner les moyens d'assurer pleinement leur fonction d'autorité environnementale et de prendre en compte des principes du développement durable dans les divers secteurs clés (agriculture, énergie, littoral, montagne, etc.) pour réduire ainsi au maximum les risques de contentieux européens. Ces crédits incluent le développement de la formation des commissaires enquêteurs.


2. Etudes en matière de prospective et de stratégie du développement durable : 1 053 508 € en AE et 1 138 782 € en CP

Ces crédits ont été consacrés au financement d’études et d’actions destinées à l’accompagnement des acteurs privés et publics dans leurs démarches de développement durable, ainsi qu’à la mise en œuvre de cadres stratégiques pour la transition écologique et solidaire, avec en particulier la définition et la mise en oeuvre de  la Feuille de route de la France pour l'Agenda 2030 et ses 17 Objectifs de développement durable par la France.

Une partie de ces crédits est mobilisée par les DREAL :

- pour la promotion du développement durable au niveau local (études et manifestations dans le cadre de la territorialisation des enjeux et des objectifs du développement durable) ;

- pour le soutien à l'éducation à l'environnement et au développement durable en appui aux opérations menées par la communauté éducative : aide aux projets éducatifs en faveur du développement durable, formations de formateurs à l’éducation à l’environnement et au développement durable.

En 2018, on observe une augmentation des crédits mobilisés sur ces actions par rapport aux prévisions en raison d’une montée en puissance des travaux sur l’élaboration de la feuille de route de la France pour la mise en œuvre de l’Agenda 2030.


3. Pilotage du réseau scientifique et technique : 791 723 € en AE et 834 418 €


Ces crédits permettent d'assurer le financement du service de la recherche et de l’innovation qui contribue, en liaison avec les ministères chargés de la recherche et des entreprises, à la définition des orientations de la politique nationale de recherche et d’innovation en matière d’environnement, d’aménagement, de transports et d’énergie. Il anime le réseau scientifique et technique du ministère et exerce la tutelle de quatre établissements majeurs : Météo-France, l’IGN, l’université Gustave Eiffel et le Cérema. Dans le cadre de la supervision générale des données, le service de la recherche et de l’innovation est en outre chargé, en lien avec le secrétariat général, d’élaborer et d’animer la stratégie du ministère en matière de donnée.
Sous le pilotage du CGDD (SRI), l'initiative GreenTech verte a poursuivi son développement sur les différentes thématiques du ministère. Le CGDD assure l'accompagnement des start-up, ainsi que l'organisation d'événements visant à la promotion des innovations et de l'usage du numérique au service des politiques ministérielles. L'initiative continuera au sein du laboratoire d’innovation par les données Ecolab. Nouvel outil du ministère, il promeut le développement des usages et de la valorisation des données publiques.


4. Etudes et enquêtes en matière d'observation et de statistiques : 4 752 683 € en AE et 4 489 963 € en CP

La dotation permet le financement des études et enquêtes réalisées par le service des données et études statistiques du CGDD ou déléguées par celui-ci aux DREAL.

Dans le domaine de l’énergie, les crédits sont destinés à financer des enquêtes et études sur la production d’énergie (notamment les énergies renouvelables) et la consommation d’énergie dans les secteurs résidentiel et tertiaire.

Dans le domaine du logement et de la construction, les crédits sont destinés à financer des opérations régulières telles que les enquêtes sur le prix des terrains à bâtir, les prix de la construction neuve et de l’entretien-amélioration des logements, la commercialisation des logements neufs, la collecte et le traitement des statistiques mensuelles de la construction (Sitadel), le répertoire du parc locatif social (RPLS). En 2019, les crédits permettent aussi d’effectuer une partie de l’enquête logement 2020 auprès de 35 000 ménages de France métropolitaine : la collecte de cette opération d’ampleur devrait s’étaler jusqu’au troisième trimestre 2020.

Dans le domaine des transports, les principales opérations sont les enquêtes sur la connaissance des immatriculations, du parc, de la circulation et de la consommation des véhicules routiers et de la mobilité des personnes ; l’enquête sur le transport routier de marchandises ; le système d’information sur le transport ferroviaire ; le système d’information multimodal sur le fret : transports et entrepôts ; la durée du travail des conducteurs routiers ; l’enquête sur la mobilité des personnes. La plupart de ces enquêtes répond à des obligations européennes.

Dans le domaine de l’environnement, les crédits sont destinés à financer des opérations de collecte, de traitement et de valorisations de données et de rapportage internationaux (Eurostat, OCDE, agence européenne pour l’environnement) sur les thématiques suivantes : la qualité des sols, la biodiversité, la pollution de l’eau et de l’air (concentrations et rejets de polluants), le climat, la forêt, les pratiques environnementales des Français et des prestations d’études sur l’environnement, les éco-activités, les métiers de la croissance verte et les dépenses de protection de l’environnement.

Enfin, en matière de développement durable, les crédits financent le suivi des indicateurs des Objectifs de développement durable (ODD) ; la maintenance et l’enrichissement de bases de données telles que Geokit, Corine land cover, la cartographie dynamique ; la maintenance et l’amélioration des applications informatiques ; les sous-traitances statistiques et cartographiques ; la parution des publications ; la maintenance et l’évolution du site Web de diffusion des données et publications portant sur l’environnement, l’énergie, le logement-construction, les transports et le développement durable.


5. Activités transversales du CGDD : 1 073 900 € en 1 074 304 € en CP

Pour le fonctionnement des services centraux du CGDD, y compris son service délocalisé à Orléans, la dotation est destinée au financement des frais de déplacement, de dépenses de formation, du remboursement de mises à disposition d'agents, des prestations de services diverses et des dépenses de documentation (achat d'ouvrages, abonnements, enregistrements des fonds documentaires), ainsi qu'au financement du fonctionnement du portail "www.toutsurlenvironnement.fr" (ce portail a été fermé en octobre 2019 pour être refondu dans un nouveau portail qui est en cours d'élaboration, qui proposera une nouvelle interface et qui sera enrichie de nouvelles thématiques sur l'environnement) et du système d'information documentaire de l'environnement (SIDE).


6. Affaires stratégiques : 146 752 € en AE et 123 772 € en CP

Ces montants concernent le fonctionnement courant du Cabinet du CGDD.


DEPENSES D'INVESTISSEMENT

Les dépenses d'investissement du CGDD ont été de 145 574 € en AE et 219 975 € en CP pour des projets statistiques.


DEPENSES D'INTERVENTION


Les dépenses d'intervention du CGDD ont été de 4 393 775 € en AE et 4 507 162 € en CP et se répartissent ainsi :


1. Intervention pour favoriser l'intégration du développement durable (CPER) : 403 050 € en AE et 496 667 € en CP


Ces crédits sont destinés au financement d'actions d'animation et d'études préalables à la mise en oeuvre d'actions de gouvernance dans les projets territoriaux de développement durable dans le cadre des CPER.


2. Interventions pour favoriser l'intégration du développement durable (HCPER) : 2 029 012 € en AE et 2 002 487 € en CP


Ces crédits ont financé les interventions en appui aux associations et groupements d’intérêt public pour la prise en compte du développement durable dans divers domaines (aménagement, agriculture, tourisme durable, etc.), la coopération avec divers organismes dans le cadre de l'OCDE pour la définition des instruments économiques environnementaux ou encore la participation au réseau francophone d'évaluation des impacts sur l'environnement.

Les crédits d’intervention délégués aux DREAL ont permis entre autres de financer les cellules économiques régionales de la construction (CERC), qui mènent des actions partenariales avec les entreprises et les collectivités territoriales.

Pour la quatrième année consécutive, le CGDD a lancé un « appel à projets » à destination des DREAL, dont un sur la supervision générale des données, au service de la mise en oeuvre des politiques publiques
dans les territoires, le deuxième sur la mise en oeuvre dans les territoires du volet « production et consommation durables » de la feuille de route « économie circulaire » et le dernier sur la mobilisation des territoires pour l'atteinte des objectifs de développement durable en vue de la mise en oeuvre de la feuille de route de la France. Les DREAL et DEAL ont présenté 57 dossiers de projets pour un montant total de 1.8 M€. 37 dossiers ont été retenus pour un montant de crédits de 900 k€.


3. Interventions pour la promotion du développement durable : 1 146 058 € en AE et 1 151 058 € en CP


Les crédits d’intervention pour la promotion du développement durable ont financé :


- le soutien aux associations qui agissent pour l'éducation à l'environnement et au développement durable, dans un cadre national ou international, dans l'éducation primaire, secondaire, dans l'enseignement supérieur, dans le cadre d'activités extrascolaires, et dans le cadre de la sensibilisation des publics adultes à ces questions ;

- l'action en matière de promotion du développement durable.



4. Interventions en matière d'observations et de statistiques : 550 750 € en AE et 523 750 € en CP


 Cette enveloppe couvre le financement de la contribution du MTES au GIS Sol (groupement d’intérêt scientifique Sol), dans le cadre de la convention menée en partenariat avec le ministère chargé de l'agriculture, l'institut national de la recherche agronomique (INRA), l’agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (ADEME), l'Institut de Recherche et Développement (IRD)  et l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN). Le GIS SOL est le programme d'acquisition de données sur la qualité et la nature de l'ensemble des sols français et de leur évolution.


5. Interventions en matière de pilotage du réseau scientifique et technique : 235 125 € en AE et 303 420 € en CP


Les interventions en matière de pilotage du réseau scientifique et technique (RST) traduisent les actions d’animation de la communauté scientifique nationale, au même titre que les dépenses de fonctionnement sur cette ligne. A ce titre, on peut relever le soutien aux activités françaises de normalisation ou au centre d'études et d'expertise en biomimétisme.


6. Interventions transversales et stratégiques : 29 780 € en AE et 29 780 € en CP

Ces dépenses concernent des dépenses d'interventions qui intéressent l'action du CGDD sans nécessairement correspondre à l'une des entrées présentées ci-dessus, telle que le financement du BRGM pour le maintien du portail "toutsurlenvironnement" jusqu'en octobre 2019.


 

Action 11

Etudes et expertise en matière de développement durable


 

Prévision LFI

Réalisation

 

(y.c. FdC et AdP)  

Titre 2

Autres titres

Total

Titre 2

Autres titres

Total

Autorisations d'engagement

 

201 281 114

201 281 114

 

199 516 482

199 516 482

Crédits de paiement

 

201 281 114

201 281 114

 

199 516 482

199 516 482

 

L’action 11 du programme 159 « Expertise, économie sociale et solidaire, information géographique et météorologie » est intégralement constituée de la subvention pour charges de service public (SCSP) du Centre d’études et d’expertise pour les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (Cérema).
Le Cérema est un établissement public à caractère administratif créé le 1er janvier 2014 par la loi n° 2013-431 du 28 mai 2013 et le décret n° 2013-1273 du 27 décembre 2013. Ce centre de ressources et d’expertise scientifique et technique interdisciplinaire apporte son concours à l’élaboration, à la mise en oeuvre et à l’évaluation des politiques publiques du MTES et du MCTRCT dans ses différents domaines de compétence, offrant une vision transversale au service du développement durable.
La présentation des actions du Cérema, de son budget, de ses effectifs et de son investissement est détaillée dans le volet "opérateurs" du PAP.

 

Éléments de la dépense par nature


 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

Titre et catégorie

Prévision LFI
y.c. FdC et AdP
 

Réalisation

Prévision LFI
y.c. FdC et AdP

Réalisation

Titre 3 : Dépenses de fonctionnement

201 281 114

199 516 482

201 281 114

199 516 482

Subventions pour charges de service public

201 281 114

199 516 482

201 281 114

199 516 482

Total

201 281 114

199 516 482

201 281 114

199 516 482

 

Le Cérema consacre 99 % de sa SCSP pour financer ses dépenses de personnel.

 

Action 12

Information géographique et cartographique


 

Prévision LFI

Réalisation

 

(y.c. FdC et AdP)  

Titre 2

Autres titres

Total

Titre 2

Autres titres

Total

Autorisations d'engagement

 

90 308 261

90 308 261

 

89 293 349

89 293 349

Crédits de paiement

 

90 308 261

90 308 261

 

89 281 378

89 281 378

 

 

Éléments de la dépense par nature


 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

Titre et catégorie

Prévision LFI
y.c. FdC et AdP
 

Réalisation

Prévision LFI
y.c. FdC et AdP

Réalisation

Titre 3 : Dépenses de fonctionnement

90 245 261

89 278 349

90 245 261

89 258 378

Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

164 000

193 270

164 000

173 299

Subventions pour charges de service public

90 081 261

89 085 079

90 081 261

89 085 079

Titre 6 : Dépenses d’intervention

63 000

15 000

63 000

23 000

Transferts aux autres collectivités

63 000

15 000

63 000

23 000

Total

90 308 261

89 293 349

90 308 261

89 281 378

 

Les crédits de la SCSP de l’IGN (88,85 M€) sont répartis à 85 % dans la sous-action 12.1 « Production de l’information géographique » (75,52 M€) et à 15 % dans la sous-action 12.2 « Recherche dans le domaine de l’information géographique » (13,33 M€).


12.1 - Production de l'information géographique (75,52 M€ en AE et en CP)


En 2019, l’IGN a consacré 75,52 M€ au titre de la sous-action 1, pour ses missions de production d’information géographique et cartographique.

Au 1er janvier 2019, l’IGN a mis en place une nouvelle organisation qui vise à élargir l’écoute des commanditaires publics, à faciliter l’agilité de l’institut en privilégiant une chaîne de décision plus courte, à renforcer le management fonctionnel, à dynamiser l’innovation et à permettre une évolution régulière des activités. Le programme de service public de l’année 2019 a constitué une phase de transition entre la poursuite des activités initiées précédemment et le lancement de nouvelles activités induites par les nouvelles orientations fixées à l’institut.


Au cœur des activités de l’IGN, sa mission de producteur de données en appui aux politiques publiques regroupe un ensemble de productions qui font de l’IGN un acteur important de la modernisation numérique de l’État. Les principales réalisations 2019 sont les suivantes :

  • La réalisation de prestations, d’expertises et de conseils au bénéfice de l’infrastructure de données géographique du ministère chargé des armées notamment avec la réalisation de nouveaux modèles numériques de terrain (MNT) ;
  • La mise à jour des données de surfaces non agricoles sur un tiers du territoire national dans le cadre de l’entretien du registre parcellaire graphique (RPG), permettant le calcul et l’attribution des aides de la politique agricole commune (PAC) ;
  • La mise en place d’un dispositif de suivi de l’artificialisation des sols en partenariat avec le CEREMA (pour le compte de la direction générale de l’aménagement, du logement et de la nature du MTES) en appui à l’action 7 du plan biodiversité annoncé en juillet 2018 ;
  • Le renforcement de l’appui à la prévention des risques avec un mandat pour favoriser l’émergence d’un Plan de corps de rue simplifié (PCRS) dans le cadre de la réforme anti-endommagement des réseaux enterrés ainsi que le lancement de la constitution d’un MNT très fin sur l’arc méditerranéen ;
  • Les acquisitions en cartographie mobile nécessaires à la production d’une cartographie HD en Ile de France et la livraison d’une première version de la cartographie sur une série de tronçons routiers en novembre 2019 ;
  • L’achèvement de la première phase de production de la BD TOPAGE® : nouveau référentiel hydrographique, plus exhaustif et plus proche des besoins des acteurs de l’eau, qui couvre l’intégralité du territoire métropolitain ;
  • La diffusion d’un nouveau produit issu de la base adresse nationale (BAN) (à partir du 1er juillet 2019) qui intègre pour la 1ère fois une composante « multi position » qui permet d’accéder à une information plus riche sur la position de l’adresse (boîte à lettre, cage d’escalier, bâtiment, accès secours…) ; le guichet adresse rend désormais possible l’intégration directe des données des mairies dans la BAN.

Au travers de ces réalisations, l’IGN participe activement à la mutualisation des moyens et des actions avec les acteurs publics ainsi qu’à la simplification administrative au profit des citoyens et des acteurs économiques. En tant qu’opérateur de l’État en information géographique, l’IGN facilite l’accompagnement des parties prenantes afin de garantir la stabilité et la qualité des données.

En 2019, l’IGN a également poursuivi sa mission d’acquisition de vues aériennes lors des inondations.

Pour assurer l'intermédiation des communautés de producteurs et d'utilisateurs, l'IGN a assuré notamment la conception et la mise à disposition d'une offre de services et d’applications (géoservices) dans une logique de développement de partenariats ainsi que la production, la maintenance et la mise à disposition de portails thématiques (éducation, urbanisme, randonnée, jeux, données anciennes) orientés vers des communautés d’usages.

Il a également mis en place une convention avec l’État pour faire faire évoluer, avec l’aide d’un financement du Fonds de transformation de l’action publique, l’infrastructure du Géoportail de l’IGN en une Géoplateforme nationale, ouverte et mutualisée. Les expérimentations ont été engagées avec les partenaires de ce projet.

Enfin, pour porter l’avance technologique au cœur de la puissance publique et soutenir les filières économiques, l’IGN assure des travaux de concertation européenne et internationale ayant abouti notamment à la mise en place d’une cartographie des organismes autour des activités de normalisation de la cartographie pour le véhicule autonome ainsi qu’à des interventions sur des questions frontalières (raccords frontaliers franco-allemand relatifs au domaine des transports et des expertises concernant une délimitation à Saint-Martin et au Suriname).


12.2 - Recherche dans le domaine de l’information géographique (13,33 M€ en AE et en CP)


La sous-action 12.2 « Recherche dans le domaine de l’information géographique » retrace la part de la SCSP de l’IGN consacrée au financement des activités de recherche et développement qui permettent aussi de porter l’avance technologique au cœur de la puissance publique.


L’IGN assure la montée en maturité des résultats de recherche, s'approprie les technologies existantes et accompagne leur déploiement dans l'écosystème, et, notamment, la mise à profit des technologies d’apprentissage profond (deep learning) pour les besoins d’automatisation.

 Aujourd’hui cette politique de recherche se concrétise notamment :

- dans la production d’occupation du sol au sens large (OCS GE, artificialisation des sols et BD Forêt) ;

- dans le développement de nouveaux produits urbains et des travaux de co-visualisation de données issues de modèles de simulation climatique et de données décrivant le territoire (projet Urclim) ;

- dans la contribution à l’initiative portée par l’Union Européenne « FET TimeMachine » qui visant à faire de notre patrimoine culturel (manuscrits, images, sons, etc.) un système d'information intelligent (capable de structurer, analyser et modéliser).

L’IGN entretient et assure la pérennité d’une recherche d’excellence en information géographique en s’appuyant sur l’Ecole Nationale des Sciences Géographique (ENSG-Géomatique) qui est devenue, au 1er janvier 2019, le pôle d’enseignement supérieur et de recherche de l‘IGN. En matière d’enseignement supérieur, l’année 2019 a été marquée par une rentrée universitaire réussie. L’ENSG-Géomatique a accueilli environ 450 élèves (dont les doctorants) dans douze cycles de formations dont près de 180 inscrits dans le cycle d’ingénieur.


L’ENSG est devenue la toute première école d’ingénieur à obtenir pour 5 ans le label d’établissement 4DIGITAL décerné par la Conférence des Grandes écoles certifiant ainsi son processus de formation à distance. En outre, l’école a été auditée par la Commission des titres d’ingénieurs (CTI) en octobre 2019 et obtenu le renouvellement de son accréditation pour la durée maximale de cinq ans.


La Fondation ENSG-Géomatique a été créée en novembre 2019, sous l’égide de la Fondation de France. Elle permettra notamment d’appuyer des actions pour le développement de l’école et de son rayonnement mais appuiera aussi des actions pour le développement de la géomatique en France.


Enfin, l’année 2019 a permis de finaliser les démarches administratives pour aboutir à la création de l’Université Gustave Eiffel (UGE) dont l’ENSG-Géomatique est devenu une école membre tout en demeurant le pôle d’Enseignement Supérieur et de Recherche de l’IGN. L’UGE est née du rapprochement de 6 établissements qui ont décidé d’associer leurs moyens pour créer un pôle d’excellence représentant un quart de la recherche française sur les villes de demain et regroupant des compétences pluridisciplinaires pour conduire des recherches de qualité au service de la société, proposer des formations adaptées au monde socio-économique et accompagner les politiques publiques. Ces 6 établissements sont : l’Université Paris-Est Marne-la-Vallée (UPEM), l’Institut français des sciences et technologies des transports, de l’aménagement et des réseaux (IFSTTAR), l’Ecole d’architecture ville et territoires de Marne-la-Vallée (EAV&T), l’Ecole des Ingénieurs de la Ville de Paris (EIVP), la Chambre de commerce et d’industrie d’Ile-de-France (CCI-IdF) pour l’ESIEE-Paris et l’IGN pour l’ENSG-Géomatique.


12.3 – Pilotage de la politique d’information géographique (443 566 € en AE et 431 595 € en CP)


L’exécution a été de 443 566 € en AE, et de de 431 595 € en CP, soit des montants correspondant aux crédits disponibles, notamment en raison d’un accord-cadre pour la mutualisation et la coordination du développement des logiciels Prodige (mise en œuvre de plateforme territoriales) et Carmen (diffusion de données environnementales), qui a permis d’optimiser l’usage des crédits en 2019.


La quasi-totalité des actions financées correspond à la mise en œuvre des exigences de la directive européenne Inspire, pour laquelle la France est en pré-contentieux européen. Il s’agit en particulier de financer :

- Le fonctionnement du catalogue central Inspire pour la France (Géocatalogue), destiné à fournir les services de recherche exigés par la directive Inspire (articles L. 127-2, L. 127-4 et L. 127-7 du code de l’environnement). Le Géocatalogue est mis en oeuvre par le BRGM. Le montant versé s'est élevé à 236 000 €, en AE=CP dans le cadre d’une convention annuelle avec le BRGM.

- La mise en oeuvre de plateformes régionales de mutualisation de l’information géographique (plates-formes Prodige) conformes aux prescriptions de la directive Inspire et permettant aux services de l’État dans les régions de répondre aux exigences de la directive en matière de partage des données géographiques avec les collectivités territoriales (article L. 127-8 du code de l’environnement). En 2019, cette action a mobilisé 141 787 € en CP , et 152 757 € en AE (suite au décalage en 2020 de la fin de paiement de bons de commande de développement d’évolutions de Prodige émis fin 2019).

- Les activités d’animation exercées par l’AFIGÉO pour la communauté des acteurs du domaine de l’information géographique. Cette action nécessite chaque année 15 000 € en AE=CP.

 

Action 13

Météorologie


 

Prévision LFI

Réalisation

 

(y.c. FdC et AdP)  

Titre 2

Autres titres

Total

Titre 2

Autres titres

Total

Autorisations d'engagement

 

188 771 452

188 771 452

 

187 039 849

187 039 849

Crédits de paiement

 

188 771 452

188 771 452

 

187 039 849

187 039 849

 

L'action 13 représente le financement des attributions de l’État en matière de prévision et de recherche météorologiques et climatiques, confiées à l’établissement public administratif Météo-France.

La mission principale de Météo-France concerne la prévision des phénomènes météorologiques dangereux (tempêtes, avalanches, précipitations diluviennes, chutes de neige, cyclones…) et sa contribution à la diffusion des alertes correspondantes. L’établissement intervient plus globalement en support des services en charge de la sécurité civile pour toutes les crises, même pour celles non directement liées à un phénomène météorologique mais pour lesquelles les conditions atmosphériques peuvent constituer un facteur aggravant.

La connaissance des climats passés et futurs constitue l’autre priorité de Météo-France. Il s’agit là d’un enjeu primordial dans une logique de développement durable et dans un souci d’adaptation au changement climatique.


L'action « Météorologie » est scindée en deux sous-actions :


1 - Observation et prévision météorologiques

Cette sous-action correspond à la mission principale de l’opérateur Météo-France et mobilise l’ensemble des infrastructures et des moyens techniques (systèmes d’observation, supercalculateur, systèmes de production et de diffusion, réseau territorial, etc...) ainsi que l’essentiel des compétences dont il dispose. L’activité de l’établissement repose essentiellement sur des réseaux et des infrastructures complexes, dédiés à l'observation, à la modélisation, au traitement et à la diffusion de l’information. Ces réseaux et infrastructures constituent un socle cohérent dont la globalité est indispensable au bon fonctionnement et à la réalisation de l’ensemble des missions de service public. Ainsi, l'observation est un pré-requis à la prévision météorologique et au suivi climatique. De même, avec le développement de la prévision numérique (qui est un élément fondamental pour l’élaboration des prévisions), l’exploitation des données et des modèles suppose des moyens de calcul de grande ampleur et un système d’information particulier.

Les différentes activités de cette sous-action concernent plus particulièrement l’observation de l’atmosphère, de l’océan superficiel et du manteau neigeux, la prévision de leur évolution ainsi que la conservation de la mémoire du climat et l’analyse des changements constatés. Elles impliquent en outre la diffusion des informations produites : mise à disposition des prévisions sur un système de communication diversifié (Internet et services web ou mobiles, transmissions spécialisées, etc.) et surtout avertissement des autorités en charge de la sécurité et du grand public sur les risques météorologiques.


2 - Recherche dans le domaine météorologique

Cette sous-action comprend toutes les activités de Météo-France destinées à l’amélioration des techniques d’observation, de la connaissance et de la modélisation de l’atmosphère et de ses interactions avec les autres milieux et les activités humaines, à des fins de prévision météorologique, d’étude et de production de scenarii climatiques.

Ces travaux s’inscrivent dans le cadre fixé par la stratégie nationale de recherche (SNR) et dans le périmètre thématique de l’Alliance nationale de recherche pour l’environnement (AllEnvi) dont Météo-France est l’un des membres fondateurs.

Dans le domaine de la météorologie, où des progrès en matière de prévision se fondent sur des progrès de la science, la recherche est une nécessité. Deux axes de progrès majeurs existent à cet égard :

- la progression dans la qualité et la fiabilité des modèles de prévision déterministes à maille de plus en plus fine ;

- le développement d’une prévision probabiliste à même de mieux caractériser les incertitudes des phénomènes.


 

Éléments de la dépense par nature


 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

Titre et catégorie

Prévision LFI
y.c. FdC et AdP
 

Réalisation

Prévision LFI
y.c. FdC et AdP

Réalisation

Titre 3 : Dépenses de fonctionnement

183 771 452

184 614 849

183 771 452

184 614 849

Subventions pour charges de service public

183 771 452

184 614 849

183 771 452

184 614 849

Titre 6 : Dépenses d’intervention

2 500 000

 

2 500 000

 

Transferts aux autres collectivités

2 500 000

 

2 500 000

 

Titre 7 : Dépenses d’opérations financières

2 500 000

2 425 000

2 500 000

2 425 000

Dotations en fonds propres

2 500 000

2 425 000

2 500 000

2 425 000

Total

188 771 452

187 039 849

188 771 452

187 039 849

 

Commentaires :

Montant dotation MF avec réserve :

SCSP : 183 771 452 €

+ Subvention HPC : 2,5 M€

+ Dotation en fonds propres HPC : 2,5 M€

Dotation de MF hors réserve, soit :

SCSP : 182 035 416 € + subvention FAIRH 103 050 € = 182 138 466 €

+ Subvention HPC  : 2 476 383 €

+ Dotation en fonds propres HPC : 2 425 000 €


Dépenses de fonctionnement

La subvention versée au titre de l’action 13 du programme 159 a été consommée à hauteur de 162 M€ pour financer les activités de service public liées :

- aux missions régaliennes assurées par l’établissement en matière de sécurité civile, de défense nationale et de prévention des risques naturels ;

- aux infrastructures d'observation avec la modernisation du réseau de radars (dans le cadre du second volet du projet PUMA soutenu par la Direction Générale de la Prévention des Risques), la poursuite du déploiement des stations automatiques de nouvelle génération « Mercury », l'automatisation progressive du Réseau Climatologique d’État, et l'installation du lidar doppler sur l'aéroport de Nice ;

- à la prévision et à la climatologie, qui nécessitent une mise à niveau régulière des systèmes informatiques dédiés (serveurs applicatifs, systèmes de stockage des données…) ;

- à la formation initiale et continue des personnels de l’établissement ;

- aux actions internationales et aux contributions de Météo-France à divers organismes internationaux (à EUMETNET et à l’organisation météorologique mondiale notamment) ;

- à la diffusion des connaissances et des données météorologiques.


La subvention pour charges de service public a également été consacrée (à hauteur de 20 M€) au financement de l’activité de recherche propre à l'établissement. Cette activité vient en support de l’ensemble des métiers de Météo-France. La recherche est en effet la source des innovations mises en œuvre ultérieurement dans les domaines de l’observation, de la prévision numérique du temps et du climat. Elle contribue à une meilleure connaissance de la physique de l’atmosphère. Elle vise également la compréhension, la représentation et la prévision des phénomènes climatiques. C'est une priorité forte qui s’inscrit dans un cadre fortement internationalisé des activités de Météo-France.


Les actions de recherche menées par Météo-France en 2019 ont porté principalement sur :

- le développement et l’amélioration continue de différents types de modèles numériques de prévision (modèles globaux co-développés, modèles régionaux, modèles à très haute résolution) ;

- la prévision saisonnière et inter-annuelle et le changement climatique et ses impacts ;

- la recherche expérimentale et instrumentale (avions de recherche, bouées, capteurs innovants) et les grandes campagnes internationales ;

- les recherches dans les domaines étroitement liés à la météorologie (qualité de l’air et impact de la météorologie sur les pollutions accidentelles, hydrologie et prévision des crues, océanographie hauturière et côtière, gestion des zones côtières).

    Quant au fonds d’accompagnement interministériel des ressources humaines (0,1 M€), il a permis de co-financer l’attribution de dix primes de restructuration de service et le premier versement d’une indemnité de départ volontaire.


    Dépenses d’intervention et d’opérations financières

    Une dotation spécifique de 4,9 M€ (ventilée en dépenses d’intervention et dépenses d’opérations financières) a en outre été accordée à l’opérateur en 2019 dans le cadre d’un financement pluri-annuel des surcoûts liés au remplacement de son supercalculateur.


    Les opérations menées dans ce cadre en 2019 ont eu pour objet :

    - la mise à niveau (en matière d’infrastructures électriques et de systèmes de climatisation notamment) des locaux devant héberger cet équipement (salle de calcul de la Météopole et Espace Clément Ader de l'Université de Toulouse) ;

    - l’adaptation de l'ensemble des équipements réseaux et des équipements de pré et post-production nécessitée par une forte augmentation des flux de données ;

    - le paiement de l’avance consentie au titulaire du marché pour la mise à disposition du supercalculateur.

    Le montant total des crédits de paiement décaissés en 2019 pour cette opération s’élève à plus de 9,7 M€ sur l’enveloppe d’investissement et 3 ,6 M€ sur l’enveloppe de fonctionnement.


     

    Action 14

    Economie sociale et solidaire


     

    Prévision LFI

    Réalisation

     

    (y.c. FdC et AdP)  

    Titre 2

    Autres titres

    Total

    Titre 2

    Autres titres

    Total

    Autorisations d'engagement

     

    18 394 587

    18 394 587

     

    17 613 647

    17 613 647

    Crédits de paiement

     

    18 394 587

    18 394 587

     

    17 460 061

    17 460 061

     

    Les montants exécutés 2019 ne tiennent pas compte des REJB ni des corrections d'erreurs d'imputation. Le réalisé 2019, suite à ces corrections est de 17 706 941 € en AE et 17 460 616 € en CP.


    Les écarts entre la prévision LFI et l’exécution 2019 s’expliquent de la façon suivante :
    - une mise en réserve de précaution de 3% a été appliquée pour un total de 551 838 € en AE et CP et annulée lors de la loi de finance rectificative du 2 décembre 2019 ;
    - la fongibilité de fin de gestion en faveur de l’action 10 a minoré les crédits de l’action 14 de 135 808 € en autorisation d’engagement et 382 133 € en crédits de paiement.

     

    Éléments de la dépense par nature


     

    Autorisations d'engagement

    Crédits de paiement

    Titre et catégorie

    Prévision LFI
    y.c. FdC et AdP
     

    Réalisation

    Prévision LFI
    y.c. FdC et AdP

    Réalisation

    Titre 3 : Dépenses de fonctionnement

    300 000

    639 279

    300 000

    611 587

    Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

    300 000

    639 279

    300 000

    611 587

    Titre 6 : Dépenses d’intervention

    18 094 587

    16 974 367

    18 094 587

    16 848 474

    Transferts aux ménages

     

    140 000

     

    105 000

    Transferts aux entreprises

     

    687 000

     

    833 000

    Transferts aux autres collectivités

    18 094 587

    16 147 367

    18 094 587

    15 910 474

    Total

    18 394 587

    17 613 647

    18 394 587

    17 460 061

     

    Dépenses de fonctionnement

    La LFI prévoyait 300 000 € en AE et en CP de dépenses de fonctionnement, pour une exécution à 639 279€ en AE et 611 587 M€ en CP.

    Ces dépenses ont financé diverses actions de promotion et de développement de l’économie sociale et solidaire portées par le Haut-commissariat à l’économie sociale et solidaire et l’innovation sociale (HCESSIS), les frais de fonctionnement interne au HCESSIS et les frais du réseau des correspondants régionaux de l’ESS. La surconsommation des crédits s’explique par l’affectation d’une dépense exceptionnelle liée à l’organisation par le HCESSIS du sommet mondial de l’économie sociale et inclusive en juillet 2019.

    Dépenses d’intervention

    Depuis la LFI 2018, le programme 159 porte les crédits de l’économie sociale et solidaire (ESS), suite au transfert des crédits relatifs au développement de l’ESS, en provenance du programme 134 « Développement des entreprises et du tourisme », et des crédits relatifs au Dispositif local d’accompagnement (DLA), en provenance du programme 103 « accompagnement des mutations économiques et de l’emploi ». Ces crédits sont pilotés et gérés par le Haut-commissariat à l’économie sociale et solidaire et l’innovation sociale (HCESSIS).

    1. Développement de l’économie sociale et solidaire (7,8 M€ en AE et 8 M€ en CP)

    Cette sous-action a porté les actions prioritaires, définies par le HCESSIS, pour le développement de l’économie sociale et solidaire, s’inscrivant notamment dans les politiques de développement entrepreneurial, de soutien à l’innovation sociale, d’essaimage territorial et de croissance des emplois de l’ESS.

    Le HCESSIS a soutenu en 2019, les centres de ressources de l’ESS, les organismes de recherche, les têtes de réseaux et les organismes fédérateurs de l’ESS, notamment ceux dont le rôle a été conforté par loi relative à l’économie sociale et solidaire du 31 juillet 2014 dans leurs actions de promotion de l’ESS, de structuration des acteurs de l’ESS et d’accompagnement des entreprises et des porteurs de projet. Ce soutien sert d’effet levier pour encourager l’engagement financier d’autres partenaires, régions, acteurs privés de l’économie sociale et solidaire ou de l’économie classique, Fonds Social Européen.

    Le HCESSIS a participé en 2019 au financement des chambres régionales de l’ESS (CRESS) via des conventions pluriannuelles pour permettre l’exécution des missions qui leur ont été confiées par la loi du 31 juillet 2014 et a soutenu le réseau des correspondants ESS dans les services déconcentrés compétents.

    Au cœur de la politique menée par le HCESSIS, le programme French Impact a pour ambition de fédérer l’écosystème de l’innovation sociale et environnementale, tant au niveau national que territorial. Les initiatives innovantes, à impact social et environnemental, sont identifiées dans le cadre d’appel à projets ou d’appels à manifestation d’intérêt et sont valorisées par le HCESSIS en tant que solutions nationales en devenir.

    En mai 2019, une coalition d’entreprises s’est engagée à créer les conditions nécessaires pour passer le seuil des 10 % d’entreprises engagées. Dans le cadre du programme « 10% pour tout changer », le « Lab 10% » a été constitué pour identifier les actions et mesures structurantes permettant de renforcer les entreprises pionnières et de multiplier l’engagement de nouvelles entreprises.

    Le HCESSIS a favorisé également le développement de l’investissement à impact en soutenant la mise en œuvre des contrats à impact social (CIS) déjà initiés dans le cadre de l’expérimentation lancée en 2015. Les CIS constituent un mécanisme de financement innovant de l’action publique où des investisseurs privés financent des structures portant des projets sociaux ou environnementaux, le remboursement de l’investissement intervenant que si les objectifs fixés en ante sont atteints. C’est alors un tiers payeur, en l’occurence l’État qui assure le remboursement des investisseurs en fonction des résultats obtenus. D’autre part, via le Programme French Impact, ce sont 15 fonds privés qui sont devenus partenaires de French Impact pour un montant de 375 millions d’euros. Par ailleurs, le HCESSIS a signé en août 2019 une convention pluriannuelle avec Bpifrance relative au fonds d’innovation sociale 2 (FISO #2) afin de participer au financement de projets d’innovation sociale dans les territoires avec un co-financement des Régions.
    Le HCESSIS est chargé de représenter la France dans les instances européennes et internationales. En 2019, son engagement s’est traduit par des actions de promotion, de représentation et au travers de l’organisation en juillet 2019 du sommet mondial « Pact for Impact ». Ce sommet a lancé l’Alliance mondiale pour l’économie sociale et inclusive qui vise à favoriser la contribution des entreprises de l’économie sociale et inclusive au développement économique, social et écologique dans le monde.


    2. Dispositif local d'accompagnement (9,3 M€ en AE et 8,9 M€ en CP)

    Ce dispositif est destiné à accompagner la consolidation et le développement des entreprises de l’ESS. Cofinancé par l’État, la Caisse des dépôts, le Fonds social européen et les collectivités territoriales, le DLA accompagne à travers un réseau d’opérateurs régionaux et départementaux environ 6 000 entreprises de l’ESS chaque année. Cet accompagnement, à destination principalement des associations, se traduit par des missions d’ingénierie sur leurs projets stratégiques, leur organisation interne, leurs compétences internes, leur modèle économique, leurs projets de regroupements et de partenariats. Ces crédits sont délégués aux services déconcentrés du Ministère du Travail.

    En 2019, l’État a également participé au financement du DLA national et des différents centres de ressources DLA (culture, financement, sport, médico-social et environnement).


     

    Synthèse des opérateurs du programme

    Récapitulation des crédits alloués aux opérateurs de l'État


     

    Prévision LFI

    Réalisation

    Opérateur financé (Programme chef de file)

    Autorisations
    d'engagement
     

    Crédits
    de paiement

    Autorisations
    d'engagement

    Crédits
    de paiement

    GIP - BIO - Agence française pour le développement et la promotion de l'agriculture biologique (P149)

    0

    0

    120 000

    120 000

    Transferts

    0

    0

    120 000

    120 000

    CNV - Centre national de la chanson, des variétés et du jazz (P131)

    0

    0

    10 000

    10 000

    Subventions pour charges de service public

    0

    0

    0

    2 000

    Transferts

    0

    0

    10 000

    8 000

    Météo-France (P159)

    188 771 000

    188 771 000

    187 039 849

    187 039 849

    Subventions pour charges de service public

    183 771 000

    183 771 000

    184 614 849

    184 614 849

    Dotations en fonds propres

    2 500 000

    2 500 000

    2 425 000

    2 425 000

    Transferts

    2 500 000

    2 500 000

    0

    0

    IGN - Institut national de l'information géographique et forestière (P159)

    89 907 000

    89 907 000

    88 849 079

    88 849 079

    Subventions pour charges de service public

    89 907 000

    89 907 000

    88 849 079

    88 849 079

    INERIS - Institut national de l'environnement industriel et des risques (P181)

    0

    0

    0

    8 120

    Transferts

    0

    0

    0

    8 120

    CEREMA - Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement (P159)

    201 281 114

    201 281 114

    199 516 482

    199 536 482

    Subventions pour charges de service public

    201 281 114

    201 281 114

    199 516 482

    199 516 482

    Transferts

    0

    0

    0

    20 000

    ENTPE - Ecole nationale des travaux publics de l'Etat (P217)

    0

    0

    6 000

    4 800

    Transferts

    0

    0

    6 000

    4 800

    Universités et assimilés (P150)

    0

    0

    -3 413

    0

    Transferts

    0

    0

    -3 413

    0

    BRGM - Bureau de recherches géologiques et minières (P172)

    278 000

    278 000

    347 600

    347 600

    Subventions pour charges de service public

    278 000

    278 000

    236 000

    236 000

    Transferts

    0

    0

    111 600

    111 600

    CNRS - Centre national de la recherche scientifique (P172)

    0

    0

    10 000

    13 000

    Transferts

    0

    0

    10 000

    13 000

    IFREMER - Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (P172)

    0

    0

    0

    10 500

    Transferts

    0

    0

    0

    10 500

    INRA - Institut national de la recherche agronomique (P172)

    0

    0

    300 000

    278 000

    Transferts

    0

    0

    300 000

    278 000

    IFSTTAR - Institut français des sciences et technologies des transports, de l'aménagement et des réseaux (P190)

    0

    0

    5 000

    9 157

    Transferts

    0

    0

    5 000

    9 157

    INSERM - Institut national de la santé et de la recherche médicale (P172)

    0

    0

    0

    10 454

    Transferts

    0

    0

    0

    10 454

    Ecoles d'enseignement supérieur agricole et vétérinaire (P142)

    0

    0

    0

    4 000

    Transferts

    0

    0

    0

    4 000

    IRD - Institut de recherche pour le développement (P172)

    0

    0

    0

    7 500

    Transferts

    0

    0

    0

    7 500

    IRSTEA - Institut national de recherche en sciences et technologies pour l'environnement et l'agriculture (P172)

    0

    0

    0

    2 000

    Transferts

    0

    0

    0

    2 000

    Total

    480 237 114

    480 237 114

    476 200 597

    476 250 541

    Total des subventions pour charges de service public

    475 237 114

    475 237 114

    473 216 410

    473 218 410

    Total des dotations en fonds propres

    2 500 000

    2 500 000

    2 425 000

    2 425 000

    Total des transferts

    2 500 000

    2 500 000

    559 187

    607 131

     

     

    Consolidation des emplois


       Emplois des opérateurs dont ce programme est chef de file

    Opérateur

    Réalisation 2018 
    Prévision 2019 
    Réalisation 2019 

    ETPT rémunérés par ce programme ou d'autres programmes

    ETPT rémunérés par les opérateurs

    ETPT rémunérés
    par d'autres
    collectivités

    sous plafond *

    hors plafond

    dont contrats
    aidés

    dont apprentis

    Météo-France

                    
    0
    0

    2 893
    2 831
    2 820

    41
    60
    52

    0
    0
    0

    0
    0
    0

    0
    0
    0

    IGN - Institut national de l'information géographique et forestière

                    
    0
    0

    1 493
    1 472
    1 461

    31
    63
    29

    16
    13
    16

    0
    0
    0

    0
    0
    0

    CEREMA - Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement

                    
    0
    0

    2 747
    2 695
    2 642

    29
    33
    45

    18
    20
    0

    18
    0
    16

    0
    0
    0

    Total

                    
    0
    0

    7 133
    6 998
    6 923

    101
    156
    126

    34
    33
    16

    18
    0
    16

    0
    0
    0


    * Les emplois sous plafond 2019 font référence aux plafonds des autorisations d'emplois votés en loi de finances initiale 2019
      ou, le cas échéant, en lois de finances rectificatives 2019

     

     

       Plafond des autorisations d'emplois des opérateurs du programme chef de file

     

    Prévision
    ETPT

    Réalisation
    ETPT

    Emplois sous plafond 2018

    7 228

    7 133

    Extension en année pleine du schéma d'emplois de la LFI 2018

    0

    0

    Impact du schéma d'emplois 2019

    -229

    -210

    Solde des transferts T2/T3

    0

    0

    Solde des transferts internes

    0

    0

    Solde des mesures de périmètre

    0

    0

    Corrections techniques

    0

    0

    Abattements techniques

    0

    0

    Emplois sous plafond 2019 *

    6 998

    6 923


    * Les emplois sous plafond 2019 font référence aux plafonds des autorisations d'emplois votés en loi de finances initiale 2019
      ou, le cas échéant, en lois de finances rectificatives 2019

     

     

    Prévision ETP

    Réalisation ETP

    Schéma d'emplois 2019 en ETP

    -229

    -230

     

    L'IGN a connu un durcissement du schéma d'emplois de - 1 ETP en 2019.