$@FwLOVariable(annee,2020)

$@FwLOVariable(numProg,224)

$@FwLOVariable(libelleProg,Transmission des savoirs et démocratisation de la culture)

$@FwLOVariable(enteteSousTitre,Justification au premier euro)

$@FwLOStyle(styleB3Programme, non)

Justification au premier euro


Éléments transversaux au programme

 

Éléments de synthèse du programme


 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

Numéro et intitulé de l'action
ou de la sous-action

Prévision LFI 
Consommation 

Titre 2 *
Dépenses
de personnel

Autres titres *

Total
y.c. FdC et AdP

Titre 2 *
Dépenses
de personnel

Autres titres *

Total
y.c. FdC et AdP

01 – Soutien aux établissements d'enseignement supérieur et insertion professionnelle

 
 

237 119 236
256 141 152

243 019 236
256 141 152

 
 

232 903 093
230 889 801

238 803 093
230 889 801

02 – Soutien à la démocratisation et à l'éducation artistique et culturelle

 
 

198 183 353
198 265 506

198 183 353
198 265 506

 
 

198 356 652
198 676 396

198 356 652
198 676 396

06 – Action culturelle internationale

 
 

7 385 969
5 680 175

7 385 969
5 680 175

 
 

7 385 969
5 967 703

7 385 969
5 967 703

07 – Fonctions de soutien du ministère

661 067 751
650 091 504

62 833 916
39 186 117

724 296 667
689 277 621

661 067 751
650 091 504

60 907 467
65 928 756

722 370 218
716 020 260

09 – Langue française et langues de France

 
 

3 224 338
3 418 630

3 224 338
3 418 630

 
 

3 224 338
3 425 047

3 224 338
3 425 047

Total des crédits prévus en LFI *

661 067 751

508 746 812

1 169 814 563

661 067 751

502 777 519

1 163 845 270

Ouvertures / annulations y.c. FdC et AdP

-9 855 912

+10 842 012

+986 100

-9 855 912

+20 450 523

+10 594 611

Total des crédits ouverts

651 211 839

519 588 824

1 170 800 663

651 211 839

523 228 042

1 174 439 881

Total des crédits consommés

650 091 504

502 691 580

1 152 783 084

650 091 504

504 887 702

1 154 979 206

Crédits ouverts - crédits consommés

+1 120 335

+16 897 244

+18 017 578

+1 120 335

+18 340 340

+19 460 675


* hors FdC et AdP pour les montants de la LFI

 

Total des autorisations de fongibilité asymétrique délivrées au programme : 524 337 €.

 

 

   Passage du PLF à la LFI

 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

 

Titre 2
 

Autres titres

Total

Titre 2

Autres titres

Total

PLF

661 067 751

514 704 300

1 175 772 051

661 067 751

508 735 007

1 169 802 758

Amendements

0

-5 957 488

-5 957 488

0

-5 957 488

-5 957 488

LFI

661 067 751

508 746 812

1 169 814 563

661 067 751

502 777 519

1 163 845 270

 

 

   Justification des mouvements réglementaires et des lois de finances rectificatives

Les mouvements suivants ont impacté les crédits ouverts en gestion 2020 :


1/ Crédits hors dépenses de personnel


Décrets de transfert et de virement (1,19 M€ en AE et 0,91 M€ en CP)


  • -10 000 € en AE et en CP au titre du soutien à l’association mémorielle Ibuka ;

  • -38 000 € en AE et en CP au titre des dépenses de communication du festival de l’histoire de l’art de la DICOM à l’INHA ;

  • -66 000 € en AE et en CP au titre de la participation du ministère de la culture au projet d’AMOA Tragged :

  • +150 000 € en AE et en CP au titre du projet VaaS 1 ;

  • -1 079 450€ en AE et -853 250 € en CP au titre du projet Mac Vitam ;

  • -125 100 € en AE et en CP au titre du projet Adamant ;

  • +150 000 € en AE et en CP au titre du projet VAS (phase 1 et 2) ;

  • +29 380 € en AE et en CP au titre de la prime Covid pour les opérateurs du programme ;

  • +52 135 € en AE et en CP au titre de la régularisation du transfert d'un emploi titularisé Sauvadet en provenance du Mucem.


Loi de finances rectificatives (-3,56 M€ en AE et -3,32 M€ en CP)


  • la loi de finances rectificative n° 2020-935 du 30 juillet 2020 de finances rectificative pour 2020 a ouvert 10 000 000 € en AE et en CP sur les crédits hors titre 2 du programme au titre du dispositif « été culturel et apprenant » ;

  • la loi de finances rectificative n° 2020-1473 du 30 novembre 2020 de finances rectificative pour 2020 a annulé 13 563 030 € en AE et 13 324 258 € en CP.


Reports (12,31 M€ en AE et 17,27 M€ en CP)


  • l’arrêté du 30 janvier 2020 portant report de crédits a ouvert 345 227,98 € en AE au titre du report des AE affectées non engagées ;

  • l’arrêté du 7 février 2020 portant report de crédits a ouvert 1 771 885 € en AE et 5 940 380 € en CP au titre du report des crédits de fonds de concours ;

  • l’arrêté du 12 février 2020 portant report de crédits a ouvert 10 196 002€ en AE et 11 328 674 € en CP au titre du report de crédits de droit commun.


2/ Crédits de titre 2


Décrets de transfert et de virement (-3,20 M€ en AE et en CP)


  • -38 232 € en AE et en CP au titre de crédits catégoriels supplémentaires (mesures CHED et ICCEAAC) pour le musée du Louvre ;

  • -10 552 € en AE et en CP au titre de crédits catégoriels supplémentaires (mesures CHED et ICCEAAC) pour le musée d’Orsay ;

  • -4 734 € en AE et en CP au titre de crédits catégoriels supplémentaires (mesures CHED et ICCEAAC) pour la BnF ;

  • -502 338 € en AE et en CP au titre des mesures catégorielles pour les EP du patrimoines (Louvre, Orsay, Versailles, CMN) ;

  • -50 820 € en AE et en CP au titre de la prime Covid pour les opérateurs du programme 131 ;

  • -125 590 € en AE et en CP au titre de la prime Covid pour les opérateurs du programme 175 ;

  • -62 700 € en AE et en CP au titre de la prime Covid pour les opérateurs du programme 334 ;

  • -367 581 € en AE et en CP au titre de la régularisation des surcoûts liés à la titularisation de Sauvadets 2020 du CNAC-GP ;

  • -986 081 € en AE et en CP au titre du rétro-transfert pour le MTES ;

  • -160 862 € en AE et en CP au titre du transfert DAT Guyane OTE ;

  • -57 888 € en AE et en CP au titre du transfert de la masse salariale du poste de président du musée Picasso ;

  • -81 544 € en AE et en CP au titre d’un départ en retraite au musée d’Orsay ;

  • -766 178 € en AE et en CP au titre du transfert des crédits catégoriels pour la BnF ;

  • -94 595 € en AE et en CP au titre des transferts de la DAC Guyane vers le MINT hors DATE ;

  • +108 000 € en AE et en CP au titre du programme EIG.


Loi de finances rectificatives (-6,72 M€ en AE et en CP)


La loi de finances rectificative n° 2020-1473 du 30 novembre 2020 de finances rectificative pour 2020 a annulé 6 719 876 € en AE et en CP sur les crédits de titre 2 du programme 224.


Reports (0,03 M€ en AE et en CP)


  • l’arrêté du 7 février 2020 portant report de crédits a ouvert 32 068 € en AE et en CP au titre du report des crédits de fonds de concours.

 

   Réserve de précaution et fongibilité

 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

 

Titre 2
 

Autres titres

Total

Titre 2

Autres titres

Total

Mise en réserve initiale

3 301 206

17 123 030

20 424 236

3 301 206

16 884 258

20 185 464

Surgels

0

0

0

0

0

0

Dégels

0

0

0

0

0

0

Réserve disponible avant mise en place du schéma de fin de gestion (LFR de fin d'année)

3 301 206

17 123 030

20 424 236

3 301 206

16 884 258

20 185 464

 

 

Emplois et dépenses de personnel


   Emplois rémunérés par le programme

(en ETPT)

Catégorie d'emplois

Transferts
de gestion
2019

(1)

Réalisation

2019

(2)

LFI + LFR

2020

(3)

Transferts
de gestion
2020

(4)

Réalisation

2020

(5)

Écart à
LFI + LFR 2020
(après transferts
de gestion)
(5 - (3 + 4))

1005 – Filière administrative

-8,00

4 063,00

4 039,00

-14,00

3 918,34

-106,66

1006 – Filière technique et d'enseignement

-3,00

2 753,00

2 507,00

0,00

2 565,08

+58,08

1007 – Filière d'accueil, de surveillance et magasinage

0,00

1 671,00

1 011,00

0,00

878,02

-132,98

1008 – Filière scientifique

-4,00

2 146,00

2 042,00

0,00

2 027,00

-15,00

Total

-15,00

10 633,00

9 599,00

-14,00

9 388,44

-196,56


 

(en ETPT)

Catégorie d'emplois

Mesures
de périmètre
en LFI

(6)

Mesures
de transfert
en LFI

(7)

Corrections
techniques


(8)

Impact des
schémas d'emplois
pour 2020

(5-4)-(2-1)-(6+7+8)

dont extension en
année pleine du
schéma d'emplois
2019 sur 2020

dont impact du
schéma d'emplois
2020 sur 2020

1005 – Filière administrative

0,00

-79,00

-31,92

-27,74

+28,03

-55,77

1006 – Filière technique et d'enseignement

0,00

-209,00

+21,44

-3,36

+5,87

-9,23

1007 – Filière d'accueil, de surveillance et magasinage

0,00

-736,00

-35,18

-21,80

+1,95

-23,75

1008 – Filière scientifique

0,00

-74,00

-11,30

-37,70

-4,47

-33,23

Total

0,00

-1 098,00

-56,96

-90,60

+31,38

-121,98

 

La colonne 4 "Transferts de gestion 2020" inclut le transfert sortant de 12 ETPT vers le programme 217 « Conduite et pilotage des politiques de l’écologie, du développement et de la mobilité durables » correspondant aux agents du ministère de la transition écologique et solidaire (MTES) mis à disposition au sein de la mission interministérielle pour la qualité des constructions publiques (MIQCP) en grande partie et de façon résiduelle dans les unités départementales de l'architecture et du patrimoine (UDAP) et écoles d’architecture.

 

   Évolution des emplois à périmètre constant

(en ETP)

Catégorie d'emploi

Sorties

dont départs
en retraite

Mois
moyen
des sorties

Entrées

dont primo
recrutements

Mois
moyen
des entrées

Schéma
d'emplois
 
Réalisation

Schéma
d'emplois
 
Prévision PAP

1005 – Filière administrative

381,00

105,00

5,90

351,00

192,00

7,20

-30,00

-15,00

1006 – Filière technique et d'enseignement

120,00

38,00

7,40

92,00

76,00

6,90

-28,00

0,00

1007 – Filière d'accueil, de surveillance et magasinage

103,00

56,00

6,20

67,00

34,00

6,80

-36,00

0,00

1008 – Filière scientifique

165,00

91,00

6,20

113,00

30,00

6,60

-52,00

0,00

Total

769,00

290,00

623,00

332,00

-146,00

-15,00

 

Le schéma d’emplois prévu en LFI 2020 s’établissait à un solde de -15 ETP. Il a été sur-exécuté à hauteur de 147 ETP.

Cette sur-exécution est essentiellement liée au contexte de la crise sanitaire issu de la pandémie de COVID 19, qui a généré un nombre d’entrées beaucoup moins importantes que prévues (310 contre 392 prévues). En effet, les besoins des employeurs, particulièrement dans les structures accueillant du public, ont été différés en raison du confinement et des restrictions sanitaires. 

 

   Effectifs et activités des services

Répartition du plafond d'emplois par service

Service

Prévision LFI
 
ETPT

Réalisation
 
ETPT

dont mesures
de transfert

dont mesures
de périmètre

dont corrections
techniques

ETP
au 31/12/2020

Administration centrale

1 483,00

1 514,44

-5,00

0,00

-29,76

1 549,00

Services régionaux

2 433,00

2 403,00

0,00

0,00

-64,20

2 467,00

Opérateurs

3 441,00

3 348,00

-1 093,00

0,00

20,00

3 376,00

Autres

2 236,00

2 123,00

0,00

0,00

17,00

2 140,00

Total

9 593,00

9 388,44

-1 098,00

0,00

-56,96

9 532,00

 

La ventilation par type de structure inscrite aux projets annuels de performance ces dernières années a souffert de la complexité de la structure d’emploi du ministère et d’imputations variables d’une année sur l’autre des emplois atypiques (élèves fonctionnaires, mises à disposition, domaines présidentiels etc.), ce qui explique les différences constatées entre les prévisions LFI 2020 et la réalisation 2020 en ETPT. Un travail de fiabilisation des périmètres a été mené en 2019 et donne la ventilation suivante :

 

en ETPT

LFI 2020

LFR 2020

Réalisation 2020

Écart à la LFR

Administration Centrale

1 483

1 483

1 514

31

Directions Régionales des Affaires Culturelles

2 433

2 433

2 403

-30

Opérateurs

3 441

3 447

3 348

-99

Services a compétences nationale

1 793

1 793

1 714

-79

AD & et BMC

354

354

337

-17

Elèves fonctionnaires

13

13

12

-1

Autres

76

76

60

-16

Total

9 593

9 599

9 388

-211

 

Focus MAD CAPA et RMN GP

    

Comptabilisés avec les opérateurs en PAP et RAP et comptabilisés en AC DGP en interne MC

en ETPT

LFI 2020

LFR 2020

Réalisation 2020

Écart à la LFR

MAD CAPA

12

12

11

-1

RMN GP

18

18

14

-4

Total

30

30

25

-5

 

Ce travail de fiabilisation a débouché sur une rectification pérenne des emplois inscrits au projet annuel de performance du projet de loi de finance pour 2021. L’exécution 2021 sera donc cohérente avec les plafonds inscrits en LFI 2021

 

Répartition du plafond d'emplois par action

Numéro et intitulé de l’action ou de la sous-action

Prévision LFI
 
ETPT

Réalisation
 
ETPT

07 – Fonctions de soutien du ministère

9 593,00

9 388,44

Total

9 593,00

9 388,44

Transferts en gestion

-14,00

 

 

Recensement du nombre d'apprentis

Nombre d’apprentis pour l’année scolaire 2019-2020 :  158

 

 

   Présentation des crédits par catégorie et contributions employeurs

Catégorie
 

Exécution
2019

Prévision
LFI 2020

Exécution
2020

Rémunération d’activité

420 554 695

391 600 437

388 502 634

Cotisations et contributions sociales

281 675 708

263 902 845

256 785 181

Contributions d’équilibre au CAS Pensions :

208 106 906

193 937 919

188 365 844

    – Civils (y.c. ATI)

208 054 869

193 937 919

188 352 519

    – Militaires

52 037

 

13 325

    – Ouvriers de l’État (subvention d'équilibre au FSPOEIE)

 

 

 

    – Autres (Cultes et subvention exceptionnelle au CAS Pensions)

 

 

 

Cotisation employeur au FSPOEIE

 

 

 

Autres cotisations

73 568 802

69 964 926

68 419 336

Prestations sociales et allocations diverses

5 099 880

5 564 469

4 803 690

Total titre 2 (y.c. CAS Pensions)

707 330 283

661 067 751

650 091 504

Total titre 2 (hors CAS Pensions)

499 223 378

467 129 832

461 725 660

FdC et AdP prévus en titre 2

 

 

 

   Éléments salariaux

(en millions d'euros)

Principaux facteurs d'évolution de la masse salariale hors CAS Pensions
 

Socle d'exécution 2019 retraitée

457,95

Exécution 2019 hors CAS Pensions

499,22

Impact des mesures de transfert et de périmètre 2020/ 2019

-44,40

Débasage de dépenses au profil atypique :

3,13

    – GIPA

-0,03

    – Indemnisation des jours de CET

-2,11

    – Mesures de restructuration

-0,30

    – Autres dépenses de masse salariale

5,56

Impact du schéma d'emplois

-4,96

EAP schéma d'emplois 2019

0,34

Schéma d'emplois 2020

-5,30

Mesures catégorielles

8,37

Mesures générales

0,21

Rebasage de la GIPA

0,21

Variation du point de la fonction publique

 

Mesures bas salaires

 

GVT solde

2,28

GVT positif

5,68

GVT négatif

-3,40

Rebasage de dépenses au profil atypique - hors GIPA

-2,16

Indemnisation des jours de CET

1,99

Mesures de restructurations

0,14

Autres rebasages

-4,29

Autres variations des dépenses de personnel

0,04

Prestations sociales et allocations diverses - catégorie 23

0,04

Autres variations

 

Total

461,73

 

Partant d’une exécution 2019 de 499 223 378 €, le socle d’exécution de l’année 2020 s’élevait à 457 948 364 € après prise en compte de l’impact des mesures de transfert (44 401 412 €) et du débasage des dépenses non reconductibles et des recettes exceptionnelles de l’année 2019 :

- rachat de jours déposés sur les comptes épargne-temps (- 2 109 217 euros) ;

- mesures d’accompagnement des restructurations (-298 751 euros) ;

- garantie individuelle du pouvoir d’achat (-25 961 euros) ;

- autres mesures correspondant aux rétablissements de crédits (5 560 326 euros).

 

En 2020, l’indemnité dite de garantie individuelle de pouvoir d’achat (GIPA), prévue par le décret n°2020-1298 du 23 octobre 2020, a été versée à 675 agents du ministère pour un coût total de 213 597 €.

 

Le GVT positif s’est élevé à 5 683 792 € (soit 1,23% de la masse salariale en hors CAS Pensions) et le GVT négatif à -3 400 387 € (soit 0,74% de la masse salariale en hors CAS Pensions). Le GVT solde s'établit  à 2 283 405 € (soit 0,49% de la masse salariale en hors CAS Pensions).

 

Le rebasage des dépenses au profil atypique de l’année 2020 – hors GIPA – inclut :

·  rachat de jours déposés sur les comptes épargne-temps (1 992 843 euros) ;

·  mesures d’accompagnement des restructurations (136 184 euros) ;

·  remboursements de mises à disposition sortantes et d’indus sur rémunérations (-4 290 066 euros).

 

Coûts entrée-sortie

Catégorie d'emplois

Coût moyen chargé HCAS

dont rémunérations d’activité

Coût d'entrée

Coût global

Coût de sortie

Coût d'entrée

Coût global

Coût de sortie

1005 – Filière administrative

48 645

48 836

49 199

41 259

41 683

41 891

1006 – Filière technique et d'enseignement

39 879

45 945

40 324

33 254

38 570

33 876

1007 – Filière d'accueil, de surveillance et magasinage

28 935

33 478

31 261

24 642

28 598

26 652

1008 – Filière scientifique

47 758

62 031

59 502

40 654

52 978

50 660

 

Les coûts moyens d'entrée et de sortie indiqués ci-dessus correspondent aux coûts réalisés lors de l'exercice budgétaire 2020 dans chacune des catégories d'emplois.

 

Mesures catégorielles

Catégorie ou intitulé de la mesure

ETP
concernés

Catégories

Corps

Date d’entrée
en vigueur
de la mesure

Nombre
de mois
d’incidence
sur 2020

Coût

Coût
en
année pleine

Mesures statutaires

1 394 452

1 394 452

Promotions d'agents contractuels et parts variables

A,B,C

Agents contractuels

01-2020

12

419 351

419 351

Parcours professionnels, carrières et rémunérations (PPCR)

A,B,C

Tous les corps de catégorie A,B,C

01-2020

12

411 880

411 880

Réformes spécifiques des grilles des corps ministériels

A,B,C

Enseignants des écoles nationales supérieures d'art et d'architecture et conservateurs

01-2020

12

563 221

563 221

Mesures indemnitaires

6 975 013

6 975 013

Réduction des écarts de rémunération avec les autres départements ministériels - remontée des scoles indemnitaires

B,C,A

Corps de catégories B et C et certains corps de A

01-2020

12

5 044 537

5 044 537

Accompagnement des politiques RH (mobilité, mesure de réduction des écarts de rémunérations entre les femmes et les hommes)

A,B,C

Tous les corps de catégorie A,B,C

01-2020

12

550 010

550 010

Consolidation de la rémunération au mérite

A,B,C

Tous les corps de catégorie A,B,C

01-2020

12

1 280 466

1 280 466

Revalorisations autres

A,B,C

Corps du ministère de la culture et personnalités externes

01-2020

12

100 000

100 000

Total

8 369 465

8 369 465

 

L’enveloppe de crédits catégoriels de 8,37 M€ demandée en LFI 2020 a été intégralement dépensée. La plus grande partie des crédits (6,9 M€) a été consacrée au plan de rattrapage indemnitaire, dans l’objectif de réduire les écarts de rémunération constatés avec les autres départements ministériels.

 

Sur cette enveloppe globale, 1,3 M€ de crédits catégoriels ont été réservés et transférés en gestion aux établissements publics rémunérant des fonctionnaires sur T3 afin de permettre la prise en charge du coût des remontées de socles dans ces établissements. Ce transfert a été consolidé en base dans le PLF 2021.

 

   Action sociale - hors titre 2

Type de dépenses

Effectif concerné
(ETP)

Réalisation
Titre 3

Réalisation
Titre 5

Total

Restauration

5 113

1 649 220

 

1 649 220

Logement

2 641

1 000 000

 

1 000 000

Mutuelles, associations

9 593

335 000

 

335 000

Prévention / secours

9 593

415 780

 

415 780

Autres

9 593

3 300 000

 

3 300 000

Total

6 700 000

 

6 700 000

 

Les dépenses d'action sociale HT2 s’établissent à 6,7 M€ en CP sur le HT2.

 

Les dépenses de restauration prennent en compte les surcoûts engendrés par la crise sanitaire sur l’ensemble des services de restauration du ministère. Un marché de suivi de l’offre de restauration a été passé en 2020 en complément de la couverture de la restauration collective sur l’ensemble du périmètre ministériel.

L’offre de logements du ministère s’étend désormais aux logements dits « d’hébergement d’urgence ».

La ligne « Prévention, secours » comprend les honoraires médicaux et les dépenses liées à la médecine de prévention. Ces activités se partagent entre le bureau de l’action sociale (BAS) et le bureau de sûreté et de sécurité au travail et de prévention des risques psychosociaux (BSSTPRP) 

 

 

Dépenses pluriannuelles

 

Grands projets informatiques


 

   ADAMANT

Le projet Adamant consiste à faire évoluer les outils et méthodes utilisés pour assurer la prise en charge, la conservation et la fourniture aux demandeurs des archives nativement numériques relevant de la responsabilité des Archives nationales (archives définitives des ministères et opérateurs nationaux, à l’exception du ministère des Affaires étrangères, du ministère des Armées et des ministères financiers). Le projet Adamant repose sur la mise en œuvre au ministère de la Culture (Archives nationales) de la solution logicielle développée dans le cadre du programme VITAM (back office). II inclut la mise en œuvre d’infrastructures dédiées, la réalisation des évolutions à développer sur le front office principal (système d’information archivistique), l’appui à l’interfaçage avec d’autres front offices, la reprise des données déjà conservées, et la gestion de la conduite du changement nécessaire à la mise en œuvre de ce projet de transformation.


Le coût total du projet correspond aux engagements pris par le ministère de la Culture dans le cadre du programme VITAM. En 2020, le coût hors T2 a été réévalué à 7,55 M€.


Le projet ADAMANT a reçu le 18 mai 2016 un avis favorable de la Direction interministérielle du numérique et du système d’information et de la communication de l’État (DINSIC) comme le prévoit l’article 3 du décret du 1er août 2014. Ce dossier comprend notamment le calcul du retour sur investissements suivant la méthode MAREVA définie par la DINSIC. Le coût du projet déclaré ci-dessous inclut des surcoûts de fonctionnement jusqu’à mars 2021 inclus. Les premiers gains tirés de la mise en œuvre du projet sont attendus en 2021.


L’achat des matériels et logiciels destinés à la mise en œuvre d’une infrastructure dédiée a été exécuté en 2018, conformément au calendrier d’ouverture opérationnelle d’une première version en novembre 2018. Les dépenses 2019 et 2020 se sont surtout concentrées sur le développement de nouvelles fonctionnalités. Deux mises à jour de la plateforme ont été effectuées en 2019.


Des difficultés techniques survenues au premier trimestre 2020, puis la crise sanitaire de la Covid-19, ont empêché d’atteindre les objectifs de nouvelles mises à jour prévues en 2020. Le projet a par conséquent été prolongé de 9 mois, jusqu’au 31 mars 2021.


Les achats de prestations hors T2 destinés à compléter l’infrastructure ont été reportés à 2021 et 2022 (mise en œuvre du deuxième site de stockage, études pour la mise en place d’un site de secours et pour la prise en compte de la croissance des volumes archivés). Les évaluations de coûts T2 ont été ajustées à la suite de cette décision

 

Année de lancement du projet

2015

Financement

0224-07

Zone fonctionnelle principale

Archives définitives

Coût et durée du projet

Coût détaillé par nature

(en millions d'euros)

 

2017
et années
précédentes

2018
Exécution

2019
Exécution

2020
Prévision

2020
Exécution

2021
Prévision
PAP 2021

2022
et années
suivantes

Total

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

Hors titre 2

2,98

0,85

3,08

3,09

0,41

1,42

0,92

1,41

0,73

1,27

0,21

0,48

0,14

0,44

7,55

7,55

Titre 2

1,55

1,55

0,71

0,71

0,81

0,81

0,83

0,83

0,76

0,76

0,20

0,20

0,00

0,00

4,04

4,04

Total

4,53

2,40

3,79

3,79

1,22

2,24

1,75

2,23

1,49

2,04

0,41

0,68

0,14

0,44

11,58

11,58


 

Évolution du coût et de la durée

 

Au lancement
 

Actualisation

Écart en %

Coût total en M€

10,00

11,58

+15,84 %

Durée totale en mois

56

72

+28,57 %

 

 

Gains du projet

Évaluation des gains quantitatifs du projet

 

Au lancement
 

Actualisation

Écarts en %

Gain annuel en M€ hors titre 2

0,00

0,00

Gain annuel en M€ en titre 2

0,00

0,00

Gain annuel moyen en ETPT

0

0

Gain total en M€ (T2 + HT2) sur la durée de vie prévisionnelle de l'application

0,00

0,00

Délai de retour en années

0

11

 

Des gains sont attendus sur ce projet à partir de 2021. L’évaluation des gains du projet n’a pas sensiblement évolué suite à la notification du marché. Le calcul de gain se fonde sur une durée de 15 ans, retenue dans le cadre de la demande d’avis à la DINSIC.

 

Contrats de plan État-région (CPER)


Génération 2015 - 2020

 

Prévision 2020

Consommation 2020

Consommation cumulée

Action / Opérateur

Rappel
du montant
contractualisé

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

01 - Soutien aux établissements d'enseignement supérieur et insertion professionnelle

65 764 000

2 253 500

8 403 500

 

2 536 381

 

 

02 - Soutien à la démocratisation et à l'éducation artistique et culturelle

4 736 000

940 706

1 220 706

 

280 000

 

 

09 - Langue française et langues de France

1 480 000

246 665

246 665

 

 

 

 

Total

71 980 000

3 440 871

9 870 871

 

2 816 381

 

 


 

En 2020, les crédits exécutés au titre des CPER 2015-2020 sur le programme 224 ont notamment permis de financer des travaux d’investissement en faveur de l’enseignement supérieur Culture et de l’éducation artistique et culturelle et de l’accès de tous à la culture.


Les opérations financées se décomposent comme suit :


Sur l’action 1 :

  • 2 131 640 € en CP au titre des travaux de l’école d’art de Toulon Chalucet ;
  • 54 741 € en CP pour le projet Coraulis, centre d’observation en réalité augmentée et lieu d’immersion sonore du territoire aquitain ;
  • 2 600 000 € en AE et 150 000 € en CP pour le pôle d’enseignement supérieur musique et danse et Bordeaux ;
  • 1 800 000 € en AE pour l’école européenne supérieure de l’image d’Angoulême et de Poitiers ;
  • 200 000 € en AE pour le Fresnoy – Studio national des arts contemporains.


Sur l’action 2 :

  • 280 000 € en CP en faveur du MACTE de Guadeloupe, projet vise à déployer des actions sur le MACTE, conformément à son nouveau statut d’EPCC, afin de renforcer son attractivité.

 

Contrats de convergence et de transformation (CCT)


Génération 2019 - 2022

 

Prévision 2020

Consommation 2020

Consommation cumulée

Action / Opérateur
Territoire

Rappel
du montant
contractualisé

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

01 - Soutien aux établissements d'enseignement supérieur et insertion professionnelle

1 320 000

 

 

267 500

267 500

 

 

La Réunion

500 000

 

 

 

 

 

 

Martinique

820 000

 

 

267 500

267 500

 

 

02 - Soutien à la démocratisation et à l'éducation artistique et culturelle

738 000

 

 

122 000

97 500

 

 

Guyanne

738 000

 

 

122 000

97 500

 

 

Total

2 058 000

 

 

389 500

365 000

 

 


 

En 2020, plusieurs opérations au titre des contrats de convergence et de transformation se sont poursuivies :

  • En Martinique, 267 500 € en AE=CP sur l’action 1 du programme 224 ont été consacrés à la poursuite du projet de mise en réseau des antennes de l’école martiniquaise des enseignements artistiques. Ils ont également financé l’ouverture d’une galerie au sein de l’école supérieure d’arts de Martinique, ainsi que la participation d’artistes locaux aux forums nationaux et internationaux ;
  • En Guyane, 122 000 € en AE et 97 500 € en CP sur l’action 2 du programme 224 ont permis de poursuivre la mise en œuvre du projet de compagnonnage du fleuve, afin de valoriser les savoir-faire et l’exploitation des ressources naturelles liées aux savoir-faire encore vivants sur les fleuves. Ces crédits ont également contribué à développer le projet « e‑culture consistant à développer une offre culturelle propre à la Guyane, en format numérique, accessible par les populations des communes éloignées à travers le réseau des cyber-bases localisées dans les médiathèques, bibliothèques et points-lecture.

 

Suivi des crédits de paiement associés à la consommation
des autorisations d'engagement (hors titre 2)


 

AE 2020

 

CP 2020

 

 

 

AE ouvertes en 2020 *
(E1)

520 113 161

 

CP ouverts en 2020 *
(P1)

523 752 379

 

 

 

AE engagées en 2020
(E2)

502 691 580

 

CP consommés en 2020
(P2)

504 887 702

 

 

AE affectées
non engagées
au 31/12/2020
(E3)

492 643

 

dont CP consommés en
2020 sur engagements
antérieurs à 2020

(P3 = P2 – P4)

29 785 889

 

 

AE non affectées
non engagées
au 31/12/2020
(E4 = E1 – E2 – E3)

16 928 938

 

dont CP consommés
en 2020 sur
engagements 2020

(P4)

475 101 813

 

Restes à payer

Engagements ≤ 2019 non
couverts par des paiements
au 31/12/2019 brut
(R1)

110 828 861

 

Travaux de fin de gestion
postérieurs au RAP 2019
(R2)

-220 743

 

Engagements ≤ 2019 non
couverts par des paiements
au 31/12/2019 net

(R3 = R1 + R2)

110 608 118



CP consommés en 2020
sur engagements
antérieurs à 2020
(P3 = P2 – P4)

29 785 889



=

Engagements ≤ 2019 non
couverts par des paiements
au 31/12/2020
(R4 = R3 – P3)

80 822 229

 

 

AE engagées en 2020


(E2)

502 691 580



CP consommés en 2020
sur engagements 2020

(P4)

475 101 813



=

Engagements 2020 non
couverts par des paiements
au 31/12/2020
(R5 = E2 – P4)

27 589 767

 

 

Engagements non couverts
par des paiements
au 31/12/2020

(R6 = R4 + R5)

108 411 997

 

 

Estimation des CP 2021
sur engagements non
couverts au 31/12/2020
(P5)

6 355 817


 
 
NB : les montants ci-dessus correspondent uniquement aux crédits hors titre 2
 
 

* LFI 2020 + reports 2019 + mouvements réglementaires + FdC + AdP + fongibilité asymétrique + LFR

Estimation du montant
maximal des CP
nécessaires après 2021
pour couvrir les
engagements non
couverts au 31/12/2020
(P6 = R6 – P5)

102 056 180

 

 Le montant des engagements sur années antérieures non soldés par des paiements au 31 décembre 2019 s’élève à 110,61 M€ (R3).


Les CP consommés en 2020 sur des engagements antérieurs à 2020 s’élèvent à 29,78 M€ (P3). Ces liquidations concernent majoritairement l’action 7 (81%).


A titre d’exemple, les principales opérations ayant connu un apurement en 2020 sont :

  • pour 1,1 M€ les dépenses immobilières relatives au paiement des loyers 2018 des immeubles de bureau Beaubourg et Louvre ;
  • pour 2,04 M€ des dépenses liées à des projets applicatifs ;
  • pour 5,8 M€ les travaux de relocalisation de l’école nationale supérieure d’architecture de Marseille.


Les restes à payer s’élèvent à 108,41 M€. A titre d’exemples, les restes à payer les plus significatifs sont :

  • travaux de construction de l’ENSA Marseille au sein de l’IMVT (23,62 M€) ;
  • travaux de réimplantation de l’école d’art de Cergy (10,75 M€) ;
  • travaux de rénovation de l’ENSA de Toulouse (10,61 M€) ;
  • travaux pour l’ENSBA, l’ENSCI, l’ENSAD et d’autres écoles (12,88 M€) ;
  • participation de l’État en collaboration avec la ville de Calais aux manifestations de la CERNI la Machine (« les dragons de Calais » (1,4 M€) ;
  • maintenance applicatifs métier (2,42 M€).

 

Justification par action

 

ACTION

01 – Soutien aux établissements d'enseignement supérieur et insertion professionnelle


 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

Action / Sous-action

Prévision LFI y.c. FdC et AdP 
Réalisation 

Titre 2

Autres titres

Total

Titre 2

Autres titres

Total

01 – Soutien aux établissements d'enseignement supérieur et insertion professionnelle

 
 

243 019 236
256 141 152

243 019 236
256 141 152

 
 

238 803 093
230 889 801

238 803 093
230 889 801

 

 

Éléments de la dépense par nature


 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

Titre et catégorie

Prévision LFI
y.c. FdC et AdP
 

Réalisation

Prévision LFI
y.c. FdC et AdP

Réalisation

Titre 3 : Dépenses de fonctionnement

139 125 550

140 116 524

139 125 550

140 623 517

Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

 

1 273 749

 

1 318 440

Subventions pour charges de service public

139 125 550

138 842 776

139 125 550

139 305 078

Titre 5 : Dépenses d’investissement

11 697 169

25 219 672

9 081 026

1 894 547

Dépenses pour immobilisations corporelles de l’État

11 697 169

25 219 672

9 081 026

1 894 547

Titre 6 : Dépenses d’intervention

82 799 936

80 301 038

81 199 936

78 030 034

Transferts aux ménages

26 855 462

25 751 755

26 855 462

25 756 852

Transferts aux entreprises

 

1 049 468

 

1 049 468

Transferts aux collectivités territoriales

22 500 000

16 038 223

20 900 000

16 231 417

Transferts aux autres collectivités

33 444 474

37 461 592

33 444 474

34 992 297

Titre 7 : Dépenses d’opérations financières

9 396 581

10 503 917

9 396 581

10 341 702

Dotations en fonds propres

9 396 581

10 503 917

9 396 581

10 341 702

Total

243 019 236

256 141 152

238 803 093

230 889 801

 

DÉPENSES DE FONCTIONNEMENT


Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel (catégorie 31) : 1,27 M€ en AE et 1,32 M€ en CP


La prévision LFI de ces dépenses a été intégrée, lors de la construction du PLF, aux dépenses d’intervention détaillées infra.


Ces dépenses concernent pour :

  • 0,59 M€ en AE et en CP les frais de gestion du CNOUS au titre de l’année universitaire 2018‑2019 et 0,59 M€ en AE et en CP pour l’année universitaire 2019-2020 ;

  • 0,06 M€ en AE et 0,05 M€ en CP le schéma directeur des ENSA ;

  • 0,03 M€ en AE et 0,06 M€ en CP le marché du portail documentaire des écoles nationales supérieures d’architecture avec la Société BibLibre (hébergement, exploitation, maintenance corrective et évolutive ainsi que le support aux utilisateurs de quatre systèmes d’exploitation) ;

  • 8 525 € en CP l’organisation d’une épreuve de danse par « La Huit production » ;

  • 2 496 € en AE et en CP les frais de fonctionnement du CNESERAC.


Subventions pour charges de service public (catégorie 32) : 139,78 M€ en AE et en CP


6 400 € en AE et en CP ont été exécutés à tort en catégorie 32 alors qu’il s’agissait de dépenses d’intervention de catégorie 61, ré-imputées et justifiées en tant que tel.


Par ailleurs, -0,46 M€ en AE correspondent à deux clôtures de tranches fonctionnelles dans le cadre des travaux de fin de gestion (voir infra).


Après ré-imputations, le montant total des crédits versés au titre de la subvention de fonctionnement des écoles d’enseignement supérieur Culture (ESC) s’élève en réalité à 139,52 M€ en AE et 139,99 M€ en CP. La répartition est la suivante :


Subventions pour charges de service public (cat. 32)
en €

LFI 2020

Exécution 2020

AE=CP

AE

CP

Ecoles nationales supérieures d'architecture

46 849 521

47 976 278

47 976 278

Ecole du Louvre

1 590 181

1 692 439

1 692 439

Institut national du patrimoine

6 064 640

5 943 524

5 943 524

Ecole nationale supérieure des beaux-arts

8 095 008

7 919 328

7 919 328

Ecole nationale supérieure des arts décoratifs

11 259 204

11 273 871

11 273 871

Ecole nationale supérieure de création industrielle

4 024 141

3 980 641

3 980 641

Ecoles nationales supérieures d'art en région

9 306 508

9 938 671

9 938 671

Académie de France à Rome

4 817 248

4 731 247

4 731 247

Conservatoire national supérieur d'art dramatique

3 837 252

3 787 717

3 787 717

Conservatoire national supérieur de musique de Paris

25 849 990

25 498 270

25 498 270

Conservatoire national supérieur de musique de Lyon

13 363 417

13 300 592

13 300 592

Centre national des arts du cirque

3 268 440

3 256 100

3 256 100

Adhésion aux communautés d'universités et d'établissement

800 000

680 000

680 000

Total

139 125 550

139 978 678

139 978 678

Clôture de TF (ENSA Grenoble et ENSA Lyon)

 

-462 302


Crédits exécutés par erreur en catégorie 32 à ré-imputer en titre 6

  - 

6 400

6 400

Total dépenses exécutées en catégorie 32

139 125 550

139 522 776

139 985 078



L’exécution est supérieure à la loi de finances initiale (LFI) après application de la réserve de précaution notamment sur les écoles nationales supérieures d’architecture (ENSA).


Le ministère a subventionné une partie des frais d’adhésion des écoles aux communautés d’universités et d’établissements (COMUE), regroupements indispensables pour promouvoir la recherche dans les établissements et développer les doctorats, à hauteur de 0,46 M€ en AE et en CP. Le solde des 0,8 M€ portés en LFI a été distribué aux écoles afin de renforcer les mesures de monitorat et de tutorat en période de crise sanitaire.


L’exécution de la subvention pour charges de service public par établissement est retracée dans la partie « opérateurs » du RAP.


DÉPENSES D’INVESTISSEMENT


Dépenses pour immobilisations corporelles de l’État (catégorie 51) : 25,22 M€ en AE et 1,89 M€ en CP


Après ré-imputation des 5,8 M€ en CP exécutés à tort sur l’action 7, les dépenses d’investissement de catégorie 51 sur l’action 1 s’élèvent en réalité à 25,22 M€ en AE et 7,69 M€ en CP.


La répartition est la suivante :


Dépenses d'investissement (cat. 51)
(en €)

Exécution 2020

AE

CP

ENSA Marseille (relocalisation sur le site de l'Institut méditerranéen de la Ville et des Territoires)

26 526 555

2 899 895

ENSP Arles

560 000

560 000

Convention cadre ENSBA, ENSCI, ENSAD, Cergy, Dijon, Limoges

0

148 180

Total des travaux poursuivis en 2020

27 086 555

3 608 075

Remontée OPPIC (travaux d'accessibilité ENSA Paris-La-Villette)

-1 083 516

-1 083 516

Remontée OPPIC :
ENSA Clermont-Ferrand

-600 000

-600 000

Remontée OPPIC pour l'ENSBA (fin des travaux de mise aux normes électriques)

-30 012

-30 012

Clôture tranche fonctionnelle

-153 355

  - 

Total exécuté en cat. 51

25 219 672

1 894 547

Dépenses d'investissement exécutées à tort sur l'action 7, à ré-imputer sur l'action 1
(ENSA Marseille)

  - 

5 800 000

Total réel exécuté en cat. 51 (hors montants en négatif)

25 219 672

7 694 547




L’exécution en AE est supérieure à la LFI, ce qui s’explique par une correction d’imputation de +23,63 M€ en AE en provenance des crédits d’investissement de l’action 7 vers les crédits d’investissement de l’action 1 (voir infra).


Par ailleurs, les 1 M€ en CP prévus en LFI 2020 pour le projet de réhabilitation et d’extension de l’ENSA Toulouse n’ont pu être versés en 2020, les travaux n’ayant pas encore démarré.


Les 25,22 M€ en AE et 1,89 M€ en CP de dépenses d’investissement exécutés en catégorie 51 ont permis de poursuivre les travaux suivants :

  • relocalisation de l’ENSA Marseille sur le site de l’Institut méditerranéen de la ville et des territoires (IMVT). 2,90 M€ en AE=CP concernent l’achat du terrain et 23,63 M€ en AE à une correction d’imputation. Ces AE imputées à tort sur l’action 7 ont été remises sur l’action 1 du programme 224. Ce mouvement s’est avéré nécessaire afin de permettre la bascule de l’EJ sur le nouveau programme 361 ;

  • construction de la nouvelle école nationale supérieure de la photographie d’Arles, dans des bâtiments plus adaptés à l’évolution des techniques de production des images ainsi qu’à la diversification des besoins de formation des professionnels (0,56 M€ en AE et en CP) ;

  • mise en sécurité et accessibilité sur l’école nationale supérieure des beaux-arts (ENSBA). A ce titre, 55 092,62 € en CP ont été versés à l’OPPIC au titre de la vague convention cadre pour les travaux d’assainissement des réseaux enterrés et de restauration de la cour Bonaparte. A noter, une remontée de crédits de l’OPPIC de 0,03 M€ en AE et en CP relatifs à la fin des travaux de mise aux normes électriques ;

  • réimplantation de l’école d’art de Cergy : 93 087,12 € de CP ont ainsi été versés à l’OPPIC dans le cadre de la vague convention cadre pour l’étude de programmation ;


A noter également une remontée de crédit de 1,08 M€ en AE et en CP pour clôturer la convention OPPIC- ENSA Paris-La-Villette, les travaux d’accessibilité étant désormais assurés par l’établissement.


Enfin, dans le cadre des travaux de fin de gestion, on note :

  • -0,6 M€ en AE et en CP de remontée OPPIC concernant la fin des travaux sur l’ENSA Clermont-Ferrand (installation dans l’ancien hôpital-sanatorium Sabourin) ;

  • -0,15 M€ en AE de clôture de tranche fonctionnelle (TF) ;


DÉPENSES D’INTERVENTION


Dépenses de transferts aux ménages (catégorie 61) : 25,75 M€ en AE et 25,76 M€ en AE et en CP


En 2020 la crise sanitaire liée au Covid a eu un impact important sur les conditions de vie et d’études des étudiants. Le gouvernement a pris des mesures pour limiter celui-ci, mesures qui ont bénéficié aussi aux étudiants de l’enseignement supérieur Culture (aides ponctuelles du Crous, allocation pour perte d’emploi, d’allongement de l’année universitaire, repas Crous à 1 €, etc.)


Dans le même temps, les circonstances et ces dispositifs exceptionnels expliquent une consommation inférieure aux années précédentes des crédits consacrés à l’accompagnement des étudiants atteints de handicap ou bien même du FNAU.


-6,49 M€ en AE et en CP ont été exécutés par erreur en dépenses de catégorie 61 alors qu’il s’agissait de dépenses d’intervention hors bourses.


En revanche : 6 400 € en AE et en CP ont été exécutés en dépenses de catégorie 32 alors qu’il s’agissait de dépenses de catégorie 61 ; et 1,75 M€ en AE et en CP ont été exécutés à tort en dépenses d’intervention hors bourses alors qu’il s’agissait de dépenses de catégorie 61.


Après retraitements des erreurs d’imputations comptables, le montant des dépenses de transferts aux ménages (catégorie 61) s’élève en réalité à 34 M€ en AE et en CP. La répartition est la suivante :


Dépenses d'intervention de catégorie 61
en €

LFI 2020

Exécution 2020

AE=CP

AE

CP

Bourses sur critères sociaux (yc aide au mérite)

22 056 222

29 074 374

29 074 374

Aides spécifiques pour les déplacements des étudiants d'Outre-mer

210 000

203 785

203 785

Assistance aux étudiants en situation de handicap

200 000

162 148

162 148

Frais de gestion CNOUS (2% des bourses)
(déjà comptabilisé en cat. 31)

450 127



FNAU

500 000

295 318

295 318

AES, AFR, BCS INP, bourse Focillon

335 773

456 302

463 256

Bourses mobilité à l'international

1 503 340

1 715 288

1 715 288

Aides individuelles aux élèves des CRR et CRD

1 600 000

1 619 165

1 619 165

Total

26 855 462

33 526 380

33 533 334



La sur-exécution sur cette brique s’explique par le versement en fin de gestion de 9 M€ en AE=CP au CNOUS dont : 7 M€ en AE et en CP à titre d’avance pour le paiement des bourses sur critères sociaux du premier trimestre 2021, conformément à la convention en vigueur ; 2 M€ en AE et en CP au titre de la « mesure précarité étudiants », dispositif d’aides d’urgence aux étudiants en situation de précarité suite à la crise. A noter que les frais de gestion du CNOUS qui s’élèvent à 1,18 M€ en AE et en CP et relatifs aux deux dernières années universitaires, ont été exécutés en dépenses de fonctionnement de catégorie 31 (Cf. supra).


En 2020, 29,17 M€ en AE et en CP ont ainsi été versés au CNOUS au titre des bourses sur critères sociaux (BCS) et de l’aide au mérite pour les étudiants boursiers ayant obtenu la mention « très bien » au baccalauréat. Sont concernés les étudiants des écoles nationales d’art et écoles territoriales devenus des établissements publics de coopération culturelle, les étudiants des écoles nationales supérieures d’architecture, de l’Ecole du Louvre, des Conservatoires nationaux supérieurs de musique et de danse de Paris et de Lyon, du Conservatoire national supérieur d’art dramatique, des établissements d’enseignement supérieure du spectacle vivant, habilités à délivrer les diplômes d’interprètes et d’enseignants (pôles supérieurs, le centre de formation des enseignants de musique et de dance - CEFEDEM -, de l’Ecole nationale supérieure de l’image et du son (ENSMIS/La Fémis), de l’Institut National de l’Audiovisuel et de l’Institut National du Patrimoine.


Outre les BCS, on note après ré-imputations 4,63 M€ en AE et 4,64 M€ en CP de bourses et d’aides spécifiques versés aux étudiants comme suit :

  • 0,46 M€ en AE et en CP à titre de bourses Focillon et d’allocation d’études spécialisés (AES) et de formation recherche (AFR) ;

  • 0,2 M€ en AE et en CP en faveur de la mobilité des étudiants d’Outre-mer ;

  • 0,16 M€ en AE et en CP au titre du handicap ;

  • 0,295 M€ en AE et en CP en provenance du fonds national d’aides d’urgence (FNAU) pour les étudiants en grandes difficultés financières.

  • 1,72 M€ en AE et en CP au bénéfice de la mobilité des étudiants à l’international dont 1,48 M€ en AE et en CP au profit des étudiants des écoles nationales supérieures d’architecture et 0,24 M€ en AE et en CP en faveur des étudiants des autres écoles (écoles d’arts plastiques et de design, du patrimoine, du cinéma/audiovisuel, du spectacle vivant) ;

  • 1,62 M€ en AE et en CP à destination des élèves des conservatoires à rayonnement régional et départemental.


Dépenses d’intervention hors bourses : transferts aux entreprises, aux collectivités territoriales et autres collectivités : 54,55 M€ en AE et 52,27 M€ en CP


Il convient de retrancher 1,75 M€ en AE et en CP exécutés par erreur en dépenses d’intervention hors bourses alors qu’il s’agissait des dépenses liées aux différentes aides attribuées aux étudiants des écoles d’enseignement supérieur Culture.


Par ailleurs, -6,49 M€ en AE et en CP ont été exécutés par erreur en dépenses de catégorie 61 alors qu’il s’agissait de dépenses d’intervention hors bourses. Ce montant en négatif correspond au reversement en 2020 de la part de Maison des artistes (MDA) et de l’association pour la gestion de la sécurité sociale des auteurs (AGESSA) des crédits non consommés en 2019 au titre de la compensation de la hausse de la CSG pour les artistes-auteurs.


Le montant réel des dépenses d’intervention hors bourses s’élève ainsi 47,19 M€ en AE et 44,91 M€ en CP. La répartition est la suivante :


Dépenses d'intervention hors bourses
en €

LFI 2020

Exécution 2020

AE

CP

AE

CP

Dépenses d'intervention déconcentrées en fonctionnement

44 320 174

44 320 174

44 719 396

44 700 101

Arts plastiques

15 610 000

15 610 000

16 393 876

16 395 476

Spectacle vivant

28 710 174

28 710 174

27 212 378

27 191 483

Transversal

  - 

  - 

1 113 142

1 113 142

Dépenses d'intervention centraux en fonctionnement

7 124 300

7 124 300

2 891 550

2 891 550

Arts plastiques

900 000

900 000



Spectacle vivant

  - 

  - 

2 871 550

2 871 550

Patrimoine

3 510 800

3 510 800

20 000

20 000

Transversal

2 713 500

2 713 500



Dépenses d'intervention en investissement

10 500 000

8 900 000

5 090 000

2 833 194

Dépenses en faveur du Plan étudiant

 

 

980 000

980 000

Dépenses d'intervention hors bourses à ré-imputer en cat. 61

  - 

  - 

1 749 787

1 749 787

Total exécuté en dépenses d'intervention hors bourses

61 944 474

60 344 474

55 430 733

53 154 632

Dépenses de catégorie 61 à ré-imputer en dépenses d'intervention hors bourses (remontée AGESSA & MDA relative à la compensation artistes-auteurs)

  - 

  - 

-6 493 118

-6 493 118

Total réel exécuté en dépenses d'intervention hors bourses

61 944 474

60 344 474

47 187 828

44 911 727



Crédits d’intervention déconcentrés en fonctionnement : 44,72 M€ en AE et 44,70 M€ en CP


980 000 € en AE et en CP ont été exécutés dans le cadre du Plan étudiant : mesures en faveur de la diversification sociale et culturelle des étudiants de l’enseignement supérieur Culture, développement des classes préparatoires intégrées (dont une spécialement dédiée à l’Outre-mer en théâtre), monitorat/tutorat, etc.


Arts plastiques : 16,39 M€ en AE et 16,40 M€ en CP


Ces crédits ont permis d’apporter un soutien aux 34 établissements d’art sous tutelle des collectivités territoriales répartis en 30 établissements publics de coopération culturelle (EPCC) ainsi qu’aux 3 écoles en régie municipale et à l’association « Le Fresnoy - Studio national des arts contemporains ». Le ministère contribue au fonctionnement de ces écoles territoriales qui forment des créateurs, designers et artistes plasticiens dans le cadre de cursus sanctionnés par des diplômes nationaux (à l’exception des écoles en régie pour lesquelles des équivalences sont prévues).


Spectacle vivant : 27,21 M€ en AE et 27,19 M€ en CP


Il s’agit de dépenses en matière d’insertion professionnelle et de formation dans les établissements du spectacle vivant habilités à délivrer des diplômes nationaux. Sont concernés les 15 établissements dans le domaine de la musique, 13 en danse, 12 en théâtre, 3 en cirque, et 1 dans le secteur de la marionnette. Peuvent être cités à titre d’exemple, les pôles d’enseignement supérieur, les centres de formation des enseignants de la danse de de la musique (CEFEDEM), les centres d’études supérieures musique et danse (CESMD), ainsi que certains organismes de formation, comme l’Institut supérieur des techniciens du spectacle d’Avignon (ISTS).


Des crédits ont également été destinés au financement de certains organismes spécialisés aux techniques du spectacle vivant comme l’école supérieure du cirque Fratellini et l’école de la comédie de Saint-Etienne. De même, le ministère subventionne les conservatoires à rayonnement régional (CRR) et départemental (CRD) adossés à des pôles d’enseignement supérieur du spectacle vivant.


Autres : 1,11 M€ en AE et en CP


Ces dépenses concernent de la formation continue dans le domaine du livre et de la lecture notamment en lien avec les associations régionales des libraires ainsi que dans le domaine des médias et de la cinématographie.


Crédits d’intervention centraux en fonctionnement : 2,89 M€ en AE et en CP


Il s’agit essentiellement de dépenses relatives à l’insertion professionnelle et à la formation continue dans le domaine du spectacle vivant (2,87 M€ en AE et en CP). Ont ainsi été soutenus plusieurs centres de formation, pour ne citer que quelques-uns : le Jeune Théâtre National, qui accompagne l’insertion professionnelle des diplômés du conservatoire national supérieur d’art dramatique de Paris (CNSAD), l’Orchestre français des jeunes qui participe à l’insertion et à la formation continue des musiciens classiques, la FAI-AR spécialisée dans la formation supérieure d’art en espace public, l’école supérieure de musique et de danse Nord France, la FNEIJMA qui fédère plus d’une trentaine de lieux de formation dans le domaine des musiques actuelles.


Ces crédits ont également contribué au financement de la formation continue des architectes. Des organismes tels que Grands ateliers innovation architecture et l’Union nationale des étudiants en architecture et paysage ont été soutenus.


Crédits d’intervention en investissement : 5,09 M€ en AE et 2,83 M€ en CP


En administration centrale, les dépenses d’intervention en investissement ont permis de financer les travaux de réimplantation de l’école d’art de Cergy à hauteur de 0,24 M€ en AE.


A l’échelle déconcentrée, le ministère de la Culture soutient les opérations d’investissement des écoles territoriales adossées à des pôles d’enseignement supérieur du spectacle vivant et des écoles territoriales d’arts plastiques ayant le statut d’EPCC. Ont été subventionnés à titre d’exemples :

  • le pôle d’enseignement de la musique et de danse de Bordeaux Aquitaine (2,6 M€ et 0,15 M€ en CP) ;

  • l’école supérieure d’art de Toulon sur le site de Chalucet à hauteur de 2,13 M€ en CP, opération inscrite au CPER 2015-2020 ;

  • l’ESAP de Pau (0,22 M€ en CP) ;

  • l’école du Fresnoy-Studio national des arts contemporains à hauteur de 0,2 M€ en AE et en CP ;

  • l’école supérieure du cirque Fratellini à hauteur de 0,25 M€ en AE et 0,08 M€ en CP ;

  • le projet ESBANM Coraulis (0,05 M€ en CP), opération inscrite en CPER 2015-2020 ;

  • l’école européenne supérieure de l’image (EESI) de Poitiers et d’Angoulême (1,8 M€ en AE).


DÉPENSES D’OPERATIONS FINANCIERES


Dotations en fonds propres : 10,5 M€ en AE et 10,34 M€ en CP


La subvention versée aux écoles d’ESC s’élève à 10,50 M€ en AE et 10,34 M€ en CP. La répartition est la suivante :


Dépenses d'opérations financières (en €)

LFI 2020

Exécution 2020

AE = CP

AE

CP

Ecoles nationales supérieures d'architectures

  2 950 000

  4 096 552

  4 096 552

Ecole du Louvre

  245 025

  267 017

  267 017

Institut national du patrimoine

  98 010

  109 823

  109 823

Ecole nationale supérieure des beaux-arts

  392 039

  601 036

  601 036

Ecole nationale supérieure des arts décoratifs

  418 433

  393 433

  393 433

Ecole nationale supérieure de création industrielle

  271 489

  259 489

  259 489

Ecoles nationales supérieures d'art en région

  2 990 026

  2 676 059

  2 513 844

Académie de France à Rome

  427 781

  410 670

  410 670

Conservatoire national supérieur d'art dramatique

  98 011

  95 071

  95 071

Conservatoire national supérieure de musique de Paris

  702 084

  674 084

  674 084

Conservatoire national supérieure de musique de Lyon

  735 076

  815 076

  815 076

Centre national des arts du cirque

  68 067

  105 607

  105 607

Total

  9 396 581

  10 503 917

  10 341 702



 

ACTION

02 – Soutien à la démocratisation et à l'éducation artistique et culturelle


 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

Action / Sous-action

Prévision LFI y.c. FdC et AdP 
Réalisation 

Titre 2

Autres titres

Total

Titre 2

Autres titres

Total

02 – Soutien à la démocratisation et à l'éducation artistique et culturelle

 
 

198 183 353
198 265 506

198 183 353
198 265 506

 
 

198 356 652
198 676 396

198 356 652
198 676 396

 

 

Éléments de la dépense par nature


 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

Titre et catégorie

Prévision LFI
y.c. FdC et AdP
 

Réalisation

Prévision LFI
y.c. FdC et AdP

Réalisation

Titre 3 : Dépenses de fonctionnement

4 000 000

14 065 923

4 000 000

14 860 720

Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

 

1 509 029

 

2 303 826

Subventions pour charges de service public

4 000 000

12 556 894

4 000 000

12 556 894

Titre 5 : Dépenses d’investissement

 

 

 

24 413

Dépenses pour immobilisations corporelles de l’État

 

 

 

24 413

Titre 6 : Dépenses d’intervention

194 183 353

184 199 583

194 356 652

183 791 263

Transferts aux ménages

 

516 732

 

516 732

Transferts aux entreprises

41 000 000

39 872 697

41 000 000

40 314 021

Transferts aux collectivités territoriales

40 016 012

41 045 590

40 016 012

40 644 113

Transferts aux autres collectivités

113 167 341

102 764 565

113 340 640

102 316 398

Total

198 183 353

198 265 506

198 356 652

198 676 396

 

DEPENSES DE FONCTIONNEMENT



Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel (catégorie 31) : 1,51 M€ en AE et 2,3 M€ en CP


1,51 M€ en AE et 1,47 M€ en CP ont été exécutés par erreur en catégorie 31 alors qu’il s’agissait de dépenses d’intervention.


Le montant réel des dépenses de catégorie 31 s’élève en réalité à -1 020 € en AE et 0,83 M€ en CP. Ces dépenses correspondent au déploiement du pass Culture. Cette mission d’intérêt général est désormais confiée à une société par action simplifiée.


Les dépenses liées aux pratiques culturelles de proximité et aux achats de biens physiques ou numériques des jeunes sont présentées en dépenses d’intervention (voir infra).



Dépenses pour charges de service public (catégorie 32) : 12,56 M€ en AE et en CP


8,9 M€ en AE et en CP ont été exécutés par erreur en catégorie 32 alors qu’il s’agissait de dépenses de titre 6, ré-imputées alors et justifiées comme telles.


Par ailleurs, 0,16 M€ en AE et en CP ont été exécutés par erreur en dépenses d’intervention alors qu’il s’agissait de dépenses de catégorie 32.


Le montant réel des dépenses de catégorie 32 s’élève ainsi à 3,82 M€ en AE et en CP, correspondant à la compensation de la gratuité d’accès des enseignants aux établissements culturels patrimoniaux.



DEPENSES D’INVESTISSEMENT



Dépenses pour immobilisations corporelles de l’État (catégorie 51) : 0,02 M€ en AE=CP


0,02 M€ en CP ont été exécutés au titre de la poursuite de l’opération d’investissement relative à l’orgue de la cathédrale de Basse-Terre en Guadeloupe, opération inscrite en CPER 2015-2020.



DEPENSES D’INTERVENTION


Sur les 184,2 M€ en AE et 183,79 M€ en CP, 0,16 M€ en AE et en CP ont été exécutés par erreur en dépenses d’intervention alors qu’il s’agissait de dépenses liées à la gratuité enseignants ré-imputées en catégorie 32 (voir supra).


Le montant réel des dépenses d’intervention s’élève ainsi à 194,45 M€ en AE et 194 M€ en CP. Ces dépenses comptabilisent également les crédits mis en place dans le cadre de l’été culturel pour un montant de 20 M€, soit 13,53 M€ délégués en DRAC, 3,72 M€ délégués aux opérateurs et 2,75 M€ attribués aux projets nationaux. Par ailleurs, en fin de gestion 2020, 3,90 M€ ont été versés au titre de l’avance été culturel 2021, principalement aux opérateurs du ministère.


La répartition de ces crédits d’intervention est présentée dans le tableau ci-dessous :



Dépenses d'intervention de l'action 2

(M€)

LFI 2020


Exécution 2020


AE

CP

AE

CP

Développer les pratiques artistiques et culturelles à l'école  et hors l'école

34 797 660

34 797 660

60 924 267

60 735 110

Développer le goût de la lecture

14 180 000

14 180 000

19 816 150

17 680 048

Décrypter le monde

12 040 000

12 040 000

7 850 500

7 790 100

Former les acteurs de l'EAC

8 300 000

8 300 000

10 627 506

10 612 068

Renforcer les partenariats avec l'ensemble des acteurs et pour tous les âges

26 607 540

26 760 000

12 789 453

12 766 253

Développer l'autonomie des jeunes par le pass Culture

39 000 000

39 000 000

24 710 000

24 710 000

Total au titre de l'émancipation et de l'éducation artistiques et culturelles des jeunes

134 925 200

135 077 660

136 717 876

134 293 578

Politique en faveur des publics en situation spécifique

7 193 000

7 193 000

6 667 853

6 701 243

Politique territoriale et cohésion sociale

41 305 000

41 325 839

36 652 166

36 447 676

Encadrement et développement des pratiques artistiques en amateur

3 300 153

3 300 153

2 639 362

2 636 462

Soutien à la transition et à l'innovation numériques

5 460 000

5 460 000

11 268 075

13 421 264

Sécurisation des sites et des évènements culturels

2 000 000

2 000 000

500 000

500 000

Total en faveur de l'émancipation artistique et culturelle de tous

59 258 153

59 278 992

57 727 455

59 706 644

Total général

194 183 353

194 356 652

194 445 331

194 000 222



Dans le domaine de l’émancipation et de l’éducation artistique et culturelle des jeunes (EAC), les dépenses s’élèvent à 136,72 M€ en AE et 134,29 M€ en CP, dont 35,5 M€ en AE et 35,45 M€ en CP exécutés au niveau central et 101,21 M€ en AE et 98,84 M€ en CP en services déconcentrés.



En termes de pratiques artistiques et culturelles : 60,92 M€ en AE et 60,74 M€ en CP


Le soutien à des actions autour des pratiques artistiques et culturelles s’est opéré tant à l’échelon national (5,90 M€ en AE et en CP) qu’à l’échelon local (55,03 M€ en AE et 54,84 M€ en CP). Les dépenses ont notamment soutenu les actions suivantes :

  • 24,3 M€ en AE et 24,13 M€ en CP au titre de pratiques artistiques et culturelles en milieu scolaire. La crise sanitaire a appelé des réponses innovantes pour assurer une continuité des pratiques en temps scolaire : développement d’outils pour une pratique en distanciel lors de la fermeture des établissements, reports et aménagements de projets dans le cadre notamment des dispositifs « 2S2C » et « Vacances apprenantes ».

  • 22,26 M€ en AE et 22,24 M€ en CP de pratiques hors temps scolaire dont : 3,36 M€ en AE et en CP pour le programme Démos porté par la Cité de la musique-Philharmonie de Paris et qui vise à initier des enfants issus de quartiers prioritaires de la politique de la ville à la pratique instrumentale. Les actions d’éducation artistique et culturelle passent aussi par la mobilisation des établissements publics nationaux dans le cadre d’initiatives innovantes (« pacte républicain ») (0,56 M€ en AE=CP) afin de permettre aux enfants d’aller à la rencontre des artistes, des lieux culturels et des œuvres in situ, et par l’implication des collectivités territoriales et acteurs culturels via la politique de contractualisation portée par les DRAC. L’ensemble de ces leviers a permis d’assurer la continuité des actions EAC hors temps scolaire, notamment dans le cadre de l’été culturel.

  • 14,3 M€ en AE et 14,2 M€ en CP d’actions des conservatoires et établissements d’enseignement spécialisé qui ont notamment été mobilisés en faveur du déploiement du « plan choral », qui se poursuit en dépit de la crise, avec de nécessaires efforts d’adaptation aux nouvelles conditions de pratique.

Les actions du ministère de la Culture autour des pratiques artistiques et culturelles passent également par la prise en charge par le ministère de la gratuité d’accès des enseignants aux établissements culturels patrimoniaux (3,82 M€ de dépenses en 2020 justifiées en catégorie 32).



En matière de développement du goût de la lecture : 19,82 M€ en AE et 17,68 M€ en CP


En 2020, l’effort a porté sur les actions d’éducation artistique et culturelle autour du livre et de la lecture notamment hors temps scolaire. Les programmes d’incitation à la lecture et à l’expression orale ont été renforcés en s’appuyant sur le réseau de la chaîne du livre : associations, centres de ressources, médiathèques, bibliothèques. En termes de dispositifs de développement de la lecture, les dispositifs « Rendez-vous en bibliothèque », « La nuit de la lecture », ou encore « Premières Pages » ont été déployés dans le cadre d’actions d’éveil artistique et culturel des enfants dès le plus jeune âge (0-3 ans) et « Des livres à soi » pour valoriser la littérature jeunesse dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville. Enfin, les contrats territoires lecture (CTL) et contrats départementaux de lecture itinérante (CDLI) associant l’État et les collectivités territoriales ont également permis de poursuivre le développement de la lecture publique sur l’ensemble du territoire. Les moyens déployés ont permis une continuité des actions, en favorisant de développement d’outils nouveaux et une adaptation des conditions d’accueil des publics.



En termes d’éducation aux médias, à l’image et à l’information : 7,85 M€ en AE et 7,79 M€ en CP


Il s’agit des crédits dédiés à l’éducation aux médias, à l’image et à l’information (EMI) en temps scolaire et hors temps scolaire en lien avec les médias professionnels et médias associatifs de proximité.


La reconduite de ce plan et d’un appel à projet national a permis de viser plus particulièrement la formation de formateurs, la production d’outils et de ressources pédagogiques et la mise en œuvre de dispositifs d’étude et d’évaluation des actions d’EMI engagées les années antérieures. Le plan a également permis d’identifier des nouveaux porteurs de projets tant au niveau national que local, avec une attention particulière portée aux sujets touchant à la désinformation, notamment scientifique, en lien avec la crise sanitaire.



En termes de formation des acteurs de l’EAC : 10,63 M€ en AE et 10,61 M€ en CP


Le développement de la politique d’EAC nécessite des ressources humaines formées pour déployer des stratégies territoriales et les décliner en projets concrets. Le ministère a ainsi soutenu la mise en place de formations conjointes à l’ensemble des acteurs (enseignants, éducateurs, artistes, médiateurs, animateurs), afin de qualifier les projets d’éducation artistique et culturelle. Les conventions permettant la création de l’Institut national supérieur de l’éducation artistique et culturelle (INSEAC), qui sera basé à Guingamp, ont été finalisées, et l’institut est entré dans une phase de préfiguration active, avec une inauguration prévue à la rentrée 2021.


Le soutien aux instituts nationaux supérieurs de professorat et de l’éducation (INSPE) qui forment les futurs enseignants aux projets d’EAC a été poursuivi, ainsi que le soutien à la Fédération des associations de musique et de danse traditionnelles, à Orchestre à l’école, à Scènes d’enfance et d’ailleurs/ Assitej-France, aux universités, ainsi qu’au réseau Canopé.



En termes de diversification des partenariats : 12,79 M€ en AE et 12,77 M€ en CP


Le développement de partenariats s’est renforcé en 2020 avec toute la diversité des acteurs œuvrant dans le champ de l’éducation artistique et culturelle : associations et fédérations, collectivités territoriales. Le partenariat avec les Ateliers Médicis a été renouvelé au titre de « Création en cours » (3,4 M€ en AE et en CP) pour développer les résidences d’artistes au niveau national, dont la grande majorité a pu se tenir en dépit de la crise, certains projets ayant donné lieu à la création de kit de création à distance. L’opération « Eté culturel » a permis aux DRAC d’identifier de nouveaux acteurs territoriaux et d’initier de nouveaux partenariats.



En termes de développement de l’autonomie des jeunes par le pass Culture : 24,71 M€ en AE et en CP


Le pass Culture, disponible depuis juin 2019 dans 14 départements, permet de faciliter l'accès des jeunes de 18 ans à la culture en leur proposant des formes artistiques et des pratiques culturelles diversifiées. Le pass Culture, d'une valeur totale de 500 €, permet de participer à des activités ou sorties culturelles (cinéma, musée, stage, atelier...) ou d'acheter des matériels et biens numériques (livre, téléchargement de musique, film...). Au 31 décembre 2020, 1 128 070 inscrits sur une population cible de 135 000 jeunes dans les 14 départements pilotes, une moyenne de 42 000 offres réservées chaque mois et un pic à 100 000 réservations atteint au mois de décembre 2020.


S’agissant de la création de ce dispositif et de son financement, le projet a d’abord été porté par le ministère lui-même, via les travaux d’une start-up d’État. Dans le but de développer ce projet, une société par actions simplifiées (SAS) chargée du développement de l'expérimentation du pass Culture a été créée par le décret n°2019-755 du 22 juillet 2019. L’objectif d’une généralisation du dispositif dès 2021 est maintenu et devra être confirmé au regard des résultats de cette expérimentation et de l’évolution de la crise sanitaire.


En moyenne, les utilisateurs du pass ont dépensé 137 euros sur 10 mois. Grâce aux dernières améliorations de la plateforme, on constate que les jeunes inscrits en juillet 2020 ont utilisé 124 euros de leur crédit après 6 mois d’inscription.



En ce qui concerne les crédits exécutés en faveur de l’émancipation artistique et culturelle de tous, les dépenses s’élèvent à 57,72 M€ en AE et 59,71 M€ en CP, dont 17,16 M€ en AE et 17,17 M€ en CP au niveau central, et 40,56 M€ en AE et 42 M€ en CP en services déconcentrés.



En termes de politiques en faveur des publics en situation spécifique : 6,67 M€ en AE et 6,70 M€ en CP


Les actions en faveur des publics spécifiques ont consisté à renforcer les partenariats interministériels en faveur des personnes en situation de handicap, des personnes placées sous main de justice, des personnes hospitalisées et des personnes âgées, notamment en EHPAD.


En 2020, l’effort vers les personnes en situations spécifiques a été renforcé par les actions des DRAC auprès des collectivités territoriales, associations, établissements publics.  Le guide « Pour un enseignement artistique accessible – Danse, musique, théâtre » a été diffusé très largement au sein des réseaux d’enseignement artistique. Par ailleurs, un fonds national d’accessibilité dédié au spectacle vivant a été renouvelé et délégué aux DRAC, dans le cadre de la politique culture/handicap, afin de permettre le financement d’outils d’accessibilité pour les structures du spectacle vivant (0,95 M€ en AE=CP).



En termes de politique territoriale et de cohésion sociale et fonds de sécurisation : 37,15 M€ en AE et 36,95 M€ en CP


37,13 M€ en AE et 36,95 M€ en CP ont porté sur des actions en faveur de la politique territoriale et cohésion sociale, afin de toucher les populations les plus éloignées de l’offre culturelle, populations des territoires ruraux, ultramarins et politique de la ville.


Au niveau national, cette politique s’appuie sur des protocoles interministériels signés entre le ministère de la Culture et le ministère de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales. Les crédits centraux (9,82 M€ en AE et 9,79 M€ en CP) ont permis d’accompagner les associations nationales qui fédèrent les acteurs culturels des territoires ruraux et politique de la ville ainsi que les têtes de réseaux des fédérations d’éducation populaire et de la solidarité dont les conventions pluriannuelles d’objectifs ont été renouvelées en 2020. Ces crédits ont également servi à la mise en réseau de ces acteurs, à l’organisation de formations et séminaires. Les fédérations d’éducation populaire et associations de solidarité ont également bénéficié d’aides à l’emploi (référents culture) par le Fonds de coopération de la jeunesse et de l’éducation populaire (FONJEP).


En 2020, le développement des Micros-folies a été poursuivi et renforcé par l’ouverture de nouveaux lieux destinés à accueillir ces musées numériques de proximité dans les quartiers politique de la ville et également dans les territoires ruraux.


Sur le plan régional, les DRAC ont apporté un soutien financier à hauteur de 27,31 M€ en AE et 27,15 M€ en CP à l’ensemble de leurs partenaires déclinant ces politiques. 


0,5 M€ ont été versés au Fonds d’aide aux échanges artistiques et culturels pour l’Outre-mer (FEAC). Alimenté à parité par le ministère de l’Outre-mer, il a pour objet de favoriser la circulation des œuvres et des artistes et de développer les échanges artistiques et culturels entre l’Outre-mer et la métropole, l’Europe et les pays situés dans leur environnement régional (Amérique latine, caraïbes, Océan indien et Pacifique sud).


Enfin, le ministère de la Culture a doté de 0,5 M€ le fonds de sécurisation des sites et des évènements culturels. Ce qui a permis d’aider les entreprises du spectacle vivant et de la presse à surmonter les surcoûts de contrôle et de sécurité du fait de la menace terroriste, et d’améliorer les dispositifs de sécurité d’accueil du public. En LFI 2020, ce fond était doté de 1,92 M€ (2 M€ avant gel). Cette sous-exécution s’explique par la fermeture des lieux culturels pour lutter contre la propagation de la Covid-19.



En termes d’encadrement et de développement des pratiques artistiques en amateur : 2,64 M€ en AE et en CP


Ont été soutenues à l’échelle nationale, les grandes fédérations nationales de la pratique amateur en musique, danse ou théâtre : la confédération musicale de France, l’office national de diffusion artistique pour des actions en direction des territoires d’Outre-mer, la fédération nationale des compagnies de théâtre amateur et d’animation, etc.


À l’échelon régional, les DRAC ont également apporté leur soutien aux structures accompagnant les pratiques amateur notamment des associations de proximité et des antennes locales de fédérations nationales. Ces crédits ont permis de financer des ateliers et stages de pratiques, tous domaines artistiques confondus (ateliers d’écriture, pratiques théâtrales ou musicales, création chorégraphique, etc.), les rencontres dédiées aux échanges de bonnes pratiques, les actions de formation des encadrants et des animateurs, les actions pédagogiques en direction des amateurs menées notamment dans le cadre de festivals.



En termes de soutien à la transition et à l’innovation numériques : 11,27 M€ en AE et 13,42 M€ en CP


En 2020, les projets de numérisation et de valorisation des patrimoines ont été soutenus à hauteur de 1,8 M€ en AE=CP, notamment dans le cadre de la montée en puissance progressive du « Programme national de numérisation et de valorisation des contenus » : ce programme, dans un objectif de démocratisation culturelle et de diffusion au plus grand nombre, encourage les initiatives locales dans le choix des corpus à numériser ou le développement d’outils numériques participatifs.


En termes de soutien à l’innovation numérique (1,86 M€ en AE, 1,93 M€ en CP), les dispositifs mis en place sont variés. Services centraux et déconcentrés soutiennent par exemples des projets de recherche et développement conduits en partenariat entre le Ministère et l’Institut national de recherche en informatique et en automatique (INRIA), l’émergence de services numériques innovants avec des appels à projets à destination des PME, laboratoires de recherche ou associations, ou encore l’action de lieux de ressources tels que des espaces culture multimédias qui concourent à l’émergence et au développement de pratiques innovantes et numériques.


Le ministère a également poursuivi son engagement en faveur de l’ouverture et de la réutilisation des données publiques (0,95 M€ en AE et 0,92 M€ en CP), dans l’objectif réaffirmé de soutenir le développement d’une économie numérique de la culture et d’améliorer la visibilité des œuvres et institutions culturelles sur internet, notamment dans le champ patrimonial.


L’accompagnement des acteurs culturels a bénéficié de 1,06 M€ en AE et CP. Dans la continuité de l’action engagée au cours des exercices précédents, l’action des acteurs innovants (par exemple à travers le Dispositif pour la création artistique multimédia piloté par le CNC) et l’organisation de journées de sensibilisation, d’information et de formation ont été soutenus. Dans le contexte de la crise sanitaire, un nouveau dispositif baptisé « Eté culturel » a par ailleurs été mis en place pour permettre aux artistes, fragilisés par la crise, de renouer avec les publics et offrir aux habitants des rencontres inédites et exceptionnelles, partout sur le territoire, dans l’Hexagone et les Outre-mer.


Au titre de l’entreprenariat culturel, 1,06 M€ en AE et CP ont contribué, à titre principal, à la mise en œuvre du Forum Entreprendre dans la culture et à l’organisation de ses déclinaisons régionales et internationales.

 

ACTION

06 – Action culturelle internationale


 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

Action / Sous-action

Prévision LFI y.c. FdC et AdP 
Réalisation 

Titre 2

Autres titres

Total

Titre 2

Autres titres

Total

06 – Action culturelle internationale

 
 

7 385 969
5 680 175

7 385 969
5 680 175

 
 

7 385 969
5 967 703

7 385 969
5 967 703

 

Le montant des dépenses exécuté en 2020 sur le programme 224 au titre de l’action culturelle internationale s’élève à 5,68 M€ en AE et 5,97 M€ en CP.


En matière européenne et internationale, l’action ministérielle s’est caractérisée en 2020 par la poursuite de la promotion des politiques culturelles au niveau européen, international et multilatéral. Le ministère a continué de veiller à une meilleure prise en compte de la culture et au plein respect de la diversité culturelle dans toutes les politiques de l’Union européenne (aides d’État, politique commerciale, budget européen, réglementation des acteurs du numérique, etc.) et au sein des instances multilatérales comme l’UNESCO, le Conseil de l’Europe ou encore l’Organisation internationale de la francophonie.


S’agissant en particulier des politiques européennes, il a apporté une attention particulière à la prise en compte des enjeux spécifiques du secteur culturel dans les négociations entre le Royaume-Uni et l’Union européenne ainsi que dans le cadre des négociations relatives au nouvel acte sur les services numériques.


Le ministère a veillé également à développer autant que possible les actions permettant de soutenir au niveau européen la relance du secteur culturel fortement impacté par la crise sanitaire.


Il a également défendu l’accroissement du budget dédié à la culture dans le budget communautaire général et dans le plan de relance européen et s’est mobilisé pour la mise en place d’un cadre européen des aides d’État adapté permettant la mise en place de dispositifs d’aide aux professionnels de la culture, particulièrement touchés par la crise sanitaire. En parallèle de ces actions, le ministère a commencé à se mobiliser pour la préparation de la présidence française de l’Union européenne qui aura lieu au premier semestre 2022 et qui donnera lieu notamment à l’organisation de nombreux événements.


Dans l’esprit de dialogue et d’échanges auquel il est attaché, le ministère de la Culture a poursuivi son soutien aux actions permettant tant de faire rayonner la culture et la langue françaises à l’étranger que de promouvoir les cultures étrangères en France. A ce titre, il a continué en particulier d’apporter un financement important à l’organisation des saisons, manifestations emblématiques de la coopération culturelle avec des pays étrangers. Il a travaillé en étroite liaison avec le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères et l’opérateur dédié, l’Institut français, à la préparation de la saison Africa 2020 dont l’essentiel des manifestations se dérouleront en 2021 en raison de la crise sanitaire. Le ministère s’est également mobilisé pour la préparation de la saison française au Japon qui aura lieu d’octobre 2021 à mars 2022 et pour la saison croisée France-Portugal qui sera organisée de février à octobre 2022.


Le ministère a également poursuivi, avec le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, ses efforts de développement et de promotion des industries culturelles et créatives françaises à l’étranger, en particulier en direction de 37 pays identifiés comme prioritaires.


Le ministère a poursuivi ses actions dédiées aux professionnels pour les aider à accéder à des projets d’envergure européenne ainsi qu’au financement de programmes européens, pour l’exportation de leurs productions, de leur savoir-faire et pour soutenir des diffuseurs étrangers qui souhaiteraient accueillir des productions françaises.


L’accueil et la formation de professionnels culturels et d’artistes étrangers n’ont pu être en revanche assurés en raison de la crise sanitaire. Afin de prendre en compte cet aléa, le ministère envisage de proposer des programmes déclinés en version numérique pour permettre de poursuivre les actions engagées malgré le contexte sanitaire.


En termes de coopération internationale, le ministère a veillé, notamment en liaison avec les établissements publics culturels dont il assure la tutelle, à engager et accompagner des projets pérennes.


Le ministère s’est attaché en outre à poursuivre le développement, engagé autour d’une dizaine de chantiers, de sa politique d’offre d’expertise culturelle à l’international dans l’ensemble des secteurs culturels, en liaison étroite avec le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères et les acteurs opérationnels comme Expertise France et l’Agence française de développement (AFD).


Parmi les sujets transversaux qu’il est amené à suivre, la francophonie et la langue française ont continué d’être des priorités pour le ministère qui a veillé à mettre en œuvre les actions qui relèvent de sa compétence dans le plan présidentiel pour la langue française, comme par exemple la préparation des états généraux du livre en langue française.

 

Éléments de la dépense par nature


 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

Titre et catégorie

Prévision LFI
y.c. FdC et AdP
 

Réalisation

Prévision LFI
y.c. FdC et AdP

Réalisation

Titre 3 : Dépenses de fonctionnement

 

204 252

 

481 880

Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

 

104 252

 

381 880

Subventions pour charges de service public

 

100 000

 

100 000

Titre 6 : Dépenses d’intervention

7 385 969

5 475 923

7 385 969

5 485 823

Transferts aux ménages

 

44 113

 

44 113

Transferts aux entreprises

 

1 579 542

 

1 581 242

Transferts aux collectivités territoriales

 

30 500

 

30 500

Transferts aux autres collectivités

7 385 969

3 821 769

7 385 969

3 829 969

Total

7 385 969

5 680 175

7 385 969

5 967 703

 

DÉPENSES DE FONCTIONNEMENT


Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel : 0,10 M€ en AE et 0,38 M€ en CP


Ces crédits correspondent principalement au marché passé avec l’association « Maison des cultures du monde » (MCM), à la suite de l’appel d’offres auquel elle a répondu pour la prise en charge opérationnelle de l’accueil de professionnels de la culture étrangers en France dans le cadre des programmes « Courants du monde », conçus et pilotés par le ministère. Pour mémoire, ces programmes du ministère de la Culture ont pour objectif de favoriser les échanges entre professionnels français et étrangers de la culture et de contribuer aussi à notre diplomatie d’influence.


Subventions pour charges de service public : 0,1 M€ en AE et en CP


Ces crédits ont été exécutés à tort en catégorie 32 alors qu’il s’agissait de dépenses d’intervention, ré-imputées et justifiées en tant que telles.


DÉPENSES D’INTERVENTION


Dépenses d’intervention : transferts aux ménages, aux entreprises, aux collectivités territoriales et autres collectivités : 5,48 M€ en AE et 5,49 M€ en CP


Après ré-imputation des 0,1 M€ en AE et en CP exécutés à tort en dépenses de catégorie 32, le montant réel des dépenses d’intervention en matière d’action culturelle internationale s’élève à 5,53 M€ en AE et 5,54 M€ en CP ;


Ces crédits permettent de mener des actions contribuant au rayonnement de la culture française dans le monde et des cultures étrangères en France à travers trois priorités :

  • le renforcement de la coopération technique et des échanges entre institutions culturelles ;

  • la diffusion des cultures étrangères en France et l’accueil des professionnels de la culture et des artistes étrangers en France ;

  • la promotion de la création et des industries culturelles françaises à l’étranger.


Renforcement de la coopération technique et des échanges entre institutions culturelles : 2,05 M€ en AE et 2,04 M€ en CP


Ont été soutenus à ce titre des organisations internationales de renom œuvrant en faveur de la coopération culturelle entre les États membres. Le ministère a ainsi poursuivi ses efforts au sein de l’UNESCO, notamment en faveur de la réaffirmation des principes de la convention de 2005 relative à la promotion et à la protection de la diversité des expressions culturelles. C’est dans cette optique que l’UNESCO a reçu 0,11 M€ en 2020 pour sa participation au développement des industries culturelles des pays émergents. La commission nationale française pour l’UNESCO qui représente la France dans les grands domaines de compétences de l’UNESCO a, quant à elle, reçu 0,06 M€. Le Conseil de l’Europe qui encourage un espace culturel entre ses États membres, à travers notamment ses itinéraires culturels européens, a été soutenu à hauteur de 0,06 M€. Dans le cadre du programme « Culture » de l’Union européenne, le ministère a financé l’accompagnement des porteurs de projets culturels à la recherche de financements communautaires. L’association « Relais Culture Europe » a perçu 0,44 M€ pour ses activités de conseil et d’orientation auprès des professionnels français candidats aux appels à projets de l’Union européenne. Ont également été soutenus l’Institut français et son réseau à l’étranger (0,21 M€), l’Association des centres culturels de rencontre (0,12 M€) ainsi que le Conseil international des monuments et des sites (ICOMOS) (0,02 M€) qui se consacre à la conservation et à la protection des monuments et des sites patrimoniaux dans le monde. Au niveau déconcentré, ont été soutenues des actions de coopération transfrontalière entre pays voisins dont l’outre-mer et l’espace caribéen et du Pacifique. D’autres associations ou établissements publics nationaux ont reçu des crédits spécifiques tels que la Bibliothèque nationale de France (0,07 M€), l’Institut français (0,05 M€) ou encore l’Association des centres culturels de rencontre (0,05 M€) pour apporter leur soutien aux artistes et au secteur culturel du Liban après la catastrophe de l’explosion du port de Beyrouth le 4 août 2020.


Diffusion des cultures étrangères en France et accueil des professionnels de la culture et des artistes étrangers en France : 3,09 M€ en AE et 3,10 M€ en CP


En 2020, le ministère de la Culture a assuré son soutien à l’Institut français en maintenant sa subvention de 1,28 M€, dans le cadre de ses missions d’accueil et de diffusion en France des cultures étrangères, à travers notamment l’organisation des saisons ; trois saisons étaient en cours de préparation en 2020 : la Saison Africa 2020 dont les manifestations ont été reportées en 2021 du fait de la pandémie, la saison française au Japon, prévue d’octobre 2021 à avril 2022, et la saison croisée France-Portugal, prévue de février à octobre 2022.


Le ministère a par ailleurs apporté son soutien à plusieurs organisations et festivals, permettant également la découverte des cultures étrangères en France, à hauteur de 1,4 M€ : l’Office national de la diffusion artistique (ONDA) pour ses actions au niveau européen et international dans le domaine du spectacle vivant, l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) qui œuvre en faveur de la coopération multilatérale francophone, l’Association des centres culturels de rencontre qui reçoit, dans le cadre de son programme « Odyssée », des artistes étrangers en résidence au sein de la vingtaine de centres culturels de rencontre en France, la Cité internationale des arts qui accueille en résidence des artistes du monde entier, le Festival d’automne à Paris, festival artistique pluridisciplinaire contemporain, Campus France qui accueille les professionnels culturels étrangers en séjour universitaire en France, l’Association Jazze Croise, le réseau de la diffusion du jazz en France.


Promotion de la création et des industries culturelles françaises à l’étranger : 0,52 M€ en AE et en CP


Le soutien aux industries françaises à l’étranger s’opère notamment dans les domaines artistiques, du spectacle vivant, des arts visuels, de l’architecture, du livre, de la musique, du cinéma mais aussi de la langue française. Le ministère de la Culture a ainsi soutenu en 2020 plusieurs structures promouvant dans toute sa diversité le savoir-faire culturel français à l’étranger, telles que l’Institut français et son réseau à l’étranger à hauteur de 0,3 M€ en AE et en CP pour leurs actions culturelles à l’extérieur de la France (en Allemagne, en Serbie, en Chine, en Argentine) dont 0,09 M€ en AE et en CP au titre de la préparation des États généraux du livre en français. A noter que les États généraux du livre en langue française qui devaient se tenir à Tunis à l’automne 2020 ont été reportés à 2021 en raison de la crise sanitaire.

 

ACTION

07 – Fonctions de soutien du ministère


 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

Action / Sous-action

Prévision LFI y.c. FdC et AdP 
Réalisation 

Titre 2

Autres titres

Total

Titre 2

Autres titres

Total

07 – Fonctions de soutien du ministère

661 067 751
650 091 504

63 228 916
39 186 117

724 296 667
689 277 621

661 067 751
650 091 504

61 302 467
65 928 756

722 370 218
716 020 260

 

En 2020, 689,28 M€ en AE et 716,02 M€ en CP ont été exécutés sur l’action 7 du programme 224 dont 650,09 M€ en AE et en CP au titre des dépenses de personnel (titre 2) et 39,19 M€ en AE et 65,93 M€ en CP au titre des dépenses de fonctionnement du ministère de la Culture (hors titre 2).


La justification des dépenses de personnel est retracée dans la partie dépenses de personnel du volet « éléments transversaux du rapport annuel de performance ».


Hors titre 2, la sous-exécution en AE s’explique notamment par :

  • un rétablissement de crédits à hauteur de 0,9 M€ en AE et en CP au titre d’une remontée de crédits de l’OPPIC liée à l’opération ENSA Belleville ;

  • une correction d’imputation de -23,63 M€ en AE concernant l’opération IMVT Marseille. Ces AE imputées à tort sur l’action 7 ont été remises sur l’action 1 du programme 224. Ce mouvement s’est avéré nécessaire afin de permettre la bascule de l’EJ sur le nouveau programme 361.

 

Éléments de la dépense par nature


 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

Titre et catégorie

Prévision LFI
y.c. FdC et AdP
 

Réalisation

Prévision LFI
y.c. FdC et AdP

Réalisation

Titre 2 : Dépenses de personnel

661 067 751

650 091 504

661 067 751

650 091 504

Rémunérations d’activité

391 600 437

388 502 634

391 600 437

388 502 634

Cotisations et contributions sociales

263 902 845

256 785 181

263 902 845

256 785 181

Prestations sociales et allocations diverses

5 564 469

4 803 690

5 564 469

4 803 690

Titre 3 : Dépenses de fonctionnement

53 923 073

60 541 813

52 054 818

58 808 492

Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

41 707 332

48 276 528

39 839 077

46 543 207

Subventions pour charges de service public

12 215 741

12 265 285

12 215 741

12 265 285

Titre 5 : Dépenses d’investissement

9 305 843

-22 805 173

9 247 649

5 666 477

Dépenses pour immobilisations corporelles de l’État

1 335 843

-23 002 354

1 277 649

4 975 999

Dépenses pour immobilisations incorporelles de l’État

7 970 000

197 181

7 970 000

690 478

Titre 6 : Dépenses d’intervention

 

608 368

 

612 678

Transferts aux ménages

 

75 120

 

75 120

Transferts aux entreprises

 

34 122

 

36 692

Transferts aux collectivités territoriales

 

8 000

 

9 740

Transferts aux autres collectivités

 

491 126

 

491 126

Titre 7 : Dépenses d’opérations financières

 

841 109

 

841 109

Dotations en fonds propres

 

841 109

 

841 109

Total

724 296 667

689 277 621

722 370 218

716 020 260

 

dépenses de fonctionnement



Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel (catégorie 31) : 48,28 M€ en AE et 46,54 M€ en CP


Il s’agit de dépenses contraintes et obligatoires car réglementaires ou contractuelles (baux, impôts et taxes, assurances, etc.).


0,06 M€ en AE et en CP ont été exécutés à tort en dépenses de catégorie 32 et 0,61 M€ en AE et en CP à tort en dépenses d’intervention alors qu’il s’agissait de dépenses de fonctionnement.


Par ailleurs, 0,23 M€ en AE et CP ont été exécutés en dépenses de catégorie 31 alors qu’il s’agissait de dépenses d’investissement de catégorie 51 relatives au plan de rénovation des logements de fonction.


Le montant réel des dépenses de fonctionnement de catégorie 31 s’élève à 48,94 M€ en AE et 47,21 M€ en CP et se répartit comme suit :


en €

Crédits centraux

Crédits déconcentrés

Total

LFI 2020

LFI 2020

LFI 2020

Exécution 2020

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

Dépenses et charges immobilières

6 789 928

5 488 643

461 778

461 778

7 251 706

5 950 421

3 678 503

7 346 585

Affaires générales

9 469 228

8 902 258

412 338

412 338

9 881 566

9 314 596

9 790 011

9 094 044

Formation

3 735 000

3 735 000

122 716

122 716

3 857 716

3 857 716

3 778 059

3 456 250

Action sociale et prévention

6 415 933

6 415 933

0

0

6 415 933

6 415 933

5 192 968

5 108 130

Informatique

9 700 000

9 700 000

193 108

193 108

9 893 108

9 893 108

21 613 575

16 350 482

Communication

2 842 303

2 842 303

150 000

150 000

2 992 303

2 992 303

3 468 184

3 412 742

Etudes

990 000

990 000

30 000

30 000

1 020 000

1 020 000

523 453

1 543 199

Prévision fonds de concours LFI





395 000

395 000

 

 

Total

39 942 392

38 074 137

1 369 940

1 369 940

41 707 332

39 839 077

48 044 752

46 311 431

Total à réimputer en catégorie 51
(plan de rénovation des logements de fonction)

 

 

 

 

 

 

231 775

231 775

Total exécuté en catégorie 31

39 942 392

38 074 137

1 369 940

1 369 940

41 707 332

39 839 077

48 276 528

46 543 207

Total imputé par erreur en catégorie 32
(formation)







55 000

55 000

Total imputé par erreur en titre 6







608 368

612 678

Total dépenses réelles en catégorie 31

39 942 392

38 074 137

1 369 940

1 369 940

41 707 332

39 839 077

48 708 120

46 979 110


L’exécution est supérieure aux prévisions de la LFI : 48,71 M€ en AE et 46,98 M€ en CP contre 41,31 M€ en AE et 39,44 M€ en CP, soit un écart de plus de 17 % en AE et de plus de 19 % en CP (+7,4 M€ de plus en AE et +7,54 M€ de plus en CP). La sur-exécution s’explique notamment par la hausse des dépenses informatiques liée à une accélération de la mise en œuvre du plan de transformation numérique rendue indispensable du fait de la crise sanitaire (voir infra).


En contrepartie de ces surcoûts informatiques et de désinfection des locaux liés à la crise, on constate des moindres dépenses du fait des mesures de confinement de mars 2020 à juin 2020 et de la généralisation du télétravail : réduction des dépenses et charges immobilières, réduction de la consommation des fluides, etc. Les diminutions de dépenses de sécurité et de sûreté ne seront observées qu’en 2021.


Par ailleurs, ces dépenses concernent principalement l’administration centrale car les moyens de fonctionnement courant des DRAC et des DAC (sauf crédits formations métiers et crédits liés aux spécificités des services : communication, action sociale, études, contentieux, etc. maintenus sur BOP ministériels) sont désormais gérés sur le programme 354 « Administration territoriale de l’État ».


Les dépenses de fonctionnement se répartissent en deux grandes catégories :

  • les dépenses et charges immobilières : 3,68 M€ en AE et 7,35 M€ en CP ;

  • les dépenses de fonctionnement courant quotidiennement nécessaires à la bonne marche des services : 45,03 M€ en AE et 39,63 M€ en CP.



Dépenses immobilières et frais liés aux locaux : 3,68 M€ en AE et 7,35 M€ en CP


Il s’agit principalement de crédits centraux pour 3,65 M€ en AE et 7,33 M€ en CP.


Cette catégorie de dépenses couvre les taxes et charges immobilières de l’État occupant (hors entretien lourd relevant du propriétaire et géré sur d’autres programmes budgétaires). Il s’agit des loyers et charges connexes : loyers et charges locatives, taxes sur bâtiments (1,09 M€ en AE et 2,67 M€ en CP), maintenance et installation technique, travaux et entretien courant, remise en état et rénovation (y compris espaces extérieurs) : 1,8 M€ en AE et 3,08 M€ en CP, énergie et les fluides (0,79 M€ en AE et 1,59 M€ en CP).



Crédits de fonctionnement courant : 45,03 M€ en AE et 39,63 M€ en CP


La répartition par nature de dépenses est la suivante :

  • affaires générales : 9,8 M€ en AE et 9,09 M€ en CP ;

  • formation : 3,78 M€ en AE et 3,46 M€ en CP ;

  • action sociale et prévention : 5,19 M€ en AE et 5,11 M€ en CP ;

  • informatique : 21,61 M€ en AE et 16,35 M€ en CP ;

  • communication : 3,47 M€ en AE et 3,41 M€ en CP ;

  • études : 0,52 M€ en AE et 1,54 M€ en CP.



Affaires générales : 9,8 M€ en AE et 9,09 M€ en CP


Après correction des erreurs d’imputation, ces dépenses s’élèvent en réalité à 9,9 M€ en AE et 9,1 M€ en CP, dont 9,73 M€ en AE et 9 M€ en CP en administration centrale.


Le montant des dépenses de logistique s’élève à 7,53 M€ en AE et 6,89 M€ en CP. Rentrent dans cette catégorie : le marché accueil et surveillance des locaux (3,77 M€ en AE et 3,24 M€ en CP) ; les moyens mobiles qui ont baissé dans le cadre de la crise sanitaire (réparation automobiles, location, carburants, achats de véhicules, frais de transport et de restauration) (0,56 M€ en AE et 0,5 M€ en CP) ; la prestation de nettoyage (augmentation du fait de la crise) et voierie (1,23 M€ en AE et 1,16 M€ en CP). En matière de fournitures et d’équipements (fournitures de bureau, consommables pour système d’impression, reprographie, affranchissement courrier, audiovisuel) la dépense s’élève à 0,82 M€ en AE et 0,83 M€ en CP. Enfin, les frais de représentation, de déplacement et de mission ont significativement baissé en 2020 du fait de la crise et s’élèvent à 1,16 M€ en AE et en CP.


En matière de documentation, (revue de presse, veille internet, etc.) la dépense s’élève à 0,68 M€ en AE et 0,77 M€ en CP.


Les dépenses relatives aux affaires juridiques s’élèvent à 1,52 M€ en AE et 1,34 M€ en CP correspondant à l’exécution des décisions de justice, aux règlements à l’amiable, aux honoraires d’avocats, aux frais de justice ou à des prestations juridiques diverses.



Formation, concours et mobilité : 3,78 M€ en AE et 3,46 M€ en CP 


Après retraitement des erreurs d’imputations, les dépenses de formation, concours et mobilité s’élèvent à 4,24 M€ en AE et 3,92 M€ en CP dont 4,06 M€ en AE et 3,76 M€ en CP en administration centrale et 0,18 M€ en AE et 0,15 M€ en CP pour les services déconcentrés.


Ces dépenses ont notamment permis de dispenser aux personnels des formations d’ordre général et dans différents domaines du champ du ministère de la Culture : patrimoine, création artistique, livre et médias (2,37 M€ en AE et 2,03 M€ en CP).


Ces crédits ont également servi à mettre en place l’organisation de concours et examens (0,13 M€ en AE et 0,12 M€ en CP), à accompagner les agents dans leur mobilité (1,35 M€ en AE et 1,38 M€ en CP), à prendre en charge la formation des apprentis (0,23 M€ en AE et 0,30 M€ en CP), à verser les indemnités de changement de résidence (0,16 M€ en AE et en CP).



Action sociale et prévention : 5,19 M€ en AE et 5,11 M€ en CP


Après ré-imputations, les dépenses d’action sociale et prévention s’établissent à 5,24 M€ en AE et 5,15 M€ en CP, dont 4,63 M€ en AE et 4,61 M€ en CP de crédits centraux et 0,61 M€ en AE et 0,54 M€ en CP de crédits déconcentrés.


Sont répertoriées au titre de l’action sociale et de la prévention : les actions dites collectives (médecine de prévention, restauration collective, logement social) pour 4,5 M€ en AE et 4,45 M€ en CP ; ainsi que les actions en faveur de l’insertion des personnes handicapées (aménagement et ergonomie des postes de travail des agents en situation de handicap, accompagnement et intégration de ces agents) pour 0,39 M€ en AE et 0,35 M€ en CP.


Par ailleurs, le taux d’emploi des personnes handicapées au ministère de la Culture est de 5,46 % en 2020 (cf. volet performance). De ce fait, le ministère a été assujetti à la contribution au fonds pour l’insertion des personnes handicapées dans la fonction publique (FIPHFP) à hauteur de 0,35 M€ en AE et en CP.



Informatique : 21,61 M€ en AE et 16,35 M€ en CP


Après ré-imputations, cette catégorie de dépenses s’élève à 21,61 M€ en AE et 16,35 M€ en CP. Il s’agit principalement de crédits centraux pour 21,4 M€ en AE et 16,14 M€ en CP. L’informatique, qui génère un niveau élevé de dépenses récurrentes et inéluctables, est particulièrement sujette aux aléas d’exécution dans le temps des marchés pluriannuels. Ceci explique le décalage AE/CP résultant des bascules d’engagements juridiques d’années antérieures.


Il s’agit de dépenses liées, d’une part, à l’exploitation et au maintien en conditions opérationnelles des systèmes d’information existants (12,5 M€ en AE et en CP) et, d’autre part, aux projets de modernisation et de transformation numérique du ministère : développement du télétravail et du travail en mobilité, dématérialisation et simplification des démarches usagers, résorption de la dette technologique, modernisation des applications métiers et développement de nouveaux services aux citoyens.


Ce poste de dépense est en forte augmentation par rapport à la LFI (+11,72 M€ en AE et +6,46 M€ en CP). En effet, certaines dépenses informatiques inscrites en catégorie 52 « dépenses pour immobilisations incorporelles de l’État » (7,97 M€ en AE et en CP pour le PLF 2020) s’exécutent en dépenses informatiques de catégorie 31. Par ailleurs, des transferts et virements de crédits entrants à hauteur de 1,8 M€ en AE et 1,52 M€ en CP liés au programme Vitam, programme interministériel d’archivage numérique, sont venus renforcer les moyens informatiques.


Trois facteurs principaux expliquent l’augmentation des dépenses informatiques. D’une part, la mise en œuvre du plan de rattrapage informatique mis en œuvre au sein du ministère, dans la cadre du Plan de transformation numérique ministériel. D’autre part, la crise sanitaire a accéléré la mise en place du télétravail et l’accès de tous les agents aux outils numériques à distance, tout en entraînant la progression des pratiques culturelles numériques. Cela s’est notamment traduit par une très forte augmentation de l’équipement des agents en PC portables avec VPN (passage de 10% à 50% des agents en 2020, avec un objectif de 100% des agents dont les missions sont télé-travaillables d’ici mi-2021), la mise en place d’une solution d’audio et de visioconférence, l’élaboration et l’amélioration du site et de l’application mobile « #culture chez nous ». Enfin, afin de préparer l’arrivée réglementaire au 1er janvier 2022 de la dématérialisation des droits du sol, qui va impacter le quotidien de plus de la moitié des agents en DRAC. 450 000 demandes annuelles de travaux devront à cette date faire l’objet d’une instruction totalement dématérialisée, ce qui a provoqué des dépenses projets et d’infrastructure pour adapter le SI ministériel au projet interministériel de DematADS, mais aussi la fourniture de matériels dits « métiers » aux DRAC (les matériels dits « métiers » n’étant pas couverts par le 354 qui se limite aux matériels dits « bureautique »).


Enfin, il faut noter que 0,82 M€ en AE et 0,29 M€ en CP concernent des dépenses liées à RenoiRH, le système d’information de gestion des ressources humaines.



Communication : 3,47 M€ en AE et 3,41 M€ en CP


Ces dépenses, après ré-imputations, s’élèvent à 3,47 M€ en AE et 3,42 M€ en CP dont 3,19 M€ en AE et 3,15 M€ en CP en administration centrale et 0,28 M€ en AE et 0,27 M€ en CP pour les services déconcentrés.


Signalons que des crédits en provenance du mécénat viennent soutenir les manifestations nationales du ministère : Nuit européenne des musées, Journée européennes du Patrimoine, Rendez-vous jardins, Fête de la musique, Semaine de la langue Française, etc. Ces mécénats financiers sont encadrés par des conventions qui fixent les modalités d’utilisation des fonds de concours qui n’ont pas été rendues possibles en 2020. Ces fonds de concours ont été intégralement reportés de 2020 à 2021.


Les moyens en communication permettent également de financer les opérations de communication du ministre de la Culture (campagnes de relations presse-relations publiques) à l’occasion de ses déplacements, rencontres et audiences. Les actions de communication englobent également l’amélioration de sites Web, les frais de création, production et montage, graphisme et impression, frais de vidéo et frais de veille.



Etudes : 0,52 M€ en AE et 1,54 M€ en CP


Après ré-imputations, ces dépenses s’élèvent à 0,57 M€ en AE et 1,59 M€ en CP. Elles ont principalement permis au département des études, de la prospective et des statistiques (DEPS) de mener des études et enquêtes dans les différents domaines de l’activité culturelle afin d’évaluer et d’adapter au mieux l’offre culturelle du ministère. Y figurent par exemple les enquêtes sur les pratiques culturelles des français ou sur l’émancipation et l’éducation artistiques et culturelles des jeunes (0,28 M€ en AE et 1,33 M€ en CP). Ces crédits ont également financé les travaux d’études menés par la Direction générale des médias et des industries culturelles (DGMIC) à hauteur de 0,19 M€ en AE et 0,23 M€ en CP.



Subvention pour charges de service public (catégorie 32) : 12,27 M€ en AE=CP


0,055 M€ en AE et en CP ont été exécutés à tort en catégorie 32 alors qu’il s’agissait de dépenses de catégorie 31 dans le domaine de la formation.


Après ré-imputations ces crédits qui s’élèvent à 12,21 M€ en AE et en CP ont été versés à l’opérateur du patrimoine et des projets immobiliers (OPPIC), établissement public de maîtrise d’ouvrage publique, au titre de sa subvention pour charges de service public (12,04 M€ en AE et en CP) et au titre de la contribution annuelle du ministère des Armées dans le cadre du pilotage par l’OPPIC des travaux relatifs au musée de la marine (0,17 M€ en AE et en CP).



dépenses D’investissement



Dépenses pour immobilisations corporelles de l’État (catégorie 51) : -23 M€ en AE et 4,98 M€ en CP


Les AE en négatif s’expliquent par des remontées de crédits de la part de l’OPPIC à hauteur de ‑999 491 € en AE et en CP notamment liées à l’opération ENSA Belleville et par une correction d’imputation de ‑23,63 M€ en AE au profit de l’action 1 du programme 224, afin de permettre la bascule de l’EJ « IMVT Marseille » sur le nouveau programme 361 créé en PLF 2021.


Par ailleurs, il convient de ré-imputer 5,8 M€ en CP en dépenses d’investissement de l’action 1, correspondant à l’opération de relocalisation de l’ENSA Marseille.


De même, 0,84 M€ en AE et en CP exécutés en dépenses d’opérations financières (catégorie 72) et 0,23 M€ en AE et en CP exécutés en dépenses de catégorie 31 sont en réalité des dépenses de catégorie 51.


Après retraitements, ces dépenses s’élèvent en réalité, après neutralisation des montants en négatif à 2,7 M€ en AE et 1,25 M€ en CP. En tenant compte des montants en négatif, le solde s’établit à -21,93 M€ en AE et 1,25 M€ en CP.

 

ACTION

09 – Langue française et langues de France


 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

Action / Sous-action

Prévision LFI y.c. FdC et AdP 
Réalisation 

Titre 2

Autres titres

Total

Titre 2

Autres titres

Total

09 – Langue française et langues de France

 
 

3 224 338
3 418 630

3 224 338
3 418 630

 
 

3 224 338
3 425 047

3 224 338
3 425 047

 

 

Éléments de la dépense par nature


 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

Titre et catégorie

Prévision LFI
y.c. FdC et AdP
 

Réalisation

Prévision LFI
y.c. FdC et AdP

Réalisation

Titre 3 : Dépenses de fonctionnement

 

168 689

 

180 105

Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

 

168 689

 

180 105

Titre 6 : Dépenses d’intervention

3 224 338

3 249 941

3 224 338

3 244 941

Transferts aux entreprises

 

205 400

 

205 400

Transferts aux collectivités territoriales

 

594 563

 

594 563

Transferts aux autres collectivités

3 224 338

2 449 979

3 224 338

2 444 979

Total

3 224 338

3 418 630

3 224 338

3 425 047

 

DEPENSES DE FONCTIONNEMENT



Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel : 0,17 M€ en AE et 0,18 M€ en CP


Ces dépenses ont été exécutées par erreur en catégorie 31 alors qu’il s’agissait de dépenses d’intervention.



DEPENSES D’INTERVENTION



Après ré-imputations, le montant des dépenses d’intervention au titre des missions de la délégation générale à la langue française et aux langues de France (DGLFLF) s’élève à 3,42 M€ en AE et 3,43 M€ en CP comme suit :



Destination de la subvention (en €)

Crédits centraux

Crédits déconcentrés

Total

LFI

Exécution

LFI

Exécution

LFI

Exécution

AE=CP

AE

CP

AE=CP

AE

CP

AE=CP

AE

CP

Emploi et diffusion de la langue français

500 000

696 771

725 061

1 024 338

48 254

42 454

3 224 338

745 025

767 515

Maîtrise de la langue et action territoriale

480 000

521 358

521 358

310 795

310 795

832 153

832 153

dont contribution  au Centre européen pour les langues vivantes de Graz

260 000

260 000

260 000

0

0

260 000

260 000

Enrichissement de la langue française

200 000

140 500

140 500

41 489

41 489

181 989

181 989

Langues de France et Outre-mer

350 000

172 050

172 050

835 475

819 402

1 007 525

991 452

  dont fonds incitatif pour les Outre-mer

100 000

Observation des pratiques linguistiques

140 000

108 655

108 655

15 000

15 000

123 655

123 655

Sensibilisation et développement des publics

280 000

141 000

141 000

263 095

263 095

404 095

404 095

Langues et numérique

250 000

124 188

124 188



124 188

124 188

Total

2 200 000

2 164 522

2 192 812

1 024 338

1 514 108

1 492 235

3 224 338

3 418 630

3 425 047



  • Crédits centraux : 2,16 M€ en AE et 2,19 M€ en CP 

Ces crédits ont été employés pour mettre en œuvre les priorités ministérielles en matière de promotion de la langue française et des langues de France.


En ce qui concerne, l’emploi et la diffusion de la langue française (0,7 M €), une priorité forte a été donnée au Dictionnaire des francophones (0,2 M €), projet présidentiel majeur dont la coordination revient à la DGLFLF. La politique visant à garantir l’emploi de la langue française en France et à en favoriser l’usage dans le monde est indissociable d’une action interministérielle visant à doter notre langue de termes désignant toutes les réalités contemporaines, notamment dans les sciences et les techniques : 0,14 M€ ont été consacrés à l’enrichissement de la langue française.  


La maîtrise de la langue et la lutte contre l’illettrisme par le biais de l’action culturelle sont des objectifs prioritaires de la DGLFLF (0,25 M €). La DGLFLF a versé 0,26 M€ au Centre européen pour les langues vivantes de Graz, qui promeut la diversité linguistique en Europe.  


La présence de la langue française et des langues de France dans les réseaux numériques (0,12 M€) constitue un moyen majeur pour faire vivre ces langues.  


En matière de sensibilisation et de développement des publics (0,14 M€), l’accent a été mis sur la Semaine de la langue française et de la Francophonie, rendez-vous de référence dans l’agenda culturel du ministère.


Les langues régionales de France ont fait l’objet d’un effort particulier (0,28 M€), avec une attention particulière portée aux langues ultra-marines (0,1 M€).


Enfin, l’appui de la recherche étant nécessaire pour éclairer la politique linguistique, 0,1 M€ a été consacré à l’observation des pratiques linguistiques.


  • Crédits déconcentrés (y compris les collectivités d’outre-mer) : 1,51 M€ en AE et 1,49 M€ en CP

L’action conduite à partir des crédits centraux est indissociable d’un effort mené dans les territoires, en lien étroit avec les DRAC et les DAC comme avec les collectivités territoriales. Il s‘agit notamment de valoriser les langues régionales de France, constitutives de la richesse culturelle de notre pays, à travers un soutien à des organismes chargés d’en assurer le développement (pour l’occitan, le breton, le basque…).


Plusieurs régions sont concernées, par exemple Nouvelle Aquitaine (0,3 M€), la Bretagne (0,18 M€) ou encore l’Occitanie (0,17 M€).

 

 

Récapitulation des crédits et emplois alloués aux opérateurs de l'État

 

Récapitulation des crédits alloués par le programme aux opérateurs


 

Réalisation 2019

Prévision LFI 2020

Réalisation 2020

Opérateur financé (Programme chef de file)
Nature de la dépense

Autorisations
d'engagement
 

Crédits
de paiement

Autorisations
d'engagement
 

Crédits
de paiement

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

CAMPUS France (P185)

182 144

182 144

 

 

30 000

30 000

Transferts

182 144

182 144

 

 

30 000

30 000

CAPA - Cité de l'architecture et du patrimoine (P175)

105 000

105 000

 

 

115 934

115 934

Subventions pour charges de service public

95 000

95 000

 

 

94 019

94 019

Transferts

10 000

10 000

 

 

21 915

21 915

ONF - Office national des forêts (P149)

5 000

5 000

 

 

6 256

6 256

Transferts

5 000

5 000

 

 

6 256

6 256

CMN - Centre des monuments nationaux (P175)

992 790

1 002 790

 

 

1 262 086

1 262 086

Subventions pour charges de service public

840 000

850 000

 

 

831 326

831 326

Dotations en fonds propres

60 690

60 690

 

 

218 010

218 010

Transferts

92 100

92 100

 

 

212 750

212 750

CNAC-GP - Centre national d'art et de culture - Georges Pompidou (P175)

160 729

160 729

 

 

347 521

347 521

Subventions pour charges de service public

117 000

117 000

 

 

115 792

115 792

Transferts

43 729

43 729

 

 

231 729

231 729

EPMQB - Etablissement public du musée du quai Branly (P175)

334 000

334 000

 

 

411 799

411 799

Subventions pour charges de service public

310 000

310 000

 

 

306 799

306 799

Transferts

24 000

24 000

 

 

105 000

105 000

EPV - Etablissement public du musée et du domaine national de Versailles (P175)

1 252 228

1 252 228

 

 

1 513 665

1 513 665

Subventions pour charges de service public

902 228

902 228

 

 

907 911

907 911

Dotations en fonds propres

350 000

350 000

 

 

415 754

415 754

Transferts

 

 

 

 

190 000

190 000

Etablissement public du château de Fontainebleau (P175)

19 000

44 000

 

 

56 855

56 855

Subventions pour charges de service public

14 000

14 000

 

 

13 855

13 855

Transferts

5 000

30 000

 

 

43 000

43 000

INRAP - Institut national de recherches archéologiques préventives (P175)

82 500

82 500

 

 

105 000

105 000

Transferts

82 500

82 500

 

 

105 000

105 000

Musée des arts décoratifs (P175)

216 000

216 000

 

 

233 769

233 769

Subventions pour charges de service public

216 000

216 000

 

 

213 769

213 769

Transferts

 

 

 

 

20 000

20 000

MuCEM - Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée (P175)

93 000

93 000

 

 

167 639

167 639

Subventions pour charges de service public

35 000

35 000

 

 

34 639

34 639

Transferts

58 000

58 000

 

 

133 000

133 000

Musée d'Orsay et musée de l'Orangerie (P175)

118 000

118 000

 

 

260 781

260 781

Subventions pour charges de service public

118 000

118 000

 

 

116 781

116 781

Transferts

 

 

 

 

144 000

144 000

Musée du Louvre (P175)

836 340

836 340

 

 

1 025 703

1 025 703

Subventions pour charges de service public

836 340

836 340

 

 

827 703

827 703

Transferts

 

 

 

 

198 000

198 000

Musée Guimet (P175)

130 000

130 000

 

 

123 967

123 967

Subventions pour charges de service public

100 000

100 000

 

 

98 967

98 967

Transferts

30 000

30 000

 

 

25 000

25 000

Musée Henner-Moreau (P175)

5 000

5 000

 

 

11 448

11 448

Subventions pour charges de service public

5 000

5 000

 

 

4 948

4 948

Transferts

 

 

 

 

6 500

6 500

Centre national de la danse (P131)

36 685

36 685

 

 

179 750

179 750

Transferts

36 685

36 685

 

 

179 750

179 750

Etablissement public de la Cité de la musique - Philharmonie de Paris (P131)

3 472 000

3 472 000

 

 

3 548 000

3 548 000

Subventions pour charges de service public

3 402 000

3 402 000

 

 

3 520 000

3 520 000

Transferts

70 000

70 000

 

 

28 000

28 000

BnF - Bibliothèque nationale de France (P334)

 

 

 

 

174 000

174 000

Subventions pour charges de service public

 

 

 

 

174 000

174 000

CNAP - Centre national des arts plastiques (P131)

 

 

 

 

25 000

25 000

Transferts

 

 

 

 

25 000

25 000

Comédie Française (P131)

20 000

20 000

 

 

212 000

212 000

Subventions pour charges de service public

20 000

20 000

 

 

200 000

200 000

Transferts

 

 

 

 

12 000

12 000

Ensemble intercontemporain (P131)

 

 

 

 

40 000

40 000

Transferts

 

 

 

 

40 000

40 000

EPPGHV - Etablissement public du parc et de la grande halle de la Villette (P131)

48 000

48 000

 

 

3 542 000

3 542 000

Subventions pour charges de service public

48 000

48 000

 

 

3 542 000

3 542 000

Etablissement public Cité de la céramique - Sèvres et Limoges (P131)

42 258

42 258

 

 

30 334

30 334

Dotations en fonds propres

42 258

42 258

 

 

30 334

30 334

Opéra comique (P131)

90 000

90 000

 

 

585 000

585 000

Subventions pour charges de service public

90 000

90 000

 

 

290 000

290 000

Transferts

 

 

 

 

295 000

295 000

Opéra national de Paris (P131)

 

 

 

 

130 000

130 000

Transferts

 

 

 

 

130 000

130 000

BPI - Bibliothèque publique d'information (P334)

 

 

 

 

10 000

10 000

Subventions pour charges de service public

 

 

 

 

10 000

10 000

CNM - Centre national de la musique (P334)

 

 

 

 

105 200

105 200

Transferts

 

 

 

 

105 200

105 200

Centre national des arts du cirque (P224)

3 387 891

3 387 891

3 337 047

3 337 047

3 456 257

3 456 257

Subventions pour charges de service public

3 221 251

3 221 251

3 268 440

3 268 440

3 256 100

3 256 100

Dotations en fonds propres

113 549

113 549

68 607

68 607

105 607

105 607

Transferts

53 091

53 091

 

 

94 550

94 550

CNSAD - Conservatoire national supérieur d'art dramatique (P224)

4 028 771

4 028 771

3 935 263

3 935 263

3 955 188

3 955 188

Subventions pour charges de service public

3 882 300

3 882 300

3 837 252

3 837 252

3 787 717

3 787 717

Dotations en fonds propres

112 571

112 571

98 011

98 011

95 071

95 071

Transferts

33 900

33 900

 

 

72 400

72 400

CNSMD Lyon - Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Lyon (P224)

14 067 253

14 067 253

14 098 493

14 098 493

14 187 268

14 187 268

Subventions pour charges de service public

13 315 730

13 315 730

13 363 417

13 363 417

13 300 592

13 300 592

Dotations en fonds propres

725 766

725 766

735 076

735 076

815 076

815 076

Transferts

25 757

25 757

 

 

71 600

71 600

CNSMD Paris - Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris (P224)

25 803 995

33 578 995

26 552 074

26 552 074

26 213 532

26 213 532

Subventions pour charges de service public

25 551 941

25 551 941

25 849 990

25 849 990

25 498 270

25 498 270

Dotations en fonds propres

196 021

7 906 021

702 084

702 084

674 084

674 084

Transferts

56 033

121 033

 

 

41 178

41 178

Ecole du Louvre (P224)

2 204 967

2 204 967

1 835 206

1 835 206

2 005 629

2 005 629

Subventions pour charges de service public

1 920 246

1 920 246

1 590 181

1 590 181

1 692 439

1 692 439

Dotations en fonds propres

273 721

273 721

245 025

245 025

267 017

267 017

Transferts

11 000

11 000

 

 

46 173

46 173

Ecoles d'architecture - Ecoles nationales supérieures d'architecture (P224)

52 845 430

52 890 689

49 799 521

49 799 521

53 776 939

53 831 680

Subventions pour charges de service public

48 786 345

48 786 345

46 849 521

46 849 521

47 982 678

47 982 678

Dotations en fonds propres

2 289 400

2 289 400

2 950 000

2 950 000

4 104 047

4 104 047

Transferts

1 769 685

1 814 944

 

 

1 690 214

1 744 955

Musée Picasso (P175)

37 000

37 000

 

 

27 742

27 742

Subventions pour charges de service public

25 000

25 000

 

 

24 742

24 742

Transferts

12 000

12 000

 

 

3 000

3 000

Théâtre national de Chaillot (P131)

30 000

30 000

 

 

200 000

200 000

Subventions pour charges de service public

30 000

30 000

 

 

200 000

200 000

Ecoles d'art en Région (P224)

12 433 231

12 113 231

12 296 534

12 296 534

12 933 963

12 771 748

Subventions pour charges de service public

9 465 292

9 465 292

9 306 508

9 306 508

9 938 671

9 938 671

Dotations en fonds propres

2 766 059

2 446 059

2 990 026

2 990 026

2 684 100

2 521 885

Transferts

201 880

201 880

 

 

311 192

311 192

Théâtre national de la Colline (P131)

60 000

60 000

 

 

350 000

350 000

Subventions pour charges de service public

60 000

60 000

 

 

320 000

320 000

Transferts

 

 

 

 

30 000

30 000

ENSAD - Ecole nationale supérieure des arts décoratifs (P224)

11 681 758

11 681 758

11 677 637

11 677 637

11 765 665

11 765 665

Subventions pour charges de service public

11 222 822

11 222 822

11 259 204

11 259 204

11 273 871

11 273 871

Dotations en fonds propres

405 880

405 880

418 433

418 433

406 433

406 433

Transferts

53 056

53 056

 

 

85 361

85 361

Théâtre national de l'Odéon (P131)

 

 

 

 

200 000

200 000

Subventions pour charges de service public

 

 

 

 

200 000

200 000

CNC - Centre national du cinéma et de l'image animée (P334)

80 000

80 000

 

 

80 000

80 000

Transferts

80 000

80 000

 

 

80 000

80 000

ENSBA - Ecole nationale supérieure des beaux-arts (P224)

8 428 898

8 428 898

8 487 047

8 487 047

8 585 773

8 585 773

Subventions pour charges de service public

7 977 988

7 977 988

8 095 008

8 095 008

7 919 328

7 919 328

Dotations en fonds propres

380 278

380 278

392 039

392 039

601 036

601 036

Transferts

70 632

70 632

 

 

65 409

65 409

TNS - Théâtre national de Strasbourg (P131)

34 248

34 248

 

 

456 965

456 965

Transferts

34 248

34 248

 

 

456 965

456 965

Cinémathèque française (P334)

13 367

13 367

 

 

13 367

13 367

Transferts

13 367

13 367

 

 

13 367

13 367

ENSCI - Ecole nationale supérieure de création industrielle (P224)

4 321 704

4 321 704

4 295 630

4 295 630

4 279 930

4 279 930

Subventions pour charges de service public

4 032 362

4 032 362

4 024 141

4 024 141

3 980 641

3 980 641

Dotations en fonds propres

263 344

263 344

271 489

271 489

259 489

259 489

Transferts

25 998

25 998

 

 

39 800

39 800

Parcs nationaux (P113)

 

 

 

 

25 000

25 000

Transferts

 

 

 

 

25 000

25 000

ENSMIS - Ecole nationale supérieure des métiers de l'image et du son (P224)

 

 

 

 

70 016

70 016

Transferts

 

 

 

 

70 016

70 016

Rmn-GP - Réunion des musées nationaux - Grand Palais (P175)

375 000

375 000

 

 

709 329

709 329

Subventions pour charges de service public

265 000

265 000

 

 

84 329

84 329

Transferts

110 000

110 000

 

 

625 000

625 000

EPPD - Etablissement public du palais de la porte Dorée (P175)

39 000

39 000

 

 

26 314

26 314

Subventions pour charges de service public

18 000

18 000

 

 

17 814

17 814

Transferts

21 000

21 000

 

 

8 500

8 500

INP - Institut national du patrimoine (P224)

6 205 631

6 205 631

6 162 650

6 162 650

6 057 924

6 057 924

Subventions pour charges de service public

5 997 702

5 997 702

6 064 640

6 064 640

5 943 524

5 943 524

Dotations en fonds propres

140 260

140 260

98 010

98 010

109 823

109 823

Transferts

67 669

67 669

 

 

4 577

4 577

Institut Français (P185)

1 408 500

1 408 500

 

 

1 448 800

1 448 800

Transferts

1 408 500

1 408 500

 

 

1 448 800

1 448 800

Réseau Canopé (P214)

269 356

274 656

 

 

176 200

176 200

Transferts

269 356

274 656

 

 

176 200

176 200

OPPIC - Opérateur du patrimoine et des projets immobiliers de la Culture (P224)

12 237 777

12 237 777

12 215 741

12 215 741

12 210 285

12 210 285

Subventions pour charges de service public

12 237 777

12 237 777

12 215 741

12 215 741

12 210 285

12 210 285

Business France (P134)

 

 

 

 

30 000

30 000

Transferts

 

 

 

 

30 000

30 000

Universités et assimilés (P150)

3 608 393

3 580 311

 

 

3 604 269

3 354 759

Transferts

3 608 393

3 580 311

 

 

3 604 269

3 354 759

Ecoles et formations d'ingénieurs (P150)

44 500

32 500

 

 

10 000

10 000

Transferts

44 500

32 500

 

 

10 000

10 000

Autres opérateurs d'enseignement supérieur et de recherche (P150)

131 200

131 200

 

 

153 902

153 902

Subventions pour charges de service public

62 500

62 500

 

 

67 500

67 500

Transferts

68 700

68 700

 

 

86 402

86 402

Opérateurs de soutien à l'enseignement supérieur et à la recherche (P150)

39 000

39 000

 

 

45 000

45 000

Subventions pour charges de service public

30 000

30 000

 

 

30 000

30 000

Transferts

9 000

9 000

 

 

15 000

15 000

Réseau des œuvres universitaires et scolaires (P231)

29 139 610

29 139 610

 

 

29 097 374

29 097 374

Transferts

29 139 610

29 139 610

 

 

29 097 374

29 097 374

Communautés d'universités et d'établissements (P150)

37 500

37 500

 

 

15 000

15 000

Transferts

37 500

37 500

 

 

15 000

15 000

CNRS - Centre national de la recherche scientifique (P172)

59 591

47 865

 

 

146 776

146 776

Transferts

59 591

47 865

 

 

146 776

146 776

INRIA - Institut national de recherche en informatique et en automatique (P172)

233 000

236 000

 

 

104 000

117 000

Transferts

233 000

236 000

 

 

104 000

117 000

Universcience (P186)

 

 

 

 

450 000

450 000

Subventions pour charges de service public

 

 

 

 

450 000

450 000

MNS - Musée national du sport (P219)

16 000

16 000

 

 

5 000

5 000

Transferts

16 000

16 000

 

 

5 000

5 000

Total

201 543 246

209 034 997

154 692 843

154 692 843

211 127 114

210 783 130

Total des subventions pour charges de service public

155 250 825

155 260 825

145 724 043

145 724 043

159 481 010

159 481 010

Total des dotations en fonds propres

8 119 797

15 509 797

8 968 800

8 968 800

10 785 881

10 623 666

Total des transferts

38 172 624

38 264 375

 

 

40 860 223

40 678 454

 

 

Consolidation des emplois des opérateurs dont le programme est chef de file


   Emplois en fonction au sein des opérateurs de l'État

Opérateur

Réalisation 2019 
Prévision 2020 
Réalisation 2020 

ETPT rémunérés par ce programme ou d'autres programmes

ETPT rémunérés par les opérateurs

ETPT rémunérés
par d'autres
collectivités

sous plafond *

hors plafond

dont contrats
aidés

dont apprentis

AFR - Académie de France à Rome

0
0
0

46
47
44

0
0
0

0
0
0

0
0
0

0
0
0

Centre national des arts du cirque

0
0
0

36
37
37

3
2
2

0
0
0

0
0
0

0
0
0

CNSAD - Conservatoire national supérieur d'art dramatique

17
18
18

38
42
42

1
0
1

0
0
0

0
0
0

0
0
0

CNSMD Lyon - Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Lyon

0
0
0

206
206
202

1
1
1

0
0
0

1
1
0

0
0
0

CNSMD Paris - Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris

89
93
85

346
350
333

4
5
8

4
0
0

0
5
3

0
0
0

Ecole du Louvre

50
55
55

30
30
28

2
3
7

0
0
0

2
2
4

0
0
0

Ecoles d'architecture - Ecoles nationales supérieures d'architecture

1 797
1 805
1 789

905
864
861

66
58
0

26
0
0

11
12
0

0
0
0

Ecoles d'art en Région

264
272
261

97
95
99

5
0
7

0
0
2

0
0
0

0
0
0

ENSAD - Ecole nationale supérieure des arts décoratifs

55
65
58

147
152
146

7
0
6

0
0
0

0
0
0

0
0
0

ENSBA - Ecole nationale supérieure des beaux-arts

94
98
93

105
112
107

0
1
3

0
0
1

0
1
2

0
0
0

ENSCI - Ecole nationale supérieure de création industrielle

0
0
0

65
68
64

2
3
3

0
0
0

0
0
0

0
0
0

ENSMIS - Ecole nationale supérieure des métiers de l'image et du son

0
0
0

61
62
59

2
0
2

0
0
0

0
0
0

0
0
0

INP - Institut national du patrimoine

52
41
44

43
47
44

0
0
0

0
0
0

0
0
0

0
0
0

OPPIC - Opérateur du patrimoine et des projets immobiliers de la Culture

0
0
0

114
125
114

3
4
3

3
0
3

0
4
0

0
0
0

Total

2 418
2 447
2 403

2 239
2 237
2 180

96
77
43

33
0
6

14
25
9

0
0
0


* Les emplois sous plafond 2020 font référence aux plafonds des autorisations d'emplois votés en loi de finances initiale 2020
  ou, le cas échéant, en lois de finances rectificatives 2020

 

 

   Schéma d’emplois et plafond des autorisations d'emplois des opérateurs de l'État

 

Prévision
ETPT

Réalisation
ETPT

Emplois sous plafond 2020 *

2 237

2 180


* Ces emplois sous plafond font référence aux plafonds des autorisations d'emplois votés en loi de finances initiale 2020
  ou, le cas échéant, en lois de finances rectificatives 2020

 

 

Prévision
ETP

Réalisation
ETP

Schéma d'emplois 2020 en ETP

0

0

 

 

Fiscalité affectée aux opérateurs dont le programme est chef de file


Intitulé de l’opérateur

Budget initial
 

Compte financier

AFR - Académie de France à Rome

0

0

Centre national des arts du cirque

0

0

CNSAD - Conservatoire national supérieur d'art dramatique

0

0

CNSMD Lyon - Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Lyon

0

28 626

CNSMD Paris - Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris

0

0

Ecole du Louvre

0

0

Ecoles d'architecture - Ecoles nationales supérieures d'architecture

0

15 000

Ecoles d'art en Région

0

0

ENSAD - Ecole nationale supérieure des arts décoratifs

0

0

ENSBA - Ecole nationale supérieure des beaux-arts

0

22 711

ENSCI - Ecole nationale supérieure de création industrielle

0

0

ENSMIS - Ecole nationale supérieure des métiers de l'image et du son

0

0

INP - Institut national du patrimoine

0

0

OPPIC - Opérateur du patrimoine et des projets immobiliers de la Culture

0

0

Total

0

66 337