$@FwLOVariable(annee,2020)

$@FwLOVariable(numProg,215)

$@FwLOVariable(libelleProg,Conduite et pilotage des politiques de l'agriculture)

$@FwLOVariable(enteteSousTitre,Justification au premier euro)

$@FwLOStyle(styleB3Programme, non)

Justification au premier euro


Éléments transversaux au programme

 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

Numéro et intitulé de l'action
ou de la sous-action

Titre 2
Dépenses
de personnel

Autres titres

Total

Titre 2
Dépenses
de personnel

Autres titres

Total

01 – Moyens de l'administration centrale

176 405 717

20 038 832

196 444 549

176 405 717

24 503 610

200 909 327

02 – Évaluation de l'impact des politiques publiques et information économique

12 649 427

11 151 664

23 801 091

12 649 427

11 151 664

23 801 091

03 – Moyens des directions régionales de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt, des directions de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt et directions départementales des territoires (et de la mer)

318 621 019

7 815 156

326 436 175

318 621 019

7 815 156

326 436 175

04 – Moyens communs

36 428 509

31 201 142

67 629 651

36 428 509

31 805 864

68 234 373

Total

544 104 672

70 206 794

614 311 466

544 104 672

75 276 294

619 380 966



Éléments de synthèse du programme



Évolution du périmètre du programme


   Transferts en crédits

Prog
Source
/ Cible

T2
Hors Cas
pensions

T2
CAS
pensions

Total T2

AE
Hors T2

CP
Hors T2

Total AE

Total CP

Transferts entrants

Transferts sortants

-6 473 839

-3 046 351

-9 520 190

-2 710 000

-2 710 000

-12 230 190

-12 230 190

De la DGPE (Service compétitivité et performance) vers l'INAO

► 149

-42 743

-18 319

-61 062

-61 062

-61 062

Transferts SG communs

► 354

-6 228 811

-2 928 063

-9 156 874

-9 156 874

-9 156 874

Extension des services facturiers - Ministère de l'Agriculture

► 156

- 202 285

-99 969

- 302 254

- 302 254

- 302 254

Extension des crédits de fonctionnement du programme 333 aux territoires ultra-marins

► 354

-2 710 000

-2 710 000

-2 710 000

-2 710 000



   Transferts en ETPT

Prog
Source
/ Cible

ETPT
ministériels

ETPT
hors État

Transferts entrants

Transferts sortants

- 202

Transfert des apprentis pour basification sur programmes employeurs

► 142

-14

Transfert des apprentis pour inscription en base sur le programme employeur

► 143

-17

De la DGPE (Service compétitivité et performance) vers l'INAO

► 149

-1

Transfert des apprentis pour inscription en base sur les programmes employeurs

► 206

-10

Transferts SG communs

► 354

- 155

Extension des services facturiers - Ministère de l'Agriculture

► 156

-5



Concernant les mesures de transfert HT2, dans le cadre de l'extension des crédits de fonctionnement du programme 333 aux territoires ultra-marins, un transfert de 2,71 M€ est effectué en AE et en CP de l'action 3 "Moyens des services déconcentrés" du programme 215 vers le programme 354 résultant de la fusion des programme 333 et 307.


Les mesures de transfert T2 comprennent :

  • un transfert de 9 156 874 € en AE et en CP, dont 6 228 811 € hors CAS Pensions, et de -155 ETPT vers le programme 354, dans le cadre de la création des secrétariats généraux communs au niveau départemental ;
  • un transfert de 302 254 € en AE et en CP, dont 202 285 € hors CAS Pensions, et de -5 ETPT vers le programme 156, au titre de la mise en place des services facturiers (SFACT) ;
  • un transfert de 61 062 € en AE et en CP, dont 42 743 € hors CAS Pensions, et de -1 ETPT depuis le Service compétitivité et performance à la DGPE vers les opérateurs du programme 149 ;
  • un transfert de -41 ETPT d'apprentis vers les programmes 142 (-14 ETPT), 143 (-17 ETPT) et 206 (-10 ETPT) du ministère de l'Agriculture et de l'alimentation au titre de leur inscription en base sur les programmes employeurs.


   Mesures de périmètre




Emplois et dépenses de personnel


   Emplois rémunérés par le programme

(en ETPT)

Catégorie d'emplois

Plafond
autorisé
pour 2019

Effet des
mesures de
périmètre
pour 2020

Effet des
mesures de
transfert
pour 2020

Effet des
corrections
techniques
pour 2020

Impact des
schémas
d’emplois
pour 2020

dont extension
en année pleine des
schémas d'emplois
2019 sur 2020

dont impact
des schémas
d'emplois
2020 sur 2020

Plafond
demandé
pour 2020

(1)

(2)

(3)

(4)

(5) = 6-1-2-3-4

(6)

A administratifs

1 158

0

-27

0

-1

0

-1

1 130

A techniques

1 749

0

0

0

-18

-5

-13

1 731

B et C administratifs

2 305

0

- 121

0

-72

-30

-42

2 112

B et C techniques

1 934

0

-54

-50

-39

-17

-22

1 791

Enseignants

108

0

0

0

0

-2

+2

108

Total

7 254

0

- 202

-50

- 130

-54

-76

6 872



Le plafond d'emplois du programme 215 est fixé à 6 872 ETPT contre 7 254 ETPT en 2019, soit une baisse de -382 ETPT qui découle :

  • de l'extension en année pleine du schéma d'emplois 2019 (-54 ETPT) ;
  • de l'impact du schéma d'emplois 2020 (-76 ETPT) ;
  • des transferts sortants (-202 ETPT) ;
  • de corrections techniques pour -50 ETPT en raison de la diminution des moyens complémentaires nécessaires au traitement des aides de la pac.


Plafond d'emplois du ministère de l'agriculture et de l'alimentation

Pour 2020, le plafond d'emplois du ministère de l'agriculture et de l'alimentation est fixé à 29 799 ETPT, soit une diminution de - 298 ETPT par rapport à 2019.

Cette évolution résulte du solde des corrections techniques pour -40 ETPT (dont - 50 ETPT au titre de la diminution des moyens complémentaires nécessaires au traitement des aides de la PAC et +10 ETPT d'apprentis), du solde des transferts pour - 374 ETPT ainsi que de l'impact des schémas d'emplois pour 2020 pour +116 ETPT. A périmètre constant, le plafond d'emplois ministériel aurait été de 30 213 ETPT.


Ce plafond est réparti entre quatre programmes :

  • le programme "142 - Enseignement supérieur et recherche agricoles" relevant de la mission "Recherche et enseignement supérieur" : 2 801 ETPT (dont +14 ETPT de transfert entrant);
  • le programme "143 - Enseignement technique agricole" relevant de la mission "Enseignement scolaire" :  15 334 ETPT (dont -54 ETPT liés aux schémas d'emplois 2019 et 2020, +17 ETPT de transfert entrant et + 10 ETPT d'apprentis);
  • le programme "206 - Sécurité et qualité sanitaire de l'alimentation" : 4 792 ETPT (dont + 300 ETPT de schémas d'emplois 2019 et 2020 , liés au Brexit, et - 203 ETPT de transfert sortant) ;
  • et le programme "215 - Conduite et pilotage des politiques de l'agriculture" : 6 872 ETPT (dont - 130 ETPT de schémas d'emplois 2019 et 2020, - 202 ETPT de transfert sortant et -50 ETPT liés aux corrections techniques).




   Évolution des emplois

(en ETP)

Catégorie d'emplois

Sorties
prévues

dont départs
en retraite

Mois moyen
des sorties

Entrées
prévues

dont primo
recrutements

Mois moyen
des entrées

Schéma
d'emplois du
programme

A administratifs

100

30

6,90

99

0

7,00

-1,00

A techniques

250

50

7,10

232

0

7,30

-18,00

B et C administratifs

200

120

6,50

127

0

6,70

-73,00

B et C techniques

150

60

7,00

112

0

7,30

-38,00

Enseignants

13

5

6,40

13

0

5,00

0,00

Total

713

265

6,87

583

0

7,07

- 130,00



Le projet de loi de finances pour 2020 prévoit un schéma d'emplois de -130 ETP sur le programme 215.


HYPOTHESES DE SORTIES

713 sorties sont prévues, dont 265 au titre des prévisions de départs en retraite. Les autres mouvements correspondent à des mobilités, des fins de contrat ou des départs en détachement, en disponibilité, en congés parental, en congés de longue durée, etc.


HYPOTHESES D'ENTREES

Le nombre de primo recrutements ne peut être déterminé a priori. Il sera ajusté en cours d'exécution en fonction, d'une part, de la réalisation des sorties et, d'autre part, des volumes des autres types d'entrées (détachements et positions normales d'activité entrants, retours de congés, de disponibilité, etc.).




   Effectifs et activités des services

Répartition du plafond d'emplois par service

(en ETPT)

Service
 

LFI 2019

PLF 2020

Administration centrale

1 963

1 930

Services régionaux

1 432

1 387

Opérateurs

45

45

Services à l'étranger

72

72

Services départementaux

3 354

3 106

Autres

388

332

Total

7 254

6 872


La catégorie "Services régionaux" regroupe les directions régionales de l'agriculture, de l'alimentation et de la forêt (DRAAF).


La catégorie "Services départementaux" regroupe les directions départementales des territoires (DDT/DDTM), les directions territorialement compétentes dans les Outre-mer et les moyens d'ajustement. Les transferts, avec notamment la création des secrétariats généraux communs des DDI, expliquent majoritairement la baisse des emplois prévue entre 2019 et 2020.


La catégorie "Opérateurs" comprend 45 ETPT affectés à l'INFOMA.


La catégorie "Autres" comprend les agents mis à disposition ainsi que les élèves et stagiaires en école et les apprentis. Les transferts expliquent pour une large part la baisse des emplois prévue entre 2019 et 2020.


Répartition du plafond d'emplois par action

Numéro et intitulé de l'action ou de la sous-action
 

ETPT

01 – Moyens de l'administration centrale

1 890

02 – Évaluation de l'impact des politiques publiques et information économique

94

03 – Moyens des directions régionales de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt, des directions de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt et directions départementales des territoires (et de la mer)

4 439

04 – Moyens communs

449

Total

6 872

 


L'action 01 concerne l'administration centrale : le secrétariat général, le bureau du cabinet, le Conseil général de l'alimentation, de l'agriculture et des espaces ruraux (CGAAER), le contrôle budgétaire et comptable ministériel, les services des hauts-fonctionnaires, la brigade nationale d'enquête vétérinaire, la direction générale de l'alimentation, la direction générale de l'enseignement et de la recherche, la direction générale de la performance économique et environnementale des entreprises et la direction des pêches maritimes et de l'aquaculture.


L'action 02 comprend les personnels de l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) affectés dans les services du ministère de l'agriculture et de l'alimentation (MAA). Un peu moins de la moitié de ces agents est affectée en administration centrale, l'autre partie étant affectée dans les services déconcentrés.


L'action 03 regroupe les personnels affectés dans les directions régionales de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt (à l'exception de ceux rémunérés sur le programme 206), les directions départementales des territoires et les directions territorialement compétentes dans les Outre-mer.


L'action 04 regroupe les personnels des services à l'étranger, les agents mis à disposition par le ministère (autres ministères, organismes d'utilité publique, etc.), les élèves et stagiaires en école ou en centre de formation et les apprentis.





Recensement du nombre d'apprentis

Nombre d'apprentis pour l'année scolaire 2019-2020 :  27

 

   Indicateurs de gestion des ressources humaines

Les indicateurs de gestion des ressources humaines sont retracés, au niveau ministériel, au sein de la partie "Objectifs et indicateurs de performance" du projet annuel de performance.

 

   Présentation des crédits par catégorie et contributions employeurs

Catégorie

LFI 2019

PLF 2020

Rémunération d'activité

343 180 495

339 730 591

Cotisations et contributions sociales

205 378 328

197 070 022

Contributions d'équilibre au CAS Pensions :

155 679 071

148 815 821

- Civils (y.c. ATI)

154 495 855

147 626 415

- Militaires

770 000

770 000

- Ouvriers de l'État (subvention d'équilibre au FSPOEIE)

413 216

419 406

- Autres (Cultes et subvention exceptionnelle au CAS Pensions)

Cotisation employeur au FSPOEIE

Autres cotisations

49 699 257

48 254 201

Prestations sociales et allocations diverses

7 015 420

7 304 059

Total Titre 2 (y.c. Cas pensions)

555 574 243

544 104 672

Total Titre 2 (hors Cas pensions)

399 895 172

395 288 851

FDC et ADP prévus en T2

Il est prévu un versement d'allocations d'aide au retour à l'emploi à hauteur de 4 M€ pour 1 224 bénéficiaires.

   Éléments salariaux

(en millions d'euros)

Principaux facteurs d'évolution de la masse salariale hors CAS Pensions

Socle Exécution 2019 retraitée

388,93

Prévision Exécution 2019 hors CAS Pensions

400,03

Impact des mesures de transfert et de périmètre 2019-2020

-6,47

Débasage de dépenses au profil atypique :

-4,63

- GIPA

-0,04

- Indemnisation des jours de CET

-1,58

- Mesures de restructurations

-0,74

- Autres

-2,27

Impact du schéma d'emploi

-3,36

EAP schéma d'emplois 2019

-0,38

Schéma d'emplois 2020

-2,98

Mesures catégorielles

2,05

Mesures générales

0,13

Rebasage de la GIPA

0,13

Variation du point de la fonction publique

0,00

Mesures bas salaires

0,00

GVT solde

2,29

GVT positif

5,84

GVT négatif

-3,56

Rebasage de dépenses au profil atypique - hors GIPA

6,01

Indemnisation des jours de CET

1,70

Mesures de restructurations

0,60

Autres

3,71

Autres variations des dépenses de personnel

-0,75

Prestations sociales et allocations diverses - catégorie 23

-0,73

Autres

-0,02

Total

395,29


Les dépenses de personnel du programme 215 sont fixées pour le PLF 2020 à 395,3 M€ (hors contribution au CAS Pensions) contre 399,9 M€ inscrits en LFI 2019, soit une évolution de - 1,2% par rapport à la LFI 2019.


La ligne "Autres" de la rubrique "Débasage de dépenses au profil atypique" comprend les moyens complémentaires alloués en 2019 pour le traitement des aides de la PAC et les rétablissements de crédits.


Le glissement vieillesse technicité (GVT) positif est estimé à 5,8 M€ (soit +1,5%). L'économie générée par l'écart entre le coût des départs et le coût des arrivées (GVT négatif) est évaluée à -3,6 M€ (soit -0,9%).


La ligne "Autres" de la rubrique "Rebasage de dépenses au profil atypique - hors GIPA" comprend principalement les moyens complémentaires alloués en 2020 pour le traitement des aides de la PAC et pour la mise en oeuvre du recensement agricole ainsi que les rétablissements de crédits.




Coûts entrée-sortie

Catégorie d'emploi

Coût moyen chargé HCAS

dont rémunérations d'activité

Coût d'entrée

Coût global

Coût de sortie

Coût d'entrée

Coût global

Coût de sortie

A administratifs

60 821

73 619

65 172

52 995

63 312

56 205

A techniques

63 624

77 695

70 660

56 735

69 007

63 349

B et C administratifs

32 546

40 522

36 464

28 147

35 470

31 577

B et C techniques

36 249

43 512

39 637

31 898

38 270

34 973

Enseignants

52 165

61 832

63 362

45 658

54 164

55 398

Mesures catégorielles

Catégorie ou intitulé de la mesure

ETP
concernés

Catégories

Corps

Date d'entrée
en
vigueur
de la mesure

Nombre
de
mois
d'incidence
sur 2020

Coût 2020

Coût en
année pleine

Effets extension année pleine

0

137 401

274 802

Plan de requalification de B en A

39

B

07-2019

6

100 758

201 516

Plan de requalification de C en B

54

C

07-2019

6

27 324

54 648

Poursuite de la mise en oeuvre du protocole PPCR

26

A

07-2019

6

9 319

18 638

Mesures statutaires

0

957 453

1 094 854

Plan de requalification de B en A

39

B

07-2020

6

100 758

201 516

Plan de requalification de C en B

54

C

07-2020

6

27 324

54 648

Poursuite de la mise en oeuvre du protocole PPCR

620

B et C

01-2020

12

8 980

8 980

Poursuite de la mise en oeuvre du protocole PPCR

1 404

A (hors enseignants)

01-2020

12

748 578

748 578

Poursuite de la mise en oeuvre du protocole PPCR

82

Enseignants

01-2020

12

50 652

50 652

Poursuite de la mise en oeuvre du protocole PPCR

26

A

07-2020

6

9 319

18 638

Revalorisation indiciaire du statut unique

10

B et C

01-2020

12

11 842

11 842

Mesures indemnitaires

0

951 952

951 952

RIFSEEP : réexamen IFSE

5 315

Toutes catégories

01-2020

12

951 952

951 952

Total

2 046 806

2 321 608


Les mesures catégorielles 2020 s'inscrivent – pour une large part – dans le cadre de la mise en œuvre du protocole dit « parcours professionnels, carrières et rémunérations » (PPCR), qui induit une réforme de la politique de rémunération de la fonction publique par une restructuration des grilles indiciaires de tous les corps entre 2017 et 2021. L'impact pour le programme 215 est estimé en 2020 à 0,83 M€ (hors contribution au « CAS Pensions »).


Concernant les autres mesures catégorielles, elles correspondent d'une part à des orientations interministérielles (clause de réexamen de l'IFSE dans le cadre du RIFSEEP) et d'autre part à des orientations ministérielles communes pour l'ensemble des programmes portant des dépenses de personnel (programmes 142, 143, 206 et 215) avec notamment l'accompagnement des parcours professionnels via deux plans de requalification (catégorie C vers catégorie B et catégorie B vers catégorie A). En 2020, elles représentent, pour le programme 215, une dépense de 1,22 M€.

   Action sociale - Hors titre 2

Type de dépenses

Effectif concerné (ETP)

Prévision Titre 3

Prévision Titre 5

Total

Restauration collective

2 700 000

2 700 000

Logement, prêt immobilier

100 000

100 000

Famille dont arbre de Noël, centre de vacances, colonies

696 050

696 050

Œuvres sociales, prêts sociaux, secours et soutien de toute nature (juridique, mutuelle, etc,)

3 186 465

3 186 465

Santé (soins et prévention)

1 080 000

1 080 000

Autres

144 182

144 182

Total

7 906 697

7 906 697

Les chiffres présentés ci-dessus s’entendent pour les agents relevant des programmes 215, 142 et 143.

L’action sociale ministérielle vise à :

  • améliorer les conditions de travail des personnels et faciliter l’harmonie entre vie professionnelle et vie familiale ;
  • financer des équipements sociaux ;
  • subventionner les associations et organismes qui interviennent au bénéfice des personnels du ministère ;
  • répondre aux situations sociales d’urgence ou les plus difficiles.

Coûts synthétiques


   Indicateurs immobiliers


   Ratio d'efficience bureautique


Dépenses pluriannuelles


Grands projets informatiques


A l'attention de la DB : La DINSIC a été saisie par notre sous-direction en charge des dépenses informatiques concernant la partie "gain des grands projets informatiques". En effet, ces informations ne figurent pas (plus ?) dans les fiches grands projets et nous ne disposons pas toujours du MAREVA à jour pour les identifier.


   EXPADON 2

EXPADON 2 est un projet qui vise à permettre la demande en ligne des certificats sanitaires ou phytosanitaires (soit 300 000 certificats par an) nécessaires à l’exportation afin, d’une part, d’en accélérer la délivrance et, d’autre part, de fiabiliser leur conformité avec les exigences des payes-tiers importateurs. L’évaluation du budget a été actualisée en octobre 2016 afin de tenir compte d’une complexité du programme mal estimée initialement.

Année de lancement du projet

2013

Financement

Programme 149 (FAM)

Zone fonctionnelle principale

Alimentation

Coût et durée du projet

Coût détaillé par nature





(En million d'euros)


2017 et années précédentes en cumul

2018 exécution

2019 prévisions

2020 prévision

2021 et années suivantes en cumul

Total

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

Hors titre 2

4,80

4,50

1,20

1,20

2,60

3,10

0,60

0,20

4,00

4,20

13,20

13,20

Titre 2

2,31

2,31

0,60

0,60

0,90

0,90

0,20

0,20

0,60

0,60

4,61

4,61

Total

7,11

6,81

1,80

1,80

3,50

4,00

0,80

0,40

4,60

4,80

17,81

17,81

Évolution du coût et de la durée


Au lancement

Actualisation

Écarts en %

Coût total en M€

8,30

17,81

114,59

Durée totale en mois

37

87

135,14

La réévaluation du coût procède de l'analyse MAREVA réalisée en 2017. Le nouveau montant inclu deux années de fonctionnement de la plateforme Expadon 2.

L’année 2018 a été marquée par un fort ralentissement du programme au 1er semestre.

La cible validée à l’été 2019 pour la V2.2 Lot 1 est ambitieuse. De plus, il existe un risque budgétaire et calendaire lié aux projets de refonte SIRIUS et BACUS dans le cadre de l’abandon à partir de 2019 de la base de données nationales des Usagers (BDNU) par le MAA. Une étude d’impact est en cours.

Gains du projet

   OSHIMAE

OSHIMAE est un projet de création d’une plate-forme d’hébergement interministérielle proposant des offres de services d’hébergement de baies et d’infrastructures à la demande (Cloud).

 

Les principaux objectifs poursuivis sont les suivants :

– la rationalisation de l’offre d’hébergement des deux ministères en dé-commissionnant, à la sortie du projet, les deux salles serveur du site de Bordeaux (MTES) et en investissant dans un centre de données récent – site de Toulouse-Auzeville (MAA) – pour accroître ses capacités physiques d’hébergement et sa sécurité ;

– la réduction de l’empreinte énergétique par la ré-urbanisation et la mise en place de technologies dite de « free chilling » (méthode économique qui utilise la différence de température entre l'air en sortie des ordinateurs et la température de l'air extérieur afin d'aider au système de refroidissement à eau)  sur le site de Toulouse pour optimiser l’efficacité énergétique du centre de données ;

– la diminution des coûts de maintien en conditions opérationnelles des Systèmes d’Information (SI) par la mise en œuvre d’une offre de service de « Cloud Computing interministériel » qui permettra de réduire les délais de mise à disposition des infrastructures et par le déploiement des applications qui favorisera le développement des méthodes de gestion de projet en mode « agile » ;

– l’élévation du niveau de sécurité par le renforcement de la sécurité physique du centre de données et la standardisation des pratiques d’exploitation. Cette nouvelle offre de service se veut à l’état de l’art en matière de sécurité des SI dès sa mise en service avec une homologation Référentiel Général de Sécurité prononcée de l’infrastructure et des services associés. Dans cette perspective, l’Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information (ANSSI) accompagnera les équipes projets aux étapes clés de sa construction ;

– l’augmentation du nombre de bénéficiaires par l’accroissement des capacités des salles et la mise en place d’une offre de service globale claire et compétitive ;

– la contribution active à la démarche d’urbanisation des SI de l’État par la mise en place d’une infrastructure mutualisée de diffusion de données géographiques.

 

La sécurisation du programme passe par une organisation du programme partagée par les acteurs et validées par la DINSIC. Le pilotage du programme est optimal à ce stade.

Année de lancement du projet

2016

Financement

Programme 215

Zone fonctionnelle principale

Gestion des Systèmes d'Information et de Communication

Coût et durée du projet

Coût détaillé par nature





(En million d'euros)


2017 et années précédentes en cumul

2018 exécution

2019 prévisions

2020 prévision

2021 et années suivantes en cumul

Total

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

Hors titre 2

10,50

6,00

2,20

5,60

0,80

2,00

7,40

7,70

7,90

7,50

28,80

28,80

Titre 2

1,60

1,60

1,20

1,20

0,24

0,24

3,90

3,90

3,84

3,84

10,78

10,78

Total

12,10

7,60

3,40

6,80

1,04

2,24

11,30

11,60

11,74

11,34

39,58

39,58

Évolution du coût et de la durée


Au lancement

Actualisation

Écarts en %

Coût total en M€

38,60

39,58

2,54

Durée totale en mois

59

62

5,08

Le coût et la durée ont été ajustés conformément aux prévisions du dossier PIA et en prenant bien en compte les deux années de fonctionnement.

La sécurisation du programme passe par une comitologie et une organisation du programme partagées par les acteurs et validées avec la DINSIC. Le pilotage du programme est optimal à ce stade.

Gains du projet

   RESYTAL Cycle 1

RESYTAL est un projet de refonte du système d’information de la DGAL qui porte dans ses missions l’obligation de s’assurer des conditions sanitaires dans lesquelles les produits animaux et végétaux sont produits et mis sur le marché ou introduits sur le territoire.

Année de lancement du projet

2012

Financement

Programme 206

Zone fonctionnelle principale

Alimentation

Coût et durée du projet

Coût détaillé par nature





(En million d'euros)


2017 et années précédentes en cumul

2018 exécution

2019 prévisions

2020 prévision

2021 et années suivantes en cumul

Total

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

Hors titre 2

20,90

19,60

1,00

1,70

0,30

0,30

0,30

0,30

0,00

0,60

22,50

22,50

Titre 2

3,45

3,45

0,65

0,65

0,00

0,00

0,00

0,00

0,00

0,00

4,10

4,10

Total

24,35

23,05

1,65

2,35

0,30

0,30

0,30

0,30

0,00

0,60

26,60

26,60

Évolution du coût et de la durée


Au lancement

Actualisation

Écarts en %

Coût total en M€

20,60

26,60

29,13

Durée totale en mois

84

74

-11,90

Le cycle 1 a été mis en service le 31 décembre 2018.

L’évolution budgétaire est liée, d’une part, à la maintenance plus importante que prévue initialement à la suite de la consolidation des systèmes historiques et, d’autres part, au périmètre de certains projets qui a été étendu.

Gains du projet

   SIRENA Cycle 1

SIRENA est un projet de rénovation des applications de l’enseignement agricole et de la gestion des apprenants qui vise l’interopérabilité avec les systèmes d’information du ministère de l’éducation nationale et des conseils régionaux et la fiabilisation des données et circuits d’alimentation des bases de gestion des apprenants du ministère (examens, bourses, gestion des moyens, suivi des parcours, décrochage scolaire, etc.).

Année de lancement du projet

2015

Financement

Programme 143

Zone fonctionnelle principale

Enseignement Agricole

Coût et durée du projet

Coût détaillé par nature





(En million d'euros)


2017 et années précédentes en cumul

2018 exécution

2019 prévisions

2020 prévision

2021 et années suivantes en cumul

Total

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

Hors titre 2

1,00

1,00

0,60

0,60

0,45

0,45

0,25

0,25

0,00

0,00

2,30

2,30

Titre 2

1,55

1,55

0,70

0,70

2,95

2,95

2,70

2,70

0,00

0,00

7,90

7,90

Total

2,55

2,55

1,30

1,30

3,40

3,40

2,95

2,95

0,00

0,00

10,20

10,20

Évolution du coût et de la durée


Au lancement

Actualisation

Écarts en %

Coût total en M€

11,30

10,20

-9,73

Durée totale en mois

48

51

6,25

Le cycle 1 a été mis en service le 31 décembre 2018.

Le ministère a été soumis à des contraintes budgétaires qui ont conduit à une réduction du budget en cours de programme.

Gains du projet

Marchés de partenariat


Contrats de projets État-Région (CPER)


Génération CPER 2007-2014

Action / Opérateur

CPER 2007-2014
(rappel du montant contractualisé)

AE engagées au 31/12/2019

CP réalisés au 31/12/2019

AE demandées pour 2020

CP demandés pour 2020

CP sur engagements à couvrir après 2020

CPER 2007-2014

Génération CPER 2015-2020

Action / Opérateur

CPER 2015-2020
(rappel du montant contractualisé)

AE engagées au 31/12/2019

CP réalisés au 31/12/2019

AE demandées pour 2020

CP demandés pour 2020

CP sur engagements à couvrir après 2020

CPER 2015-2020


Total des crédits de paiement pour ce programme

CP demandés pour 2020

CP sur engagements à couvrir après 2020



Grands projets transversaux



 

Suivi des crédits de paiement associés à la consommation
des autorisations d'engagement (hors Titre 2)


Estimation des restes à payer au 31/12/2019

Engagements sur années antérieures non couverts par des paiements au 31/12/2018 (RAP 2018)


Engagements sur années antérieures non couverts par des paiements au 31/12/2018 y.c. travaux de fin de gestion postérieurs au RAP 2018


AE LFI 2019 + reports 2018 vers 2019 + prévision de FDC et ADP


CP LFI 2019 + reports 2018 vers 2019 + prévision de FDC et ADP


Évaluation des engagements non couverts par des paiements au 31/12/2019

47 308 286


0


76 213 906


82 615 643


45 160 129

Échéancier des cp à ouvrir

AE

CP 2020

CP 2021

CP 2022

CP au-delà 2022

 

Évaluation des engagements non couverts par des paiements au 31/12/2019


CP demandés sur AE antérieures à 2020 CP PLF / CP FDC et ADP


Estimation des CP 2021 sur AE antérieures à 2020


Estimation des CP 2022 sur AE antérieures à 2020


Estimation des CP au-delà de 2022 sur AE antérieures à 2020

45 160 129


30 085 335
0


7 894 688


6 047 884


1 132 222

 

AE nouvelles pour 2020 AE PLF / AE FDC et ADP


CP demandés sur AE nouvelles en 2020 CP PLF / CP FDC et ADP


Estimation des CP 2021 sur AE nouvelles en 2020


Estimation des CP 2022 sur AE nouvelles en 2020


Estimation des CP au-delà de 2022 sur AE nouvelles en 2020

70 206 794
5 450 000


45 190 959
5 450 000


23 302 784


1 706 679


6 372

 

Totaux


80 726 294


31 197 472


7 754 563


1 138 594


Clés d'ouverture des crédits de paiement sur ae 2020



CP 2020 demandés sur AE nouvelles en 2020 / AE 2020


CP 2021 sur AE nouvelles en 2020 / AE 2020


CP 2022 sur AE nouvelles en 2020 / AE 2020


CP au-delà de 2022 sur AE nouvelles en 2020 / AE 2020



66.9%


30.8%


2.3%


0%

Le montant des engagements non couverts au 31 décembre 2019 devrait être de 45,2 M€ et devraient concerner les principaux postes suivants :

  • le versement des subventions aux mutuelles garantissant une protection sociale complémentaire pour les agents du ministère de l’agriculture (2,4 M€) ;
  • les baux des bâtiments d’administration centrale (14,8 M€) ;
  • le marché de fluides (2 M€) ;
  • les marchés de logistique (2 M€) ;
  • les projets pluriannuels informatiques (10 M€) ;
  • les investissements pluriannuels immobiliers (6 M€) ;
  • les conventions RICA en services déconcentrés (3 M€).

Justification par action

ACTION n° 01    32,0%

Moyens de l'administration centrale


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FDC et ADP
attendus

Autorisations d'engagement

176 405 717

20 038 832

196 444 549

400 000

Crédits de paiement

176 405 717

24 503 610

200 909 327

400 000


Cette action, mise en œuvre par le secrétariat général, regroupe certaines fonctions de pilotage des politiques du ministère et vise à :

  • renforcer la transversalité de la gestion ;

  • promouvoir une gestion active de l’emploi et des parcours professionnels ;

  • développer une politique de requalification et accompagner les agents dans l’évolution de leurs missions ;

  • favoriser la mutualisation, la rationalisation et l’optimisation des moyens ;

  • favoriser la concertation avec les élus paritaires et les représentants du personnel.



Dans le cadre de cette action, le secrétariat général coordonne l’ensemble des services centraux du ministère auxquels il alloue des moyens et dont il réalise l’évaluation. Il prépare et exécute le budget du ministère. Il conduit les réflexions stratégiques, propose des évolutions et met en œuvre la politique de modernisation. Enfin, il élabore les principes généraux de la gestion des ressources humaines.



Acteurs

Le secrétariat général est constitué des structures suivantes : service des affaires financières, sociales et logistiques, service des ressources humaines, service de la modernisation, service des affaires juridiques, délégation à l’information et à la communication, service de la statistique et de la prospective et mission des affaires générales. Il a la particularité d'assurer, en complément des fonctions supports classiques, des missions métiers : les statistiques agricoles et le suivi de la protection sociale et de la réglementation du travail des agriculteurs.

Les services bénéficiaires de son action sont les directions et services d’administration centrale, le cabinet du ministre, ainsi que l’ensemble des agents du ministère dans les domaines de l’action sanitaire et sociale et de la formation continue.



Organisation

L’action regroupe les sous actions suivantes :

  • « Personnels de l’administration centrale » : rémunération des agents affectés à l’administration centrale du ministère, y compris celle des membres du conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux (CGAAER);

  • « Loyers et charges locatives » : pour les seules dépenses de l’administration centrale ;

  • « Autres moyens » : au titre des crédits de fonctionnement concernant l’administration centrale  et les organisations syndicales ;

  • « Action sanitaire et sociale » et « Formation continue » individualisant certains moyens propres à la mise en œuvre de la gestion des ressources humaines, tels que l’amélioration de l’environnement professionnel des agents de l’ensemble du ministère, le financement d’équipements sociaux ou la réponse aux situations sociales d’urgence, l’adaptation à l’emploi des personnels, le développement des compétences techniques et administratives et la promotion interne par les formations aux concours et examens.


Éléments de la dépense par nature


Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

176 405 717

176 405 717

Rémunérations d’activité

112 190 755

112 190 755

Cotisations et contributions sociales

63 345 181

63 345 181

Prestations sociales et allocations diverses

869 781

869 781

Dépenses de fonctionnement

18 938 832

23 403 610

Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

18 938 832

23 403 610

Dépenses d’intervention

1 100 000

1 100 000

Transferts aux ménages

1 100 000

1 100 000

Total

196 444 549

200 909 327


DÉPENSES DE FONCTIONNEMENT


Actions sanitaires et sociales  AE : 4 886 535 € CP : 5 486 535 €

 

Ces crédits couvrent les dépenses d’action sociale gérées au niveau central pour le compte de l'ensemble des agents du ministère en charge de l'agriculture. Ils constituent un élément fondamental de la politique de gestion des ressources humaines. Ils permettent d'améliorer les conditions de vie des agents dans leur environnement personnel, familial et professionnel et d’agir sur la qualité du dialogue social.

 

Les principaux postes de dépense sont les suivants :

- subvention ASMA nationale ;

- subventions aux mutuelles ;

- financement de la politique de logement social ;

- subvention de fonctionnement aux organismes de restauration ;

- délégations aux Comités locaux d’Hygiène et sécurité et divers.

 

Formation Continue   AE = CP : 1 265 660 €

 

Cette action couvre l’ensemble des moyens budgétaires destinés à financer les actions nationales de formation continue à destination de tous les agents du ministère de l'agriculture et de l’alimentation, en administration centrale, dans les services déconcentrés et dans les établissements publics de l'enseignement agricole (EPL).

La direction générale de l'administration et de la fonction publique (DGAFP) a mis en place, depuis 2018, le schéma directeur de la formation professionnelle tout au long de la vie (SD-FPTLV) qui constitue un outil d'accompagnement aux réformes issues des travaux de la mission Action Publique 2022 (AP-2022). La transition numérique a été identifiée comme un axe prioritaire de la transformation (axe 2 du SD-FPTLV) qui se traduira notamment par la contribution du MAA, en tant que ministère pilote, à la création de la plate-forme numérique MENTOR de la DGAFP et par la réalisation de produits de e-formation sur trois ans.

Par ailleurs, dans le cadre de la démarche de labellisation Égalité/Diversité engagée par le MAA, un dispositif de formation continue significatif est mis en place à travers la mobilisation du marché interministériel initié par le ministère des Solidarités et de la Santé.

Enfin, la poursuite de la mise en œuvre des actions du plan managérial du ministère de l'agriculture et de l'alimentation se traduira par la création d'une offre d'accompagnement des cadres avec l'outil d'évaluation à 360° qui mobilisera le marché interministériel à venir de la Direction interministérielle de la transformation publique (DITP).


 

La répartition budgétaire s'effectue selon les 9 axes principaux suivants :

  • axe 1 : Plans locaux de formation d’administration centrale : 2% ;

  • axe 2 : Programme de formation continue AC : 7% ;

  • axe 3 : Programme national de formation : 20% ;

  • axe 4 : Actions de formation de l’enseignement agricole : 48% ;

  • axe 5 : Accompagnement des réformes : 7% ;

  • axe 6 : Formations management : 5% ;

  • axe 7 : Fonctionnement du réseau FORMCO : 3% ;

  • axe 8 : Professionnalisation des jurys de concours : 2% ;

  • axe 9 : Préparation aux examens et concours : 6%.

 

Gestion Immobilière de l’administration centrale   AE : 3 775 690 € CP : 7 433 114 €


Ces crédits concernent le paiement des dépenses obligatoires et inéluctables (loyers, charges, fluides et autres dépenses) afférentes aux sites occupés par l’administration centrale.

Pour les loyers privés, la revalorisation retenue est de 1,8 % (taux ILAT). Concernant les fluides, le taux de revalorisation est de 1 %.

A noter qu'en décembre 2017 a été renouvelé pour deux années (2018 et 2019) le marché interministériel de fourniture d'électricité. En 2020, ce marché d'électricité sera à nouveau renouvelé pour deux à quatre années selon la taille des sites.

 

Le tableau ci-dessous précise la répartition par poste de dépenses en AE et CP (en M€) :

 

Île-de-France

Loyers privés

Fluides

Total

 

Autorisations d’engagement

0,89

2,89

3,78

 

Crédits de paiement

5,89

1,54

7,43


 

 

Dépenses de fonctionnement courant   AE = 9 010 947 €   CP = 9 218 301 €

 

Ces dépenses couvrent l’ensemble des moyens de fonctionnement courant des services de l’administration centrale et des crédits de fonctionnement qui font l’objet d’un pilotage à partir de l’échelon central pour l’ensemble du ministère (frais de changement de résidence et congés bonifiés).

 

Les postes de dépenses en AE = CP se décomposent de la façon suivante :

- le remboursement des frais de changement de résidence des agents affectés en administration centrale et du financement des congés bonifiés : 6 % ;

- dépenses obligatoires de logistique couvrant l'ensemble du périmètre de l'administration centrale, Les principaux marchés concernés (nettoyage des locaux, gardiennage, déménagements, contrats d’entretien,etc ) : 34 % ;

- crédits de fonctionnement courant alloués au cabinet du ministre, aux directions, services et organisations syndicales : 57 % ;

- autres dépenses de fonctionnement dont fournitures médicales : 3 %.


 

DÉPENSES D’INTERVENTION  AE = CP = 1 100 000 €

 

Il s'agit d'une part des subventions versées aux établissements d’enseignement supérieur dans le cadre du programme national de formation continue des personnels du ministère (950 000 € en AE = CP) et d'autre part de subventions versées à l’Académie d’agriculture de France et à l’Académie vétérinaire de France et autres organismes d'actions sociales (150 000 € en AE = CP).


ACTION n° 02    3,9%

Évaluation de l'impact des politiques publiques et information économique


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FDC et ADP
attendus

Autorisations d'engagement

12 649 427

11 151 664

23 801 091

3 500 000

Crédits de paiement

12 649 427

11 151 664

23 801 091

3 500 000


Cette action regroupe l'ensemble des dispositifs et moyens mobilisés pour collecter et diffuser les informations économiques et structurelles relatives à l’agriculture et aux territoires ruraux, ainsi que les études et analyses conduites en la matière, aussi bien en termes d’évaluation des politiques qu’en vision prospective.

L’action intègre :

  • les diverses enquêtes statistiques et l’élaboration des indices économiques, notamment pour l’établissement des comptes de l’agriculture ;

  • la diffusion de ces statistiques ;

  • l’évaluation des politiques publiques mises en œuvre par le ministère ;

  • l’ensemble des études, le plus souvent à caractère prospectif, qui servent à éclairer la réflexion et la décision politique.

     

Statistiques agricoles

La statistique agricole rassemble, traite, analyse et diffuse les données statistiques relatives à l’agriculture, la forêt, la pêche, les industries agricoles et alimentaires, l’occupation du territoire, les équipements et l’environnement en zone rurale. Les services de la statistique agricole regroupent un service central, dont une partie est délocalisée à Toulouse, et des échelons régionaux spécialisés. Ils réalisent, tous les dix ans, de grandes opérations statistiques et plus particulièrement les recensements agricoles. Le prochain recensement agricole est prévu en 2020.

Plus régulièrement, ces services mènent des enquêtes auprès des agriculteurs (structures des exploitations, productions animales et végétales, pratiques culturales, résultats comptables, environnement), auprès des entreprises agroalimentaires (production, commercialisation, résultats économiques) et sur le territoire national (occupation de l’espace).

Ils exploitent, à des fins statistiques, des documents administratifs comme, par exemple, la base de données nationale d’identification (BDNI). Ils établissent, en liaison avec l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE), les comptes de l’agriculture et un grand nombre d’indices économiques (indice des prix à la production, indice des prix d’achat des moyens de production). La statistique agricole est une composante de la statistique publique française et tous ses travaux sont réalisés en concertation avec les partenaires économiques et sociaux dans le cadre du Conseil national de l’information statistique (CNIS).

La production de la statistique agricole donne lieu à des analyses et études, diffusées dans les publications AGRESTE et sur le site Internet du ministère. Ces études couvrent les différents domaines du champ de compétence du ministère et sont réalisées à différents échelons : départemental, régional, national et européen. La statistique agricole élabore et diffuse régulièrement des diagnostics conjoncturels, ainsi que des prévisions à court terme. L’essentiel des travaux et des résultats obtenus fait l’objet de règlements de la Commission européenne. Les enquêtes et analyses sont à la charge financière des États, sauf pour les recensements et le réseau d’information comptable agricole (RICA) qui bénéficient d’une contribution de la Commission européenne.

 

Évaluation et prospective

L’élaboration des politiques agricoles nécessite un recours accru aux exercices de prospective et d’analyse stratégique. Ces activités ont notamment été renforcées par la création du Centre d’études et de prospective.

Le programme d’études est établi chaque année par le comité de programmation des études du ministère. Ces études ont pour but d’approfondir les problématiques liées à la mise en œuvre des politiques agricoles et de mettre au point les outils d’intervention adaptés. Certaines d’entre elles consistent en des évaluations ex-ante ou ex-post des effets des décisions en matière de politique agricole. Les études, une fois inscrites au programme, sont confiées à des maîtres d’œuvre externes sélectionnés par le biais d’appels d’offres. Elles font souvent l’objet de cofinancements par les partenaires du ministère (organisations professionnelles, offices, autres ministères).

Les interventions, menées dans le cadre des règlements européens, sont soumises périodiquement à évaluation conformément aux instructions de la Commission européenne. Ces évaluations sont cofinancées par l’Union européenne et en général confiées à des maîtres d’œuvre externes sélectionnés par le biais d’appels d’offres sous la conduite de comités d’évaluation composés en majorité de responsables de l’administration, mais ouverts à des personnalités extérieures.


Éléments de la dépense par nature


Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

12 649 427

12 649 427

Rémunérations d’activité

8 754 534

8 754 534

Cotisations et contributions sociales

3 714 508

3 714 508

Prestations sociales et allocations diverses

180 385

180 385

Dépenses de fonctionnement

10 151 664

10 151 664

Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

10 151 664

10 151 664

Dépenses d’investissement

1 000 000

1 000 000

Dépenses pour immobilisations corporelles de l’État

1 000 000

1 000 000

Total

23 801 091

23 801 091


DÉPENSES DE FONCTIONNEMENT


Statistiques et RICA  AE  = CP   3 051 664 €  

Ce poste de dépense permet d’assurer le financement des seules enquêtes et opérations statistiques qui obéissent à des obligations européeennes répétitives (mensuelles et annuelles). Au-delà de ce seuil réglementaire, le financement d’autres enquêtes est assuré par les demandeurs.


Le réseau d’information comptable agricole (RICA) correspond à la plus importante de ces opérations, réalisée dans un cadre harmonisé européen, sous pilotage de la direction générale de l'agriculture de la Commission européenne (DG Agri). La collecte de données du RICA constitue une source d’informations essentielle à la connaissance des revenus agricoles.


Recensement agricole de 2020   AE = CP   6 600 000 €    

Les dépenses concernant le recensement agricole porteront en 2020 d'une part sur la fin de la préparation de la collecte des données du recensement agricole (règlement européen 2018/101091) et d'autre part sur l'opération de collecte elle-même qui débutera en septembre 2020 et se poursuivra jusqu'en mai 2021.

Elles concerneront la finalisation de la mise à niveau des composants applicatifs informatiques, l'actualisation de la base des exploitations agricoles à enquêter de manière exhaustive (coordonnées de contact notamment), les opérations de communication sur le recensement qui sera conduit en 2020 de manière innovante dans le monde agricole (actions nécessaires pour obtenir un taux de réponse le plus proche possible de 95 %, en encourageant l'usage d'internet), les envois de courrier de lancement de l'enquête, l'impression des guides d'instruction, les déplacements terrains des services régionaux pour recruter, former et piloter les enquêteurs chargés de collecter les données thématiques sur un échantillon d'exploitations et la collecte externalisée par internet et téléphone des données du tronc commun sur un champ exhaustif. Le marché portant sur cette collecte externalisée devrait être notifié fin 2019/début 2020.

Au total, environ 700 variables seront à collecter, traiter, contrôler, redresser sur un champ plus ou moins vaste, pour une transmission à Eurostat au plus tard en mars 2022. Ce délai a été significativement raccourci par rapport à la précédente opération pour répondre à la demande citoyenne de mise à disposition des résultats au plus proche de la collecte des informations.


Études  AE  = CP  500 000 €    

Les études servent à fonder le rôle stratégique et politique que l'État doit exercer dans le pilotage de l'économie nationale. Ceci est renforcé, dans le cas du MAA, par la dimension européenne et internationale des politiques soutenues par le ministère. Dans ce contexte, le centre d’études et de prospective du ministère, positionné au sein du service de la statistique et de la prospective, a vocation à animer et rendre plus visible l'ensemble des travaux d’évaluation, d'expertise et de prospective réalisés ou commandités par le ministère et à peser davantage dans le débat d’idées sur les questions agricoles (évolution de la PAC, projet agro-écologie, modernisation de l’enseignement agricole, emploi dans le secteur agricole, compétitivité des filières, revenu des agriculteurs, etc.).

Une dizaine d'études d’un coût moyen de 50 k€ sont financées chaque année, répondant au besoin d'éclairage des directions d'administration centrale et du cabinet du ministre sur les politiques relevant du champ de compétence du ministère.


DÉPENSES D’INVESTISSEMENT


Recensement agricole 2020  AE = CP 1 000 000 €

Comme indiqué précédemment, les dépenses d’investissement programmées en 2020 concernent les développements informatiques et l'acquisition de matériel permettant d’effectuer les tests nécessaires.




ACTION n° 03    53,1%

Moyens des directions régionales de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt, des directions de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt et directions départementales des territoires (et de la mer)


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FDC et ADP
attendus

Autorisations d'engagement

318 621 019

7 815 156

326 436 175

1 500 000

Crédits de paiement

318 621 019

7 815 156

326 436 175

1 500 000


Cette action regroupe les moyens en personnel et en crédits de fonctionnement nécessaires au pilotage et à la conduite des politiques publiques conduites par le ministère de l’agriculture et de l'alimentation (MAA) et mises en œuvre dans les services déconcentrés de l’État.


Les services déconcentrés de l’État qui mettent en œuvre les politiques publiques du ministère sont :


Au niveau régional :

  • les directions régionales de l’alimentation, de l’agriculture, et de la forêt (DRAAF) : elles pilotent la mise en œuvre de l’ensemble des politiques publiques du ministère dans les domaines de l’économie agricole et agroalimentaire, du développement des territoires ruraux, de la forêt et des produits forestiers, de la sécurité sanitaire des produits agricoles et de l’alimentation et de l’enseignement technique agricole.


Au niveau départemental :

  • les directions départementales des territoires (DDT ou DDTM) : elles mettent en œuvre l’ensemble des aides destinées aux exploitants agricoles, assurent le suivi et l’orientation des politiques agricoles départementales, et mettent en œuvre les actions du programme 149 relatives au développement rural et à la politique forestière ;

  • les directions départementales de la protection des populations (DDPP ou DDCSPP) : elles assurent l’ensemble des missions conduites dans le cadre de la politique de sécurité sanitaire de l’alimentation et des produits agricoles. Elles assurent également, de façon partagée avec le MTES, les missions relatives aux installations classées pour la protection de l’environnement (ICPE) dans le domaine agricole.


Dans les régions ultramarines :

  • les directions de l’alimentation, de l’agriculture, et de la forêt (DAAF) : elles assurent l’ensemble des missions relevant des politiques publiques conduites par le MAA, qu’elles relèvent en métropole du niveau régional ou du niveau départemental.


Les moyens en personnels et en fonctionnement de ces différents services affectés aux politiques publiques conduites par le MAA sont répartis entre les programmes 215, 206 et 333.


Ainsi, l’action 3 du programme 215 regroupe :

- les moyens en personnels des DRAAF et des DAAF, à l’exception des moyens en personnels mettant en œuvre la politique de sécurité sanitaire des aliments, de santé animale et de protection des végétaux qui sont portés par le programme 206 ;

- les moyens en personnels des DDT affectés aux missions relevant du MAA décrites ci-dessus ;

- les moyens de fonctionnement courant des DAAF ;

- les moyens locaux dédiés à l’action sanitaire et sociale de l’ensemble des agents des DRAAF, DAAF et DDT relevant du ministère en charge de l’agriculture ;

- les moyens nécessaires à l’ingénierie de formation sur les politiques métiers organisée au niveau régional à l’intention des agents des DRAAF, DAAF, DDT(M), DD(CS)PP et enseignement agricole ;

- la prise en charge des frais de déplacement sur convocation de la centrale et des frais de changement de résidence des agents de l’enseignement agricole ;

- les moyens de fonctionnement spécifique des agents centraux ou interrégionaux localisés dans les services déconcentrés.


Pour mémoire :

- les agents des DRAAF et les agents des DDPP qui mettent en œuvre la politique de sécurité sanitaire des aliments, de santé animale et de protection des végétaux sont portés par le programme 206 ;

- les moyens de fonctionnement courant des DD(CS)PP, des DDT(M) et des DRAAF depuis le 1er janvier 2017 sont portés par le programme 333 ;

- les moyens dédiés à l’action sanitaire et sociale des DDPP sont portés par le programme 206 ;

- les moyens dédiés sur l’action 3, d’une part à la formation, d’autre part, à l’action sanitaire et sociale complètent les actions conduites au niveau national sur l’action 1 du programme 215.


Au niveau national, le secrétariat général du ministère assure le pilotage stratégique de cette action. En concertation avec les autres responsables de programme, il répartit les moyens entre les régions dans le cadre d’un dialogue de gestion mené avec le préfet de région, responsable du budget opérationnel de programme (RBOP) et le directeur régional de l’alimentation, de l'agriculture et de la forêt, responsable délégué.


Au niveau régional, le préfet et, par délégation de celui-ci, le DRAAF répartissent conjointement les moyens entre les unités opérationnelles concernées (DRAAF et DDT pour l’essentiel).


Éléments de la dépense par nature


Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

318 621 019

318 621 019

Rémunérations d’activité

192 930 971

192 930 971

Cotisations et contributions sociales

119 648 981

119 648 981

Prestations sociales et allocations diverses

6 041 067

6 041 067

Dépenses de fonctionnement

7 815 156

7 815 156

Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

7 815 156

7 815 156

Total

326 436 175

326 436 175


DÉPENSES DE FONCTIONNEMENT


Actions sanitaires et sociales   AE = CP : 2 416 030


Le budget d’action sociale constitue un élément de la politique de gestion des ressources humaines. Il permet d’améliorer les conditions de vie des agents dans leur environnement personnel, familial et professionnel. Les dépenses prises en charge sur l’action 3 du programme 215 concernent la contribution du ministère au coût de la restauration collective et la prise en charge de la surveillance médicale des agents relevant du ministère affectés dans les DRAAF, les DAAF et les DDT(M) ainsi que les agents des programmes 142 et 143 dans les établissements d'enseignements.

La répartition prévisionnelle est la suivante : 65% pour la restauration collective et 35 % pour la médecine de prévention.


Formation continue AE = CP : 2 152 084 €


Depuis 2012 et dans le cadre des décisions prises lors du conseil de modernisation des politiques publiques du 30 juin 2010, l’ensemble des crédits de formation continue est mutualisé. Cette action couvre donc les moyens budgétaires destinés à financer les besoins de formation continue « métier » des agents en poste dans chaque région, qu’ils soient positionnés en DRAAF, en DDI ou dans les établissements d’enseignement agricole public. À noter que les crédits relatifs à l’ingénierie de formation pour les besoins transverses ont été transférés au programme 333 au 1er janvier 2017 pour les directions régionales.


Les besoins concernés sont les suivants :

- ingénierie de formation pour les besoins dans les domaines métiers du MAA : sécurité et qualité de l’alimentation, politique agricole, enseignement agricole, agriculture durable, forêts, etc. ;

- accompagnement individualisé, via un outil intitulé « parcours de professionnalisation » pour des agents concernés par des changements de métier.


L’ensemble de ces besoins apparaît dans le document régional de formation que les DRAAF présentent chaque année et qui sert de support au dialogue de gestion. Ce document s’articule dans une démarche plus globale de gestion prévisionnelle des effectifs et des compétences que chaque responsable de BOP mène pour les personnels MAA le concernant et pour accompagner les agents dans l’évolution de leurs métiers et la mise en place des priorités politiques du MAA.


Gestion immobilière   AE = CP 304 453 €


Ces crédits concernent les charges de gardiennage et d’entretien des bâtiments pour les DAAF.


    Autres Moyens AE = CP 2 942 589 €

    En 2017, les moyens de fonctionnement courant des DRAAF ont été transférés au programme 333. Sont demeurés sur le programme 215 pour les DRAAF : les frais de déplacement sur convocation de l’administration centrale, les frais de changement de résidence des agents de l’enseignement agricole et les dépenses spécifiques de fonctionnement des agents assumant des missions centrales ou régionales.

    Au montant de crédits indiqué ci-dessus vient s’ajouter le rattachement par voie de fonds de concours de la contribution de FranceAgriMer à la prise en charge des moyens de fonctionnement nécessaires à son personnel intégré dans les services des DRAAF.


      ACTION n° 04    11,0%

      Moyens communs


       

      Titre 2

      Hors titre 2

      Total

      FDC et ADP
      attendus

      Autorisations d'engagement

      36 428 509

      31 201 142

      67 629 651

      50 000

      Crédits de paiement

      36 428 509

      31 805 864

      68 234 373

      50 000


      Cette action regroupe les moyens communs à l’ensemble des services du ministère, dont les finalités sont les suivantes :

      • garantir une formation initiale et une formation permanente de qualité et accompagner les évolutions fonctionnelles et sectorielles des agents ;

      • développer la communication institutionnelle du ministère ;

      • assurer la gouvernance des systèmes d’information ;

      • rationaliser les implantations immobilières de métropole et d’outre-mer ;

      • défendre l’intérêt de l’État devant les juridictions.

       

      Acteurs

      Dans le cadre de cette action, le secrétariat général conduit l’expertise juridique et le traitement du contentieux. Il élabore et coordonne la politique de communication. Il définit les grands axes des politiques informatique et immobilière au niveau ministériel. Il exerce la tutelle de l’Institut national de formation des personnels du ministère (INFOMA).

       

      Organisation

      L’action comporte les postes suivants :

      • la formation initiale des agents de l’État et en particulier les charges de rémunération des élèves et des stagiaires en formation. Sont notamment concernés les élèves ingénieurs des ponts et des eaux et forêts (IPEF), les élèves inspecteurs de la santé publique vétérinaire (ISPV), les élèves ingénieurs de l’agriculture et de l’environnement (IAE) ainsi que les techniciens supérieurs des services affectés à l’INFOMA;

      • les dépenses de personnel des agents mis à disposition par le ministère et au bénéfice du ministère (remboursement de personnel mis à disposition du MAA);

      • les moyens de fonctionnement de l'INFOMA, établissement d’application exclusivement dédié à la formation des fonctionnaires. Les moyens des autres écoles de formation sont inscrits dans le programme « Enseignement supérieur et recherche agricoles », dans la mesure où leur vocation première est de former des personnels civils, formations sanctionnées par la délivrance d’un titre ;

      • les crédits relatifs à la politique informatique qui participent à la réalisation des objectifs ministériels, c’est-à-dire plus particulièrement au développement des projets informatiques structurants et à l’hébergement des infrastructures techniques ;

      • les crédits relatifs à la politique immobilière (métropole et outre-mer) qui portent sur la réhabilitation, la rénovation, les achats et les constructions ;

      • la politique d’information et de communication interne et externe du ministère mise en œuvre par la délégation à l’information et à la communication (DICOM) ;

      • les crédits relatifs aux frais judiciaires et réparations civiles ;

      • le fonds pour la réforme de l’État, qui finance toutes les mesures relatives à l’adaptation et à la modernisation des services, des structures et des méthodes de travail.


       


       


      Éléments de la dépense par nature


      Titre et catégorie

      Autorisations
      d'engagement

      Crédits
      de paiement

      Dépenses de personnel

      36 428 509

      36 428 509

      Rémunérations d’activité

      25 854 331

      25 854 331

      Cotisations et contributions sociales

      10 361 352

      10 361 352

      Prestations sociales et allocations diverses

      212 826

      212 826

      Dépenses de fonctionnement

      21 751 142

      21 205 864

      Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

      20 358 682

      19 813 404

      Subventions pour charges de service public

      1 392 460

      1 392 460

      Dépenses d’investissement

      9 000 000

      10 150 000

      Dépenses pour immobilisations corporelles de l’État

      9 000 000

      10 150 000

      Dépenses d’intervention

      450 000

      450 000

      Transferts aux collectivités territoriales

      450 000

      450 000

      Total

      67 629 651

      68 234 373


      DÉPENSES DE FONCTIONNEMENT


      Actions de communication   AE = CP 1 111 438 €

      La DICOM est chargée de piloter la communication sur les politiques publiques du ministère.

      Elle intervient en appui des décisions du cabinet, du secrétariat général et des directions.

      Les crédits sont concentrés prioritairement sur les outils numériques, la veille et la communication événementielle.

      Une part du budget est consacrée aux infrastructures web: création, déploiement technique, hébergement et maintenance des sites ministériels, missions relatives aux usages et qualité web (test d'accessibilité et de sécurité notamment).

      La DICOM assure également les services d’abonnements print et numérique à la presse, le pilotage des outils de veille média et social média et la diffusion de la revue de presse électronique via les marchés interministériels dédiés. Elle intervient également dans la formation à la prise de parole.

      La DICOM consacre enfin une part importante de ses crédits à la communication événementielle et institutionnelle notamment lors du salon de l'agriculture (SIA) et dans les salons professionnels agricoles, pour lesquels elle est en charge de la création des supports événementiels et des déploiements logistiques.


      Frais judiciaires et réparations civiles  AE = CP 1 943 302 €

      Les frais judiciaires et réparations civiles permettent de payer les condamnations juridictionnelles, les dommages, intérêts et indemnités, les honoraires d’avoués, d’avocats et auxiliaires de justice ainsi que les frais de procédure. Le respect par l’État de ses obligations juridiques, en particulier les paiements de ses condamnations, fait partie des dépenses obligatoires. Il existe toutefois une incertitude sur l’issue réelle des contentieux.

      Les dépenses se décomposent en deux blocs :

      • le contentieux courant : il est représenté par les dossiers d’un montant inférieur à 10 000 € (80 % des dossiers) ;

      • les dossiers plus conséquents susceptibles d’affecter le programme. Il est à noter que les contentieux « métiers » dont le montant dépasse 250 000 €, tout comme les contentieux de série, sont à la charge du programme concerné par l’affaire.


      Réforme de l'État  AE = CP 475 586 €

      Les crédits « Réforme de l’État » alimentent le fonds de modernisation et de réforme (FMR) du ministère chargé de l’agriculture qui constitue un outil essentiel pour accompagner les agents et les structures dans les évolutions induites par la réforme de l’Etat.

      En s'appuyant sur le FMR, le ministère accompagnera les services dans la mise en œuvre des décisions arrêtées au titre du programme « Action publique 2022 » et du Plan de transformation ministériel. Il veillera notamment à « offrir un environnement de travail modernisé aux agents en les impliquant plus dans la définition et le suivi des transformations » .

      À cette fin les projets de modernisation soutenus devront s'inscrire dans les axes prioritaires suivants :

      1) accompagner l’évolution des pratiques managériales et des relations de travail pour renforcer la cohésion d'équipe, l'intelligence collective et l'appropriation des évolutions  ;

      2) conduire le changement par la priorisation des missions, l'anticipation et la mutualisation des compétences ;

      3) améliorer les processus de travail du niveau local au niveau national afin d’améliorer l’efficacité et les conditions de travail.


      Politique immobilière – rénovation  AE : 1 950 000 €  CP : 1 997 625 €

      Ces dépenses sont détaillées ci-après dans la rubrique relative à l'investissement.


      Fonctionnement INFOMA  AE = CP 1 392 460 €

      Ces crédits sont destinés à couvrir d’une part les charges fixes de cet institut de formation, indépendantes du niveau d’activité, et d’autre part les charges variables selon l’effectif d’agents en formation au sein de l’institut.

      L'activité de l'INFOMA est en constante augmentation.

      D'une part, l'INFOMA est de plus en plus sollicité pour la formation continue.

      D'autre part, le flux d'accueil des stagiaires ne cesse de croître : entre 160 et 200 par année contre 143 en 2016.

      Les moyens alloués en PLF 2020 à l’institut lui permettront de faire face à l’augmentation de son activité.


      Remboursement du personnel mis à disposition du MAA   AE = CP 350 000 €

      Les crédits contribuent à assurer le paiement des conventions de mise à disposition de personnels, hors agents de la mutualité sociale agricole.


      Autres financements de personnels  AE = CP 450 000 €

      Ce poste de dépenses concerne le remboursement à la mutualité sociale agricole (MSA) de personnels mis à la disposition du MAA.


      Dépenses informatiques   AE = 14 078 356 €  CP = 13 485 453 €

      Le programme 215 regroupe les dépenses permettant d’assurer le fonctionnement des systèmes d’information pour l’ensemble des politiques publiques soutenues par le ministère hors modernisation du système d’information de l’alimentation (portée par le programme 206). Les besoins recensés pour l'exercice 2020 portent, d’une part, sur des dépenses récurrentes nécessaires au bon fonctionnement des systèmes d'information du ministère, d’autre part, sur le financement de programmes et projets essentiellement pluriannuels, validés et démarrés les années précédentes.


      Au sein de cette sous-action, les crédits (tous titres confondus) se répartissent de manière prévisionnelle de la façon suivante :


      Activités

      AE

      CP

      Services bureautiques

      1 871 000

      1 900 000

      Services d’infrastructures

      3 864 000

      3 900 000

      Services applicatifs

      11 177 356

      10 485 453

      Services mutualisés

      3 166 000

      3 200 000

      Total

      20 078 356

      19 485 453


      Services bureautiques

      Cette rubrique recouvre les dépenses afférentes aux postes de travail, solutions d’impression et télécommunication individuelles, qu’il s’agisse de renouvellement de matériels ou, surtout, de fonctionnement (maintenance et consommations).


      Services d’infrastructures

      Cette rubrique porte des dépenses récurrentes incompressibles qui concernent le fonctionnement global des infrastructures informatiques du MAA : réseaux d’interconnexion, infrastructures des DRAAF-DAAF, centre de production d’Auzeville, services de sécurité.

      Les projets de modernisation se poursuivent, notamment la poursuite du programme OSHIMAE, en une seconde phase d'actions interministérielles engagées sous le pilotage de la DINSIC.

      A noter que les crédits correspondants aux accès des directions départementales interministérielles (DDI) au réseau interministériel de l’État (RIE) sont transférés au programme 333 depuis 2019.


      Services applicatifs

      Une part importante des dépenses informatiques sur le programme 215 porte sur le développement et le maintien en conditions opérationnelles d’applications métiers ou accompagnant les fonctions supports.

      SI métiers

      Outre le maintien en conditions opérationnelles des applications existantes (notamment prise en compte des évolutions réglementaires), les dépenses prévues s’inscrivent pour l’essentiel au sein de programmes pluriannuels d’investissements d’ores et déjà engagé dont certains associent des partenaires extérieurs :

      - SI Alimentation : maintenance en conditions opérationnelles (MCO), d’une part, des applications historiques et, d’autre part, des systèmes développés dans le cadre du programme de refonte RESYTAL dont le cycle 1 s'est achevé en 2018 en parallèle du démarrage du cycle 2 en 2019 ;

      - SI Forêt : finalisation de la réécriture de Sylva (refonte du SI Forêt) et extension en lien avec le Centre national de la propriété forestière (CNPF), notamment pour la création d'une téléprocédure ;

      - SI Pêche : les dépenses prévues chaque année correspondent à la partie portée par le programme 215 ;

      - SI Statistiques : investissements pour répondre aux besoins exprimés pour l'évolution des applications de collecte des données et dispositifs d’enquêtes et surtout pour préparer le prochain recensement agricole (2020) ;

      - SI Enseignement agricole : les crédits prévus permettront la poursuite du programme SIRENA visant la refonte du SI de l’enseignement agricole (gestion des apprenants, gestion des examens, gestion des dotations de l’enseignement privé, brique décisionnelle) dans une optique partagée de rapprochement avec le SI de l’Education Nationale ;

      - SI Économie agricole  : finalisation d’un outil pour la gestion et le cadrage du contrôle des structures (gestion de la pression foncière sur le territoire), enjeu identifié dans la loi n° 2014-1170 du 13 octobre 2014 d’avenir pour l'agriculture, l'alimentation et la forêt et retenu au titre du plan d’actions de simplification du ministère.

      SI supports

      Les dépenses prévues au titre des SI supports concernent soit des projets sensibles (SIRH, gestion des courriers du ministre), soit des projets transverses sur lesquels s’appuient l’ensemble des projets applicatifs (système d’échange inter-applications, référentiels).


      Services mutualisés

      Les services mutualisés recouvrent, d'une part, la MCO du cadriciel Orion sous tendant l'ensemble des applications développées par le MAA ainsi que la maintenance de la forge de développement et, d'autre part, la réalisation et le MCO de briques applicatives pour la gestion de l'information géographique en partenariat avec le MTES (programme GeoIDE).


      Des crédits sont également prévus pour la poursuite et le renforcement de l'accompagnement méthodologique des équipes informatiques ministérielles (Nouvel outil de gestion de projet JIRA, etc.).


      DÉPENSE D'INTERVENTION


      Autres financements de personnels AE = CP 450 000 €

      Les crédits d’intervention de cette action correspondent au versement d’une subvention au gouvernement de la Polynésie pour le transfert sans remplacement de personnels de l’État en poste dans l’administration territoriale polynésienne.


      DÉPENSE D'INVESTISSEMENT


      Politique immobilière – rénovation  AE = 3 000 000 €   CP = 4 150 000 €

                    dont  Maison Alfort  CP = 1 150 000 €


      Administration centrale :

      Le MAA est engagé dans la mise en œuvre du nouveau schéma pluriannuel de stratégie immobilière (SPSI) de son administration centrale validé par France Domaine et le Conseil de l’immobilier de l’Etat (CIE) en 2014.


      Celui-ci prévoit une réorganisation des implantations du MAA en deux pôles.

      Le premier pôle comprend les opérations de rénovation sur les trois sites centraux de Varenne, de Barbet de Jouy et de Lowendal. Le second pôle comprend le site en location de Vaugirard dont le bail a été renouvelé en 2014 et qui arrivera à échéance en 2023.


      Dans ce cadre, dès 2013 et ce jusqu’à fin 2015, le MAA a engagé des travaux conséquents concernant deux des cinq bâtiments du site de Varenne pour environ 8 M€. Après une pause en 2016, le MAA a relancé en 2017 les études concernant les trois bâtiments restants. Les premiers marchés de travaux ont été engagés fin 2018 et un dernier marché sera passé fin 2019. Les paiements s'échelonneront entre 2019 et 2022.


      Du fait des contraintes budgétaires, les travaux, financés aux deux tiers sur le programme 723, devraient se poursuivre jusqu’en 2021 pour un montant global sur tous les programmes de 16,9 M€.


      Ces travaux consisteront principalement à :

      - mettre à niveau la sécurité incendie du site conformément aux dernières normes ;

      - permettre la mise en accessibilité des locaux aux personnes à mobilité réduite ;

      - améliorer les performances immobilières ;

      - rationaliser l’occupation des bâtiments concernés ;

      - câbler les bâtiments pour les mettre en norme TOIP.


      Sur le site de Varenne, des études ont été engagées en 2017 et en 2018 concernant la remise aux normes de l’Hôtel Villeroy qui héberge le ministre et une partie de son cabinet. En effet, du fait de sa vétusté, celui-ci nécessite des travaux significatifs de réhabilitation.


      Le MAA est moteur dans le projet de relocalisation sur le site domanial de Maisons-Alfort de ses opérateurs logés actuellement à l'Arborial dans le cadre d'un loyer privé (17 M€, charges incluses). Dans la continuité des études menées en 2018, des études et des travaux sont à effectuer en 2019 et 2020 afin d'optimiser la mutualisation du site entre les opérateurs présents (ENVA, ANSES et ONF à partir de 2021) et d'affiner l'installation de la seconde phase du pôle agriculture (1er phase [ONF en 2021] et 2ème phase [opérateurs du MAA fin 2025]). Pour la seconde phase, les études démarreront en 2021 avec un recrutement de la maîtrise d’œuvre cette même année. Le marché de travaux sera engagé en 2022 et les travaux de construction se réaliseront entre 2023 et mi 2025.


      Le site de Toulouse où sont hébergés les centres de calculs du MAA a été retenu par la direction interministérielle du numérique et des systèmes d’information et de communication (DINSIC) comme centre nodal du réseau informatique de l’Etat (RIE). Il s’agit d’un projet intitulé « Système Informatique Sud-Ouest» (SISO). A travers le plan d’investissement d’avenir (PIA), des crédits ont été obtenus afin de mettre à niveau ces centres dans le cadre de la future réorganisation interministérielle des systèmes d'informations. Les travaux ont démarré en juillet 2017 et ont été réceptionnés en septembre 2018.


      Le MAA a finalisé en 2016 son schéma directeur électrique sur les sites d'administration centrale de Paris et Toulouse. Approuvé par la secrétaire générale et le haut fonctionnaire de défense et de sécurité, il se fixe des objectifs de qualité de fourniture et de sécurisation en énergie électrique. Les études et travaux vont s'échelonner sur 2019-2020.


      Le MAA démarre la mise en œuvre d’un plan de rénovation des huisseries pour Varenne et Barbet de Jouy. Les travaux seront réalisés principalement en 2019 et seront également financés via le BOP 723 (entretien du propriétaire).

      Enfin, le MAA prévoit pour l’ensemble des sites parisiens et son centre informatique de Toulouse des crédits permettant de réaliser des travaux courants d’entretien et de maintenance.


      Services déconcentrés d’outre-mer :

      Au-delà de son administration centrale, le MAA poursuit sa politique de soutien à l’immobilier de ses directions de l’agriculture, de l’alimentation et de la forêt (DAAF) d’outre-mer dont les conditions d’hébergement sont souvent dégradées (bâtiments vétustes, services répartis sur plusieurs sites, etc.).

      En 2015, le MAA a terminé le regroupement sur un site unique de l’ensemble des agents de la DAAF de Guyane. L’opération a consisté à construire un bâtiment neuf venant compléter l’immeuble existant. En 2016, des travaux ont été effectués concernant la consolidation du parking et de sécurisation des logements de fonction. En 2020, la Guyane souhaiterait poursuivre les travaux de mises aux normes et de sécurisation des logements de fonction, ainsi que des travaux portant sur l’extension et la réorganisation d’une partie de ses locaux.


      A Mayotte, les services de la DAAF devraient déménager avec d’autres services de l’Etat, au sein des locaux de la direction de l’environnement de l’aménagement et du logement (DEAL).

      Ce projet nécessitera d’importants travaux qui consisteront en une extension des locaux de la DEAL. Initialement budgété pour un démarrage en 2019, le projet ne devrait être amorcé qu’en 2020.


      Par ailleurs, le MAA prévoit chaque année des crédits permettant de faire face aux besoins urgents que rencontrent régulièrement les DAAF.



      Dépenses informatiques   AE = CP  6 000 000 €


      Les dépenses d’informatiques ont été détaillées dans la rubrique relative au fonctionnement. Elles concernent principalement les développements informatiques des différents systèmes d'information ainsi que l'acquisition de matériel informatique .


      Synthèse des opérateurs du programme

      Récapitulation des crédits alloués aux opérateurs de l'État


      (en milliers d'euros)

       

      LFI 2019

      PLF 2020

      Opérateur ou Subvention

      Autorisations
      d’engagement
       

      Crédits
      de paiement

      Autorisations
      d’engagement

      Crédits
      de paiement

      Ecoles d'enseignement supérieur agricole et vétérinaire (P142)

      0

      0

      0

      0

      INRAE - Institut national pour la recherche en agriculture, alimentation et environnement (P172)

      0

      0

      0

      0

      CNRS - Centre national de la recherche scientifique (P172)

      0

      0

      0

      0

      INFOMA - Institut national de formation des personnels du ministère de l'agriculture (P215)

      1 351

      1 351

      1 392

      1 392

      Subvention pour charges de service public

      1 351

      1 351

      1 392

      1 392

      CNPF - Centre national de la propriété forestière (P149)

      0

      0

      0

      0

      Total

      1 351

      1 351

      1 392

      1 392

      Total des subventions pour charges de service public

      1 351

      1 351

      1 392

      1 392

      Total des dotations en fonds propres

      0

      0

      0

      0

      Total des transferts

      0

      0

      0

      0



      Consolidation des emplois


         Emplois des opérateurs

       

      LFI 2019

      PLF 2020

      Intitulé de l'opérateur

      ETPT rémunérés
      par d’autres
      programmes
      (1)

      ETPT rémunérés
      par ce
      programme
      (1)

      ETPT rémunérés
      par les opérateurs

      ETPT rémunérés
      par d’autres
      programmes
      (1)

      ETPT rémunérés
      par ce
      programme
      (1)

      ETPT rémunérés
      par les opérateurs

      sous
      plafond

      hors
      plafond

      dont
      contrats
      aidés

      dont
      apprentis

      sous
      plafond

      hors
      plafond

      dont
      contrats
      aidés

      dont
      apprentis

      INFOMA - Institut national de formation des personnels du ministère de l'agriculture

      45

      6

      45

      6

      Total

      45

      6

      45

      6


      (1) Emplois des opérateurs inclus dans le plafond d'emplois du ministère



         Plafond des autorisations d'emplois des opérateurs du programme


      ETPT

      Emplois sous plafond 2019

      6

      Extension en année pleine du schéma d'emplois de la LFI 2019

      Impact du schéma d'emplois 2020

      Solde des transferts T2/T3

      Solde des transferts internes

      Solde des mesures de périmètre

      Corrections techniques

      Abattements techniques

      Emplois sous plafond PLF 2020

      6

      Rappel du schéma d’emplois 2020 en ETP