$@FwLOVariable(annee,2020)

$@FwLOVariable(numProg,134)

$@FwLOVariable(libelleProg,Développement des entreprises et régulations)

$@FwLOVariable(enteteSousTitre,Justification au premier euro)

$@FwLOStyle(styleB3Programme, non)

Justification au premier euro


Éléments transversaux au programme

 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

Numéro et intitulé de l'action
ou de la sous-action

Titre 2
Dépenses
de personnel

Autres titres

Total

Titre 2
Dépenses
de personnel

Autres titres

Total

04 – Développement des postes, des télécommunications et du numérique

0

167 951 802

167 951 802

0

167 951 802

167 951 802

07 – Développement international des entreprises et attractivité du territoire

0

143 795 113

143 795 113

0

143 795 113

143 795 113

08 – Expertise, conseil et inspection

17 992 668

39 409

18 032 077

17 992 668

39 409

18 032 077

13 – Régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP)

16 103 652

4 959 374

21 063 026

16 103 652

6 796 927

22 900 579

15 – Mise en oeuvre du droit de la concurrence (Autorité de la concurrence)

17 755 972

4 000 000

21 755 972

17 755 972

5 300 000

23 055 972

22 – Contrats à impact social

0

30 000

30 000

0

34 377

34 377

23 – Industrie et services

118 816 303

316 441 972

435 258 275

118 816 303

326 116 360

444 932 663

24 – Régulation concurrentielle des marchés, protection économique et sécurité du consommateur

212 850 875

13 166 008

226 016 883

212 850 875

13 872 587

226 723 462

Total

383 519 470

650 383 678

1 033 903 148

383 519 470

663 906 575

1 047 426 045



Éléments de synthèse du programme



Évolution du périmètre du programme


   Transferts en crédits

Prog
Source
/ Cible

T2
Hors Cas
pensions

T2
CAS
pensions

Total T2

AE
Hors T2

CP
Hors T2

Total AE

Total CP

Transferts entrants

+1 610 000

+1 610 000

+3 728 333

+3 728 333

+5 338 333

+5 338 333

Gouvernance des pôles de compétitivité

112 ►

+1 910 833

+1 910 833

+1 910 833

+1 910 833

Gouvernance des pôles de compétitivité

144 ►

+1 025 000

+1 025 000

+1 025 000

+1 025 000

Gouvernance des pôles de compétitivité

149 ►

+597 500

+597 500

+597 500

+597 500

Rattachement des crédits de communication du pôle French Tech

218 ►

+80 000

+80 000

+80 000

+80 000

Transfert de la masse salariale de 12 agents d'Atout France mis à disposition par la DGE

185 ►

+1 500 000

+1 500 000

+1 500 000

+1 500 000

modernisation de la distribution de la presse HT2

308 ►

+110 000

+110 000

+115 000

+115 000

+225 000

+225 000

Transferts sortants

-4 045 402

-1 152 276

-5 197 678

-5 840 301

-5 840 301

-11 037 979

-11 037 979

Création de l'ANCT - transferts des personnels de l'agence du numérique (hors French tech)

► 112

-1 812 427

- 162 877

-1 975 304

-1 975 304

-1 975 304

Création de l'ANCT - SCSP et ETP de l'EPARECA

► 112

-5 837 301

-5 837 301

-5 837 301

-5 837 301

Déconcentration de la décision de classement des stations de tourisme aux préfectures de département

► 354

-65 570

-30 337

-95 907

-3 000

-3 000

-98 907

-98 907

transfert du bureau des personnels de la poste

► 218

- 291 463

- 122 979

- 414 442

- 414 442

- 414 442

DLF

► 305

- 274 735

-92 472

- 367 207

- 367 207

- 367 207

Transferts SG communs

► 354

-1 601 207

- 743 611

-2 344 818

-2 344 818

-2 344 818



   Transferts en ETPT

Prog
Source
/ Cible

ETPT
ministériels

ETPT
hors État

Transferts entrants

Transferts sortants

-78

-43

Création de l'ANCT - transferts des personnels de l'agence du numérique (hors French tech)

► 112

-28

Création de l'ANCT - SCSP et ETP de l'EPARECA

► 112

-43

Déconcentration de la décision de classement des stations de tourisme aux préfectures de département

► 354

-1

transfert du bureau des personnels de la poste

► 218

-4

DLF

► 305

-5

Transferts SG communs

► 354

-40




Les transferts de crédits de titre 2 correspondent aux transferts d’emplois mentionnés dans le tableau des transferts de la partie « Emplois rémunérés par le programme » ainsi qu’aux transferts de crédits de masse salariale concomitants détaillés dans la rubrique relative aux « Éléments salariaux ».


Les transferts de crédits hors titre 2 correspondent :


  • à un transfert entrant de 115 000 € (en AE et en CP) au titre de la nouvelle mission de régulation de la distribution de la presse confiée à l’ARCEP ;

  • à trois transferts entrants, d'un montant total de 3 533 333 € (en AE et en CP), destinés à unifier la gestion des crédits des pôles de compétitivité en les centralisant sur le programme 134 :

    • 1 910 833 € (en AE et en CP) en provenance du programme 112 « Impulsion et coordination de la politique d’aménagement du territoire » ;

    • 1 025 000 € (en AE et en CP) en provenance du programme 144 « Environnement et prospective de la politique de défense ». Ce transfert sera complété en 2020, 2021 et 2022 par des transferts en gestion ;

    • 597 500 € (en AE et en CP) en provenance du programme 149 « Compétitivité et durabilité de l'agriculture, de l'agroalimentaire, de la forêt, de la pêche et de l'aquaculture » ; ce transfert sera complété par des transferts en gestion en 2020 et en 2021.

  • à un transfert entrant de 80 000 € (en AE et en CP) en provenance du programme 218 « Conduite et pilotage des politiques économiques et financières » au titre du rattachement des crédits de communication du pôle French Tech à la direction générale des entreprises (DGE).

  • à un transfert sortant de 5 837 301 € (en AE et en CP) à destination du programme 112 « Impulsion et coordination de la politique d’aménagement du territoire » au titre du rattachement de l'établissement public national d'aménagement et de restructuration des espaces comerciaux et artisanaux (EPARECA) au sein de l'Agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT) nouvellement créée ;

  • à un transfert sortant de 3 000 € (en AE et en CP) à destination du programme 354 « Administration territoriale de l’État » au titre de la déconcentration de la décision de classement des stations de tourisme aux préfectures de départements.

Le solde des transferts en base pour le programme 134 s’établit donc -2 111 968 € (en AE et en CP) pour les crédits hors titre 2.



   Mesures de périmètre




Emplois et dépenses de personnel


   Emplois rémunérés par le programme

(en ETPT)

Catégorie d'emplois

Plafond
autorisé
pour 2019

Effet des
mesures de
périmètre
pour 2020

Effet des
mesures de
transfert
pour 2020

Effet des
corrections
techniques
pour 2020

Impact des
schémas
d’emplois
pour 2020

dont extension
en année pleine des
schémas d'emplois
2019 sur 2020

dont impact
des schémas
d'emplois
2020 sur 2020

Plafond
demandé
pour 2020

(1)

(2)

(3)

(4)

(5) = 6-1-2-3-4

(6)

Catégorie A+

505

0

-28

+38

-13

-7

-6

502

Catégorie A

2 863

0

-14

-87

+17

+44

-27

2 779

Catégorie B

1 210

0

-16

-9

-69

-30

-39

1 116

Catégorie C

224

0

-20

+59

-50

-39

-11

213

Total

4 802

0

-78

+1

- 115

-32

-83

4 610


Pour 2020, le plafond d’emplois du programme s’élève à 4 610 ETPT, dont 11,06 % de catégorie A+, 60,28 % de catégorie A, 24,42 % de catégorie B et 4,24 % de catégorie C. »


Le plafond d’emplois a été construit en intégrant :

- la suppression de - 83 ETPT correspondant, compte tenu de la quotité de travail des agents et de leur durée de présence sur l’année civile, aux - 155 suppressions en ETP au titre de 2020 ;

- l’extension en année pleine des suppressions figurant dans le PAP 2019, soit - 167 ETP. L'effet année courante 2019 de ces suppressions étant estimé à - 135 ETPT, l'extension année pleine s'établit en prévision à - 32 ETPT. Compte tenu du calendrier budgétaire et des modalités de détermination du plafond d’emplois, il ne tient pas compte de l’éventuelle évolution du schéma d’emplois en cours d’exécution sur 2019 ;

- une correction technique de + 1 ETPT qui correspondent essentiellement aux promotions inter-catégorielles en ETPT, ainsi qu'à un ajustement permettant de prendre en compte dans le calcul du schéma d'emplois 2020 de l'arrondi à une décimale des mois moyens d'entrées/sorties ;

- un solde des transferts de - 78 ETPT.


   Évolution des emplois

(en ETP)

Catégorie d'emplois

Sorties
prévues

dont départs
en retraite

Mois moyen
des sorties

Entrées
prévues

dont primo
recrutements

Mois moyen
des entrées

Schéma
d'emplois du
programme

Catégorie A+

71

21

7,46

53

23

6,79

-18,90

Catégorie A

292

82

6,37

246

100

6,45

-45,50

Catégorie B

104

51

6,12

35

2

6,00

-68,80

Catégorie C

46

13

6,77

24

3

6,73

-21,80

Total

513

167

6,51

358

128

6,47

- 155,00


Le schéma d’emplois se traduit par une diminution de 155 ETP.

Pour l’année 2020, l’évolution des effectifs est retracée (à périmètre constant) dans les tableaux ci-après :


Hypothèses de sorties


(en ETP)

Catégorie A+

Catégorie A

Catégorie B

Catégorie C

Total

Départs en retraite

21

82

51

13

167

Autres départs définitifs

43

144

25

12

224

Autres départs

7,4

65.6

28

21

122

Total des sorties

71,4

291.6

104

46

513


Toutes catégories confondues, 513 départs sont prévus, dont 167 au titre des départs à la retraite et 224 au titre des autres départs définitifs. Ceux-ci correspondent aux radiations des cadres, décès, départs à l’extérieur du ministère d’agents appartenant à une autre  administration, collectivité ou établissement public accueillis au sein du programme, ainsi qu’aux démissions de fonctionnaires et d’agents contractuels et aux fins de contrat.


Les 122 autres départs sont des départs en détachement d’agents du ministère, des départs réalisés dans le cadre d’une mobilité interne au ministère mais impliquant un changement de programme budgétaire, des départs en congé de longue durée (CLD), en congé de formation professionnelle, en congé parental et, enfin, en disponibilité.


Les dates moyennes de sortie sont estimées comme intervenant au mois de juillet pour les agents des catégories A+ et au mois de juin pour les agents des autres catégories.


Hypothèses d’entrées


(en ETP)

Catégorie A+

Catégorie A

Catégorie B

Catégorie C

Total

Primo-recrutements

23

100

2

3

128

Autres entrées

29,5

146,1

33,2

21,2

230

Total des entrées

52,5

246,1

35,2

24,2

358


Toutes catégories confondues, 358 entrées sont prévues, dont 128 primo-recrutements par voie de concours, d’examen ou de contrat de plus d’un an.


Les autres entrées prévues, au nombre de 230, sont constituées des détachements entrants en provenance d’une autre administration, collectivité ou établissement public ou de l’accueil d’agents du ministère dans le cadre d’une mobilité impliquant un changement de programme, des retours de détachements, des réintégrations de CLD, des retours de congé de formation professionnelle, de congé parental et de disponibilité.


Les dates moyennes d’entrée sont estimées comme intervenant au mois de juin pour les agents des catégories A+, A, B et C.


   Effectifs et activités des services

Répartition du plafond d'emplois par service

(en ETPT)

Service
 

LFI 2019

PLF 2020

Administration centrale

1 381

1 287

Services régionaux

1 235

1 159

Opérateurs

28

23

Services à l'étranger

0

0

Services départementaux

1 727

1 703

Autres

431

438

Total

4 802

4 610


La rubrique « Autres » porte sur les effectifs suivants  :

- ceux de l’Autorité de la concurrence (ADLC) ;

- ceux de l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP) ;

- ceux des élèves-ingénieurs de l’école des Mines de Douai ;

- ceux du service à compétence nationale "Service de l’Information stratégique et de la sécurité économique".


Répartition du plafond d'emplois par action

Numéro et intitulé de l'action ou de la sous-action
 

ETPT

04 – Développement des postes, des télécommunications et du numérique

0

07 – Développement international des entreprises et attractivité du territoire

0

08 – Expertise, conseil et inspection

148

13 – Régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP)

176

15 – Mise en oeuvre du droit de la concurrence (Autorité de la concurrence)

199

22 – Contrats à impact social

0

23 – Industrie et services

1 249

24 – Régulation concurrentielle des marchés, protection économique et sécurité du consommateur

2 838

Total

4 610

 

Le programme comprend 4609 ETPT. La répartition par action est détaillée ci-après : »

  • L’action 08 « Expertise, conseil et inspection » comporte 148 ETPT qui correspondent à 3,21 % de l’ensemble des ETPT du programme ;
  • L’action 13 « Régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP) » comporte 176 ETPT qui correspondent à 3,82 % de l’ensemble des ETPT du programme ;
  • L’action 15 « Mise en œuvre du droit de la concurrence (Autorité de la concurrence) » comporte 199 ETPT qui correspondent à 4,32 % de l’ensemble des ETPT du programme ;
  • L’action 23 « Industries et Services » comporte 1 248 ETPT qui correspondent à 27,08 % de l’ensemble des ETPT du programme ;
  • L’action 24 « Régulation concurrentielle des marchés, protection économique et sécurité du consommateur » comporte 2 838 ETPT qui correspondent à 61,58 % de l’ensemble des ETPT du programme.


Recensement du nombre d'apprentis

Nombre d'apprentis pour l'année scolaire 2019-2020 :  16

Le recensement correspond au nombre d’apprentis relevant du T2 du ministère pour le programme donné au titre du recrutement pour l’année scolaire 2019-2020.

 

   Indicateurs de gestion des ressources humaines

Cet indicateur est présenté dans l'indicateur de performance 3.3 du programme 218 "Conduite et pilotage des politiques économiques et financières" de la mission "Gestion des finances publiques et des ressources humaines"

 

   Présentation des crédits par catégorie et contributions employeurs

Catégorie

LFI 2019

PLF 2020

Rémunération d'activité

247 380 824

242 213 079

Cotisations et contributions sociales

140 501 023

139 675 264

Contributions d'équilibre au CAS Pensions :

107 149 257

103 871 496

- Civils (y.c. ATI)

106 652 323

103 438 973

- Militaires

496 934

432 523

- Ouvriers de l'État (subvention d'équilibre au FSPOEIE)

- Autres (Cultes et subvention exceptionnelle au CAS Pensions)

Cotisation employeur au FSPOEIE

Autres cotisations

33 351 766

35 803 768

Prestations sociales et allocations diverses

1 554 060

1 631 127

Total Titre 2 (y.c. Cas pensions)

389 435 907

383 519 470

Total Titre 2 (hors Cas pensions)

282 286 650

279 647 974

FDC et ADP prévus en T2

Il est prévu le versement de 0,59 M€ au titre de l'allocation de retour à l'emploi (ARE) à 32 bénéficiaires.

   Éléments salariaux

(en millions d'euros)

Principaux facteurs d'évolution de la masse salariale hors CAS Pensions

Socle Exécution 2019 retraitée

278,28

Prévision Exécution 2019 hors CAS Pensions

285,20

Impact des mesures de transfert et de périmètre 2019-2020

-2,44

Débasage de dépenses au profil atypique :

-4,48

- GIPA

0,00

- Indemnisation des jours de CET

-0,99

- Mesures de restructurations

-3,06

- Autres

-0,43

Impact du schéma d'emploi

-5,23

EAP schéma d'emplois 2019

-2,17

Schéma d'emplois 2020

-3,06

Mesures catégorielles

1,20

Mesures générales

0,00

Rebasage de la GIPA

0,00

Variation du point de la fonction publique

0,00

Mesures bas salaires

0,00

GVT solde

1,13

GVT positif

5,41

GVT négatif

-4,28

Rebasage de dépenses au profil atypique - hors GIPA

4,24

Indemnisation des jours de CET

1,03

Mesures de restructurations

2,50

Autres

0,72

Autres variations des dépenses de personnel

0,03

Prestations sociales et allocations diverses - catégorie 23

0,02

Autres

0,01

Total

279,65


Les crédits correspondant aux mesures de transfert s’élève à -2,4 M€ en HCAS se décomposent de la façon suivante :


- Transfert entrant en provenance du programme 308 « Protection des droits et libertés » au titre des nouvelles missions qu’exercera l’ARCEP sur la régulation de la distribution de la presse. Le montant du transfert s’élève à 110 000 € ;

- Transfert entrant en provenance du programme 185 « Diplomatie culturelle et d’influence » au titre de la fin des mises à disposition d'Atout France de 12 agents issus de la Direction générale des entreprises. Le montant du transfert s’élève à 1 500 000 € ;

- Transfert sortant à destination du programme 218 « Conduite et pilotage des politiques économiques et financières » au titre de la reprise par le secrétariat général des ministères économiques et financiers des activités liées au bureau des personnels de la poste. Le montant du transfert s’élève à - 291 463 € ;

- Transfert sortant vers le programme 112 « Impulsion et coordination de la politique d’aménagement du territoire », au titre du rattachement de l’agence du numérique à la nouvelle Agence nationale de cohésion des territoires (ANCT). Le montant du transfert s'élève à -1 812 427 € ;

- Transfert sortant à destination du programme 354 « Administration territoriale de l’Etat » au titre de la déconcentration de la décision de classement des stations de tourisme aux préfectures de départements. Le montant du transfert s’élève à - 65 570 € ;

- Transfert sortant à destination du programme 354 « Administration territoriale de l’Etat » au titre de la contribution de la DGCCRF à la création des secrétariats généraux communs. Le montant du transfert s'èleve à -1 601 207 € ;

- Transfert sortant à destination du programme 305 « Stratégie économique et fiscale » au titre du renfort de la Direction législation fiscale. Le montant du transfert s’élève à - 274 735 €.


Un glissement vieillesse technicité (GVT) négatif de - 4,28 M€, hors pensions est prévu au titre de l’économie naturelle due à l’écart de rémunération entre les effectifs sortants et entrants, soit une diminution de 1,53 % de la masse salariale hors CAS Pensions.

Les personnels du programme connaissent une évolution de leur rémunération liée au GVT positif (effet de carrière). Cette évolution du GVT positif, hors pensions, des agents présents a été prévue pour 5,41 M€ représentant 1,93 % de progression de masse salariale hors CAS Pensions.

Le GVT solde ressort ainsi à + 1,13 M€ et +0,40 % de la masse salariale hors CAS Pensions.


Les montants inscrits dans les lignes "Autres" des rubriques "débasage" et "rebasage de dépenses au profil atypique" portent principalement sur des rappels de rémunération sur exercice antérieur (- 0,41 M€ en débasage et 0,48 M€ en rebasage).


Il est prévu de verser au titre de l'indemnité dite de la garantie individuelle de pouvoir d'achat (décret n°2008-539 du 6 juin 2008) un montant de 1 000 € au bénéfice de 2 agents.

Coûts entrée-sortie

Catégorie d'emploi

Coût moyen chargé HCAS

dont rémunérations d'activité

Coût d'entrée

Coût global

Coût de sortie

Coût d'entrée

Coût global

Coût de sortie

Catégorie A+

92 134

102 444

100 930

78 522

90 453

89 008

Catégorie A

50 553

60 647

65 405

42 592

52 982

57 189

Catégorie B

40 995

44 147

48 207

34 510

38 901

42 536

Catégorie C

32 641

34 044

36 172

26 812

29 716

30 964

Les tableaux ci-dessus font état des estimations des coûts moyens d'entrées et de sorties et des coûts moyens globaux en année pleine. Ces coûts s'entendent charges patronales incluses (hors CAS "Pensions") et hors prestations sociales.

Les coûts liés aux rémunérations d'activité s'entendent hors charges patronales incluses (hors CAS "Pensions") et hors prestations sociales.

L'évolution des coûts par rapport au PLF 2019 s'explique par leur actualisation au regard des données constatées sur l'exécution 2018.

Mesures catégorielles

Catégorie ou intitulé de la mesure

ETP
concernés

Catégories

Corps

Date d'entrée
en
vigueur
de la mesure

Nombre
de
mois
d'incidence
sur 2020

Coût 2020

Coût en
année pleine

Mesures statutaires

0

1 203 679

1 203 679

mise en œuvre du protocole PPCR (AC)

80

A et B

attaché et secrétaire administratif

01-2020

12

31 528

31 528

mise en œuvre du protocole PPCR (CGET)

0

01-2020

12

15 791

15 791

mise en œuvre du protocole PPCR (DGCCRF)

1 898

A

inspecteur

01-2020

12

908 362

908 362

mise en œuvre du protocole PPCR (DGCCRF)

100

B

contrôleur

01-2020

12

5 915

5 915

mise en œuvre du protocole PPCR (DGE)

0

01-2020

12

242 083

242 083

Total

1 203 679

1 203 679

L’enveloppe de 1,20 M€ permet le financement de la mise en œuvre du protocole relatif aux parcours professionnels, aux carrières et aux rémunérations et à l'avenir de la fonction publique (protocole "PPCR").




   Action sociale - Hors titre 2

L’action sociale ministérielle (aide aux familles, logement, restauration, secours…) est portée par le Secrétariat général
des ministères économiques et financiers ; les principaux dispositifs, montants et bénéficiaires sont présentés dans la
JPE du programme 218 « Conduite et pilotage des politiques économiques et financières » de la mission « Gestion des
finances publiques et des ressources humaines ».

Coûts synthétiques


   Indicateurs immobiliers


   Ratio d'efficience bureautique


Dépenses pluriannuelles


Grands projets informatiques



   Guichet entreprises

La direction générale des entreprises est chargée de mettre en œuvre le guichet unique électronique prévu par les directives 2006/123/CE du Parlement européen et du Conseil du 12 décembre 2006 relative aux services dans le marché intérieur et 2005/36/CE du Parlement européen et du Conseil du 7 décembre 2005 relative à la reconnaissance des qualifications professionnelles, aujourd’hui transposées en droit français.


Ce guichet unique électronique permet d’accomplir, à distance et par voie électronique, les formalités nécessaires à la création, aux modifications de situation et à la cessation d’activité d’une entreprise, à l’accès  une activité de service ainsi qu’à la reconnaissance, pour l’exercice d’une profession réglementée en France, des qualifications professionnelles acquises dans un autre Etat membre d l’Union européenne ou de l’Espace économique européen. Il rend également possible l’accès, à distance et par voie électronique, à l’information sur ces formalités, procédures et exigences.


Le service « Guichet Entreprises » est, dans sa phase de développement du projet, financé par une contribution de l’Institut national de la propriété industrielle (INPI), rattachée au programme 134 par fonds de concours.

Année de lancement du projet

2015

Financement

Fonds de concours

Zone fonctionnelle principale

Echanges & Relations

Coût et durée du projet

Coût détaillé par nature





(En million d'euros)


2017 et années précédentes en cumul

2018 exécution

2019 prévisions

2020 prévision

2021 et années suivantes en cumul

Total

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

Hors titre 2

11,79

11,27

4,00

4,03

4,00

4,00

2,30

2,30

2,30

2,30

24,39

23,90

Titre 2

2,35

2,35

0,90

0,90

1,00

1,00

1,00

1,00

1,00

1,00

6,25

6,25

Total

14,14

13,62

4,90

4,93

5,00

5,00

3,30

3,30

3,30

3,30

30,64

30,15

Évolution du coût et de la durée


Au lancement

Actualisation

Écarts en %

Coût total en M€

24,18

30,15

24,71

Durée totale en mois

60

60

0,00

L'actualisation du coût est liée à l'intégration du coût des deux années postérieures à la phase de développement du projet que sont 2020 et 2021.

Gains du projet

Marchés de partenariat


Contrats de projets État-Région (CPER)


Génération CPER 2007-2014

Action / Opérateur

CPER 2007-2014
(rappel du montant contractualisé)

AE engagées au 31/12/2019

CP réalisés au 31/12/2019

AE demandées pour 2020

CP demandés pour 2020

CP sur engagements à couvrir après 2020

23- Industrie et services

280 700 000

241 885 750

240 798 109

CPER 2007-2014

280 700 000

241 885 750

240 798 109

Génération CPER 2015-2020

Action / Opérateur

CPER 2015-2020
(rappel du montant contractualisé)

AE engagées au 31/12/2019

CP réalisés au 31/12/2019

AE demandées pour 2020

CP demandés pour 2020

CP sur engagements à couvrir après 2020

CPER 2015-2020


Total des crédits de paiement pour ce programme

CP demandés pour 2020

CP sur engagements à couvrir après 2020


Pour les CPER 2007-2014, de l’ex-action 3 « Actions en faveur des entreprises industrielles », le montant des AE engagées au 31/12/2019 prend en compte les mouvements sur engagements juridiques des années antérieures qui viennent amoindrir les consommations ; les restes à payer ont été soldés en 2018. Les CPER portant sur le développement du tourisme (ex-action 21), ont été soldés en 2015.


Grands projets transversaux



 

Suivi des crédits de paiement associés à la consommation
des autorisations d'engagement (hors Titre 2)


Estimation des restes à payer au 31/12/2019

Engagements sur années antérieures non couverts par des paiements au 31/12/2018 (RAP 2018)


Engagements sur années antérieures non couverts par des paiements au 31/12/2018 y.c. travaux de fin de gestion postérieurs au RAP 2018


AE LFI 2019 + reports 2018 vers 2019 + prévision de FDC et ADP


CP LFI 2019 + reports 2018 vers 2019 + prévision de FDC et ADP


Évaluation des engagements non couverts par des paiements au 31/12/2019

108 368 546


0


525 559 792


541 278 016


92 650 324

Échéancier des cp à ouvrir

AE

CP 2020

CP 2021

CP 2022

CP au-delà 2022

 

Évaluation des engagements non couverts par des paiements au 31/12/2019


CP demandés sur AE antérieures à 2020 CP PLF / CP FDC et ADP


Estimation des CP 2021 sur AE antérieures à 2020


Estimation des CP 2022 sur AE antérieures à 2020


Estimation des CP au-delà de 2022 sur AE antérieures à 2020

92 650 324


81 553 030
0


5 864 778


3 079 510


2 153 006

 

AE nouvelles pour 2020 AE PLF / AE FDC et ADP


CP demandés sur AE nouvelles en 2020 CP PLF / CP FDC et ADP


Estimation des CP 2021 sur AE nouvelles en 2020


Estimation des CP 2022 sur AE nouvelles en 2020


Estimation des CP au-delà de 2022 sur AE nouvelles en 2020

650 383 678
0


582 353 545
0


26 080 385


22 178 083


19 771 665

 

Totaux


663 906 575


31 945 163


25 257 593


21 924 671


Clés d'ouverture des crédits de paiement sur ae 2020



CP 2020 demandés sur AE nouvelles en 2020 / AE 2020


CP 2021 sur AE nouvelles en 2020 / AE 2020


CP 2022 sur AE nouvelles en 2020 / AE 2020


CP au-delà de 2022 sur AE nouvelles en 2020 / AE 2020



89.5%


4%


3.4%


3%

Au 31 décembre 2019, les engagements non couverts par des CP correspondent essentiellement :

- aux actions de politique industrielle et de développement de la compétitivité des PME (notamment actions en faveur du soutien aux filières et aux secteurs industriels et à la gestion du signal hertzien) pour 23 M€,

- au financement des opérations relevant du commissariat aux communications électroniques de défense pour 17 M€,

- à des marchés pluriannuels pour la conduite des enquêtes du tourisme pour 2 M€,

- aux loyers (ARCEP et AC) pour 23 M€,

au fonds d'intervention pour les services, l'artisanat et le commerce (FISAC) pour 12 M€.

Justification par action

ACTION n° 04    16,2%

Développement des postes, des télécommunications et du numérique


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FDC et ADP
attendus

Autorisations d'engagement

0

167 951 802

167 951 802

0

Crédits de paiement

0

167 951 802

167 951 802

0


Cette action, mise en œuvre par la direction générale des entreprises (DGE), a pour objet, d’une part, de favoriser le développement des services de communications électroniques par une politique d’ouverture à la concurrence et à l'innovation, ainsi que par le maintien d'un service public de qualité, et d’autre part, de permettre l’essor des technologies de l’information qui sont au cœur de la croissance et de la compétitivité.


Éléments de la dépense par nature


Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de fonctionnement

47 438 001

47 438 001

Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

7 388 001

7 388 001

Subventions pour charges de service public

40 050 000

40 050 000

Dépenses d’intervention

120 513 801

120 513 801

Transferts aux entreprises

112 013 801

112 013 801

Transferts aux collectivités territoriales

Transferts aux autres collectivités

8 500 000

8 500 000

Total

167 951 802

167 951 802


DEPENSES DE FONCTIONNEMENT


Les dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel sont fixées à 7,39 M€ (en AE et en CP)


Ces crédits correspondent à des actions en faveur du numérique et concernent :

- les marchés de prestations de l’Agence du numérique – pôle en charge de la French Tech : actions de communication et de défense de la marque French Tech, soutien aux actions menées par les communautés et capitales French Tech en France et à l’international, financement de programmes d’accompagnement, d’événements et d’opérations d’influence en faveur des start-ups en France et à l’international, financement d’actions d’attractivité et de rayonnement international (6,69 M€ en AE et en CP) ;

- l’initiative France Num pour la transformation numérique des TPE/PME. Ces crédits permettront d’assurer le financement de la plateforme « francenum.gouv.fr », l’animation du réseau d’experts du numérique sur l’ensemble du territoire national, la communication relative à l’initiative pour toucher la cible de 100 % des TPE/PME d’ici 3 ans, la production de nouveaux contenus de sensibilisation et de formation et la création d’un dispositif de valorisation / de mentorat des TPE/PME championnes de leur transformation numérique (0,7 M€ en AE et en CP).


Les subventions pour charges de service public sont fixées à 40,05 M€ (en AE et en CP)


Ces crédits correspondent à la dotation versée à l’Agence nationale des fréquences (ANFR). Les missions de l’agence sont principalement:

- la planification du spectre hertzien et les négociations internationales ;

- la gestion des fréquences (tenue des bases de données, accord sur l’implantation des émetteurs et délivrance d’une partie des autorisations et de certificats radio, ordonnancement des redevances au profit du budget général) ;

- le contrôle (police du spectre et surveillance du marché).

La subvention pour charges de service public (SCSP) de l’ANFR a été revue à la hausse à compter de 2019 pour tenir compte de la nouvelle mission de gestion du signal horaire dans le cadre d’un marché public passé avec TDF qui lui a été confiée par voie législative (loi portant évolution du logement, de l’aménagement et du numérique, dite « loi ELAN ») au 1er janvier 2019. Cette ouverture de 5 M€ supplémentaires correspond à l’exécution du marché pluriannuel de prestation de diffusion du signal horaire, engagé en 2017 (25 M€).

Le contrat d’objectifs et de performance 2018-2020 a été adopté à l’automne 2018. Il fixe les orientations stratégiques de l’opérateur sur la durée du contrat, dans un contexte de demandes croissantes relatives à l’accès aux fréquences.

L’ANFR fait l’objet d’une présentation plus détaillée dans la partie « Opérateurs » du PAP.


DEPENSES D’INTERVENTION


Les dépenses d’intervention de l’action regroupent les dépenses de transfert aux entreprises et aux autres organismes suivants.


La compensation par l'État des surcoûts de la mission de service public de transport postal de la presse (95,9 M€ en AE et en CP)


Les sujétions particulières supportées par La Poste en raison du régime d'acheminement et de distribution de la presse font l'objet d'une compensation financière de l'État déterminée sur la base d'une évaluation prévisionnelle des volumes transportés, des tarifs existants, de la nature des prestations assurées et des gains de productivité prévus. Le contrat d'entreprise signé entre l'État et La Poste le 1er janvier 2018 fixe le montant de la compensation de l'État sur la période 2018-2020.


Franchise postale (1,48 M€ en AE et en CP)

Ces crédits correspondent aux remboursements à La Poste des courriers des particuliers adressés en franchise postale, conformément à l’article D-73 du code des postes et des communications électroniques (correspondances ordinaires reçues par le président de la République et cécogrammes).


Commissariat aux communications électroniques de défense (14,63 M€ en AE et en CP)

Il s’agit essentiellement de crédits d’intervention permettant au commissariat de financer des opérations réalisées par les opérateurs de communications électroniques dans le secteur des interceptions légales de communications électroniques et services associés, conformément à l’article D.98-7 du code des postes et des communications électroniques, en liaison avec les services du Premier ministre ainsi que les ministères de la justice et de l’intérieur.


Les transferts aux autres collectivités (8,50 M€ en AE et en CP)

Ces crédits recouvrent les subventions versées aux organismes internationaux dans les secteurs des postes et télécommunications. Le programme 134 finance la participation de la France à l’Union internationale des télécommunications (UIT), l’Union postale universelle (UPU), la Conférence européenne des postes et télécommunications (CEPT), le Bureau européen des communications (ECO) et l’Institut européen des normes de télécommunication (ETSI). Il participe au financement de ces instances, dont certaines (l’UIT et l’UPU) relèvent des Nations Unies, selon des modalités de contribution négociées au niveau des États, sur une base annuelle ou pluriannuelle en fonction des organismes.


ACTION n° 07    13,9%

Développement international des entreprises et attractivité du territoire


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FDC et ADP
attendus

Autorisations d'engagement

0

143 795 113

143 795 113

0

Crédits de paiement

0

143 795 113

143 795 113

0


L'action 7 a pour objectifs (1) l’information et le soutien des entreprises françaises, notamment les PME et ETI, afin de favoriser leur internationalisation et leur développement sur les marchés extérieurs, (2) la prospection d’investissements étrangers, (3) la promotion du territoire français auprès des investisseurs internationaux susceptibles de s’y implanter et (4) la mise en œuvre d’une stratégie de communication pour améliorer l’image de la France à l’international.


Cette action finance ainsi l’activité de Business France, qui agit en liaison avec le réseau des services économiques de la DG Trésor, dont les crédits sont portés par le programme 305 « Stratégie économique et fiscale », ainsi que la rémunération de Bpifrance Assurance Export au titre de la gestion pour le compte de l'État des garanties publiques à l’export et, de manière plus marginale, de la Caisse Française de Développement Industriel (CFDI).


Elle finance par ailleurs la participation du ministère de l’économie et des finances aux évènements contribuant au développement de l’économie française à l’international et à l’attractivité de la France.




Éléments de la dépense par nature


Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de fonctionnement

143 795 113

143 795 113

Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

53 675 000

53 675 000

Subventions pour charges de service public

90 120 113

90 120 113

Dépenses d’intervention

Transferts aux entreprises

Total

143 795 113

143 795 113


L’action porte les crédits suivants.


1 - Subvention pour charges de service public allouée à Business France (90,12 M€ en AE et en CP)

Business France participe à la mise en œuvre des politiques publiques en matière de soutien à l’internationalisation de l’économie française par :

  • le développement international des entreprises, en particulier les PME et ETI, implantées en France et de leurs exportations sur les marchés internationaux et notamment ceux des secteurs prioritaires à l’export ;
  • la gestion, la promotion et le développement du volontariat international en entreprises (VIE), contribuant à la formation de jeunes actifs - notamment français - ayant acquis une expérience à l’international ;
  • le développement de projets d’investissements étrangers en France par la détection de projets et la prospection d’investisseurs étrangers industriels et financiers, y compris pour la reprise d’entreprises en difficulté, en concertation avec les territoires, au service du développement économique et de la création et du maintien d’emplois en France ;
  • la promotion de l’image économique de la France et de ses territoires à l’international.

Business France reçoit également une subvention pour charges de service public provenant du programme 112 « Aménagement du territoire », dont le responsable est le Commissaire général à l’égalité des territoires (CGET) ainsi qu'une subvention du ministère de l’agriculture et de l’alimentation au titre de la reprise de certaines activités de la Sopexa et de l’Adepta (opérations BtoB, salons), versée à partir du programme 149 « Compétitivité et durabilité de l’agriculture, de l’agroalimentaire, de la forêt, de la pêche et de l’aquaculture ».


2 - Rémunération de Bpifrance Assurance Export, au titre de ses prestations réalisées pour le compte de l'État, et de la Caisse Française de Développement Industriel (51,25 M€ en AE et CP)

Cette dotation budgétaire correspond essentiellement à la rémunération de Bpifrance Assurance Export au titre de la gestion des garanties publiques à l’export et de projets d’investissement informatique. Elle peut également être mobilisée pour financer certaines dépenses en lien avec le compte de commerce « Soutien financier au commerce extérieur », telle la rémunération de la CFDI pour la gestion des garanties à la construction navale, à hauteur de 0,24 M€, hors provisions pour frais d’études et frais financiers.

Les flux financiers liés aux garanties octroyées sont, pour leur part, retracés sur le compte de commerce « Soutien financier au commerce extérieur ».


3 – Évènements contribuant au développement de l’économie française à l’international et à l’attractivité de la France (2,42 M€ en AE et en CP)

Cette dotation permet de financer l’organisation d’évènements en faveur du développement à l’international des entreprises françaises et de l’attractivité du territoire.

L’Exposition universelle 2020 aura lieu à Dubaï du 20 octobre 2020 au 10 avril 2021 sur le thème « Connecter les Esprits, Construire le Futur ». L’État a, dans ce cadre, confié à la Compagnie française des expositions (COFREX), le mandat d’assurer l’exécution du pavillon et de porter la participation française, sur le fondement de financements provenant d’acteurs publics (20 M€ sur la période 2018-2021) et privés. La participation du ministère de l’économie et des finances s’élève à 6 M€ pour la période 2018-2021, dont 2,1 M€ pour 2020 qui permettront notamment de financer les premiers contrats conclus par la COFREX (communication-marketing, conception-réalisation) ainsi que les dépenses de fonctionnement de la structure.

En outre, 0,3 M€ sont prévus au titre de la participation du ministère de l’économie et des finances à différents évènements concourant au développement à l’international des entreprises françaises et de l’attractivité du territoire.


ACTION n° 08    1,7%

Expertise, conseil et inspection


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FDC et ADP
attendus

Autorisations d'engagement

17 992 668

39 409

18 032 077

0

Crédits de paiement

17 992 668

39 409

18 032 077

0


L'action a pour finalité d'éclairer les décideurs publics au moyen d'avis, de conseils, d'audits et d'inspections. Elle est mise en œuvre par le Conseil général de l'économie (CGE). Cette action porte notamment sur le développement économique et de l'industrie, les technologies de l'information et des communications électroniques, l'énergie, les ressources minières et minérales et l'utilisation du sous-sol.


Éléments de la dépense par nature


Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

17 992 668

17 992 668

Rémunérations d’activité

11 736 058

11 736 058

Cotisations et contributions sociales

6 187 757

6 187 757

Prestations sociales et allocations diverses

68 853

68 853

Dépenses de fonctionnement

39 409

39 409

Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

39 409

39 409

Total

18 032 077

18 032 077


Les dépenses de fonctionnement correspondent à la contribution du CGE au fonds pour l'insertion des personnes handicapées dans la fonction publique (FIPH-FP).


ACTION n° 13    2,0%

Régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP)


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FDC et ADP
attendus

Autorisations d'engagement

16 103 652

4 959 374

21 063 026

0

Crédits de paiement

16 103 652

6 796 927

22 900 579

0


Architecte et gardien des biens communs que constituent les réseaux d’échanges, l’ARCEP intervient afin de favoriser une concurrence équilibrée fondée sur l’innovation et l’investissement des opérateurs dans les réseaux de communications électroniques à très haut débit fixe et mobile, vecteur du développement économique, de la compétitivité du secteur et de l’attractivité des territoires. Elle veille à la fourniture du service universel, accompagne les pouvoirs publics pour étendre la connectivité sur l’ensemble du territoire et protège contre les atteintes possibles à la neutralité de l’internet.


Éléments de la dépense par nature


Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

16 103 652

16 103 652

Rémunérations d’activité

11 534 186

11 534 186

Cotisations et contributions sociales

4 431 956

4 431 956

Prestations sociales et allocations diverses

137 510

137 510

Dépenses de fonctionnement

4 959 374

6 796 927

Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

4 959 374

6 796 927

Total

21 063 026

22 900 579


En 2020, l’ARCEP poursuivra la mise en œuvre des missions essentielles de régulation des communications électroniques et du secteur postal avec le suivi des obligations de couverture fixe et mobile qui s’appuient sur des outils de planification et de cartographie des réseaux.

L’Autorité adoptera notamment des décisions d’analyse de marché qui viendront adapter le cadre en vigueur pour la régulation des marchés fixes.

Dans la continuité de la feuille de route établie par la France, l’Autorité conclura l’attribution des autorisations d’utilisation des fréquences dédiées à la 5G.

Les missions de l’ARCEP concernant l’internet ouvert l’amèneront en outre à poursuivre les analyses thématiques telles que celles de l’ouverture des terminaux et à œuvrer pour l’amélioration des mesures de la qualité de service.

En matière postale, l’Arcep exercera une nouvelle mission de supervision du secteur du colis.

En matière de cybersécurité, l’ARCEP exercera un contrôle sur la mise en œuvre par l’ANSSI de systèmes de détection de cyberattaques au sein des réseaux des opérateurs et des systèmes d’information des hébergeurs.

Enfin, l’ARCEP exercera une nouvelle mission de régulation de la presse confiée par le Gouvernement dans le cadre d’une réforme structurante du secteur qui place, notamment, les notions de neutralité et d’efficacité économique au cœur des objectifs de la régulation.


DEPENSES DE GESTION DU SITE : 0,65 M€ en AE et 2,45 en CP

Ces dépenses correspondent aux charges de fonctionnement et d’entretien des locaux dans lesquels l’ARCEP a emménagé fin 2018. Les CP comprennent également le paiement annuel du loyer, les AE correspondant à ce loyer ayant été engagées en 2018 pour l’intégralité de la durée du bail.


DEPENSES D’ACQUISITION DES CONNAISSANCES : 1,5 M€ en AE et en CP

Les dépenses relatives à l’acquisition des connaissances incluent :

  • les marchés d’expertises et d’études prospectives qui constituent un enjeu stratégique pour le régulateur,
  • des formations permettant d’acquérir et de développer les nouvelles compétences nécessaires à la mise en œuvre de missions en forte évolution : langages de programmation pour l’analyse de données, outils cartographiques, expertise en réseaux et technologies de nouvelles générations, compétences rares en matière de système d’information, gestion de projets complexes ;
  • l’acquisition d’informations professionnelles.

DEPENSES DES SYSTEMES D’INFORMATION : 1,79 M€ en AE et 1,83 M€ en CP

En complément du dispositif de régulation traditionnel, l’Arcep poursuit sa démarche de régulation par la donnée, avec l’ouverture des données (open data) et l’encouragement des acteurs tiers à s’en saisir pour ajouter de la valeur, et élargir la communication au grand public.

Les sites et outils de cartographie fixe et mobile, les observatoires évolués et enrichis (respect des obligations de couverture, rapport sur l’effort d’investissement des opérateurs mobiles, observatoire haut débit/ très haut débit) publiés par l’ARCEP fournissent une information détaillée et adaptée sur la qualité de service offerte afin qu’elle devienne un véritable critère de choix des utilisateurs et qu’elle stimule le marché. En parallèle, l’ARCEP continue à moderniser et sécuriser ses systèmes d’information, et à mutualiser avec les autres affectataires les développements liés aux processus de gestion des fréquences (Fichier National des Fréquences de l’ANFR).

Enfin l’ARCEP mettra en œuvre un dispositif d’enchères dématérialisées dans la perspective d’attribution des fréquences 5G, après l’ouverture d’un guichet en ligne pour la réception des demandes d’utilisation de fréquences à des fins d’établissement de réseaux professionnels en bande 2,6 GHz TDD.


DEPENSES D’ORGANISATION DU DEBAT PUBLIC-CONCERTATION ET DE GROUPES DE TRAVAIL EUROPEENS - PROSPECTIVE : 0,6 M€  en AE et en CP

La transposition du code européen des communications électroniques impliquera la régulation des nouveaux acteurs que sont les services de messagerie numériques (OTT) et nécessitera une coordination renforcée des différents régulateurs. L’implication de l’ARCEP restera dense avec la préparation de lignes directrices portant sur le cœur des compétences de régulation (méthode de mesure de la couverture et de la qualité, itinérance, internet ouvert etc.).

A l’international, après avoir présidé le réseau francophone de la régulation des télécommunications (FRATEL) en 2019, l’ARCEP restera mobilisée en 2020 en assurant la vice-présidence.


DEPENSES DE FONCTIONNEMENT COURANT / D’ACTIONS SOCIALES ET PREVENTION : 0,42 M€  en AE et en CP

Ces dépenses regroupent les matériels et  fournitures de bureaux, les frais de correspondance et les prestations d’action sociale et contribuant à la qualité de vie au travail.


ACTION n° 15    2,1%

Mise en oeuvre du droit de la concurrence (Autorité de la concurrence)


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FDC et ADP
attendus

Autorisations d'engagement

17 755 972

4 000 000

21 755 972

0

Crédits de paiement

17 755 972

5 300 000

23 055 972

0


L'Autorité de la concurrence est une autorité administrative indépendante spécialisée dans le contrôle des pratiques anticoncurrentielles, l'expertise du fonctionnement des marchés et le contrôle des opérations de concertation. Elle a pour objectif de veiller au libre jeu de la concurrence et d'apporter son concours au fonctionnement concurrentiel des marchés aux échelons européen et international.

Au terme de la loi du 6 août 2015 pour la croissance, l'activité et l'égalité des chances économiques, elle est également compétente en matière de régulation de certaines professions du droit (avis sur la fixation des tarifs, établissement d'une cartographie des implantations).


Éléments de la dépense par nature


Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

17 755 972

17 755 972

Rémunérations d’activité

12 076 984

12 076 984

Cotisations et contributions sociales

5 544 373

5 544 373

Prestations sociales et allocations diverses

134 615

134 615

Dépenses de fonctionnement

3 700 000

5 000 000

Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

3 700 000

5 000 000

Dépenses d’investissement

300 000

300 000

Dépenses pour immobilisations corporelles de l’État

Dépenses pour immobilisations incorporelles de l’État

300 000

300 000

Total

21 755 972

23 055 972


DEPENSES DE FONCTIONNEMENT


Dépenses immobilières (1, 20 M€ en AE et  2,50 M€ en CP)

L’Autorité de la concurrence est implantée à Paris sur trois sites géographiquement proches : deux immeubles locatifs (rue de l’Échelle et place de Valois) dont les baux sont fermes jusqu’en 2024 et dont les loyers 2020 sont évalués à 1,82 M€ et un immeuble domanial (avenue de l’Opéra).

Ce poste comprend également les charges courantes telles que les dépenses de nettoyage, de gardiennage, de maintenance, d’énergie, d’eau et de travaux d’entretien et d’aménagement des espaces évaluées à 0,6 M€ pour les trois sites.


Dépenses d’expertise, de conseil, de communication, de documentation  (0,85 M€ en AE et en CP)

Ces dépenses correspondent principalement à des prestations intellectuelles directement liées à l’activité, notamment les honoraires d’avocats et les frais d’expertises économiques et juridiques nécessaires à l’instruction des dossiers et à la sécurisation des procédures (0,17 M€). Les dépenses de communication (0,42 M€) regroupent, outre les supports de communication tels que le rapport annuel d’activité, les frais de traduction, les dépenses liées aux colloques et séminaires à destination de publics divers (entreprises, juristes et économistes principalement) ainsi que les dépenses d’hébergement et de développement du site institutionnel.

Elles incluent également des dépenses de documentation (abonnements papier et électronique à dominante économique et juridique)  pour 0,26 M€.


Dépenses d’informatique et de téléphonie (0,70 M€ en AE et en CP)

Elles regroupent l’achat et la maintenance des applications, des matériels, des logiciels et les dépenses de téléphonie. Pour 2019, il est prévu de poursuivre la modernisation des équipements d’informatique légale pour les saisies informatiques  et d’acquérir des équipements informatiques destinés au télétravail.


Dépenses liées aux déplacements (0,30 M€ en AE et en CP)  

 Les frais de déplacement (transport, hébergement et indemnités) sont liés à l’activité nationale, communautaire et internationale de l’Autorité, notamment à la réalisation d’enquêtes et d’opérations de visites et saisies sur l’ensemble du territoire national, et qui sont en forte progression.


Dépenses de fournitures et de prestations générales (0, 20 M€ en AE et en CP) 

Ce poste regroupe les dépenses de fonctionnement courant (achats de mobilier, de fournitures, et de matériels), les prestations de service externalisées (frais de correspondance, travaux d’impression).


Dépenses liées à l’activité du service des ressources humaines  (0,45 M€ en AE et en CP)

Ce poste comprend les dépenses de formation des agents (0,09 M€), la gratification des stagiaires (0,09 M€), les mises à disposition (0,15 M€), l’action sociale et la santé au travail (0,06 M€), la contribution au FIPHFP (0,04 M€), le  financement de la maintenance du logiciel de gestion des ressources humaines ainsi que la communication des offres d’emploi sur les réseaux sociaux (0,03M€).


DEPENSES D'INVESTISSEMENT


Les dépenses d’investissement programmées (0,30 M€ en AE et en CP) correspondent à :

  • des développements de l’application métier «Pégase» axés sur l’évolution du socle technique et le développement de prestations de support de stockage dans le prolongement du développement et de l’installation d’une solution d’archivage électronique en 2019 (0,12 M€) ;
  • des développements de la plateforme d’échange documentaire avec les Conseils pour 0,18 M€ (création de la brique du socle applicatif en parallèle d’éléments d’infrastructure).


ACTION n° 22    0,0%

Contrats à impact social


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FDC et ADP
attendus

Autorisations d'engagement

0

30 000

30 000

0

Crédits de paiement

0

34 377

34 377

0


L’investissement à impact social (IIS) est une pratique consistant, pour des investisseurs, à combiner la recherche d’un retour, positif ou nul, sur investissement et la recherche d’un impact social, à la fois significatif et mesurable, pour le projet ou l’entreprise investie.

 


Éléments de la dépense par nature


Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses d’intervention

30 000

34 377

Transferts aux autres collectivités

30 000

34 377

Total

30 000

34 377


Les autorisations d’engagement pour 2020 (30 000 €) correspondent au financement de l’évaluation quantitative des résultats produits par les premiers contrats à impact social (CIS).

 

Le besoin en crédits de paiement pour 2020 (34 377 €) correspond au paiement des 30 000 € engagés en faveur de l'évaluation statistique de ces premiers CIS et à la participation du ministère de l’économie et des finances à l’exécution budgétaire de deux des quatre CIS engagés en 2018 (« La Cravate Solidaire » et « Article1 »).

 

 


ACTION n° 23    42,1%

Industrie et services


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FDC et ADP
attendus

Autorisations d'engagement

118 816 303

316 441 972

435 258 275

0

Crédits de paiement

118 816 303

326 116 360

444 932 663

0


Cette action, mise en œuvre par la direction générale des entreprises (DGE) et ses services déconcentrés (DIRECCTE et DIECCTE), vise à améliorer la compétitivité de l’industrie française en agissant sur son environnement économique, réglementaire et financier, en proposant un accompagnement collectif sur des priorités stratégiques, ainsi qu’en anticipant et accompagnant les mutations économiques des entreprises industrielles et des territoires. Les interventions prioritaires portent sur les facteurs de compétitivité des entreprises, tels que l’innovation, les stratégies immatérielles (marques, brevets, qualité, normes, outils de création industrielle, techniques d’intelligence économique…), l’accès aux technologies de l’information et de la communication et à leurs usages, et le développement international.


Éléments de la dépense par nature


Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

118 816 303

118 816 303

Rémunérations d’activité

75 143 003

75 143 003

Cotisations et contributions sociales

43 029 102

43 029 102

Prestations sociales et allocations diverses

644 198

644 198

Dépenses de fonctionnement

5 486 990

6 400 227

Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

5 486 990

6 400 227

Subventions pour charges de service public

Dépenses d’intervention

310 954 982

319 716 133

Transferts aux entreprises

284 412 262

292 868 929

Transferts aux autres collectivités

26 542 720

26 847 204

Total

435 258 275

444 932 663


DEPENSES DE FONCTIONNEMENT

 

Les dépenses de fonctionnement autres que de personnel (5,49 M€ en AE et 6,40 M€ en CP) recouvrent les dotations suivantes :

 

Etudes et statistiques (1,48 M€ en AE et 2,60 M€ en CP)

Ces crédits financent des études sur des thématiques stratégiques d’actualité ainsi que des travaux à caractère prospectif menés dans le cadre du pôle interministériel de prospective et d’anticipation des mutations économiques (PIPAME). Ces études, réalisées dans le cadre de marchés publics, orientent les actions de l’État en faveur de la compétitivité des entreprises. Ces crédits financent également des analyses de filières ou des expertises technico-économiques, ainsi que des diagnostics d’entreprises, au niveau régional dans le cadre d’un marché spécifique utilisé par les DIRECCTE (pour les commissaires au redressement productif notamment). Enfin, ces crédits financent l’abonnement à des bases de données économiques.

 

Soutien aux filières industrielles et de services - Service à la personne (0,80 M€ en AE et en CP)

Ces crédits financent le marché de prestations du système d’information NOVA relatif au traitement par les DIRECCTE des demandes d’agrément et de déclaration d’entreprises et d’associations de services à la personne et à la gestion de la base de données correspondante.

 

Soutien aux filières industrielles et de services – Tourisme (0,44 M€ en AE et 0,24 M€ en CP)

Ces crédits concernent des marchés de prestations relatifs notamment :

- à la plateforme d’intelligence économique « Veilleinfotourisme.fr », qui permet de mettre à disposition des acteurs du tourisme, l’ensemble des informations stratégiques sur le tourisme et

- à la plateforme « datatourisme.gouv.fr », dispositif de collecte, d’uniformisation et de diffusion en open data des données touristiques produites et diffusées par les acteurs institutionnels de tourisme.

 

Surveillance des marchés (0,70 M€ en AE et en CP)

Ces crédits permettent de financer les contrôles et essais pratiqués, pour les services de la DGCCRF et de la DGDDI, sur les produits entrant sur le marché de l’Union européenne aux frontières françaises ou commercialisés sur le marché intérieur européen. Ils permettent de lutter contre la concurrence déloyale, la non-application des réglementations européennes et de proposer des produits sûrs aux consommateurs français.

 

Autres dépenses de fonctionnement (2,06 M€ en AE et en CP)

Ces crédits correspondent à l’exercice des missions de politique publique de la DGE :

a) le remboursement des personnels mis à disposition

Ces crédits permettent le remboursement des rémunérations des agents mis à disposition auprès de la DGE par des personnes morales autres que l’État (notamment le CEA) sur des emplois à profil très technique, pour lesquels le ministère ne dispose pas des ressources internes requises.

b) les crédits de fonctionnement du réseau déconcentré des DIRECCTE (pôles développement économique)

Les dépenses de fonctionnement des agents relevant du réseau de la DGE incluent les crédits de fonctionnement mutualisés des DIRECCTE tels que des dépenses en matière de prestations informatiques, de formations, etc.

c) les crédits de communication

Ces crédits sont destinés à financer des dépenses d’organisation de manifestations (colloques, rencontres nationales) ou de subventions d’événements, pour l’accompagnement des politiques publiques et plus prioritairement, celles décidées par les ministres (industrie, innovation, compétitivité, économie numérique, nouvelles technologies, tourisme, commerce, services, artisanat). Ces dépenses comprennent également les dépenses de maintenance et d’hébergement de l’intranet de la DGE.

 

DEPENSES D’INTERVENTION

 

Les dépenses d’intervention de l’action regroupent les dépenses de transfert aux entreprises et aux autres organismes suivants :

 

Fonds d’intervention pour les services, l’artisanat et le commerce (2,8 M€ en CP)

Le FISAC a été mis en gestion extinctive depuis 2019. Sont prévus en 2020 les CP destinés à assurer les paiements d’opérations territoriales ayant fait l’objet de décisions d’octroi de subventions au cours des années passées.

 

Actions de soutien à la gouvernance des pôles de compétitivité (13,92 M€ en AE et 16,06 M€ en CP)

Ces crédits sont destinés à l’animation et la gouvernance des pôles de compétitivité. Ceux-ci regroupent, dans une démarche partenariale, entreprises, centres de formation et organismes de recherche, sur des projets communs et innovants relevant d’une stratégie commune, avec l’objectif d’atteindre une taille critique suffisante pour acquérir une visibilité internationale, ainsi que des positions clés sur les marchés concernés. Les pôles de compétitivité de la phase IV (2019-2022) ont été sélectionnés par appel à candidatures, ouvert le 27 juillet 2018, selon des critères visant à conforter la lisibilité du label et identifier les pôles aptes à porter une ambition européenne, tout en préservant les acquis de « l'usine à projets » et de « l'usine à produits » issus des phases précédentes.

 

La phase IV s’appuie sur les quatre orientations suivantes.

(i) - Se doter d'une ambition européenne, en confiant aux pôles l’objectif de faire émerger davantage de projets collaboratifs européens, notamment dans les appels à projets d’Horizon 2020 (puis Horizon Europe). L’accession des écosystèmes français à une dimension européenne est aujourd’hui la condition de leur rayonnement international.

(ii) -  Améliorer la lisibilité du label « pôle de compétitivité », en sélectionnant les pôles sur la base d’objectifs mieux définis et de critères plus exigeants, et en renforçant leur cohérence avec les autres écosystèmes innovants (comme les Instituts de Recherche Technologique) ou avec les comités stratégiques de filières du conseil national de l'industrie (CSF).

(iii) -  Simplifier les modalités de financement des projets collaboratifs en constituant, au sein du programme d’investissements d’avenir (PIA), une unique enveloppe dédiée aux projets collaboratifs, quel que soit leur montant. Une procédure spécifique permettant le cofinancement par les Régions sera maintenue pour les projets qui en bénéficient actuellement.

(iv) - Faire évoluer le financement par l’État du fonctionnement des pôles, en le liant aux résultats des actions de chaque pôle, notamment en matière européenne.

 

L’État contribue, sur le programme 134, au financement du fonctionnement des structures de gouvernance des pôles, et il cofinance avec les régions, les projets labellisés par ces pôles. Le soutien de l’État au fonctionnement de la gouvernance des pôles, se décompose, d'une part en une dotation "socle" et,  d'autre part,  en une partie variable (à partir de 2020), fonction des résultats individuels de chaque pôle obtenus sur les années précédant la phase IV au regard des objectifs fixés.

 

A l’issue de la sélection, le label « pôle de compétitivité » a été attribué à l’ensemble des candidats dans les conditions suivantes :

- 48 pôles ont été labellisés pour une durée de 4 ans (2019-2022);

- 8 pôles ont été labellisés pour un an et seront prolongés sur les 3 années restantes, sous conditions.

 

Les centres techniques industriels et organismes assimilés (7,85 M€ en AE et en CP)

Les centres techniques et organismes assimilés sont financés essentiellement par des taxes affectées (plafonnées à 139,4 M€ en 2020). Certains continuent toutefois à être financés par des dotations budgétaires. Les subventions attribuées aux centres techniques industriels (CTI) et aux organismes assimilés leur permettent de mettre en œuvre, au profit de l’ensemble des entreprises de leur ressort et principalement des PME, des actions de promotion de l’industrie, de contribuer à l’évolution des structures productives et à la diffusion des progrès techniques, de favoriser l’adaptation des entreprises aux besoins du marché, d’encourager les progrès de la normalisation et de la qualité des produits dans leurs domaines de compétences.

Les organismes bénéficiant d’une subvention sont l’Institut français du textile habillement (IFTH), l’Institut français de la mode (IFM), le Centre technique de la teinture et du nettoyage (CTTN), l’Institut technologique Forêt-Cellulose-Bois-Construction-Ameublement (FCBA). En cohérence avec les recommandations du rapport Cattelot-Grandjean-Tolo, rendu en juin 2019, sur l’industrie du futur et les missions et le financement des CTI et CPDE, une harmonisation progressive des modes de financement sera recherchée, à travers un abandon des dotations budgétaires à compter de 2021 et un financement exclusivement sur la base d’une ressource affectée.

 

Contributions aux organismes internationaux (2,68 M€ en AE et en CP)

Des contributions sont versées aux organismes internationaux suivants auxquels la France adhère en qualité de pays-membre de l’UE ou de l’OCDE : le Comité européen de normalisation (CEN), l’organisation internationale de normalisation (ISO), le comité européen de normalisation dans le domaine de l’électricité (CENELEC), la Commission électrotechnique internationale (CEI), le Bureau international des poids et mesures (BIPM), l’Office international de métrologie légale (OIML), la Coopération européenne en métrologie légale (WELMEC), l’Institut international du froid, le programme européen Eurêka, le Comité de l'acier de l'OCDE et la Commission séricicole internationale (CSI).

 

Association française de normalisation - AFNOR (6,43 M€ en AE et en CP)

La normalisation (au sens de l’élaboration des normes volontaires) constitue un facteur important de compétitivité pour les entreprises. Par l’homogénéisation des spécifications des produits et services, elle leur permet l’accès à l’ensemble des marchés mondiaux. Elle constitue également un moyen d’accroître fortement l’impact économique d’une innovation ou d’un titre de propriété industrielle.

La subvention de l’État est versée au titre de la mission d’intérêt général de pilotage et de coordination du système français de normalisation prévue par le décret n° 2009-697 du 16 juin 2009. L’AFNOR, association régie par la loi de 1901 et reconnue d'utilité publique, est l’unique représentant français au sein des organisations de normalisation non gouvernementales européennes (CEN et CENELEC) et internationales (ISO et IEC).

Les pouvoirs publics interviennent en matière de normalisation :

- comme acteurs du système de normalisation et utilisateurs des normes,

- comme régulateurs de ce système aux niveaux national et communautaire

- et en assurant la tutelle de l’Association française de normalisation (AFNOR).

 

Comité français d’accréditation (0,18 M€ en AE et en CP)

Le décret n°2008-1401 du 19 décembre 2008 désigne le Comité français d’accréditation (COFRAC) comme l’organisme unique d’accréditation français. Le COFRAC est une association loi 1901 dont l’activité est reconnue comme mission d’intérêt général. L’État s’appuie de plus en plus sur l’accréditation pour garantir la compétence technique et l’impartialité des organismes d’évaluation de la conformité, qui vérifient que des produits, services, systèmes, installations et personnes répondent à des exigences spécifiées. Par ailleurs, le COFRAC est signataire d’accords multilatéraux, faisant bénéficier l’accréditation française d’une reconnaissance dans plus de 80 pays et favorisant ainsi la libre circulation des produits et services. Même si l’accréditation est une activité qui s’autofinance, l’État soutient financièrement le COFRAC pour sa participation aux instances européennes et internationales de coordination de l’accréditation, les travaux de normalisation européens et internationaux et les actions de promotion de l’accréditation.

 

Soutien aux filières industrielles et de services - actions collectives en centrale et en faveur du tourisme (0,39 M€ en AE et 4,21 M€ en CP)

Ces crédits d’intervention permettent  :

- de mettre en œuvre des actions essentiellement concentrées sur le tourisme social (0,39 M€ en AE et 0,21 M€ en CP) ;

- de couvrir les restes à payer sur les engagements antérieurs au 31 décembre 2018 relatifs aux actions collectives mises en gestion extinctive depuis 2019 (4 M€ en CP).

 

Compensation carbone des sites électro-intensifs exposés à la concurrence internationale (279,5 M€ en AE et en CP)

La « compensation carbone » est un dispositif en faveur des entreprises électro-intensives (sidérurgie, papier/carton, chimie, etc.) exposées à un risque significatif de délocalisation en raison des coûts du système d’échange de quotas d’émission de gaz à effet de serre répercutés sur les prix de l’électricité. En pratique, il consiste à compenser en partie le coût du carbone inclus dans le prix de l’électricité. L’aide est actuellement prévue jusqu’en 2021 (au titre des coûts 2020).

Le dispositif, notifié et validé par la Commission européenne est régi par l’article L. 122-8 du code de l’énergie, et le décret n° 2016-1095 du 11 août 2016. Seront compensés en 2020, les coûts indirects supportés au cours de l’année 2019, à hauteur de 75 % (conformément à la limite communautaire), et en prenant en compte la moyenne observée en 2018 du prix à terme du quota carbone pour décembre 2019. 

 

DEPENSES FISCALES

 

Taux de TVA de 10 % applicable à la restauration

La TVA est perçue depuis le 1er janvier 2014 au taux réduit de 10 % sur les ventes à consommer sur place, à l’exception des ventes de boissons alcoolisées. Ce taux réduit de TVA a pour objectif de favoriser la consommation et l’emploi dans le secteur de la restauration. Le coût de cette mesure est évalué à 3,062 Mds€ en 2020 (dépense fiscale 730221). En 2019, cette mesure continue de faire partie des 10 dépenses fiscales les plus importantes

 

Taux de TVA de 10 % applicable à la fourniture de logements dans les hôtels

Conformément à l’article 279 du code général des impôts (CGI), la TVA est perçue au taux réduit de 10 % depuis le 1er janvier 2014 sur les fournitures de logements et aux trois quarts du prix de pension ou de demi-pension dans les établissements d’hébergement. Ce taux s’applique aux locations meublées dans les mêmes conditions que pour les établissements d’hébergement. La comparaison des taux de TVA dans l’Union européenne montre que l’hôtellerie y bénéfice dans plusieurs États-membres d’un taux réduit. La mesure a bénéficié à 35 000 entreprises en 2018 et son coût est évalué à 780 M€ en 2020 (dépense fiscale 730205).

 

Taux de TVA de 10 % applicable à la fourniture de logements dans les terrains de camping classés

Conformément à l’article 279 du CGI, la TVA est perçue au taux réduit de 10 % depuis le 1er janvier 2014 sur les fournitures de logements dans les terrains de camping classés. La mesure a bénéficié à 8 000 entreprises au total en 2018 et son coût est évalué à 219 M€ en 2020 (dépense fiscale 730206).

 

Exonération de la contribution patronale et de la participation financière du comité d’entreprise et des organismes à caractère social au financement des chèques vacances

Le montant de la contribution employeur est régi par les articles L411-11 et D411-6-1 du code du tourisme. Il est modulé en fonction des revenus et de la situation familiale du salarié. Le 19° bis de l’article 81 du CGI exonère d’impôt sur le revenu l’avantage résultant pour le bénéficiaire de la contribution de l’employeur ou du comité d’entreprise à l’acquisition de chèques-vacances. L’aide publique aux vacances vise deux objectifs :

- un objectif social en permettant à tous les publics de partir en vacances ;

- un objectif économique en promouvant une politique sociale du tourisme et en développant l’activité touristique via un partenariat entre l’Agence nationale pour les chèques-vacances (ANCV) et les professionnels du tourisme, des loisirs et de la culture. L’ANCV dispose du monopole de l’émission des chèques. La mesure a bénéficié à plus de 4,5 millions de ménages en 2018 et son coût est évalué à 70 M€ en 2020 (dépense fiscale 120112).


ACTION n° 24    21,9%

Régulation concurrentielle des marchés, protection économique et sécurité du consommateur


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FDC et ADP
attendus

Autorisations d'engagement

212 850 875

13 166 008

226 016 883

0

Crédits de paiement

212 850 875

13 872 587

226 723 462

0


L'activité de la DGCCRF est regroupée dans l'action 24 « Régulation concurrentielle des marchés, protection économique et sécurité du consommateur » qui a pour finalité de déterminer et de faire respecter :

  • les règles de concurrence, afin de favoriser le développement d’un marché ouvert et loyal

A ce titre, l’action de la DGCCRF recouvre la lutte contre les pratiques anticoncurrentielles d'entreprises (ententes, abus de position dominante) et contre les pratiques restrictives de concurrence entre professionnels (pratiques abusives entre distributeurs et fournisseurs,….), le contrôle du respect des règles de concurrence dans les marchés publics, et la contribution aux travaux de l'observatoire des prix et des marges, destinée à mesurer l'évolution du prix à la consommation et à analyser les écarts entre prix d'achat et prix de vente.

Cette action est mise en œuvre par les agents spécialisés des DIRECCTE, ainsi que par la veille concurrentielle effectuée par les agents CCRF des directions départementales chargées de la protection des populations.

 

  • les règles relatives à l’information des consommateurs et à la loyauté des pratiques commerciales vis-à-vis de ces derniers

Elles visent à donner l'assurance d’une information claire et loyale au consommateur dans son acte d'achat. La DGCCRF détecte et sanctionne les pratiques préjudiciables aux consommateurs (publicités mensongères, faux rabais, abus de faiblesse...) et vérifie la bonne application des règles de publicité des prix. Elle veille également à la bonne utilisation des signes de valorisation des produits.  

Les contrôles de la DGCCRF, mis en œuvre par les directions départementales chargées de la protection des populations et par le service national d’enquêtes (SNE), couvrent tous les champs de consommation (produits alimentaires et non-alimentaires, services) et tous les stades de l’activité économique (production, importation, gros, distribution, commerce électronique).

 

  • les règles de sécurité relatives à des produits alimentaires ou non alimentaires, ou à des prestations de service nécessitant des précautions particulières

La sécurité recouvre la sécurité physique et la santé des consommateurs. Pour garantir la sécurité du consommateur, la DGCCRF élabore et met en œuvre des plans de surveillance ainsi que des programmes de contrôle depuis la production jusqu'à la distribution et procède à des prélèvements pour analyses en laboratoire. Les actions de contrôle sont conduites dans les domaines à risque comme les résidus de pesticides (dans les aliments d’origine végétale), les produits industriels de grande consommation ainsi que les activités sportives et de loisirs. Par ailleurs et en application de la réglementation européenne, la DGCCRF reçoit les signalements obligatoires de produits dangereux par les professionnels. Elle participe, via son unité d’alerte, aux réseaux d’alerte européens RAPEX (pour les produits industriels) et RASFF (pour les produits alimentaires).


Éléments de la dépense par nature


Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

212 850 875

212 850 875

Rémunérations d’activité

131 722 848

131 722 848

Cotisations et contributions sociales

80 482 076

80 482 076

Prestations sociales et allocations diverses

645 951

645 951

Dépenses de fonctionnement

6 719 284

7 426 467

Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

6 719 284

7 426 467

Dépenses d’intervention

6 446 724

6 446 120

Transferts aux autres collectivités

6 446 724

6 446 120

Total

226 016 883

226 723 462


DEPENSES DE FONCTIONNEMENT

Ces crédits concourent à la mise en œuvre par la DGCCRF de ses missions en matière de régulation concurrentielle des marchés, de protection économique et de sécurité du consommateur. Ils concernent le fonctionnement de ses services à compétence nationale (service national d’enquêtes, école nationale et service informatique), ainsi que certains frais de déplacement et les dépenses métiers des agents affectés dans les services régionaux et départementaux.


Pour mémoire, les crédits correspondant aux dépenses immobilières et aux moyens de fonctionnement courant des agents affectés aux missions de la DGCCRF au sein des DIRECCTE et des DD(CS)PP sont retracés  respectivement sur les programmes 155 « Conception, gestion et évolution des politiques de l’emploi et du travail » porté par le ministère du travail, de l’emploi, et du dialogue social et 333 « Moyens mutualisés des administrations déconcentrées » porté par les services du Premier ministre.


DEPENSES D'INTERVENTION

L’action n° 24 comporte des dépenses d’intervention en faveur de l’Institut national de la consommation (INC), des associations de consommateurs, du Centre européen des consommateurs français et du Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (CREDOC).


Synthèse des opérateurs du programme

Récapitulation des crédits alloués aux opérateurs de l'État


(en milliers d'euros)

 

LFI 2019

PLF 2020

Opérateur ou Subvention

Autorisations
d’engagement
 

Crédits
de paiement

Autorisations
d’engagement

Crédits
de paiement

ANFr - Agence nationale des fréquences (P134)

34 950

39 930

40 050

40 050

Subvention pour charges de service public

34 950

39 930

40 050

40 050

INPI - Institut national de la propriété industrielle (P134)

0

0

0

0

Business France (P134)

92 759

92 759

90 120

90 120

Subvention pour charges de service public

92 759

92 759

90 120

90 120

Total

127 709

132 689

130 170

130 170

Total des subventions pour charges de service public

127 709

132 689

130 170

130 170

Total des dotations en fonds propres

0

0

0

0

Total des transferts

0

0

0

0



Consolidation des emplois


   Emplois des opérateurs

 

LFI 2019

PLF 2020

Intitulé de l'opérateur

ETPT rémunérés
par d’autres
programmes
(1)

ETPT rémunérés
par ce
programme
(1)

ETPT rémunérés
par les opérateurs

ETPT rémunérés
par d’autres
programmes
(1)

ETPT rémunérés
par ce
programme
(1)

ETPT rémunérés
par les opérateurs

sous
plafond

hors
plafond

dont
contrats
aidés

dont
apprentis

sous
plafond

hors
plafond

dont
contrats
aidés

dont
apprentis

ANFr - Agence nationale des fréquences

299

3

297

3

3

INPI - Institut national de la propriété industrielle

728

726

Business France

1 493

1 473

Total

2 520

3

2 496

3

3


(1) Emplois des opérateurs inclus dans le plafond d'emplois du ministère



   Plafond des autorisations d'emplois des opérateurs du programme


ETPT

Emplois sous plafond 2019

2 520

Extension en année pleine du schéma d'emplois de la LFI 2019

Impact du schéma d'emplois 2020

-22

Solde des transferts T2/T3

Solde des transferts internes

Solde des mesures de périmètre

-43

Corrections techniques

-2

Abattements techniques

Emplois sous plafond PLF 2020

2 496

Rappel du schéma d’emplois 2020 en ETP

-22