$@FwLOVariable(annee,2020)

$@FwLOVariable(numProg,142)

$@FwLOVariable(libelleProg,Enseignement supérieur et recherche agricoles)

$@FwLOVariable(enteteSousTitre,Opérateurs)

$@FwLOStyle(styleB3Programme, non)

Opérateurs


Associations de coordination technique agricole et des industries agroalimentaires


   Analyse de l’activité et des résultats de l’opérateur

L’Association de coordination technique agricole (ACTA) et l’Association de coordination technique des industries agroalimentaires (ACTIA), associations loi 1901, sont les « structures nationales de coordination » des réseaux d’instituts et de centres techniques, agricoles pour la première et agroalimentaires pour la seconde. Elles jouent un rôle fondamental d’interface entre la recherche publique académique et les professionnels (agriculteurs et industriels), indispensable pour l’innovation. Elles sélectionnent, soutiennent et évaluent des projets de recherche appliquée. Elles assurent la cohérence des projets financés et leur adéquation avec les orientations stratégiques pluriannuelles retenues. Le ministère souhaite renforcer le rôle d’animation de ces structures.
 

L’ACTA et l’ACTIA sont rattachées à l’action « Recherche, développement et transfert de technologies » qui regroupe le financement d’opérations venant d’une part en appui aux politiques publiques du ministère (formation à et par la recherche, aide à la décision publique, appui aux secteurs économiques), et visant d'autre part à renforcer les interactions et les échanges entre la formation, la recherche et le développement dans les domaines de l’agriculture, de l’alimentation et du développement des territoires ruraux.

 

Des contrôleurs généraux économiques et financiers sont nommés par le ministre en charge de l’économie et du budget auprès de l'ACTIA et de l'ACTA. Ils assistent aux conseils d'administration des deux organisations. Un représentant de l’État, nommé par le ministre chargé de l’agriculture, participe également aux conseils d'administration de l'ACTA. L'ACTA et l'ACTIA sont dotés de conseils scientifiques et techniques auxquels assistent le ministère chargé de l'agriculture et le ministère chargé de la recherche, ainsi que le ministère chargé de l'environnement pour le conseil d’orientation scientifique et technique (COST) de l’ACTA. Ces conseils peuvent être saisis par le ministère pour expertiser des questions relatives aux Instituts techniques agricoles (ITA) et Instituts techniques agro-industriels (ITAI).


Les deux contrats d’objectifs – un pour chacune des deux associations – signés avec l'ACTA fin 2013 et avec l'ACTIA début 2014, pour la période 2014-2020, sont en cours de renouvellement.


Le ministère souhaite rationaliser les réseaux existants, renforcer l’excellence de la recherche effectuée dans les instituts et centres techniques et développer leurs liens avec la recherche et la formation. À cet effet, en application de la loi n°2006-11 du 5 janvier 2006 d’orientation agricole, le ministère a élaboré une procédure de qualification des instituts et centres techniques (la qualification de l’ACTA et de l’ACTIA a été renouvelée en 2018 pour une période de 5 ans) et promeut de nouvelles formes de partenariat avec les organismes de recherche et d’enseignement supérieur (unités mixtes technologiques et réseaux mixtes technologiques).


 

 

   Financement apporté à l’opérateur par le budget de l’État

(en milliers d'euros)

 

Réalisation 2019

Prévision LFI 2020

Réalisation 2020

Programme intéressé
Nature de la dépense
 

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

P149 – Compétitivité et durabilité de l'agriculture, de l'agroalimentaire, de la forêt, de la pêche et de l'aquaculture

70

70

 

 

181

125

Subventions pour charges de service public

0

70

 

 

 

 

Transferts

70

 

 

 

181

125

P206 – Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation

299

279

 

 

 

106

Subventions pour charges de service public

-2

69

 

 

 

106

Transferts

301

210

 

 

 

 

P159 – Expertise, économie sociale et solidaire, information géographique et météorologie

 

 

 

 

10

10

Transferts

 

 

 

 

10

10

P142 – Enseignement supérieur et recherche agricoles

4 724

4 724

4 901

4 901

4 707

4 707

Subventions pour charges de service public

684

684

679

679

687

687

Transferts

4 040

4 040

4 221

4 221

4 019

4 019

P775 – Développement et transfert en agriculture

 

 

 

 

120

36

Transferts

 

 

 

 

120

36

P776 – Recherche appliquée et innovation en agriculture

6 354

6 052

6 000

6 000

6 763

5 624

Subventions pour charges de service public

3 235

3 179

 

 

-124

561

Transferts

3 118

2 873

6 000

6 000

6 887

5 063

Total

11 447

11 125

10 901

10 901

11 781

10 608

 

S'agissant des crédits du programme 142, afin de stimuler l’innovation, en application de la loi n°2006-11 du 5 janvier 2006 d’orientation agricole, le ministère chargé de l’agriculture met en œuvre une procédure de qualification des instituts et centres techniques qui s’impliquent de manière pérenne dans des démarches collaboratives, en synergie avec des établissements de recherche ou d’enseignement agricole. Ces crédits ont permis de financer, entre autres, des différents dispositifs en lien avec la qualification des instituts techniques que sont les unités mixtes technologiques (UMT) relevant du réseau ACTA et du réseau ACTIA et les réseaux mixtes technologiques (RMT) relevant du réseau ACTIA et la réalisation des missions d’intérêt général assignées aux instituts techniques agro-industriels (ITAI)

L'exécution des crédits en AE et en CP est conforme à la prévision de la LFI.


Pour ce qui concerne les crédits provenant du programme 776 du CASDAR, l'exécution en CP est également en ligne avec la prévision de la LFI. L'écart en AE par rapport à la LFI correspond aux sommes allouées aux projets lauréats 2020 des appels à projets, ce qui ne peut être prévisible lors de l'élaboration du PLF.

Ces crédits ont permis à ACTA d'accomplir sa mission, en tant que tête de réseau, de coordination des travaux conduits sur certaines thématiques prioritaires d'intérêt commun (actions thématiques transversales, actions des instituts techniques agricoles, etc.).

 

   Compte financier 2020

Avertissement
La situation du compte financier au regard de son vote n'est pas renseignée. Le compte financier de l’opérateur n’a pas été certifié par un commissaire aux comptes.

 

Compte de résultat

 

(en milliers d'euros)

Charges

Budget
initial
2020

Compte
financier
2020 *

Produits

Budget
initial
2020

Compte
financier
2020 *

Personnel

3 933

3 589

Subventions de l'État

7 339

6 907

  dont contributions employeur au CAS pensions

 

 

  – subventions pour charges de service public

689

687

 

 

  – crédits d'intervention( transfert)

6 650

6 220

Fonctionnement autre que les charges de personnel

2 564

2 316

Fiscalité affectée

 

 

Intervention (le cas échéant)

3 058

3 111

Autres subventions

438

371

Total des charges non décaissables sur le fonctionnement et/ou l’intervention

57

205

Revenus d’activité et autres produits

1 779

1 784

  dont dotations aux amortissements, dépréciations et provisions

57

205

  dont reprises sur amortissements, dépréciations et provisions

 

119

  dont valeur nette comptable des éléments d'actif cédés

 

 

  dont produits de cession d’éléments d’actif

 

 

 

 

  dont quote-part reprise au résultat des financements rattachés à des actifs

 

 

Total des charges

9 555

9 016

Total des produits

9 556

9 062

Résultat : bénéfice

1

46

Résultat : perte

 

 

Total : équilibre du CR

9 556

9 062

Total : équilibre du CR

9 556

9 062


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée

 

Évolution de la situation patrimoniale

 

(en milliers d'euros)

Emplois

Budget
initial
2020

Compte
financier
2020 *

Ressources

Budget
initial
2020

Compte
financier
2020 *

Insuffisance d'autofinancement

 

 

Capacité d'autofinancement

58

132

Investissements

32

4

Financement de l'actif par l'État

 

 

 

 

Financement de l'actif par les tiers autres que l'État

 

 

 

 

Autres ressources

 

 

Remboursement des dettes financières

 

 

Augmentation des dettes financières

 

 

Total des emplois

32

4

Total des ressources

58

132

Augmentation du fonds de roulement

26

128

Diminution du fonds de roulement

 

 


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée

 

Du point de vue comptable, le montant inscrit en financement de l’actif par l’État ne correspond pas nécessairement au montant des CP notifié : les subventions reçues ne sont comptabilisées qu’en fonction de la réalisation effective des opérations.

 

   Consolidation des emplois de l’opérateur

 

Réalisation 2019
(1)

Prévision 2020
(2)

Réalisation 2020

Emplois rémunérés par l'opérateur :

 

 

51

  – sous plafond

 

 

 

  – hors plafond

 

 

51

        dont contrats aidés

 

 

 

        dont apprentis

 

 

 

Autres emplois en fonction dans l'opérateur :

 

 

 

  – rémunérés par l'État par ce programme

 

 

 

  – rémunérés par l'État par d'autres programmes

 

 

 

  – rémunérés par d'autres collectivités ou organismes

 

 

 


(1) La réalisation reprend la présentation du RAP 2019.


(2) La prévision fait référence aux plafonds des autorisations d'emplois votés en loi de finances initiale ou, le cas échéant, en lois de finances rectificatives 2020.

 

 

Ecoles d'enseignement supérieur agricole et vétérinaire


   Analyse de l’activité et des résultats de l’opérateur

Les onze établissements publics d'enseignement supérieur agricole placés sous la tutelle du ministère chargé de l’agriculture sont des établissements d’enseignement supérieur au sens des articles L. 123-1 et suivants du code de l’éducation. Ils exercent des missions d’enseignement et de recherche dans les domaines de la formation d’ingénieurs en sciences et techniques agronomiques, environnementales, agroalimentaires, horticoles et forestières, de vétérinaires, de paysagistes, de cadres spécialisés, d’enseignants, de chercheurs prévues à l'article L812-1 du code rural et de la pèche maritime.


En 2019-2020, les effectifs d’étudiants dans les cursus de référence des établissements d’enseignement supérieur agricole publics étaient de 5 022 ingénieurs, 2 944 vétérinaires et 162 paysagistes, soit 8 128 étudiants, alternants et élèves fonctionnaires (IAE). Ces établissements publics accueilleront 1 700 étudiants supplémentaires à l’horizon 2024 pour tenir compte de la démographie de la population étudiante.


Ces établissements assurent par ailleurs d’autres cursus de formation (licences pro, masters, doctorat, mastères spécialisés, diplôme national d’œnologue, etc.) suivis par 2 086 personnes au cours de la même année scolaire.


Ils constituent une catégorie particulière d’établissements publics créés en application de l’article L.812-3 du code rural et de la pêche maritime. Six d’entre-eux revêtent la forme d’établissement public à caractère administratif (EPA) régis par les articles R.812-3 à R.812-24 du code rural et de la pêche maritime.

Les cinq établissements issus de regroupements d’écoles ont pris la forme d’établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel (EPSCP). Ces établissements sont constitués sous la forme de « grand établissement », au sens de l’article L.717-1 du code de l’éducation. Leurs règles d’organisation et de fonctionnement sont fixées par un décret en Conseil d’État.


Les établissements d’enseignement supérieur agricole publics, énumérés à l’article D.812-1 du code rural et de la pêche maritime, se répartissent comme suit :

–  Cinq EPSCP « grands établissements » :

1° L’Institut national  d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Institut Agro),

2° L’Institut des sciences et industries du vivant et de l'environnement (Agro Paris Tech),

3° L’Institut national supérieur des sciences agronomiques, de l'alimentation et de l'environnement (Agrosup Dijon),

4° L’institut d’enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l’environnement (Vet Agro Sup),

5° L’École nationale vétérinaire, agroalimentaire et de l’alimentation Nantes-Atlantique (ONIRIS).


–  Six établissements régis par le code rural et de la pêche maritime :

6° L’École nationale vétérinaire d'Alfort,

7° L’École nationale vétérinaire de Toulouse,

8° L’École nationale supérieure de paysage,

9° L’École nationale supérieure de formation de l’enseignement agricole,

10° L’École nationale supérieure des sciences agronomiques de Bordeaux Aquitaine (Bordeaux Sciences Agro),

11° L’École nationale du génie de l'eau et de l'environnement de Strasbourg.


Les établissements publics d’enseignement supérieur sont principalement financés par l’action 01 « enseignement supérieur » du programme 142. Cette action permet de soutenir leur fonctionnement ainsi que leurs investissements. Par ailleurs, les établissements bénéficient de subventions destinées à favoriser la formation des étudiants par la recherche : ces financements sont attribués à des unités de recherche, soit relevant en propre des établissements, soit associées à des organismes de recherche, formant ainsi des unités mixtes de recherche (UMR) ; ces subventions sont inscrites sur l’action 2, « développement et transfert de technologie ».

 

   Financement apporté à l’opérateur par le budget de l’État

(en milliers d'euros)

 

Réalisation 2019

Prévision LFI 2020

Réalisation 2020

Programme intéressé
Nature de la dépense
 

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

P185 – Diplomatie culturelle et d'influence

 

6

 

 

 

1

Transferts

 

6

 

 

 

1

P149 – Compétitivité et durabilité de l'agriculture, de l'agroalimentaire, de la forêt, de la pêche et de l'aquaculture

46

66

 

 

-14

156

Subventions pour charges de service public

3

33

 

 

 

 

Transferts

43

33

 

 

-14

156

P206 – Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation

2 424

2 659

855

881

2 362

2 269

Subventions pour charges de service public

355

617

855

881

100

192

Transferts

2 069

2 042

 

 

2 262

2 076

P215 – Conduite et pilotage des politiques de l'agriculture

2 537

2 516

 

 

890

908

Subventions pour charges de service public

46

25

 

 

10

29

Dotations en fonds propres

1 500

1 500

 

 

 

 

Transferts

991

991

 

 

880

880

P209 – Solidarité à l'égard des pays en développement

 

6

 

 

 

 

Transferts

 

6

 

 

 

 

P167 – Liens entre la Nation et son armée

2

2

 

 

 

 

Transferts

2

2

 

 

 

 

P224 – Transmission des savoirs et démocratisation de la culture

10

10

 

 

 

 

Transferts

10

10

 

 

 

 

P205 – Affaires maritimes

 

 

 

 

2

2

Transferts

 

 

 

 

2

2

P113 – Paysages, eau et biodiversité

240

262

 

 

201

200

Transferts

240

262

 

 

201

200

P159 – Expertise, économie sociale et solidaire, information géographique et météorologie

 

4

 

 

 

 

Transferts

 

4

 

 

 

 

P141 – Enseignement scolaire public du second degré

4

4

 

 

10

10

Transferts

4

4

 

 

10

10

P143 – Enseignement technique agricole

3 996

3 996

 

 

2 946

2 936

Subventions pour charges de service public

3 868

3 868

 

 

 

 

Transferts

128

128

 

 

2 946

2 936

P150 – Formations supérieures et recherche universitaire

1 090

1 090

1 138

1 138

929

929

Subventions pour charges de service public

1 090

1 090

1 138

1 138

929

929

P231 – Vie étudiante

33

33

 

 

23

23

Subventions pour charges de service public

15

15

 

 

4

4

Transferts

18

18

 

 

19

19

P172 – Recherches scientifiques et technologiques pluridisciplinaires

200

197

 

 

200

180

Dotations en fonds propres

200

197

 

 

200

180

P190 – Recherche dans les domaines de l'énergie, du développement et de la mobilité durables

 

 

 

 

 

 

Subventions pour charges de service public

 

 

 

 

 

 

Transferts

 

 

 

 

 

 

P192 – Recherche et enseignement supérieur en matière économique et industrielle

 

47

 

 

 

 

Transferts

 

47

 

 

 

 

P142 – Enseignement supérieur et recherche agricoles

59 842

60 625

62 094

62 957

40 810

46 740

Subventions pour charges de service public

39 960

39 958

41 264

41 264

29 963

33 917

Dotations en fonds propres

15 187

15 973

15 279

16 142

7 611

9 587

Transferts

4 695

4 695

5 551

5 551

3 235

3 235

P200 – Remboursements et dégrèvements d'impôts d'État (crédits évaluatifs)

 

2

 

 

 

10

Transferts

 

2

 

 

 

10

P204 – Prévention, sécurité sanitaire et offre de soins

25

25

 

 

 

 

Subventions pour charges de service public

25

25

 

 

 

 

P135 – Urbanisme, territoires et amélioration de l'habitat

 

90

 

 

69

31

Transferts

 

90

 

 

69

31

P112 – Impulsion et coordination de la politique d'aménagement du territoire

70

167

 

 

115

119

Transferts

70

167

 

 

115

119

P147 – Politique de la ville

105

105

 

 

91

91

Transferts

105

105

 

 

91

91

P776 – Recherche appliquée et innovation en agriculture

64

23

 

 

487

267

Subventions pour charges de service public

-1

2

 

 

 

 

Transferts

65

21

 

 

487

267

P723 – Opérations immobilières et entretien des bâtiments de l'État

 

 

 

 

681

545

Dotations en fonds propres

 

 

 

 

681

545

Total

70 687

71 934

64 087

64 975

49 802

55 417

 

S'agissant des crédits provenant du programme 206, ils correspondent, pour l'essentiel, aux subventions versées à l’École nationale vétérinaire de Toulouse (ENVT) au titre de la mise en œuvre de stages de tutorat d'étudiants des écoles nationales vétérinaires, afin d'assurer le maintien de la profession vétérinaire en milieu rural et pour diverses prestations (plan « Ecoantibio 2 »,  évaluation économique des mesures de contrôle de la tuberculose bovine, etc.).

 

Concernant le programme 143, les crédits sont destinés au financement du dispositif national d’appui à l’enseignement agricole technique mis en œuvre par les établissements nationaux d’appui (AgroSup Dijon, Agrocampus Ouest, Montpellier SupAgro, etc.).

 

Pour ce qui concerne le financement du P776 reçu par les écoles d'enseignement supérieur agricole et vétérinaire, l'écart par rapport à la LFI correspond aux  sommes allouées aux projets lauréats 2020 des appels à projets, ce qui ne peut être prévisible lors de l'élaboration du PLF.

 

   Compte financier 2020

Avertissement
La situation du compte financier au regard de son vote n'est pas renseignée. Le compte financier de l’opérateur n’a pas été certifié par un commissaire aux comptes.

 

Compte de résultat

 

(en milliers d'euros)

Charges

Budget
initial
2020

Compte
financier
2020 *

Produits

Budget
initial
2020

Compte
financier
2020 *

Personnel

65 060

59 574

Subventions de l'État

58 451

58 448

  dont contributions employeur au CAS pensions

319

328

  – subventions pour charges de service public

58 451

58 448

 

 

  – crédits d'intervention( transfert)

 

 

Fonctionnement autre que les charges de personnel

228 901

204 714

Fiscalité affectée

277

416

Intervention (le cas échéant)

 

 

Autres subventions

19 099

14 098

Total des charges non décaissables sur le fonctionnement et/ou l’intervention

27 541

38 297

Revenus d’activité et autres produits

121 462

109 511

  dont dotations aux amortissements, dépréciations et provisions

27 541

37 051

  dont reprises sur amortissements, dépréciations et provisions

8 820

4 934

  dont valeur nette comptable des éléments d'actif cédés

 

1 246

  dont produits de cession d’éléments d’actif

20

302

 

 

  dont quote-part reprise au résultat des financements rattachés à des actifs

6 474

14 518

Total des charges

293 961

264 288

Total des produits

199 288

182 472

Résultat : bénéfice

 

 

Résultat : perte

94 673

81 816

Total : équilibre du CR

293 961

264 288

Total : équilibre du CR

293 961

264 288


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée

 

Évolution de la situation patrimoniale

 

(en milliers d'euros)

Emplois

Budget
initial
2020

Compte
financier
2020 *

Ressources

Budget
initial
2020

Compte
financier
2020 *

Insuffisance d'autofinancement

82 445

63 273

Capacité d'autofinancement

 

 

Investissements

57 328

29 772

Financement de l'actif par l'État

15 920

8 768

 

 

Financement de l'actif par les tiers autres que l'État

12 539

5 218

 

 

Autres ressources

273

857

Remboursement des dettes financières

640

679

Augmentation des dettes financières

45 107

15 440

Total des emplois

140 414

93 723

Total des ressources

73 838

30 284

Augmentation du fonds de roulement

 

 

Diminution du fonds de roulement

66 575

63 439


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée

 

Ces données correspondent à la somme des comptes financiers 2020 des 11 établissements d'enseignement supérieur agricole en cours d'approbation par leurs Conseils d'Administration.
Elles intègrent le portage budgétaire par AgroParisTech du financement de son déménagement à Palaiseau et reflètent des situations contrastées du fait de la crise sanitaire en cours que le calendrier de production des RAP ne permet pas d'expertiser dans le détail.

 

Autorisations budgétaires

 

(en milliers d'euros)

Dépenses

Budget initial 2020

Compte financier 2020 *

AE

CP

AE

CP

Personnel

65 233

65 233

59 534

59 534

Fonctionnement

198 946

200 924

1 691 343

164 671

Intervention

0

0

0

0

Investissement

48 427

57 579

34 807

29 568

Enveloppe recherche

0

0

0

0

- Personnel

0

0

0

0

- Fonctionnement

0

0

0

0

- Investissement

0

0

0

0

Total des dépenses AE (A) CP (B)

312 605

323 737

1 785 684

253 773

dont contributions employeur au CAS pensions

319

319

328

328


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée

A compter du budget initial 2021, l'enveloppe recherches n'est plus cumulée aux lignes précédentes pour établir le total des dépenses.

 

 

(en milliers d'euros)

Recettes

Budget initial
2020

Compte financier
2020 *

Recettes globalisées

164 712

147 668

Subvention pour charges de service public

44 626

43 608

Autres financements de l’État

9 478

12 779

Fiscalité affectée

277

415

Autres financements publics

9 644

9 434

Recettes propres

100 686

81 433

Recettes fléchées

115 310

102 100

Financements de l’État fléchés

18 673

14 856

Autres financements publics fléchés

21 472

9 320

Recettes propres fléchées

75 166

77 924

Total des recettes  (C)

280 022

249 768

Solde budgétaire (excédent)  (D1 = C – B)

0

0

Solde budgétaire (déficit)  (D2 = B – C)

43 715

4 004


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée

 

Dépenses par destination

(en milliers d'euros)

Destination

Budget initial   
Compte financier * 

Personnel

Fonctionnement

Intervention

Investissement

Total

AE = CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

Total

65 233
59 534

198 946
169 134

200 924
164 671

0
0

0
0

48 427
34 807

57 579
29 568

312 605
263 476

323 737
253 773

Total

65 233
59 534

198 946
169 134

200 924
164 671

0
0

0
0

48 427
34 807

57 579
29 568

312 605
263 476

323 737
253 773


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée


 

Équilibre financier

(en milliers d'euros)

Besoins

Budget initial
2020

Compte financier
2020 *

Solde budgétaire (déficit)  (D2)

43 715

4 004

Remboursements d'emprunts (capital), nouveaux prêts (capital), dépôts et cautionnements

685

683

Opérations au nom et pour le compte de tiers : besoins

54 645

18 867

Autres décaissements non budgétaires

2 231

2 080

Sous-total des opérations ayant un impact négatif sur la trésorerie de l'organisme  (1)

101 276

25 633

ABONDEMENT de la trésorerie  = (2) - (1)

0

12 429

Abondement de la trésorerie fléchée

0

21 126

Abondement de la trésorerie non fléchée

0

0

Total des besoins

101 276

38 062


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée

 

(en milliers d'euros)

Financements

Budget initial
2020

Compte financier
2020 *

Solde budgétaire (excédent)  (D1)

0

0

Nouveaux emprunts (capital), remboursements de prêts (capital), dépôts et cautionnements

45 152

15 433

Opérations au nom et pour le compte de tiers : financement

10 208

19 678

Autres encaissements non budgétaires

2 400

2 951

Sous-total des opérations ayant un impact positif sur la trésorerie de l'organisme  (2)

57 760

38 062

PRÉLÈVEMENT sur la trésorerie  = (1) - (2)

43 516

0

Prélèvement sur la trésorerie fléchée

32 536

0

Prélèvement sur la trésorerie non fléchée

10 980

8 697

Total des financements

101 276

38 062


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée

 

Ces données correspondent à la somme des comptes financiers 2020 des 11 établissements d'enseignement supérieur agricole en cours d'approbation par leurs Conseils d’Administration.

Les opérations pour compte de tiers concernent la TVA, les flux financiers dans le cadre de l'opération Saclay mais aussi les divers dispositifs de bourses financés par des tiers.

 

   Consolidation des emplois de l’opérateur

 

Réalisation 2019
(1)

Prévision 2020
(2)

Réalisation 2020

Emplois rémunérés par l'opérateur :

1 366

1 516

1 364

  – sous plafond

1 051

1 202

1 042

  – hors plafond

315

314

322

        dont contrats aidés

11

14

9

        dont apprentis

 

 

 

Autres emplois en fonction dans l'opérateur :

 

2 747

2 727

  – rémunérés par l'État par ce programme

 

2 747

2 727

  – rémunérés par l'État par d'autres programmes

 

 

 

  – rémunérés par d'autres collectivités ou organismes

 

 

 


(1) La réalisation reprend la présentation du RAP 2019.


(2) La prévision fait référence aux plafonds des autorisations d'emplois votés en loi de finances initiale ou, le cas échéant, en lois de finances rectificatives 2020.

 

Les emplois hors plafond sont financés sur les ressources propres des établissements, notamment les crédits des conventions de recherche et de prestation. La sur-exécution s'explique par la disponibilité de ces crédits, donc une sous-budgétisation prudente (difficulté des prévoir les recettes des contrats de recherche qui dépendent de leur taux de réussite).
La sous-consommation des emplois sous plafond s'explique par la mise en œuvre d'une politique de recrutement vertueuse fondée sur le principe de soutenabilité budgétaire et dans un contexte de relative attractivité des postes à pourvoir en région parisienne.