$@FwLOVariable(annee#2021)

$@FwLOVariable(numProg#841)

$@FwLOVariable(libelleProg#France Télévisions)

$@FwLOVariable(enteteSousTitre#Justification au premier euro)

 

Justification au premier euro

Éléments transversaux au programme

Éléments de synthèse du programme

 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

Numéro et intitulé de l'action
ou de la sous-action

Prévision LFI 
Consommation 

Titre 2 *
Dépenses
de personnel

Autres titres *

Total
y.c. FdC et AdP

Titre 2 *
Dépenses
de personnel

Autres titres *

Total
y.c. FdC et AdP

01 – France Télévisions

 
 

2 421 053 594
2 421 053 594

2 421 053 594
2 421 053 594

 
 

2 421 053 594
2 421 053 594

2 421 053 594
2 421 053 594

Total des crédits prévus en LFI *

0

2 421 053 594

2 421 053 594

0

2 421 053 594

2 421 053 594

Ouvertures / annulations y.c. FdC et AdP

 

 

 

 

 

 

Total des crédits ouverts

0

2 421 053 594

2 421 053 594

0

2 421 053 594

2 421 053 594

Total des crédits consommés

0

2 421 053 594

2 421 053 594

0

2 421 053 594

2 421 053 594

Crédits ouverts - crédits consommés

 

 

 

 

 

 


* hors FdC et AdP pour les montants de la LFI

 

La loi de finances 2022 est le quatrième exercice de mise en œuvre de la transformation de l’audiovisuel public à l’horizon 2022, dont les grands déterminants ont été rendus publics par le gouvernement à l’été 2018.


Cette réforme vise à adapter l’audiovisuel public à un environnement technologique et concurrentiel et à des usages en pleine mutation, pour renforcer son efficacité et sa valeur ajoutée pour la collectivité.


Elle s’inscrit également dans le cadre de la contribution du secteur de l’audiovisuel public aux efforts de redressement des finances publiques. Ainsi, à l’horizon 2022 et par référence au projet de loi de finances pour 2018, les ressources publiques affectées à France Télévisions sont attendues, aux termes des arbitrages pris à l’été 2018, en recul de 160 M€. Après une baisse de 26 M€ en 2019 et de 60 M€ en 2020, les concours publics 2021 budgétés diminuent de 15 M€ en 2021 : -60 M€ sur la contribution à l’audiovisuel public et +45 M€ au titre du plan de relance).


Le budget 2021 s’inscrit dans un contexte de réduction des concours publics pour la quatrième année consécutive et une activité fortement impactée par les conséquences économiques de la crise sanitaire.


En parallèle du processus budgétaire 2021, la révision du Contrat d’objectifs et de moyens 2022 a été élaborée afin de remettre en perspective la trajectoire économique de France Télévisions pour 2021 et 2022. Il définit les priorités stratégiques et les évènements majeurs, tout en poursuivant et en accentuant les efforts d’économies et de gains de productivité significatifs, permettant d’en assurer le financement.


Dans ce cadre économique, le budget 2021 a été construit autour :

    • d’une hypothèse de retrait des recettes publicitaires de 5,6 M€ par rapport au budget 2020, dû au contexte économique engendré par la crise sanitaire,

    • de la recherche systématique d’économies, de gains de productivité et de synergies dans la gestion de l’entreprise, favorisée par sa transformation entamée depuis plusieurs années, et qui se traduisent aussi bien dans la trajectoire des effectifs que dans les économies réalisées dans l’ensemble des directions, au travers de la baisse de la masse salariale et des dépenses de fonctionnement,

    • du maintien d’une priorité donnée à l’offre et aux missions de service public, dans un cadre qui a nécessité des arbitrages stratégiques sur tous les grands genres de programmes.


Le budget 2021 marque également une nouvelle étape de la transformation de France Télévisions à l’horizon 2022 articulée autour d’objectifs ambitieux :

    • maintien de la priorité donnée à la création et à l’innovation dans les contenus, renforcement de l’exposition de la culture et de l’éducation, sur les antennes linéaires et non linéaires,

    • gestion du maintien de France 4 et organisation du basculement des contenus sur France.TV avec la plateforme Okoo et sur le bouquet des chaînes,

    • développement de la régionalisation avec le programme régional de France 3 (montée en puissance des tranches d’information régionale, accroissement des matinales communes avec France Bleu) et une plus grande exposition des Outre-mer sur les antennes linéaires et de leur portail numérique dédié, suite à l’arrêt de France Ô,

    • augmentation des budgets numériques tant sur la technologie que sur les contenus afin de faire de France.tv une antenne de destination et la vitrine numérique du groupe.


Dans ce contexte, le budget 2021 présente un résultat d’exploitation à l’équilibre sur son cœur d’activité et en perte de 35,3 M€ après prise en compte des éléments 2021 liés à la transformation et à Salto. Le résultat net affiche une perte de 35,7 M€.


2 – L’exécution 2021 se traduit, malgré le contexte de poursuite de la crise sanitaire, par un résultat d’exploitation (avant transformation et Salto) positif pour la sixième année consécutive.


L’année 2021 s’inscrit dans un contexte :

    • de baisse de la contribution à l’audiovisuel public (-59,6 M€ par rapport à 2020 soit -146,5 M€ cumulés depuis 2018, en conformité avec la trajectoire du COM) ;

    • de retour progressif à une activité quasi normale en dépit de la persistance de la crise sanitaire ;

    • de réorganisation de l’offre de contenus, avec la prolongation de France 4 et la diffusion de Culturebox sur le canal 19 de la TNT de février à avril puis en soirée sur France 4 à compter de mai.


L’augmentation significative des recettes publicitaires et commerciales, la dotation complémentaire de l’Etat (22,5 M€ en 2021 sur un total 2021/2022 de 45 M€ au titre du  plan de relance) et les économies réalisées ont permis de financer les impacts négatifs de la crise sanitaire et le renforcement du budget de programmes dans le cadre de Culturebox et de la prolongation de France 4.


Parallèlement, France Télévisions a poursuivi ses efforts de gestion, notamment au travers de la maîtrise de la masse salariale, de la recherche de gains de productivité et le pilotage des économies liées aux diminutions d’activité dans le cadre de la crise sanitaire. France Télévisions a par ailleurs bénéficié de la diminution de la CVAE et de la CFE dans le cadre de la loi de finance 2021 pour un montant de 11,7 M€.


Dans ce contexte, France Télévisions a préservé une exploitation équilibrée. Le résultat d’exploitation (avant transformation et Salto) s’établit à +9,5 M€ avant prise en compte des reclassements comptables recommandés par l’ANC (Collège de l’Autorité des normes comptables) le 3 décembre 2021 (retraitement qui a concerné les frais financiers sur la provision d’indemnités de départ en retraite).


Plus précisément, le chiffre d’affaires diffusion (2 793,8 M€) est légèrement inférieur aux prévisions budgétaires (-1,8 M€) avec une hausse des recettes publicitaires (21,7 M€) et un report sur 2022 de la moitié du produit généré par le Plan de relance (22,5 M€), les effets de la crise sanitaire subsistant en 2022 :

    • la contribution à l’audiovisuel public (2 371,7 M€) est en ligne avec le budget (+0,5 M€) et en baisse de 59,6 M€ HT par rapport à 2020. Le plan de relance de 45 M€ a été étalé sur deux ans afin de faire face aux charges liées à la crise sanitaire constatées en 2021 et se poursuivant en 2022 ;

    • les recettes de publicité et parrainage du groupe France Télévisions s’établissent à 380,9 M€, en hausse de 21,7 M€ par rapport au budget à la fois sur les recettes diffuseur (+18,4 M€) et sur les recettes internet (+3,4 M€). Cette hausse est liée à la stratégie commerciale de la régie, à la bonne tenue des audiences du groupe et à la très bonne performance des événements sportifs (Jeux Olympiques, Tour de France, Roland-Garros).


Les recettes nettes disponibles (2 482 M€) sont inférieures de 2,1 M€ à 2020 et de 6,8 M€ par rapport au budget initial.


Le coût de grille (2 075,2 M€) affiche une hausse de 0,2% par rapport au budget (4 M€). Cette quasi stabilité est cependant impactée la dégradation de l’exploitation des moyens internes de fabrication : la crise sanitaire a réduit l’activité en début d’année : par genre, les évolutions sont les suivantes :

    • Le coût de grille de l’information nationale (255 M€) affiche une diminution de 1,3 M€ par rapport au budget : elle est principalement liée aux magazines qui ont eu une activité limitée par la pandémie, ainsi qu’à des transferts de cases et leurs effets prix favorables.

    • Le coût de grille des sports (201,4 M€) affiche une baisse de 6,6 M€ par rapport au budget. Cette économie est principalement liée au report sur 2022 de deux événements majeurs (Championnats du monde d’athlétisme aux Etats Unis et les Championnats du monde de natation à Tokyo). Par ailleurs, des économies ont été générées sur les coûts de production de Roland-Garros et sur les magazines du fait de tournages de reportages limités par des contraintes liées à la pandémie.

    • Le programme national (960,6 M€) affiche une hausse de 27,9 M€ par rapport au budget essentiellement liée au coût de la chaîne Culturebox, puis à la prolongation de France 4 en année pleine, du remplacement des cases Information et Sports supprimées dans le contexte de la crise sanitaire. Enfin, la programmation de la rentrée 2021 a été renforcée pour accompagner le potentiel de ressources publicitaires et préparer l’exercice 2022 marqué par une diminution significative du budget des programmes.

    • Le coût de grille du programme régional de France 3 (388,4 M€) est en retrait de 15,4 M€ par rapport au budget, principalement du fait des restrictions d’activités et de la réduction du nombre d’opérations liées au contexte sanitaire en début d’année se traduisant par un moindre recours à la Fabrique, des économies sur les charges de fonctionnement, un effet volume favorable sur les ETP et une réduction de l’impôt production.

    • Le coût de grille des Outre-mer 1ères (196,6 M€) est conforme aux prévisions budgétaires.

    • Le numérique (73,3 M€) est inférieur au budget de 0,8 M€ : les économies constatées sur les prestations (Slash, Okoo, France.tv édito, l’Education, Culturebox et Culture Prime) sont en partie compensée par des coûts supplémentaires sur les campagnes d’acquisition de trafic, des prestations prolongées sur la fin de l’année sur les projets transverses et des régularisations de factures à recevoir sur années antérieures. Au-delà du budget confié à la Direction du numérique, le total des montants dédiés au numérique s’élève à 174 M€, en hausse de 6,5 M€ par rapport au budget et correspond principalement aux développements de contenus non linéaires au programme national et à la transformation numérique.


Le total des charges d’exploitation (2 544,7 M€) est supérieur de 9,6 M€ par rapport à 2020 et de 7,2 M€ par rapport au budget initial.


Les coûts supports (331,7 M€) affichent une hausse de 11,1 M€ par rapport aux prévisions budgétaires.

    • Le support antennes et programmes (192,2 M€) est en légère diminution de 0,9 M€ par rapport au budget liée à la réduction des échanges.

    • Le support technique et informatique partagé (66,4 M€) affiche un dépassement  de 10,5 M€ par rapport au budget, lié d’une part à la Fabrique (activité en baisse en raison des contraintes sanitaires, arrêt de certaines émissions et changements de grille) et d’autre part à la direction des technologies (principalement sur les amortissements en lien avec la hausse des investissements techniques et informatiques liés à la crise sanitaire et à la transformation de l’entreprise).

    • Les coûts techniques de diffusion (73,1 M€) sont en dépassement de 1,4 M€ par rapport au budget du fait du maintien du canal 14 (France 4) et des coûts de mise en œuvre temporaire de la distribution de Culturebox sur le canal 19 au premier semestre. Ces dépassements sont en partie compensés par des économies obtenues par la renégociation de contrats de diffusion historiques.


Les autres dépenses (137,8 M€) affichent un retrait de 7,8 M€ par rapport au budget :

    • Les subventions Cinéma (18,8 M€) sont en ligne avec les prévisions budgétaires.

    • Les variations de provisions et autres charges (28,2 M€) affichent une diminution de 0,5 M€ par rapport au budget et de 1,3 M€ après retraitements du nouveau réglementaire comptable français (reclassement des frais financiers liés à la PIDR en résultat financier). Le solde de l’écart s’explique par des reprises de provisions supérieures au budget.

    • Les frais généraux (90,8 M€) affichent un recul de 6,6 M€ par rapport au budget qui résulte de la crise sanitaire (baisse d’activité à l’Université, reports de projets, d’études et de conseil, réduction des déplacements,…) amplifiée par un effet volume ETP favorable, des économies sur les loyers et des coûts d’infrastructures inférieurs au budget. Ils incluent les dépenses spécifiques liées au Covid (masques, gel hydroalcoolique, protections, nettoyage complémentaire, matériels).


Les autres éléments liés à l’exploitation hors transformation et Salto sont les suivants :

    • le résultat des autres activités (71,2 M€) est supérieur au budget de 16,3 M€ : il est majoritairement lié aux bonnes performances de France Télévisions Publicité et de France Télévisions Distribution.

    • le résultat du producteur (4,7 M€ versus -1,7 M€ au budget) résulte des bonnes performances de la filiale de production France.tv Studio ainsi que le report de la diffusion en salles des films coproduits par les filiales cinéma de France Télévisions (allégeant ainsi le niveau d’amortissements).

    • l’intéressement (3,6 M€ contre 4 M€ au budget) résulte de l’atteinte partielle des objectifs de l’accord d’intéressement.


Grâce à une exploitation équilibrée, le résultat d’exploitation (avant transformation et Salto) s’établit à +9,5 M€.


Les autres éléments concernant la transformation et Salto sont les suivants :

    • les dépenses liées à la transformation de l’entreprise (2,5 M€) en économie de 2,3 M€ (décalage de mise en œuvre du plan de départs).

    • Le résultat de Salto (-27,8 M€) est en amélioration de 3,2 M€ par rapport au budget.


Les autres résultats sont les suivants :

    • Le résultat financier s’établit à -1,8 M€ : il est en dégradation de 0,8 M€ par rapport au budget, notamment du fait du reclassement des frais financiers de la PIDR en résultat financier.

    • Le résultat exceptionnel s’élève à 8,7 M€ et correspond notamment à une baisse du nombre de départs 2021 au titre du plan.

    • La quote-part des sociétés mises en équivalence (2,1 M€) est en amélioration de 1,5 M€ par rapport au budget.


Le résultat net est négatif à hauteur de 11,8 M€, supérieur de 23,9 M€ à la prévision.


L’effectif moyen annuel 2021 de l’entreprise commune s’établit à 9 050 ETP :

    • Il progresse de 28 ETP par rapport à 2020 notamment du fait du retour à une activité normale après une année 2020 marquée par le contexte sanitaire et du ralentissement de la mise en œuvre de projets de transformation.

    • Le taux de recours aux non permanents s’établit à 13%.


La masse salariale 2021 est quasi conforme au budget à 876,1 M€ (contre 876,2 M€ au budget). Ce montant s’entend hors départs et litiges et hors suppléments de cachets et forfait social de l’intéressement (indicateur du COM).


La trésorerie du groupe (175,8 M€) augmente de 8,7 M€ sur 12 mois contre une diminution de 69,4 M€ prévue au budget. L’écart de 78 M€ s’explique essentiellement par des coûts de transformation inférieurs au budget ainsi que par une évolution favorable du besoin en fonds de roulement et du stock de programmes en diminution sur l’exercice.


Compte de résultat métier de France Télévisions


 

   Passage du PLF à la LFI

 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

 

Titre 2
 

Autres titres

Total

Titre 2

Autres titres

Total

PLF

0

2 421 053 594

2 421 053 594

0

2 421 053 594

2 421 053 594

Amendements

0

0

0

0

0

0

LFI

0

2 421 053 594

2 421 053 594

0

2 421 053 594

2 421 053 594

 

 

 

Dépenses pluriannuelles

Suivi des crédits de paiement associés à la consommation
des autorisations d'engagement (hors titre 2)

 

AE 2021

 

CP 2021

 

 

 

AE ouvertes en 2021 *
(E1)

2 421 053 594

 

CP ouverts en 2021 *
(P1)

2 421 053 594

 

 

 

AE engagées en 2021
(E2)

2 421 053 594

 

CP consommés en 2021
(P2)

2 421 053 594

 

 

AE affectées
non engagées
au 31/12/2021
(E3)

0

 

dont CP consommés en
2021 sur engagements
antérieurs à 2021

(P3 = P2 – P4)

2 421 053 594

 

 

AE non affectées
non engagées
au 31/12/2021
(E4 = E1 – E2 – E3)

0

 

dont CP consommés
en 2021 sur
engagements 2021

(P4)

0

 

Restes à payer

Engagements ≤ 2020 non
couverts par des paiements
au 31/12/2020 brut
(R1)

0

 

Travaux de fin de gestion
postérieurs au RAP 2020
(R2)

0

 

Engagements ≤ 2020 non
couverts par des paiements
au 31/12/2020 net

(R3 = R1 + R2)

0



CP consommés en 2021
sur engagements
antérieurs à 2021
(P3 = P2 – P4)

2 421 053 594



=

Engagements ≤ 2020 non
couverts par des paiements
au 31/12/2021
(R4 = R3 – P3)

-2 421 053 594

 

 

AE engagées en 2021


(E2)

2 421 053 594



CP consommés en 2021
sur engagements 2021

(P4)

0



=

Engagements 2021 non
couverts par des paiements
au 31/12/2021
(R5 = E2 – P4)

2 421 053 594

 

 

Engagements non couverts
par des paiements
au 31/12/2021

(R6 = R4 + R5)

0

 

 

Estimation des CP 2022
sur engagements non
couverts au 31/12/2021
(P5)

0


 
 
NB : les montants ci-dessus correspondent uniquement aux crédits hors titre 2
 
 

* LFI 2021 + reports 2020 + mouvements réglementaires + FdC + AdP + fongibilité asymétrique + LFR

Estimation du montant
maximal des CP
nécessaires après 2022
pour couvrir les
engagements non
couverts au 31/12/2021
(P6 = R6 – P5)

0

 

 

Justification par action

ACTION

01 – France Télévisions

 

 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

Action / Sous-action

Prévision LFI y.c. FdC et AdP 
Réalisation 

Titre 2

Autres titres

Total

Titre 2

Autres titres

Total

01 – France Télévisions

 
 

2 421 053 594
2 421 053 594

2 421 053 594
2 421 053 594

 
 

2 421 053 594
2 421 053 594

2 421 053 594
2 421 053 594

 

 

Éléments de la dépense par nature

 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

Titre et catégorie

Prévision LFI
y.c. FdC et AdP
 

Réalisation

Prévision LFI
y.c. FdC et AdP

Réalisation

Titre 7 : Dépenses d’opérations financières

2 421 053 594

2 421 053 594

2 421 053 594

2 421 053 594

Prêts et avances

2 421 053 594

2 421 053 594

2 421 053 594

2 421 053 594

Total

2 421 053 594

2 421 053 594

2 421 053 594

2 421 053 594