$@FwLOVariable(annee,2021)

$@FwLOVariable(numProg,195)

$@FwLOVariable(libelleProg,Régimes de retraite des mines de la SEITA et divers)

$@FwLOVariable(enteteSousTitre,Justification au premier euro)

$@FwLOStyle(styleB3Programme, non)

Justification au premier euro


Éléments transversaux au programme

 

Éléments de synthèse du programme



 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

Numéro et intitulé de l'action
ou de la sous-action

Titre 2
Dépenses
de personnel

Autres titres

Total

Titre 2
Dépenses
de personnel

Autres titres

Total

01 – Versements au fonds spécial de retraite de la caisse autonome nationale de sécurité sociale dans les mines

0

1 011 251 217

1 011 251 217

0

1 011 251 217

1 011 251 217

02 – Régime de retraite de la SEITA

0

136 263 707

136 263 707

0

136 263 707

136 263 707

04 – Caisse des retraites des régies ferroviaires d'outre-mer

0

1 099 536

1 099 536

0

1 099 536

1 099 536

07 – Versements liés à la liquidation de l'ORTF

0

100 000

100 000

0

100 000

100 000

11 – Régime de retraite complémentaire des exploitants agricoles (RCO)

0

0

0

0

0

0

Total

0

1 148 714 460

1 148 714 460

0

1 148 714 460

1 148 714 460




 

Dépenses pluriannuelles

 

 

Échéancier des crédits de paiement (hors titre 2)


Estimation des restes à payer au 31/12/2020

Engagements sur années
antérieures non couverts
par des paiements
au 31/12/2019
(RAP 2019)

 

Engagements sur années
antérieures non couverts
par des paiements au
31/12/2019 y.c. travaux
de fin de gestion
postérieurs au RAP 2019
 

 

AE (LFI + LFRs) 2020
+ reports 2019 vers 2020
+ prévision de FdC et AdP

 

CP (LFI + LFRs) 2020
+ reports 2019 vers 2020
+ prévision de FdC et AdP

 

Évaluation des
engagements non couverts
par des paiements
au 31/12/2020

0

 

0

 

1 203 372 966

 

1 203 372 966

 

0

Échéancier des CP à ouvrir

AE

 

CP 2021

 

CP 2022

 

CP 2023

 

CP au-delà de 2023

 

Évaluation des
engagements
non couverts par
des paiements au 31/12/2020

 

CP demandés
sur AE antérieures à 2021
CP PLF
CP FdC et AdP

 

Estimation des CP 2022
sur AE antérieures à 2021

 

Estimation des CP 2023
sur AE antérieures à 2021

 

Estimation des CP
au-delà de 2023
sur AE antérieures à 2021

0

 

0
0

 

0

 

0

 

0

 

AE nouvelles pour 2021
AE PLF
AE FdC et AdP

 

CP demandés
sur AE nouvelles en 2021
CP PLF
CP FdC et AdP
 

 

Estimation des CP 2022
sur AE nouvelles en 2021

 

Estimation des CP 2023
sur AE nouvelles en 2021

 

Estimation des CP
au-delà de 2023
sur AE nouvelles en 2021

1 148 714 460
0

 

1 148 714 460
0

 

0

 

0

 

0

 

Totaux

 

1 148 714 460

 

0

 

0

 

0

 

 

Clés d'ouverture des crédits de paiement sur AE 2021

 

 

CP 2021 demandés
sur AE nouvelles
en 2021 / AE 2021
 

 

CP 2022
sur AE nouvelles
en 2021 / AE 2021

 

CP 2023
sur AE nouvelles
en 2021 / AE 2021

 

CP au-delà de 2023
sur AE nouvelles
en 2021 / AE 2021

 

 

100,00 %

 

0,00 %

 

0,00 %

 

0,00 %

 

Les crédits du programme 195, de même que ceux de l'ensemble de la mission « Régimes sociaux et de retraite », sont budgétisés et consommés en AE=CP. Il s'agit en effet de subventions annuelles à des régimes présentant un besoin de financement, faisant l'objet d'engagements et de paiements la même année.

 

Justification par action

 

ACTION    88,0 %

01 – Versements au fonds spécial de retraite de la caisse autonome nationale de sécurité sociale dans les mines


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

0

1 011 251 217

1 011 251 217

0

Crédits de paiement

0

1 011 251 217

1 011 251 217

0


Le régime de retraite des Mines est un régime fermé depuis le 30 août 2010 (plus de nouvelle affiliation au régime à compter de cette date). La participation de l’État au régime de retraite des mines, expression de la solidarité nationale envers les régimes en rapide déclin démographique, prend la forme d’un versement de subvention qui s’ajoute aux autres ressources de la CANSSM, conformément aux dispositions du décret n°46-2769 du 27 novembre 1946 portant organisation de la sécurité sociale dans les mines. En juin 2018, la CANSSM a conclu une nouvelle convention d’objectifs et de gestion (COG) avec l’État pour la période 2018-2021, qui prévoit notamment une importante réduction de la masse salariale.


La gestion opérationnelle du régime des mines est confiée à la Caisse des dépôts et consignations, qui est chargée de la gestion des risques vieillesse et invalidité et du recouvrement des cotisations pour l’ensemble des risques. Cette délégation de gestion fait, à partir de 2016 et jusqu’à 2019, l’objet d’une COG passée avec l’État. Une nouvelle COG sera conclue pour la période 2020-2023.


En 2021, le régime devrait compter en moyenne près de 220 000 pensionnés (en baisse de 4,1 % par rapport aux prévisions 2020) dont un peu plus de 111 000 de droit direct pour seulement 1 080 cotisants (en baisse de près de 8% par rapport aux prévisions 2020). La pension moyenne de droit direct devrait augmenter légèrement pour s'élever à environ 7 110 € par an tandis que la pension moyenne de droits dérivés ne devrait pas dépasser 3 750 € par an.


L’âge moyen de départ en retraite pour les droits propres, constaté en 2015, est de 58,8 ans tandis que l’âge moyen de liquidation des droits dérivés est de 73,5 ans. La durée moyenne d’activité constatée au titre du régime des mines pour les retraités dont la prestation a pris effet en 2015 est de 12 ans. La durée moyenne de perception des pensions constatée en 2015 (c'est-à-dire, entre l’âge moyen d’ouverture des droits et l’âge de décès des assurés) est de 25,2 ans en droits directs et de 15,9 ans en droits dérivés (réversions).


En 2018, l'âge moyen des bénéficiaires d'une pension de droit propre était de 75,8 ans (52% du total des pensionnés), tandis que l'âge moyen des bénéficiaires d'une pension de retraite de droit dérivé était de 81 ans.


Avec les hypothèses arrêtées au 31 décembre 2019 et toutes choses égales par ailleurs, le régime devrait s’éteindre complètement vers 2100. La valeur du « besoin de financement cumulé et actualisé » à horizon 2119 (couvrant donc toute la phase d’extinction du régime) relatif à la CANSSM est estimée à 22,6 milliards d'euros au 31 décembre 2019. Les détails sont présentés dans le compte général de l'État annexé au projet de loi de règlement pour 2019.


Éléments de la dépense par nature


Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses d’intervention

1 011 251 217

1 011 251 217

Transferts aux autres collectivités

1 011 251 217

1 011 251 217

Total

1 011 251 217

1 011 251 217

 

La justification au premier euro d'une subvention à un régime de retraite démographiquement déficitaire comme celui des mines se fait au regard du compte de résultat prévisionnel du régime de retraite. La différence entre les charges et les ressources prévisionnelles constitue le besoin de financement du régime et donc la justification des moyens d'équilibre qui y sont consacrés par le budget de l'État.


Les éléments présentés ci-dessous ont, au moment de la préparation du projet de loi de finances pour 2021, un caractère indicatif. Ils permettent cependant de comprendre les équilibres qui ont servi à déterminer le montant de la subvention du programme au régime de retraite des mines.


CANSSM - Branche vieillesse201820192020 (p)2021 (p)
CHARGES NETTES1 421,11 357,61 303,51 247,4
Prestations sociales1 387,21 328,41 271,31 216,3
  Prestations légales1 367,31 306,81 253,41 199,2
Prestations légales "vieillesse"1 366,01 305,71 252,81 199,0
Prestations légales "invalidité"1,31,00,60,3
Divers0,00,10,00,0
  Prestations extralégales19,921,518,017,1
Charges techniques0,00,00,00,0
  Transferts entre organismes0,00,00,00,0
  Transferts des régimes de base avec les fonds0,00,00,00,0
Dotations aux provisions4,35,84,03,8
Charges de gestion courante29,423,528,127,1
Charges exceptionnelles0,10,00,10,1
     
PRODUITS NETS1 432,81 367,81 303,51 247,4
Cotisations, impôts et produits affectés13,512,811,210,5
  Cotisations sociales9,18,27,57,0
  CSG, impôts et taxes affectés4,34,63,73,5
Produits techniques1 412,31 334,21 286,61 231,4
  Tranferts entre régimes de base (compensation généralisée)231,3220,4215,0208,5
  Transferts des régimes de base avec FSV (Min. vieillesse)13,112,311,811,3
  Contributions publiques1 167,91 101,51 059,81 011,5
Divers produits techniques0,00,00,00,0
Reprises sur provisions4,54,14,24,0
Produits de gestion courante0,70,40,50,5
Produits exceptionnels1,816,21,01,0
     
RESULTAT NET11,6910,210,00,0


Les pensions qui constituent la charge essentielle du régime évoluent sous l'effet de deux facteurs principaux. D'une part, l'évolution démographique du régime qui combine les effectifs des nouveaux pensionnés ainsi que des retraités décédés et prend en compte le passage en année pleine des flux démographiques enregistrés pour une année. Cela conduit à une forte baisse du coût global des pensions. D'autre part, les revalorisations des pensions jouent un rôle haussier significatif bien que celui-ci demeure de second ordre.


Les pensions indiquées ici ne couvrent que les avantages servis par le régime minier et ne tiennent donc pas compte des autres sommes perçues au titre d'autres régimes de base ou bien des retraites complémentaires. Il existe également des prestations extralégales (d'action sanitaire et sociale) servies par l'Agence nationale par la garantie du droit des mineurs - ANGDM)


Outre l’équilibrage du régime de retraite et le financement des prestations d’action sociale vieillesse, portés par le programme 195, le soutien de l’État aux mineurs passe également par le programme 174 « Énergie, climat et après mines » qui assure la pérennité des garanties sociales et des dispositifs sociaux protecteurs des mineurs et de leurs familles via l’ANGDM (loi n° 2004-105 du 3 février 2004).


Les charges de gestion courante comprennent la rémunération de la Caisse des dépôts pour son activité gestionnaire et une répartition des autres charges de gestion administrative de la CANSSM.

 

ACTION    11,9 %

02 – Régime de retraite de la SEITA


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

0

136 263 707

136 263 707

0

Crédits de paiement

0

136 263 707

136 263 707

0


Le régime spécial de retraite de la SEITA est un régime fermé : les salariés recrutés à compter du 1er juillet 1980 par la SEITA sont affiliés au régime général de sécurité sociale.


L'État s'est engagé, lors de la privatisation de la société en 1993, à assurer l'équilibre du régime de retraite après perception d'une cotisation annuelle libératoire et du versement en février 1995 d'une soulte d'une valeur de 61 M€ qui couvrait environ 3,5 % des engagements de retraite du régime, évalués à l'époque à 1,8 Md€ sur la base d'un taux d'actualisation de 4,5 %. La réserve ainsi constituée et utilisée depuis 1995 a été intégralement mobilisée début 2012 sur décision de l'État, ce qui ne remet pas en cause l'engagement de ce dernier de couvrir les besoins de financement du régime.


Au 1er janvier 2020, le régime de retraite de la SEITA comptait 7 633 pensionnés pour, désormais, plus aucun actif cotisant. Sur la base d'une réduction des effectifs de l'ordre de 4,5 % par an, d'une pension moyenne de 19 440 € par an et d'une revalorisation des pensions à l'inflation au 1er janvier 2021, le besoinde financement du régime s'élèvera à près de 136 M€ en 2021.


La valeur du « besoin de financement cumulé et actualisé » à l'horizon 2118 (couvrant donc toute la phase d'extinction du régime) du régime de retraite de la SEITA est estimée à 2,2 Md€ au 31 décembre 2019. Les détails sont présentés dans le compte général de l'État annexé au projet de loi de règlement pour 2019.


La gestion opérationnelle du régime de retraite de la SEITA est confiée à l'Association pour la prévoyance collective (APC). Les frais de gestion ne devraient pas dépasser 275 000 € en 2021, au même niveau que les années précédentes.



Éléments de la dépense par nature


Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses d’intervention

136 263 707

136 263 707

Transferts aux autres collectivités

136 263 707

136 263 707

Total

136 263 707

136 263 707

 

Le régime ne compte désormais plus aucun actif cotisant, il n'enregistre donc aucune autre recette que la subvention versée par l'État. Celle-ci correspond donc au total des pensions légales versées et des frais de gestion (inférieurs à 0,3 M€, frais bancaires inclus).

 

ACTION    0,1 %

04 – Caisse des retraites des régies ferroviaires d'outre-mer


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

0

1 099 536

1 099 536

0

Crédits de paiement

0

1 099 536

1 099 536

0


La gestion de la CRRFOM (Caisse des retraites des régies ferroviaires d’outre-mer) a été confiée à la Caisse des dépôts et consignations par convention signée le 29 septembre 1993 entre d’une part, l’État, représenté par le ministre du budget et, d’autre part, la Caisse des dépôts et consignations. Une nouvelle convention renégociée a été signée le 31 juillet 2006. Elle a pour objet de définir les conditions dans lesquelles la Caisse des dépôts accepte de procéder, au nom de l’État, à la gestion du régime des retraites de la CRRFOM. Cette convention est reconduite au 1 er janvier de chaque année par tacite reconduction, sauf dénonciation ou demande de modification par l’une des deux parties.


La Caisse des dépôts verse chaque mois les pensions de droits directs et dérivés dont la plupart sont calculées et revalorisées d’après les règles et barèmes SNCF, et assure la liquidation des pensions de réversion et d’orphelins. Le fonds est alimenté par une subvention du ministère chargé du budget et par une contribution de la SNCF. La Caisse des dépôts devrait percevoir 48 363 € de frais de gestion à ce titre.


Les bénéficiaires sont les agents permanents ayant appartenu au statut du personnel de coopération technique ferroviaire entré en vigueur le 1er juillet 1963, ou au statut du personnel des régies ferroviaires d’outre-mer ; certains anciens agents permanents SNCF, leurs conjoints survivants et leurs orphelins relèvent de ce régime.


Éléments de la dépense par nature


Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses d’intervention

1 099 536

1 099 536

Transferts aux autres collectivités

1 099 536

1 099 536

Total

1 099 536

1 099 536

 

La participation de l'État au régime de retraite des régies ferroviaires d'outre-mer (CRRFOM), régime fermé en extinction qui ne comptait plus que 67 affiliés au 1er juillet 2020 (contre 80 un an plus tôt), se traduit par le versement d'une subvention couvrant le montant des pensions et les frais de la Caisse des dépôts et consignations, gestionnaire du régime.

 

ACTION    0,0 %

07 – Versements liés à la liquidation de l'ORTF


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

0

100 000

100 000

0

Crédits de paiement

0

100 000

100 000

0


A l'issue de la dissolution de l'ORTF (Office de radiodiffusion télévision française), le 1er janvier 1975, la gestion des opération de liquidation de l'office a été confiée, en 1976, au ministère de l'économie et des finances.


A ce titre, un certain nombre d'avantages de pension est toujours versé à d'anciens agents de l'office, notamment :

  • des rentes d'accidents du travail, pour les agents ayant été victimes d'un accident du travail survenu avant le 1er octobre 1963, régies par le code de la sécurité sociale ; ces rentes sont payées mensuellement. Les bénéficiaires étaient au nombre de 4 au cours du 1er trimestre 2020. La prévision de dépenses pour 2021 est estimée à 10 000 €. Les rentes sont aujourd'hui versées par le Service des retraites de l'État (SRE).
  • d'allocation sur-complémentaires de retraite : à la suite de la dissolution de l'office, les agents ont été affiliés à des régimes de retraite complémentaire ARRCO. Certains agents, âgés d'au moins 55 ans, ont été mis en position spéciale. A ce titre, l'arrêté du 26 juin 1980 a admis les anciens agents non-journalistes de l'ORTF placés en position spéciale au bénéfice des prestations viagères de retraite « sur-complémentaire » prévues par l'Institution paritaire de retraites interprofessionnelle des salariés (IPRIS) et ce à compter du 1er janvier 1976. Ce même arrêté a prévu que ces prestations seraient liquidées et payées par l'association pour la prévoyance collective (APC). Une convention établie entre l'État et l'APC a fixé les tâches confiées à l'APC pour le compte de l'État, ainsi que les conditions financières de la gestion. Au cours du 1er trimestre 2020, 52 allocataires bénéficiaient de ce dispositif. La prévision de dépenses pour 2021 est estimée à 90 000 €.


Éléments de la dépense par nature


Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses d’intervention

100 000

100 000

Transferts aux ménages

10 000

10 000

Transferts aux autres collectivités

90 000

90 000

Total

100 000

100 000

 

Les « transferts aux ménages » correspondent aux sommes versées directement par le SRE, au titre des rentes d'accidents du travail, tandis que les « transferts aux autres collectivités » correspondent aux sommes versées par l'APC, au titre des prestations sur-complémentaires de retraite.

 

ACTION    0,0 %

11 – Régime de retraite complémentaire des exploitants agricoles (RCO)


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

0

0

0

0

Crédits de paiement

0

0

0

0



 

 

Synthèse des opérateurs du programme

 

Récapitulation des crédits alloués aux opérateurs de l'État


(en milliers d'euros)

 

LFI 2020

PLF 2021

Opérateur ou Subvention

Autorisations
d’engagement
 

Crédits
de paiement

Autorisations
d’engagement

Crédits
de paiement

Total

0

0

0

0

Total des subventions pour charges de service public

0

0

0

0

Total des dotations en fonds propres

0

0

0

0

Total des transferts

0

0

0

0

 

 

Consolidation des emplois


   Emplois des opérateurs

 

LFI 2020

PLF 2021

Intitulé de l'opérateur

ETPT rémunérés
par d’autres
programmes
(1)

ETPT rémunérés
par ce
programme
(1)

ETPT rémunérés
par les opérateurs

ETPT rémunérés
par d’autres
programmes
(1)

ETPT rémunérés
par ce
programme
(1)

ETPT rémunérés
par les opérateurs

sous
plafond

hors
plafond

dont
contrats
aidés

dont
apprentis

sous
plafond

hors
plafond

dont
contrats
aidés

dont
apprentis

Total

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


(1) Emplois des opérateurs inclus dans le plafond d'emplois du ministère

 

 

   Plafond des autorisations d'emplois des opérateurs du programme

 

ETPT

Emplois sous plafond 2020

 

Extension en année pleine du schéma d'emplois de la LFI 2020

 

Impact du schéma d'emplois 2021

 

Solde des transferts T2/T3

 

Solde des transferts internes

 

Solde des mesures de périmètre

 

Corrections techniques

 

Abattements techniques

 

Emplois sous plafond PLF 2021


Rappel du schéma d’emplois 2021 en ETP