$@FwLOVariable(annee#2021)

$@FwLOVariable(numProg#845)

$@FwLOVariable(libelleProg#Institut national de l'audiovisuel)

$@FwLOVariable(enteteSousTitre#Objectifs et indicateurs de performance)

 

Objectifs et indicateurs de performance

 

OBJECTIF    

1 – Assurer la conservation et la valorisation du patrimoine audiovisuel

 
 

INDICATEUR

1.1 – Part des fonds menacés de dégradation sauvegardée en numérique

     (du point de vue de l'usager)

 

 

Unité

2019
Réalisation

2020
Réalisation

2021
Prévision
PAP 2021

2021
Prévision
actualisée

2021
Réalisation

2023
Cible
PAP 2021

Part des fonds menacés de dégradation sauvegardée en numérique

%

93,68

96,47

100

99

98,96

100

 

Commentaires techniques

Précisions méthodologiques :

Les fonds photographiques inclus dans le nouveau périmètre du PSN ne sont pas comptabilisés dans cet indicateur.

Mode de calcul : Nombre d’heures sauvegardées sur support numérique rapporté au nombre d’heures menacées de dégradation.

Source des données : INA.

 

INDICATEUR

1.2 – Nombre de vidéos vues en ligne par le grand public

     (du point de vue de l'usager)

 

 

Unité

2019
Réalisation

2020
Réalisation

2021
Prévision
PAP 2021

2021
Prévision
actualisée

2021
Réalisation

2023
Cible
PAP 2021

Nombre de vidéos vues en ligne par le grand public

heure

722 000

1 132 000

800 000

1 200 000

1 177 500

>750 000

 

Commentaires techniques

Précisions méthodologiques :

Nombre de vidéos de l’INA vues sur toutes les plateformes en ligne grand public (ina.fr, YouTube, Dailymotion, Facebook, Twitter, etc.).


Périmètre : L'indicateur 1.2 cumule le nombre de vidéos vues par an sur les sites du domaine ina.fr (www.ina.fr, boutique.ina.fr, m.ina.fr, sites.ina.fr, fresques.ina.fr, api.ina.fr, *.ina.fr), y compris le player exportable, et sur les plateformes externes grand public sur lesquelles l'INA propose une offre (YouTube, Dailymotion, Facebook, Twitter…). Les vidéos de l’INA publiées sur le site franceinfo.fr dans le cadre de l’offre de chaîne publique d’information en continu sont également prises en compte depuis septembre 2016, date de lancement de l’offre.


Mode de calcul : Cumul annuel des vidéos vues sur chaque plateforme.

Source des données : Les différentes sources de données sont :

  • pour les vidéos du domaine *.ina.fr : les logs des serveurs de vidéos mp4.ina.fr

  • pour les vidéos des plateformes externes : les reporting fournis par chacune de ces plateformes


 

Analyse des résultats


RESULTAT OBJECTIF 1

Assurer la conservation et la valorisation du patrimoine audiovisuel


Le présent objectif, qui correspond à l’une des missions que l’INA s’est vu confier par la loi n° 86-1067 du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication, est évalué à l’aune de deux indicateurs de performance :


Part des fonds menacés de dégradation, sauvegardés en numérique :

Fin 2002, une cartographie des fonds en danger avait été élaborée par le cabinet Veritas, qui a servi de base à l’élaboration des COM 1 et 2 tout en fixant la fin du plan de sauvegarde et de numérisation (PSN) à l’horizon 2015. Le périmètre initial de ce plan de sauvegarde couvrait les fonds télévisuels ainsi que les fonds radiophoniques conservés sur des supports obsolètes, soit 759 400 heures.

À ce périmètre initial sont venus s’ajouter les fonds régionaux, ultramarins, ou les migrations sur supports numériques plus récents, portant le volume total à 2 011 335 heures. Une actualisation du périmètre a été réalisée en 2015. Toutefois, malgré cette actualisation, le chiffre de référence reste une valeur relative, dans la mesure où de nouveaux reliquats de fonds menacés à sauvegarder continuent à apparaître régulièrement.


Nombre de vidéos vues en ligne par le grand public :

L’un des objectifs des COM 3 et 4 était de restituer au public, dans le respect des ayants droit, les images et les sons qui constituent la mémoire collective de ces soixante dernières années.

Cet objectif a été reconduit dans le cadre du COM5 pour la période 2020-2022.

L’indicateur retenu pour apprécier la performance de la valorisation des archives auprès du grand public mesure le nombre de vidéos vues gratuitement par le grand public sur les supports numériques propriétaires de l’INA (ina.fr), comme sur les plateformes externes (Facebook, YouTube, Instagram, Twitter, TikTok). Cet indicateur permet de suivre l’activité de média patrimonial de l’INA à destination du grand public. Il reflète la performance des activités éditoriales de l’Institut sur les supports numériques.


Analyse du résultat de l’indicateur 1.1 :

Après une année 2020 marquée par la crise sanitaire et des périodes d’interruption partielle ou totale de l’activité de sauvegarde numérique, l’année 2021 a permis le retour à un rythme de travail soutenu avec plus de 52 000 heures de programmes numérisés pour les fonds dits « dévolus », sans compter les fonds tiers.


Au 31 décembre 2021, le taux de numérisation des archives s’élève à 98,96% (1 990 466 heures cumulées de fonds sauvegardés), soit un taux quasiment conforme aux prévisions (99%). La perspective de 100% atteint fin 2022 ne doit pas pour autant laisser à penser que tout sera numérisé, tant les valeurs de référence qui servent au calcul initial d’avancement sont datées (2003), et restent relatives, malgré leur révision de 2015. Le suivi d’activité tel que défini dans le COM5 n’y fait d’ailleurs plus référence. Parmi les archives numérisées par l’INA en 2021 dans le cadre de cet indicateur on relève :

  • la numérisation de plus de 1 000h d’inédits radio venant enrichir les collections de fonds jamais entendus depuis leur diffusion ;

  • la numérisation à partir de supports bêta ou migrée à partir de XDCAM par les techniciens en Délégations régionales de 25 854 heures de fonds régionaux issus des stations de France 3. Ces activités sont en décroissance du fait du tarissement progressif des fonds restant à numériser. Le marché externe s’est d’ailleurs éteint en 2021, laissant place à un travail restant réalisé entièrement en interne ;

  • la numérisation de plus de 500 heures de fonds vidéo ultramarins, reliquat particulièrement difficile à traiter du fait de leur importante dégradation, réalisé dans les « cliniques » internes de l’INA. 

Compte tenu de l’apparition de nouveaux reliquats de fonds menacés à sauvegarder, qui ne figuraient donc pas dans le volume pris en référence pour le calcul de l’avancement de l’indicateur, le travail mené par l’INA en 2021 en matière de traitement numérique des archives a également été marqué par la forte mobilisation des chaînes techniques, vidéo et audio en particulier, par la prise en charge de fonds tiers, singulièrement celui de France Télévisions Sports (plus de 14 000 heures), de Thierry Ardisson pour alimenter les nouvelles offres YouTube, de la Fondation Jean Jaurès ou encore de la chaîne locale Yvelines Première. Ces 18 000 heures de fonds tiers numérisées ne sont pas intégrées dans le calcul de l’indicateur 1.1, car ne figurent pas dans le volume pris en référence pour le calcul de l’avancement ;

Par ailleurs, la poursuite de la politique de remasterisation en haute définition de programmes issus de sources film, avec un travail éditorial renouvelé en étroite collaboration avec les Directions Data & Technologies, Editoriale et des Patrimoines. Ce sont ainsi 490 heures de programmes qui ont pu être proposées aux usagers dans une qualité inédite, sans toutefois être prises en compte dans le volume de l’indicateur en 2021, puisqu’il s’agit de contenus déjà numérisés en qualité plus basse les années précédentes. Cette politique s’applique également aux collections radio avec la demande croissante des antennes de Radio France ou des éditions musicales en très hautes résolutions.


Analyse du résultat de l’indicateur 1.2 :


Internet a profondément transformé l’activité de valorisation des archives de la radio et de la télévision de l'Institut : s’adressant auparavant exclusivement aux professionnels, l’INA est devenu en quelques années un véritable diffuseur de contenus audiovisuels en ligne à destination du grand public. Après l’ouverture en 2006 de son site ina.fr et la mise à disposition d’une partie de son fonds d’archives au grand public, l’INA s’est engagé dans une politique de curation et d’éditorialisation toujours plus fine et plus riche, s’adressant à tous les publics et déployée sur tous les supports, à travers l’animation de multiples vecteurs de diffusion : site Ina.fr, ou encore chaînes YouTube et Dailymotion et réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Instagram, TikTok…).

Avec près de 1,2 milliard de vidéos vues toutes plateformes confondues, 2021 est une année record pour les activités éditoriales de l’INA, en hausse de 4% par rapport à 2020. Les audiences sont principalement enregistrées sur les plateformes Facebook et YouTube qui représentent à elles seules près de 80% des vidéos vues.

L’année 2021 a également été marquée par la refonte complète et la mise en ligne du site ina.fr, une refonte qui démontre la capacité de l’INA à s’adapter aux nouveaux usages d’internet et aux modes de consommation des contenus par les utilisateurs. La navigation – qui se fait désormais majoritairement sur smartphone – a augmenté de 150% par rapport à l’ancienne version du site et représente aujourd’hui 57% de la navigation totale sur le site. L’ergonomie et l’accès aux contenus éditorialisés ont été améliorés, enrichis et simplifiés : ces efforts se sont traduits par une augmentation du temps moyen passé (de 2min48 avant refonte à 3min28 après refonte) sur la plateforme par chaque utilisateur et du nombre moyen de pages consultées par utilisateur : 2,5 pages contre 1,9 auparavant.

L’augmentation de plus de 33% de l’audience sur Instagram par rapport à 2020 et les 40 000 abonnés sur TikTok acquis en moins d’un an (arrivée de l’INA sur le réseau social en janvier 2021) sont d’autres indicateurs témoignant du succès et de l’aptitude de l’Institut à s’adresser à un public plus jeune sur les plateformes sur lesquelles ce public est le plus actif.

Le développement de la présence des contenus INA sur Facebook (699 millions de vidéos vues en 2021, en augmentation de 12% par rapport à 2020), sur Instagram (118 millions de vidéos vue en 2021, en augmentation de 33% par rapport à 2020) ou encore Dailymotion (4,3 millions de vidéos vues, en augmentation de 53% par rapport à 2020), démontre l’intérêt de tous les publics, en particulier les jeunes, pour les contenus et publications de l’INA provenant d’archives.


OBJECTIF    

2 – Constituer et transmettre les savoirs et les compétences

 
 

INDICATEUR

2.1 – Taux d'insertion professionnelle des diplômés

     (du point de vue de l'usager)

 

 

Unité

2019
Réalisation

2020
Réalisation

2021
Prévision
PAP 2021

2021
Prévision
actualisée

2021
Réalisation

2023
Cible
PAP 2021

Taux d'insertion professionnelle des diplômés

%

85

81

>65

>65

84,1

>60

 

Commentaires techniques

Précisions méthodologiques

Périmètre : Anciens élèves des formations initiales INA, diplômés l’année précédant la mesure.

Mode de calcul : Nombre de diplômés ayant trouvé un emploi qualifié dans l’année qui suit l’obtention de leur diplôme (1) rapporté à l’ensemble des diplômés de cette promotion (2).

(1) Anciens étudiants ayant exercé une activité professionnelle qualifiée en lien avec la formation dispensée durant au moins 3 mois cumulés, depuis l’obtention de leur diplôme, au moment de l’enquête (N+1).

(2) hors anciens étudiants en poursuite d’études ou inactifs (hommes et femmes au foyer, personnes en incapacité de travailler…)

Source des données : INA.




 

Analyse des résultats

RESULTAT OBJECTIF 2

Constituer et transmettre les savoirs et les compétences


L’INA poursuit le développement de ses offres de formation initiale et continue avec l’objectif de favoriser l’insertion professionnelle, notamment en adaptant son catalogue aux évolutions des usages à l’innovation et aux besoins des professionnels du secteur de l’audiovisuel et des médias numériques, ainsi qu’aux acteurs du secteur « hors média », en veillant à s’adapter au nouveau contexte issu de la réforme de la formation professionnelle (loi sur la formation professionnelle et l’apprentissage du 6 septembre 2018 pour la liberté de choisir son avenir professionnel).


Analyse du résultat de l’objectif n°2 :


Le taux d’insertion professionnelle pour l’année 2021 atteint 84,1% pour l’ensemble des diplômes d’INAsup, soit un taux nettement supérieur à l’objectif plancher fixé par le COM5 (65%). Il confirme la tendance déjà observée et démontre que les cursus proposés par INA sup répondent aux attentes de la filière en matière de formation initiale.


OBJECTIF    

3 – Assurer la maîtrise de la masse salariale et optimiser la gestion

 
 

INDICATEUR

3.1 – Maîtrise des charges

     (du point de vue du contribuable)

 

 

Unité

2019
Réalisation

2020
Réalisation

2021
Prévision
PAP 2021

2021
Prévision
actualisée

2021
Réalisation

2023
Cible
PAP 2021

Charges de personnels

M€

65,64

66,2

67,4

66,3

66,3

<67,5

Frais généraux

M€

2,9

2,2

<3

2,5

2,2

<3

 

Commentaires techniques

Précisions méthodologiques
Mode de calcul :

- Le montant des charges de personnel correspond à l’ensemble des coûts des personnels permanents et non permanents de l’établissement (hors intermittents).

- Les frais généraux  correspondent à l’ensemble des dépenses d’énergie, charges locatives et de copropriété, locations mobilières, frais de mission, frais de réception, transport collectif du personnel, téléphonie, fournitures administratives, documentations et photocopies.
 

Source des données : INA, arrêté prévisionnel des comptes 2021.

 

 

Indicateur de suivi 3.1.1 : Nombre d’ETP permanents et non permanents

 

 

Unité

Réalisation 2016

Réalisation 2017

Réalisation 2018

Réalisation 2019

Réalisation 2020

Réalisation

2021

ETP permanents fin d’année

ETP

927

925

920

915

921

898

ETP non permanents fin d’année

ETP

71

70

74

68

75

61


 

 

INDICATEUR

3.2 – Ressources propres

     (du point de vue du contribuable)

 

 

Unité

2019
Réalisation

2020
Réalisation

2021
Prévision
PAP 2021

2021
Prévision
actualisée

2021
Réalisation

2023
Cible
PAP 2021

Ressources propres

M€

36,8

34,1

35

35,2

40,2

Non déterminé

 

Commentaires techniques

Précisions méthodologiques

Mode de calcul : Recettes commerciales totales de l’INA


Source des données : INA, rapports d’exécution du COM4,  rapports de gestion des exercices clôturés pour les réalisations 2015-2019, arrêté

prévisionnel des comptes 2021.


Unité

Réalisation 2016

Réalisation 2017

Réalisation 2018

Réalisation 2019

Réalisation 2020

Réalisation 2021

Chiffre d’affaires provenant des activités de formation

M €

7,6

7,81

8,12

6,51

5,05

6,68

Chiffre d’affaires provenant des cessions de droits

M €

22,5

23,52

24,79

23,51

22,21

25,21


Précisions méthodologiques

Sources des données : Chiffres d’affaires des activités de formation et de cessions des droits - Détail des chiffres d'affaires de l’INA par direction – Suivis du Contrôle de gestion DAF ; arrêté prévisionnel des comptes 2021.

 

Analyse des résultats

RESULTAT OBJECTIF 3

Assurer la maîtrise de la masse salariale et optimiser la gestion

Cet objectif est double : maîtriser l'évolution des charges et maintenir l'équilibre entre ressources propres et ressources publiques. Deux indicateurs de performance permettent de le mesurer :


- Maîtrise des charges et des effectifs : cet indicateur se compose de deux volets :

  • Montant des charges de personnel

L’Institut s’est engagé à poursuivre l’effort de maîtrise de sa masse salariale réalisé au cours de l’exécution des quatre premiers COM et à respecter l’objectif de masse salariale fixé dans son COM5 pour 2021 (66,3 M€). Ces charges constituent en effet le poste principal parmi les dépenses de l’INA. L’objectif est de limiter le poids des charges salariales dans la structure des dépenses, sans que cette évolution ne soit obtenue au détriment de la maîtrise des autres charges d’exploitation ou du développement des activités et ressources propres de l’Institut. Ce volet est complété par le suivi des effectifs permanents et non permanents exprimés en équivalents temps plein (ETP) (indicateur de suivi 3.1.1).


  • Frais généraux rapportés aux charges d’exploitation

L’objectif est de limiter le poids des frais généraux. L’effort de maîtrise affirmé dans les précédents COM a permis de les stabiliser à des niveaux acceptables par une identification plus précise au travers d’une comptabilité analytique refondue, des procédures revues et la mise en œuvre de nombreux marchés d’encadrement des coûts récurrents (contractualisation de marchés ayant entraîné une baisse des coûts dans les domaines de la téléphonie, de la reprographie ou encore des supports informatiques).



- Part des ressources propres rapportées aux ressources totales :


Cet indicateur doit permettre de vérifier que l’intensification et la diversification des activités de l’INA visent bien à accroître de manière maîtrisée ses ressources propres. Cet indicateur est complété par le suivi du chiffre d’affaires des activités de formation et de cession des droits, qui sont les deux activités les plus génératrices de ressources propres  pour l’Institut.

Analyse globale des résultats et de la performance de l’objectif n°3 :

Pour l’année 2021, la masse salariale (hors charges d’intermittence) s’établit à 66,3 M€ contre 66,2 M€ en 2020 ce qui est conforme aux prévisions du budget initial de décembre 2020. Cette stabilité confirme la bonne maîtrise de la masse salariale et les mesures prises en matière d’analyse des besoins opérationnels. En effet, la masse salariale des personnels permanents progressent de 0,3 M€ tandis que l’enveloppe consacrée au personnel non permanent, notamment les CDD de remplacement, est en recul de 0,2 M€.

Le montant des frais généraux de l’INA s’établit à 2,2 M€ en 2021 soit un niveau en deçà de l’objectif annuel fixé dans le projet annuel de performance pour 2021 (inférieur à 3 M€) et stable par rapport à l’exercice 2020. Rapportée aux dépenses totales, la part des frais généraux s’établit à 2%. Cet indicateur confirme l’efficacité de la démarche de maîtrise des charges engagée depuis 2015 et plus particulièrement sur celles relevant de la catégorie des frais généraux comme la téléphonie, mobile et fixe, les abonnements ou les fournitures administratives.

L’indicateur n° 3.2 relatif au chiffre d’affaires réalisé s’établit à 40,2 M€, un niveau jamais atteint depuis 2012, en hausse de 18% par rapport à 2020 et de 14% par rapport au budget initial 2021 :

  • s’agissant du chiffre d’affaires des activités de formation : en dépit des mesures sanitaires qui ont encore largement perturbé ces activités au cours de l’année, le chiffre d’affaires progresse de 34% (+1,7 M€) par rapport à l’exercice précédent et de 8% par rapport au budget initial (+300 k€) ;

  • s’agissant du chiffre d’affaires tiré des activités de cession de droits : il progresse également d’environ 14% par rapport à 2020 :

    • les recettes tirées des cessions de contenus atteignent 13,5 M€ (+29% par rapport à 2020), l'INA a notamment observé une forte reprise de ses ventes d'extraits en France et à l'international par rapport à 2020 ;

    • les recettes tirées des conventions encadrant notamment les cessions d’archives à France Télévisions, Radio France, FMM ou encore TF1 atteignent 11,7 M€ (stable par rapport à 2020).