$@FwLOVariable(annee#2021)

$@FwLOVariable(numProg#103)

$@FwLOVariable(libelleProg#Accompagnement des mutations économiques et développement de l'emploi)

$@FwLOVariable(enteteSousTitre#Objectifs et indicateurs de performance)

 

Objectifs et indicateurs de performance

 

OBJECTIF    

1 – Assurer l'effectivité du contrôle de la formation professionnelle (objectif transversal)

 
 

INDICATEUR

1.1 – Part des contrôles engagés parmi les organismes actifs en formation professionnelle

     (du point de vue du contribuable)

 

 

Unité

2019
Réalisation

2020
Réalisation

2021
Prévision
PAP 2021

2021
Prévision
actualisée

2021
Réalisation

2023
Cible
PAP 2021

Part des contrôles engagés parmi les organismes actifs en formation professionnelle

%

1,89

1,6

1,9

1,6

1,3

2

 

Commentaires techniques

Source des données : SI « Mes démarches emploi et formation professionnelle » / « Mon activité formation » (MAF/D(RI)EETS/DGEFP-MOC),


Mode de calcul :

Numérateur : Nombre de contrôles engagés dans l’année (hors contrôles des déclarations d’activité des nouveaux organismes de formation),

Dénominateur : Nombre d’organismes dont le chiffre d’affaires formation déclaré au bilan pédagogique et financier est positif (article L.6351-1 et L.6351-11 du code du travail) ; soit près de 70.000 structures.


Biais connu : le numérateur intègre les contrôles réalisés dans le cadre du FSE et de l’IEJ qui ne sont pas prescrits par le Ministère du travail, de l’emploi et de l’insertion (DGEFP) mais par la Commission interministérielle de coordination des contrôles (CICC) dont la complexité peut être importante et les contrôles menés au titre de la contribution supplémentaire à l’apprentissage.


Commentaires : Les éléments constitutifs de cet indicateur sont saisis par les services régionaux de contrôle des D(RI)EETS et par l’administration centrale dans l’application de suivi des contrôles du portail de services « Mes démarches emploi et formation professionnelle » mis en place fin 2016 par la DGEFP. Les données concernent la France entière et la période de référence est l’année civile.

 

Analyse des résultats

Les priorités pour 2021 ont été fixées par une instruction du 7 février 2020 de la DGEFP en matière de contrôle. Elles portent sur :

- la réalisation du plan de contrôle des opérations cofinancées par les fonds européens notamment le Fonds social européen et l’initiative européenne pour la jeunesse ;

- le contrôle de la réalisation des actions de formation financées par les organismes gestionnaires de fonds de la formation (Caisse des dépôts et consignations, OPCO, ATPro et FAF de non-salariés) ou par les organismes gestionnaires de fonds publics en portant une attention particulière aux signalements de ces organismes et aux plaintes des particuliers ayant mobilisé leur compte personnel de formation. Cette priorité recentre l’intervention des services sur le contrôle des organismes de formation ;

- le contrôle de la contribution supplémentaire à l’apprentissage.


L’objectif cible initial pour 2021 était de 1,9% et il semblait atteignable mais il a été revu au regard de la crise sanitaire qui a touché la France et aux différentes phases de confinement et d'activité à distance qui se sont succédés en 2020 et 2021. En effet, les établissements de type R, dont font partie les organismes de formation, ont été interdits d’accueil du public de mars à juin 2020 ; l'activité de contrôle des organismes sur place a été de fait interrompue tandis que les délais des contrôles sur pièces dématérialisées ont été suspendus. Par la suite, et depuis l'été 2020, l'activité a été ralentie par les mesures de protection sanitaire et les mesures de confinement individuel des personnes atteintes par la covid-19. 


Dans le même temps en 2021, l'activité administrative des services de contrôle s'est fortement accrue (information et enregistrement des déclarations d'activité des organismes de formation). Ainsi les DREETS ont procédé à l'enregistrement de 22 282 nouveaux organismes contre 14 966 en 2020. Cette forte activité a obéré la capacité des services à réaliser des contrôles administratifs et financiers a posteriori. Les résultats pour 2021 correspondent à 971 contrôles.


Par ailleurs, il convient de rappeler que les activités de contrôle sont recentrées depuis 2020 sur les dispensateurs de formation. En pratique, les contrôles des dispensateurs de formation sont longs et complexes compte tenu des vérifications effectuées et des procédures qui impliquent :

- des vérifications sur place et sur pièces de la réalisation des actions, de l’atteinte de leurs objectifs et de l’utilité des dépenses effectuées par l’organisme pour l’accomplissement de l’action ;

- un rapport de contrôle suite aux investigations ;

- une instruction des réponses ;

- une décision préfectorale ;

- une instruction des réclamations ;

- une décision sur recours et le cas échéant, contentieux.


Enfin, il convient de noter que les contrôles engagés à la suite de signalements ou plaintes demandent un important travail de reconstitution des moyens pédagogiques et techniques mis en œuvre pour la réalisation des actions de formation (croisement des données entre présence des stagiaires, présence des formateurs et disponibilité des locaux). Lorsqu’il est constaté que les actions n’ont pas été totalement réalisées, les sanctions prises génèrent des contentieux et la production des mémoires qui diminuent d’autant la capacité des services à engager de nouveaux contrôles.


OBJECTIF    

2 – Sécuriser l'emploi par l'anticipation des mutations économiques

 
 

INDICATEUR

2.1 – Nombre d'accords d'engagements pour le développement de l'emploi et des compétences (EDEC) en cours

     (du point de vue du citoyen)

 

 

Unité

2019
Réalisation

2020
Réalisation

2021
Prévision
PAP 2021

2021
Prévision
actualisée

2021
Réalisation

2023
Cible
PAP 2021

Nombre d'accords d'engagements pour le développement de l'emploi et des compétences (EDEC) en cours au 31 décembre de l'année

Non déterminé

Non déterminé

40

42

40

30

 

Commentaires techniques

Source des données: SI-EDEC (MISI).


Mode de calcul: comptabilisation des accords nationaux en cours au 31 décembre.

 

INDICATEUR

2.2 – Part des entreprises de moins de 50 salariés parmi celles ayant eu recours à l'activité partielle

     (du point de vue du citoyen)

 

 

Unité

2019
Réalisation

2020
Réalisation

2021
Prévision
PAP 2021

2021
Prévision
actualisée

2021
Réalisation

2023
Cible
PAP 2021

Part des entreprises de moins de 50 salariés parmi celles ayant eu recours à l'activité partielle

%

90

96

94

94

94

94

 

Commentaires techniques

Source des données: système d'information décisionnel de la DGEFP.


Mode de calcul: ratio entre le numérateur et le dénominateur.

Données disponible en année n+1 pour l'année n, pour toutes les entreprises ayant recours à l'activité partielle au cours de l'année.

Numérateur (A) : nombre d'entreprises de 1 à 49 salariés ayant eu recours à l'activité partielle.

Dénominateur (B) : nombre total d'entreprises ayant eu recours à l'activité partielle.

 

Analyse des résultats

Indicateur 2.1: Nombre d'accords d'engagements pour le développement de l'emploi et des compétences (EDEC) en cours


Au 31 décembre 2021, 40 EDEC sont en cours au niveau national. Ces démarches permettent aux organisations professionnelles de branche et organisations interprofessionnelles de bénéficier d’un soutien technique et financier pour développer des démarches d’anticipation des mutations économiques, de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) et d’adaptation des compétences aux grandes transitions, numérique et écologique.

L’objectif pour 2021 a été atteint car certains EDEC ont pris fin courant 2021 et n’apparaissent donc plus dans le cumul des EDEC en cours au 31 décembre.

Si certains sont mono-branches (par exemple, EDEC conduit avec la Fédération française du bâtiment ou avec la branche des services de l’automobile), la plupart des EDEC sont conclus en inter-branches. Certains d’entre eux associent même l’ensemble des branches relevant du périmètre d’un opérateur de compétences (par exemple EDEC signé avec les branches de la mobilité ou avec les branches du commerce et de la distribution), permettant la construction d’outils communs, dans une logique de rapprochement des branches professionnelles.

D’autres EDEC associent plusieurs branches et opérateurs de compétences (OPCO) autour d’une thématique : développement de l’attractivité des métiers et d’une filière, réponses aux tensions de recrutement, développement de passerelles inter-industrielles, accompagnement à la transition digitale ou écologique, etc.

Enfin, plusieurs EDEC s’inscrivent au périmètre d’une filière : 15 des 18 filières du Conseil national de l’industrie (automobile, aéronautique, nucléaire) ont ainsi développé ou développent une démarche emplois-compétences et plusieurs EDEC de filière sont également conduits dans les services (commerce, tourisme).

Sont ainsi soutenus les projets des organisations professionnelles permettant :

  • la construction de nouveaux outils pour détecter les besoins en emplois et en compétences et la réalisation d’études prospectives pour cerner les évolutions qualitatives des métiers,

  • l’accompagnement des TPE-PME dans la gestion des ressources humaines,

  • l’adaptation des formations et des certifications et l’expérimentation de nouvelles modalités de formation,

  • le développement de l’attractivité des métiers et des secteurs et la construction de solutions répondant aux tensions de recrutement.


Ces démarches associent les partenaires sociaux et sont un outil d’approfondissement du dialogue social et de structuration de la politique emploi formation des branches professionnelles.

En 2021, de nouveaux EDEC nationaux ont ainsi été signés avec les cinq branches professionnelles intervenant dans le champ des métiers du grand âge et de l’autonomie, avec la filière des infrastructures du numérique pour accompagner la fin du déploiement de la fibre optique et la mise en œuvre de la 5G, avec la filière nucléaire ou la filière gaz. D’autres EDEC ont été clôturés tels que le contrat d’étude prospective de la filière électrique, l’EDEC des éco-activités ou l’EDEC des structures de l’économie sociale et solidaire.

Par ailleurs, les EDEC continuent d’accompagner les secteurs fortement touchés par la crise ou qui connaissent des tensions de recrutement dans le cadre de la reprise. Ainsi l’EDEC tourisme a poursuivi le développement d’actions en étroite articulation avec le plan de relance de la filière, Destination France, avec 11 branches professionnelles du secteur. Les organisations professionnelles de la culture et du sport font aussi l’objet d’un accompagnement spécifique, en partenariat avec l’OPCO AFDAS.

Des EDEC sont en cours avec l’ensemble des branches du secteur des transports et de la logistique (avec OPCO Mobilités), des branches du commerce et de la distribution ( avec l'OPcommerce) ou encore avec les branches de la filière alimentaire (charte emploi alimentaire).

Ces démarches permettent d’adapter les outils de formation et les certifications de branche aux nouvelles compétences liées à la transition numérique ou à la transition écologique. Elles permettent également de préparer les emplois de demain, comme c’est le cas avec l’EDEC des grands événements culturels et sportifs, en prévision des Jeux olympiques et paralympiques 2024.

Outre les EDEC, ont également été réalisés 33 diagnostics permettant aux branches professionnelles d’évaluer l’impact de la crise sanitaire et économique sur le volume et la nature de leurs compétences.

Ces démarches sont également développées au niveau territorial par les services de l’Etat et leurs partenaires en région et donnent lieu à plus d’une centaine de projets qui permettent de travailler avec les acteurs économiques à l’évolution des métiers et des compétences au plus près des territoires.


Indicateur 2.2 : Part des entreprises de moins de 50 salariés ayant eu recours à l'activité partielle 


En 2021, la part des entreprises de moins de 50 salariés parmi celles ayant eu recours à l'activité partielle s’élève à 94%, en recul de deux points par rapport à l’année 2020.


OBJECTIF    

3 – Contribuer à la revitalisation des territoires et au reclassement des salariés licenciés pour motif économique

 
 

INDICATEUR

3.1 – Taux d'appropriation de la revitalisation par les entreprises

     (du point de vue du citoyen)

 

 

Unité

2019
Réalisation

2020
Réalisation

2021
Prévision
PAP 2021

2021
Prévision
actualisée

2021
Réalisation

2023
Cible
PAP 2021

Taux de recréation d’emploi des conventions échues par rapport à l’objectif

%

Non déterminé

Non déterminé

82

80

99,7

85

Taux de conventions signées sans émission de titre de perception

%

1

100

85

80

100

90

Taux de recours formés par les entreprises à l’encontre des décisions des services

%

3,3

4,6

1,5

4,8

1,5

 

Commentaires techniques

Source des données: 

Pour le premier sous-indicateur, la source des données est le bilan statistique annuel des conventions de revitalisation réalisé à partir des données transmises par les DDETS via le système d'information "Revitalisation". Pour les deux autres sous-indicateurs, une remontée ad hoc des informations manquantes a été faite par enquête avec une réponse de la part de 90 départements.


Pour le 1er indicateur:

Mode de calcul: ratio entre le numérateur et le dénominateur

Numérateur: volume cumulé des créations d'emploi effectives dans les conventions de revitalisation terminées dans l'année,

Dénominateur: volume cumulé des objectifs de création d'emplois des conventions de revitalisation terminées dans l'année.


Pour le 2e sous-indicateur:

Mode de calcul: ratio entre le numérateur et le dénominateur

Numérateur: nombre de conventions de revitalisations signées sans demandes de titre de perception,

Dénominateur: somme du nombre de conventions signées et du nombre de titre de perception émis dans l'année (définition précisée par rapport au PAP 2021).

Précision méthodologique : Le sous-indicateur est modifié à partir de 2020, y compris dans sa méthode de calcul. Jusqu’en 2019, l’indicateur était calculé en nombre, i.e.e en valeur absolue. La pluriannualité du document explique que l’on puisse observer différentes méthodes de calcul. La donnée 20219 ne peut être comparée aux données suivantes. 


Pour le 3e sous-indicateur:

Mode de calcul: ratio entre le numérateur et le dénominateur

Numérateur: nombre de recours contentieux contre les décisions d'assujettissement des entreprises soumises à revitalisation prises par les préfets de département,

Dénominateur: nombre de décisions d'assujettissement des entreprises soumises à la revitalisation prises par les préfets de département.

 

INDICATEUR

3.2 – Taux de reclassement à l'issue des dispositifs d'accompagnement des licenciés économiques

     (du point de vue du citoyen)

 

 

Unité

2019
Réalisation

2020
Réalisation

2021
Prévision
PAP 2021

2021
Prévision
actualisée

2021
Réalisation

2023
Cible
PAP 2021

Taux de reclassement à l'issue du contrat de sécurisation professionnelle (CSP)

%

31,75

Non connu

30

44,5

32

 

Commentaires techniques

Sources des données: depuis juillet 2021, les données ne proviennent plus de l'extranet CSP mais sont calculées au niveau de Pôle emploi.


Mode de calcul : l'indicateur est calculé à partir des cohortes d'entrées en contrat de sécurisation professionnelle (CSP). Il s'attache à mesurer le taux de sortie en emploi durable à l'issue du CSP. La notion "d'emploi durable" recouvre les situations suivantes: Contrat à Durée indéterminée (CDI), Contrat à Durée Déterminée (CDD) ou Contrat de Travail Temporaire (CTT) de plus de 6 mois, création d'entreprise. 


Le taux est calculé en faisant le rapport entre le nombre de bénéficiaires du CSP ayant retrouvé un emploi durable (numérateur: nombre de bénéficiaires du CSP en emploi durable à la fin de la période considérée) et les effectifs de la cohorte mensuelle de bénéficiaires à laquelle ils appartiennent (dénominateur: nombre de bénéficiaires du CSP entrées dans la cohorte). Les résultats au titre d'une année n concernent les cohortes des bénéficiaires entrées dans le dispositif en année n-1. 


Point d'attention: le changement de fournisseur de données a entrainé l'évolution du mode de calcul. Ainsi, à ce stade, Pôle Emploi n’est pas en mesure de produire un indicateur à l'issue du contrat de sécurisation professionnelle. Le taux de reclassement indiqué correspond donc au taux estimé à 6 mois après la sortie du dispositif  ce qui rend toute comparaison avec les prévisions et cibles indiquées non pertinentes.

 

Analyse des résultats

Indicateur 3.1 : Taux d'appropriation de la revitalisation par les entreprises


Taux de recréation d'emploi des conventions échues par rapport à l'objectif :

Lorsque la restructuration d’une entreprise mentionnée à l'article L. 1233-71 affecte par son ampleur, l'équilibre du ou des bassins d'emplois sur lesquels elle est implantée, l’autorité administrative peut l’assujettir à l’obligation de revitalisation du territoire. Cette obligation est mise en œuvre par des conventions qui prévoient les objectifs d’emplois à recréer et les actions financées par l’entreprise assujettie pour y parvenir (actions pour la reconversion de site, appui/conseil aux TPE et PME, soutien à l’insertion par l’activité économique et à l’économie sociale et solidaire du territoire ; octroi de prêts, etc.). Le taux de recréation d’emploi des conventions échues en 2021 atteint les 99,7% soit près de 100% de l’objectif, confirmant ainsi que les actions sélectionnées conjointement par les services de l’Etat et les entreprises assujetties sont nécessaires et pertinentes au regard des besoins des territoires.


Taux de recouvrement par le Trésor Public des titres de perception relatifs à la revitalisation :

Lorsque les entreprises refusent de signer une convention de revitalisation avec l'Etat (opposition explicite ou absence de réponse de l'entreprise), le préfet peut, en cas d'échec des négociations conduites à son niveau, demander l'émission d'un titre de perception au Trésor Public, pour le montant équivalent à une contribution plafonnée. La contribution est alors directement versée au budget général de l'Etat et perd tout lien avec son objectif de réparation territoriale. Ce recours constitue donc un échec du dispositif car il entraine l'absence d'investissement de l'entreprise dans son obligation et un déficit de financement des actions locales de développement de l'emploi.

Aucun titre de perception n’a été émis en 2021, ce qui constitue un indicateur du bon déploiement et de la bonne acceptation du dispositif.


Taux de recours formés par les entreprises à l'encontre des décisions des services :

La décision d'assujettissement est la décision administrative qui fonde juridiquement l'obligation de revitalisation. Le préfet est compétent pour la former. Il s'agit de la seule décision administrative, avec le titre de perception, susceptible de faire l’objet d’un recours contentieux.

En 2021, treize décisions ont fait l'objet de recours contentieux, soit 4,8% des décisions. Ce faible taux, est toutefois en légère hausse par rapport aux années précédentes. Si l’acceptabilité du dispositif par les entreprises reste très bonne, une hausse des recours dans un contexte économique complexifié est constatée.


Indicateur 3.2: Taux de reclassement à l'issue du contrat de sécurisation professionnelle (CSP)


Les organisations d’employeurs et de salariés ont prorogé le contrat de sécurisation professionnelle jusqu’à fin 2022 au moyen d'un accord entré en vigueur au 1er juillet 2021. Cet accord adapte le mode de calcul de l’allocation en fonction de l’entrée en vigueur ou non de la réforme de l’indemnisation de l’Assurance chômage. Par ailleurs, l’avenant à la convention du 26 janvier 2015 maintient la durée d’affiliation à 4 mois (88 jours) et introduit une prolongation de la durée du CSP en cas de congé paternité, congé d’adoption et congé proche aidant.


L'indicateur est désormais suivi au niveau de Pôle emploi, qui n’est qu’en mesure de communiquer le résultat 6 mois après la fin du CSP. Ceci explique un taux de reclassement supérieur au taux prévisionnel. Toutefois, cette information apporte une indication utile sur le bon niveau de reclassement des salariés ayant eu recours au dispositif.


OBJECTIF    

4 – Faciliter l'insertion dans l'emploi par le développement de l'alternance

 
 

INDICATEUR

4.1 – Contrats d'apprentissage conclus au 31 décembre de l'année considérée

     (du point de vue du citoyen)

 

 

Unité

2019
Réalisation

2020
Réalisation

2021
Prévision
PAP 2021

2021
Prévision
actualisée

2021
Réalisation

2023
Cible
PAP 2021

Nombre de contrats d’apprentissage conclus au 31 décembre

Nb

369 000

526 400

352 700

Non déterminé

731 700

388 900

Part des apprentis préparant un diplôme de niveau 3 et 4

%

59,9

57,4

61

61

48,6

Non déterminé

 

Commentaires techniques

Pour le flux de nouveaux contrats d’apprentissage enregistrés en 2021 :

Source des données : les données sont issues du tableau de bord des Politiques de l’Emploi PoEm, qui combine des éléments chiffres remontés par les organismes d’enregistrement des contrats d’apprentissage et des données issues du système de gestion informatisée des contrats d’apprentissage DECA.


Pour la part des contrats, parmi les nouveaux contrats 2021, qui permettent de préparer un diplôme de niveau 3 ou 4 :

Source des données : les données sont issues du système de gestion informatisée des contrats d’apprentissage DECA.

Méthode de calcul :

Numérateur : nombre de nouveaux contrats d’apprentissage enregistrés sur l’année civile 2021 permettant de préparer un niveau de diplôme 3 ou 4, c’est-à-dire un niveau de diplôme inférieur ou égal au baccalauréat. Les données sont désormais présentées selon la nomenclature européenne.

Dénominateur : nombre total de nouveaux contrats d’apprentissage enregistrés sur l’année civile 2021.

 

INDICATEUR

4.2 – Taux d'insertion dans l'emploi des salariés ayant bénéficié d'un contrat d'apprentissage

     (du point de vue du citoyen)

 

 

Unité

2019
Réalisation

2020
Réalisation

2021
Prévision
PAP 2021

2021
Prévision
actualisée

2021
Réalisation

2023
Cible
PAP 2021

Taux d’insertion dans l'emploi des salariés ayant bénéficié d’un contrat d'apprentissage - tous publics

%

61,8

62,0

75

75

60,5

76

Taux d’insertion dans l'emploi des salariées ayant bénéficié d’un contrat d'apprentissage

%

58,9

59,5

75

75

62,2

76

Taux d’insertion dans l'emploi des salariés ayant bénéficié d’un contrat d'apprentissage (hommes)

%

63,3

63,1

75

75

57,0

76

 

Commentaires techniques

Source des données : enquête sur l’insertion professionnelle des apprentis (IPA), réalisée par le Ministère de l’éducation nationale – Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance (DEPP) visant à rendre compte de la première insertion professionnelle des sortants de formations professionnelles d’apprentissage, sept mois après la fin de leur formation. Cette enquête est effectuée auprès de tous les apprentis sortants d’un centre de formation d’apprentis (CFA), ou d’une section d’apprentissage quel que soit le ministère de tutelle (y compris sortants de niveau 6 à 8). Le questionnaire a évolué en 2017 : il distingue dorénavant une nouvelle situation pour le service civique, non comptabilisée dans l’emploi ni dans le chômage. Cette situation de service civique rassemble 0,8 % des sortants d’apprentissage.


Mode de calcul :

Numérateur : nombre de sortants occupant un emploi sept mois après leur sortie d’année terminale de formation initiale. L’emploi comprend les emplois à durée indéterminée (CDI, fonctionnaire, engagé dans l’armée, travaillant à son compte), les emplois à durée déterminée (CDD, aide familial), l’intérim, les contrats de professionnalisation et les autres contrats aidés.


Dénominateur : nombre de sortants de CFA ou de section d’apprentissage en année terminale d’un cycle, ne poursuivant pas leurs études initiales (en voie scolaire ou en apprentissage).

Le taux d’insertion dans l’emploi est mesuré 7 mois après la fin de l’année scolaire. Il prend en compte les apprentis sortis de CFA en année terminale ayant ou non obtenu le diplôme préparé.

Les sortants d’apprentissage sont les personnes qui ont déclaré lors de l’enquête réalisée au 1er février ne plus être inscrites l’année scolaire suivante et ne pas poursuivre d’études (sous statut scolaire ou non).

L’indicateur relatif à l’année n est relatif à la situation en février n des apprentis sortis au cours de l’année n-1. On notera que cette définition est différente de celle des contrats de professionnalisation.

 

INDICATEUR

4.3 – Taux d'insertion dans l'emploi des salariés ayant bénéficié d'un contrat de professionnalisation

     (du point de vue du citoyen)

 

 

Unité

2019
Réalisation

2020
Réalisation

2021
Prévision
PAP 2021

2021
Prévision
actualisée

2021
Réalisation

2023
Cible
PAP 2021

Moins de 26 ans

%

53,8

51,9

66

66

49,3

67

De 26 à 45 ans

%

65,9

63,4

73

73

58,7

74

Plus de 45 ans

%

61,4

63,2

73

73

55,3

74

Femmes

%

55,0

56,2

Non déterminé

Non déterminé

53,1

Non déterminé

Hommes

%

58,4

53,5

Non déterminé

Non déterminé

50,2

Non déterminé

 

Commentaires techniques

Source des données : enquête spécifique menée par la DARES sur un échantillon de 100 000 sortants, permettant de connaître leur insertion à 6 mois après leur sortie effective. Les sortants sont repérés grâce aux données du système d’information Extrapro alimenté par les OPCO (opérateurs de compétences agréés, chargés d'accompagner la formation professionnelle depuis avril 2019).


Mode de calcul : ratio entre le numérateur et le dénominateur

Numérateur : nombre de sortants de contrats de professionnalisation en emploi non aidé, 6 mois après la fin de leur contrat de professionnalisation.

Dénominateur : nombre de sortants du dispositif (en y incluant ruptures et échecs à l’obtention de la qualification).

L’indicateur relatif à l’année n concerne les sortants de l’année n.

 

Analyse des résultats

Indicateur 4.1: Contrats d'apprentissage conclus au 31 décembre de l'année considérée


L’année 2021 a vu les effets positifs de la réforme initiée par la loi du 5 septembre 2018 pour la liberté de choisir son avenir professionnel se confirmer. La dynamique ainsi constatée, soutenue cette année encore par une politique volontariste en matière d’alternance, qui a vu notamment le maintien de l’aide exceptionnelle aux employeurs d’apprentis, trouve plusieurs explications :

  • la prolongation jusqu’à juin 2022 de l’aide exceptionnelle aux employeurs d’apprentis ;

  • la poursuite et l’extension du dispositif Prépa-apprentissage, qui permet une sécurisation du parcours des jeunes souhaitant se former par la voie de l’apprentissage ;

  • le maintien d’une campagne d’orientation et de communication performante en faveur de l’apprentissage ;

  • la poursuite de la montée en compétence et de la professionnalisation de l’ensemble des acteurs de l’apprentissage.

Si l’apprentissage conserve une place privilégiée dans la préparation aux diplômes de niveau 3 et 4 (près de 50% des contrats conclus en 2021), la libération de l’offre d’apprentissage liée à la réforme de 2018 a conduit à une baisse de cette part par rapport au nombre total de contrats d’apprentissage conclus, en raison notamment de l’augmentation de l’offre de formation par apprentissage dans les niveaux plus élevés, moins représentés antérieurement à la réforme. La baisse de la part des apprentis préparant un diplôme de niveau 3 ou 4 ne reflète donc pas une diminution en volume mais doit s’apprécier au regard de l’augmentation de l’offre de formation en apprentissage dans les niveaux supérieurs.


Indicateur 4.2 : Taux d’insertion dans l’emploi des salariés ayant bénéficié d’un contrat d'apprentissage


Le taux d’insertion dans l’emploi des jeunes ayant bénéficié d’un contrat d’apprentissage s’établit à plus de 60 % pour l’année 2021, confirmant cette année encore le caractère attractif de cette voie de formation pour les employeurs. Les chiffres s’établissent en deçà des prévisions, en raison notamment des conséquences du ralentissement économique important lié à la crise, et à la contraction significative du marché du travail, qui a réduit les opportunités d’embauche des apprentis à l’issue de leur contrat notamment dans des secteurs d’activité particulièrement touchés par les restrictions sanitaires (hôtellerie-restauration, tourisme). En parallèle, les chiffres des jeunes poursuivant leur formation l’année d’après augmentent fortement, montrant que ces derniers retardent leur entrée sur le marché du travail.

Néanmoins, ce résultat reste satisfaisant compte tenu du contexte, et le maintien d’un haut niveau d’intégration professionnelle à l’issue d’un contrat d’apprentissage (61% à 7 mois) démontre le caractère d’excellence de cette voie de formation ainsi que l’efficacité des mesures de soutien aux entreprises qui recrutent un jeune de moins de 26 ans.


Indicateur 4.3 : Taux d’insertion dans l’emploi des salariés ayant bénéficié d’un contrat de professionnalisation


Les résultats de l'année 2021 confirment le caractère attractif de cette voie de formation pour les employeurs. Si les chiffres s’établissent en deçà des prévisions, sans toutefois en être considérablement éloignés, ils doivent être lus à l’aune du ralentissement économique important lié à la crise, et à la contraction significative du marché du travail, qui a réduit les opportunités d’embauche des bénéficiaires de contrat de professionnalisation à l’issue de leur contrat, tout comme pour les jeunes sortant de leur formation à l’issue de leur contrat d’apprentissage, notamment dans des secteurs d’activité particulièrement touchés par les restrictions sanitaires (hôtellerie-restauration, tourisme). En outre, le nombre de contrats de professionnalisation a connu une légère hausse en 2021, qui a pu influer sur ce taux d’insertion, le nombre de personnes entrant sur le marché du travail après en contrat de professionnalisation étant plus important que l’année précédente alors que le marché du travail était toujours impacté par la crise sanitaire.


Le contrat de professionnalisation a une visée professionnalisante très marquée. Il s’adresse à un public plus âgé que le public apprenti, se traduisant par un taux d’insertion dans l’emploi plus important pour les plus de 26 ans.


La mise en perspective de cette répartition avec le taux d’insertion dans l’emploi des apprentis démontre l’efficience des dispositifs d’alternance comme voie majeure d’insertion dans l’emploi. En priorisant la formation en situation de travail, l’alternance génère un double effet de proximité : entre l’alternant et l’entreprise et entre la spécialité de formation et le métier.


OBJECTIF    

5 – Edifier une société de compétences : contribution du Programme d'investissements dans les compétences (PIC)

 
 

INDICATEUR

5.1 – Part des personnes en recherche d'emploi bénéficiaires de la formation professionnelle

     (du point de vue du citoyen)

 

 

Unité

2019
Réalisation

2020
Réalisation

2021
Prévision
PAP 2021

2021
Prévision
actualisée

2021
Réalisation

2023
Cible
PAP 2021

Moins de 26 ans

%

26

29

Non déterminé

30

23

Non déterminé

Demandeurs d’emploi de longue durée

%

17

17

Non déterminé

20

17

Non déterminé

 

Commentaires techniques

Mode de calcul : ratio entre numérateur et dénominateur

 

Pour le 1er sous indicateur :

Sources des données : Base BREST DARES - retraitement DARES

Les données 2021 sont provisoires et portent sur les trois premiers trimestres de l'année, la base BREST comportant les données arrêtées au 30 septembre 2021.

 

Numérateur : Nombre de personnes en recherche d’emploi de moins de 26 ans ayant bénéficié d’une formation.

Dénominateur : Nombre personnes en recherche d’emploi ayant bénéficié d’une formation.

 

Pour le 2e sous indicateur :

Sources des données : Fichier source Pole Emploi - retraitement DARES

 

Numérateur : Nombre de formations au bénéfice de personnes en recherche d’emploi longue durée inscrites à Pole Emploi.

Dénominateur : Nombre de formations au bénéfice des personnes en recherche d’emploi inscrites à Pole Emploi

 

INDICATEUR

5.2 – Part des personnes en recherche d'emploi peu ou faiblement qualifiés (sans diplôme ou titulaire d'un diplôme de niveau IV et inférieur) bénéficiaires d'au moins une action de formation professionnelle

     (du point de vue du citoyen)

 

 

Unité

2019
Réalisation

2020
Réalisation

2021
Prévision
PAP 2021

2021
Prévision
actualisée

2021
Réalisation

2023
Cible
PAP 2021

Par rapport à l'ensemble des bénéficiaires de la formation professionnelle

%

54

50

Non déterminé

53

51

Non déterminé

De moins de 26 ans par rapport à l'ensemble des bénéficiaires de moins de 26 ans

%

54

52

Non déterminé

55

54

Non déterminé

De 26 à 45 ans par rapport à l'ensemble des bénéficiaires de 26 ans à 45 ans

%

50

46

Non déterminé

48

46

Non déterminé

De 45 ans ou plus par rapport à l'ensemble des bénéficiaires de 45 ans ou plus

%

60

57

Non déterminé

60

57

Non déterminé

 

Commentaires techniques

Source des données : Base BREST DARES

Les données 2021 sont provisoires et portent sur les trois premiers trimestres de l'année, la base BREST comportant les données arrêtées au 30 septembre 2021.


Mode de calcul : ratio entre numérateur et dénominateur

Pour le 1er sous indicateur :

Numérateur : Nombre de personnes en recherche d’emploi peu ou faiblement qualifiées (sans diplôme ou titulaire d'un diplôme de niveau 3 ou 4) ayant bénéficié d’une formation,

Dénominateur : Nombre de personnes en recherche d’emploi ayant bénéficié d’une formation,


Pour le 2e sous indicateur :

Numérateur : Nombre de personnes en recherche d’emploi de moins de 26 ans peu ou faiblement qualifiées (sans diplôme ou titulaire d'un diplôme de niveau 3 ou 4) ayant bénéficié d’une formation,

Dénominateur : Nombre de personnes en recherche d’emploi de moins de 26 ans ayant bénéficié d’une formation,


Pour le 3e sous indicateur :

Numérateur : Nombre de personnes en recherche d’emploi de 26 ans à 45 ans peu ou faiblement qualifiées (sans diplôme ou titulaire d'un diplôme de niveau 3 ou 4) ayant bénéficié d’une formation,

Dénominateur : Nombre de personnes en recherche d’emploi de 26 ans à 45 ans ayant bénéficié d’une formation,


Pour le 4e sous indicateur :

Numérateur : Nombre de personnes en recherche d’emploi de 45 ans ou plus peu ou faiblement qualifiées (sans diplôme ou titulaire d'un diplôme de niveau 3 ou 4) ayant bénéficié d’une formation,

Dénominateur : Nombre de personnes en recherche d’emploi de 45 ans ou plus ayant bénéficié d’une formation,


Note : Depuis 2018, la base BREST comporte des données identifiantes permettant d’établir des statistiques sur les personnes formées, et plus seulement sur les formations.

 

INDICATEUR

5.3 – Taux de formation certifiantes

     (du point de vue du citoyen)

 

 

Unité

2019
Réalisation

2020
Réalisation

2021
Prévision
PAP 2021

2021
Prévision
actualisée

2021
Réalisation

2023
Cible
PAP 2021

Taux de formation certifiante pour tous les publics

%

35

42

Non déterminé

37

40

Non déterminé

Taux de formation certifiante pour les personnes peu ou pas qualifiées

%

33

40

Non déterminé

32

38

Non déterminé

Taux de formation certifiante pour les moins de 26 ans

%

35

43

Non déterminé

36

37

Non déterminé

Taux de formation certifiante pour les demandeurs d’emploi de longue durée

%

32

40

Non déterminé

38

41

Non déterminé

 

Commentaires techniques

Source des données : Base BREST DARES- retraitement DARES

Les données 2021 sont provisoires et portent sur les trois premiers trimestres de l'année, la base BREST comportant les données arrêtées au 30 septembre 2021.


Mode de calcul : ratio entre numérateur et dénominateur

Est définie comme formation certifiante, une formation ayant comme objectif "certification".


Pour le 1e r sous indicateur :

Numérateur : Nombre de formations certifiantes (tout public),

Dénominateur : Nombre de formations au bénéfice des personnes en recherche d’emploi,


Pour le 2e sous indicateur :

Numérateur : Nombre de formations certifiantes au bénéfice de personnes en recherche d’emploi peu ou faiblement qualifiées (sans diplôme ou titulaire d'un diplôme de niveau 3 ou 4),

Dénominateur : Nombre de formations au bénéfice des personnes en recherche d’emploi de 26 ans a 45 ans,


Pour le 3e sous indicateur :

Numérateur : Nombre de formations certifiantes au bénéfice de personnes en recherche d’emploi de moins de 26 ans (sans diplôme ou titulaire d'un diplôme de niveau 3 ou 4),

Dénominateur : Nombre de formations au bénéfice des personnes en recherche d’emploi de moins de 26 ans,


Pour le 4e sous indicateur :

Numérateur : Nombre de formations certifiantes pour les demandeurs d’emploi longue durée,

Dénominateur : Nombre de formations au bénéfice des demandeurs d’emploi longue durée.

 

Analyse des résultats

Indicateur 5.1 : Part des personnes en recherche d'emploi bénéficiaires de la formation professionnelle


A ce stade, les données sur les entrées en formation sont encore partielles car elles ne couvrent que les trois premiers trimestres de l'année 2021 (le 4e trimestre 2021peut représenter jusqu'à un tiers des entrées sur une année). Les données pour l’ensemble de l’année 2021 ne seront disponibles qu’à partir du mois de mai. Par ailleurs, nous avons observé une forte mobilisation du CPF par les demandeurs d’emploi qui a pu avoir un impact sur la structure des entrées en formation comptabilisées par Brest. Dans ces conditions, ces chiffres sont difficiles à interpréter avant d’avoir les données complètes pour l’année 2021.


Indicateur 5.2 : Part des personnes en recherche d'emploi peu ou faiblement qualifiées (sans diplôme ou titulaire d'un diplôme de niveau IV et inférieur) bénéficiaires d'au moins une action de formation professionnelle


Commentaire identique à celui de l'indicateur 5.1.


Indicateur 5.3 : Taux de formation certifiante


Commentaire identique à celui de l'indicateur 5.1.