Part des dépenses de programmes dans les dépenses totales

La ressource affectée à France Télévisions doit être prioritairement dédiée aux dépenses de programmes, qui constituent le cœur de sa mission de service public. Depuis 2015, France Télévisions s’est engagée à augmenter ses dépenses de programmes et à diminuer les autres dépenses du diffuseur (coûts de diffusion, coûts opérationnels du diffuseur, frais généraux). L’indicateur retenu pour mesurer la réalisation de cet objectif est défini par la part des dépenses de programmes dans les dépenses totales.

L’année 2020 s’inscrit dans un double contexte de diminution des concours publics de 60 M€ HT par rapport à 2019 (-42 M€ HT à niveau de charges constant) et de crise sanitaire. Economiquement, cette dernière se traduit par une baisse de chiffre d’affaires publicitaire de 31,7 M€ par rapport aux prévisions initiales (et de 18,8 M€ par rapport à 2019), un impact significatif sur la grille de programmes (décalage des Jeux olympiques de Tokyo notamment) et des surcoûts liés aux frais directs induits par la crise sanitaire.

Dans le contexte de la crise, le groupe a adapté son offre de programmes ainsi que ses activités et son organisation du travail, tout en maintenant ses engagements en faveur de la création audiovisuelle et cinématographique aux niveaux prévus au budget. La priorité a notamment été donnée à l’information et aux programmes éducatifs ainsi qu’à l’offre de création et de proximité. Parallèlement, le maintien d’une gestion rigoureuse dans toutes les directions de l’entreprise a permis de contenir le niveau général des charges hors programmes et ainsi de limiter les effets de la diminution significative des ressources publicitaires.

Les dépenses de programmes représentent, cette année encore, le poste essentiel des charges opérationnelles de l’entreprise, en ligne avec les priorités stratégiques de France Télévisions, soit 80,3%, en baisse de 1,1 point par rapport à 2019, en raison :

• d’un tassement des dépenses de programmes (-67,1 M€) portant la marque de l’annulation ou du report d’évènements majeurs (évènements sportifs dont les Jeux olympiques de Tokyo, spectacles vivants…) ainsi que de l’arrêt puis d’une reprise progressive des activités de tournage et de production (flux, fictions, feuilletons..) et de reportage.

Cette évolution tient compte de l’impact à la hausse par rapport au budget initial (+21,2 M€) résultant de l’adaptation de la programmation (offre renforcée sur les contenus à destination des jeunes publics avec France 4 et Okoo, sur le cinéma patrimonial et sur le spectacle vivant) ;

• d’une évolution modérée des charges opérationnelles hors programmes (+18,4 M€), principalement liée à l’impact de l’arrêt des activités de tournage et aux surcoûts de gestion de crise (dépenses de protection des personnels et des équipements indispensables à la continuité de l’activité). La quasi stabilité des dépenses hors Covid traduit les efforts d’économies compensant les glissements naturels.

Qualité des programmes de fiction et d'information

Indicateur de qualité des programmes de fiction

Les fictions françaises diffusées en première partie de soirée sur France 2 et France 3 enregistrent, en 2020, une note moyenne de 7,9/10, un niveau stable comparé à 2019.

Les fictions adaptées de faits réels ou traitants de thématiques sociétales restent particulièrement appréciées du public, en se distinguant notamment sur les dimensions d’impact (ce programme « m’a fait vivre des moments forts », « m’a donné envie d’en parler autour de moi »…), d’originalité (« c’est un programme différent et original », « la thématique n’est pas souvent traitée à la télévision »…) et d’éducation (« j’ai appris des choses », « ce programme m’a fait réfléchir »…).

La fiction T’en fais pas, j’suis là (8,8/10, France 2) sur l’autisme a obtenu la meilleure note pour le genre en 2020 sur France Télévisions. Elle enregistre 96% de réponses positives sur la dimension d’originalité ainsi que sur la dimension éducative (soit la meilleure note pour une fiction française sur cette dimension en 2020, toutes chaînes confondues), et 93% sur l’impact. Parmi les fictions sociétales, peuvent également être citées La maladroite sur la maltraitance infantile (8,8/10, en rediffusion sur France 2), Le viol diffusé à la suite de la disparition de Gisèle Halimi (8,7/10, en rediffusion sur France 3). Se distinguent aussi la mini-série événement Laëtitia tirée de l’affaire Laëtitia Perrais et l’unitaire Mauvais garçon sur la réinsertion et la deuxième chance (tous deux sur France 2, à 8,6/10). La mini-série historique de prestige De Gaulle, L’éclat et le secret est très valorisée par le public (8,8/10, sur France 2).

Les fictions conçues pour une diffusion en ligne (comme Skam, Stalk ou Parlement), proposées sur la plateforme Slash), ne sont pas suivies à travers cet indicateur.

Indicateur de qualité de l’information

Dans un contexte de multiplication des offres d’information, et notamment face à la montée en puissance des réseaux sociaux qui constituent d’ores et déjà l’une des premières sources d’information pour les nouvelles générations, l’information de service public se doit d’être une référence indiscutable de sérieux, de compétence et d’impartialité. La demande d’une information certifiée, indépendante et de qualité est apparue comme une priorité du public lors de la consultation citoyenne conduite par France Télévisions et Radio France fin 2018 et confirmée avec la nouvelle consultation menée en 2020 avec Radio France, France Médias Monde et l’INA.

Afin d’améliorer la perception de son offre d’information, France Télévisions continue de renforcer ses initiatives pour lutter contre les infox, offrir une large couverture des grands évènements de l’actualité nationale, européenne et internationale et consolider la place de franceinfo comme premier media global d’information en France.

Pour la cinquième année, France Télévisions a fait réaliser une étude de perception de la qualité des offres d’information. Cette nouvelle vague fait apparaître les effets persistants de la crise de confiance qu’avait révélés la précédente vague, réalisée au sortir de la crise des « Gilets jaunes ».

La note obtenue par l’offre globale d’information de France Télévisions en 2020 atteint 6/10. Les résultats obtenus pour les principaux sous-indicateurs sont stables ou en légère baisse ; ils continuent de se situer au-dessus des résultats enregistrés par les concurrentes privées du groupe :

• les notes attribuées aux journaux télévisés de France Télévisions sont stables (6,4), à nouveau devant TF1 et M6 (6,2) ;
• la chaîne d’information franceinfo obtient cette année encore la meilleure note dans son univers de concurrence (5,8 vs 5 en moyenne pour les chaînes BFM TV, CNews et LCI) et creuse l’écart : franceinfo est stable par rapport à 2019 alors que les trois chaînes d’information en continu privées affichent chacune une note en baisse, la plus basse depuis la mise en place de la mesure ;
• la note attribuée à l’offre numérique franceinfo à travers son site et son application est en léger retrait de 0,3 point par rapport à 2019 pour atteindre la note de 5,6/10, toujours devant les autres offres d’information en ligne qui affichent en moyenne leur plus faible note depuis 2016 (5,1/10 pour la moyenne des sites/applications Le Monde, Le Figaro, 20 minutes et BFMTV). L’écart en faveur de franceinfo n’a donc jamais été aussi important ;
• les magazines de France 2, France 3 et France 5 recueillent une note en léger retrait par rapport à 2019, toujours à un bon niveau (6,2).

France Télévisions a maintenu en 2020 son ambition de rester une offre de référence en matière de fiabilité de l’information, de lutte contre les fausses informations, de décryptage et d’investigation. Le maintien d’un niveau élevé de confiance envers l’offre d’information du service public se traduit par une fréquentation importante en 2020 :

• chaque jour, 15,5 millions de téléspectateurs (27% de la population 4+) se sont informés à travers les différentes éditions d’information de France 2 et France 3, soit un gain de 2,1 millions téléspectateurs quotidiens, qui représente une progression de 16% par rapport à 2019 ;

• la chaîne franceinfo est regardée quotidiennement par 4,8 millions de téléspectateurs, soit plus de 1,2 million par rapport à l’année 2019, ce qui correspond à une hausse de 33% ;

• l’offre numérique franceinfo attire 3,5 millions de visiteurs uniques en moyenne par jour, soit une progression de 31% par rapport à 2019, à hauteur de 850 000 visiteurs uniques quotidiens supplémentaires ;

• en moyenne, les magazines de la rédaction nationale sont regardés 16,5 millions de téléspectateurs chaque semaine (+1,4 million et +9% par rapport à 2019).

Contexte

Alors que la tendance était plutôt baissière ces dernières années, la télévision joue son rôle fédérateur dans le contexte de crise sanitaire. Elle renforce ainsi ses audiences en 2020 avec 44,3 millions de téléspectateurs quotidiens sur le poste de télévision (contre 41,3 millions en 2019). Au global, quel que soit l’écran, les Français ont consacré 3h58 aux programmes de télévision en 2020, en progression notable de 18 minutes sur un an.

A noter qu’à partir d’avril 2020, la mesure d’audience a évolué pour s’adapter aux usages : elle prend désormais en compte la consommation hors domicile et en mobilité des programmes de télévision sur tous les écrans.

Dans ce contexte de forte présence devant les écrans, les services payants de vidéo à la demande (SVoD) renforcent leur croissance : le nombre d’utilisateurs quotidiens âgés de 15 ans et plus atteint 5 millions en 2020 (contre 3 millions en 2019 et 2,3 millions en 2018). Cette progression est toujours principalement portée par le leader Netflix, qui revendique 9 millions d’abonnements en France, et également par l’arrivée de Disney+ en avril 2020[1].

La même tendance s’observe concernant les réseaux sociaux et les plateformes vidéo gratuites : YouTube est leader avec chaque jour 18,6 millions d'utilisateurs de 15 ans et plus ; l’application Tiktok est devenue un phénomène en deux ans – en particulier chez les jeunes – avec 4 millions d’utilisateurs mensuels[2].

Audiences de France Télévisions

Dans le contexte de la crise sanitaire, France Télévisions reste le premier média des Français. Le groupe voit sa couverture tous écrans confondus progresser, tant au quotidien, en hebdomadaire qu’en mensuel. Ainsi, le groupe touche 81% de la population en moyenne chaque semaine, quel que soit l’écran, soit près de 49 millions de personnes. Cet indicateur de couverture hebdomadaire 4 écrans (télévision, ordinateur, mobile et tablette) s’élève à 60% chez les 4-14 ans, à 64% chez les 15-24 ans, à 83% chez les actifs et à 96% chez les retraités. 

Par ailleurs, dans un contexte de surconsommation des médias, et malgré le recul de France 4, France Télévisions maintient sa part d’audience à 28,8% (contre 28,9% en 2019 et 28,5% en 2018). Son audience cumulée hebdomadaire (qui ne comprend que la consommation sur téléviseur) s’établit à 75,2% en 2020 (+6,6 points) ; sa couverture mensuelle 4 écrans (téléviseur, ordinateur, tablette, smartphone) s’élève à 92,8 % des 4 ans et plus (ce résultat est supérieur de 3,9 points par rapport à 2019).

Structure de l'audience de France Télévisions par tranche d'âge

S’agissant de la structure de l’audience, elle est relativement stable, mise à part la part d’audience de France Télévisions sur les enfants (4-14 ans), qui, à 16,8 % de part d’audience, baisse de 2,4 points. Cette baisse est imputable à France 4, à la suite du repositionnement éducatif de la chaîne à partir du premier confinement.

Sur les autres cibles :

• la légère progression du groupe sur les 15-24 ans (+0,8 point) est portée par France 2 (+1 point) ;

• la baisse sur les 25-59 ans est marginale : la couverture du groupe progresse en 2020 pour cette tranche d’âge (+0,8 point), mais proportionnellement moins que le reste du marché, ce qui explique cette baisse de sa part d’audience ;

• la part d’audience sur les 60 ans et plus reste stable.

Audiences numériques

L’audience des offres numériques tous supports et toutes plateformes confondus est en hausse par rapport à 2019 (+143 millions à 960 millions en moyenne par mois).

Il convient de noter que, depuis 2018, France Télévisions a entamé une évolution importante de sa stratégie de distribution, notamment par un processus d’assèchement graduel des contenus disponibles en intégralité sur les plateformes externes, notamment YouTube, afin de privilégier la consommation vidéo sur ses propres plateformes.

Son objectif est de favoriser l’identification et l’attribution de ses contenus et la maîtrise de leurs modalités de distribution en amenant les publics vers les plateformes éditées en propre par France Télévisions. Les derniers accords conclus avec les organisations professionnelles de la production audiovisuelle en 2018, et cinématographique en 2020, participent au renforcement des plateformes propriétaires de France Télévisions.

Cette stratégie conduit France Télévisions à concentrer ses efforts sur l’amélioration des performances de ses propres offres numériques (franceinfo et France.tv notamment) et rend ainsi moins pertinente l’appréciation de sa performance numérique à travers l’indicateur « tous supports et plateformes » en million de vidéos vues, fortement tributaire de l’exposition sur les plateformes externes et cela indifféremment de la durée de visionnage. Au sein de cet indicateur, France Télévisions entend ainsi faire progresser particulièrement le nombre de vidéos vues sur les plateformes propriétaires.

Ainsi :

• la plateforme france.tv connait une forte progression, avec 134 M de vidéos vues en moyenne par mois sur ordinateur, smartphone, tablette et TV, soit +27% en 1 an ;

• franceinfo s’affiche comme la première plateforme d’actualités de France avec une audience quotidienne de près de 3,6 millions d’utilisateurs en hausse de près de 900 000 individus soit une progression de +32% par rapport à 2019 [1] ;

• pour sa première année, la consommation sur les applications TV et mobiles Okoo atteint 14.4 millions de vidéos vues mensuelles en moyenne.

• pour sa première année également, le site lumni.fr attire en moyenne 1,7M de visiteurs uniques par mois en 2020.

Au global, sur les 3 écrans (ordinateur, smartphone et tablette), France Télévisions attire près de 28 millions de visiteurs uniques âgés de 2 ans et +, soit 53% de la population connectée (+5 points en 1 an).

Enfin, le trafic mobile de France Télévisions poursuit sa croissance - bien que sur un rythme ralenti - en lien avec la transformation des usages numériques. Ainsi, 76% du trafic global est réalisé sur un support mobile en 2020, soit une progression de + 1 point en 1 an (contre 75% en 2019, 65% en 2018, 57 % en 2017 et 42 % en 2016).

[1] Source : Médiamétrie NetRatings - Internet Global, janvier– novembre 2020

[2] Source : Médiamétrie – Audiences vidéo 3 écrans (septembre-novembre 2020)

Maîtrise des charges

La consolidation de l’équilibre financier de France Télévisions repose sur une condition centrale de maîtrise de sa masse salariale, qui suppose d’engager des réformes structurelles permettant d’assainir l’exploitation de l’entreprise et d’investir les nouveaux modes de fonctionnement et de production induits par la transformation numérique et technologique, tout en préservant les priorités stratégiques du groupe.

En 2019, la maîtrise durable et structurelle de la masse salariale s’est confirmée à travers un pilotage renforcé des effectifs et des remplacements, notamment grâce à une meilleure planification et régulation de l’activité, puis par l’ouverture à partir de l’été 2019 du dispositif de rupture conventionnelle collective prévu par l’accord conclu le 9 mai avec trois organisations syndicales représentatives du personnel du groupe (la CFDT, FO et la CGT). Cet accord prévoit notamment un volet d’accompagnement des départs pour ceux des collaborateurs qui le souhaiteraient et un volet recrutements, qui doivent converger vers une cible de 8 570 ETP au 1^er janvier 2023. Au terme de ce plan, les effectifs de France Télévisions auront diminué de près de 20% entre 2012 et janvier 2023.

Les efforts ont été poursuivis en 2020, parallèlement à la mise en œuvre des priorités stratégiques, avec une prévision budgétaire initiale de 9 255 ETP (-200 ETP par rapport à 2019) qui traduit les résultats des réformes structurelles engagées par l’entreprise. A ces efforts structurels s’ajoutent les effets plus conjoncturels du ralentissement des activités au printemps, dans le contexte du confinement puis de mesures sanitaires strictes. Dans ce contexte, le niveau des effectifs s’établit à 9 021 ETP en 2020, en diminution significative par rapport à 2019 (-434 ETP dont 106 ETP CDD). Au global, depuis 2012, l’effectif total a été réduit de 1 469 ETP, soit -14%.

La masse salariale 2020 (hors indemnités de départ en retraite et de licenciements, hors suppléments de cachets et hors forfait social lié à la charge d’intéressement) s’élève à 855,7 M€, en diminution de 30,3 M€ par rapport aux prévisions budgétaires. Elle tient compte de la baisse des effectifs mais également des mesures de solidarité aux personnels non permanents mis en place par l’entreprise dès le printemps : d’une part, le maintien de salaire entre mi-mars et mi-avril puis un complément de rémunération par rapport aux indemnités versées par l’assurance chômage entre mi-avril et mi-mai ; d’autre part, la création avec Audiens d’un fonds de soutien solidaire temporaire permettant d’aider financièrement, de mi-mai à fin août 2020, les salariés non permanents impactés par une diminution de leur activité moyenne habituelle avec France Télévisions du fait de la crise sanitaire.

Sur les 30,3 M€ de baisse de la masse salariale en 2020 par rapport aux prévisions budgétaires, 18 M€ sont liés aux effets induits par la crise sanitaire.

Ressources propres

Les ressources propres s’établissent à 396,5 M€ en 2020, en diminution de 14,5 M€ par rapport à 2019, ce qui est principalement dû à la baisse significative du chiffre d’affaires publicitaire, ce qui est directement imputable à l’impact économique de la crise sanitaire de la Covid-19.

Les recettes commerciales s’établissent à 22,4 M€ en 2020, un niveau quasi stable par rapport à 2019 (versus une reprévision au 9 juillet 2020 très prudente en raison des très fortes incertitudes sur l’évolution du contexte sanitaire), la baisse du résultat d’exploitation des régies publicitaires (en lien avec la diminution du chiffre d’affaires) étant compensée par une augmentation du résultat net de France.tv Studio (développement de l’activité de production lié à l’adaptation de l’offre de programmes de flux pendant la crise sanitaire en particulier des programmes « Les cours Lumni », « La Maison Lumni », « Restez en forme »).

Résultat net

Les circonstances exceptionnelles nées de la crise sanitaire de 2020 et ses conséquences économiques ont amené France Télévisions à réactualiser régulièrement ses perspectives d’atterrissage budgétaire. Dans ce cadre, la réalisation 2020 est significativement améliorée par rapport à la reprévision présentée au conseil d’administration du 9 juillet 2020, qui avait été réalisée dans un contexte de rentrée incertain s’agissant tant du marché publicitaire que du rythme de reprise de l’ensemble des activités de production et tournage.

Ainsi, en 2020, en dépit de la perte de chiffre d’affaires publicitaire, du ralentissement des activités et des surcoûts directs induits par la crise sanitaire, et grâce à un pilotage fin des activités et des coûts, France Télévisions affiche, pour la cinquième année consécutive, un résultat d’exploitation à l’équilibre sur son cœur d’activité, en ligne avec le budget et équivalent à 2019.