$@FwLOVariable(annee,2022)

$@FwLOVariable(numProg,217)

$@FwLOVariable(libelleProg,Conduite et pilotage des politiques de l'écologie du développement et de la mobilité durables)

$@FwLOVariable(enteteSousTitre,Justification au premier euro)

$@FwLOStyle(styleB3Programme, non)

Justification au premier euro


Éléments transversaux au programme

 

Éléments de synthèse du programme



 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

Numéro et intitulé de l'action
ou de la sous-action

Titre 2
Dépenses
de personnel

Autres titres

Total

Titre 2
Dépenses
de personnel

Autres titres

Total

07 – Pilotage, support, audit et évaluations

605 059 228

181 615 252

786 674 480

605 059 228

221 641 103

826 700 331

08 – Personnels œuvrant pour les politiques de transport

572 602 476

0

572 602 476

572 602 476

0

572 602 476

09 – Personnels oeuvrant pour les politiques du programme "Sécurité et éducation routières"

0

0

0

0

0

0

11 – Personnels oeuvrant pour les politiques du programme "Affaires maritimes"

191 817 142

0

191 817 142

191 817 142

0

191 817 142

13 – Personnels œuvrant pour la politique de l'eau et de la biodiversité

266 892 032

0

266 892 032

266 892 032

0

266 892 032

15 – Personnels œuvrant pour les politiques du programme Urbanisme, territoires et aménagement de l'habitat

655 632 033

0

655 632 033

655 632 033

0

655 632 033

16 – Personnels œuvrant pour la politique de la prévention des risques

255 432 514

0

255 432 514

255 432 514

0

255 432 514

18 – Personnels relevant de programmes d'autres ministères

0

0

0

0

0

0

22 – Personnels transférés aux collectivités territoriales

12 880 532

0

12 880 532

12 880 532

0

12 880 532

23 – Personnels œuvrant pour les politiques de l'énergie et du climat

61 428 907

0

61 428 907

61 428 907

0

61 428 907

25 – Commission nationale du débat public

2 563 432

964 149

3 527 581

2 563 432

964 149

3 527 581

26 – Autorité de contrôle des nuisances aéroportuaires (ACNUSA)

1 455 251

509 158

1 964 409

1 455 251

509 158

1 964 409

27 – Commission de régulation de l'énergie (CRE)

14 609 197

4 168 545

18 777 742

14 609 197

6 729 215

21 338 412

28 – Personnels œuvrant dans le domaine de la stratégie et de la connaissance des politiques de transition écologique

50 360 879

0

50 360 879

50 360 879

0

50 360 879

Total

2 690 733 623

187 257 104

2 877 990 727

2 690 733 623

229 843 625

2 920 577 248




Évolution du périmètre du programme


   Transferts en crédits

Prog
Source
/ Cible

T2
Hors Cas
pensions

T2
CAS
pensions

Total T2

AE
Hors T2

CP
Hors T2

Total AE

Total CP

Transferts entrants

+3 871 874

+1 661 995

+5 533 869

+264 813

+264 813

+5 798 682

+5 798 682

Création du service public de la rue au logement (SRULO) - DIHAL

124 ►

+718 744

+357 369

+1 076 113

+37 500

+37 500

+1 113 613

+1 113 613

DGD des départements - ajustement non pérenne de la compensation financière

119 ►

+156 156

 

+156 156

 

 

+156 156

+156 156

Transferts des emplois DATE suite à la création de la Direction de la mer et du littoral Corse

354 ►

+179 832

+72 146

+251 978

 

 

+251 978

+251 978

Missions d'affectataires des fréquences des ports, de la navigation maritime et fluviale

159 ►

+68 558

+25 426

+93 984

 

 

+93 984

+93 984

Francisation des navires et du droit annuel de fancisation et de navigation

302 ►

+2 578 209

+1 130 656

+3 708 865

 

 

+3 708 865

+3 708 865

Suites de la Délégation intermnistérielle aux risques majeurs OM (DIRMOM)

218 ►

+110 114

+42 833

+152 947

 

 

+152 947

+152 947

contribution MSS Messagerie MEL

124 ►

 

 

 

+207 827

+207 827

+207 827

+207 827

contribution MSS Webconférence JITSI

124 ►

 

 

 

+8 372

+8 372

+8 372

+8 372

Francisation des navires et du droit annuel de francisation et de navigation (HT2)

218 ►

 

 

 

+11 114

+11 114

+11 114

+11 114

Enseignants 2nd degré (Mer/MENJS)

141 ►

+60 261

+33 565

+93 826

 

 

+93 826

+93 826

Transferts sortants

-1 910 126

-734 251

-2 644 377

-2 592 904

-2 592 904

-5 237 281

-5 237 281

Transfert des missions du haut conseil des biotechnologies

► 181

-249 522

-41 048

-290 570

 

 

-290 570

-290 570

Transfert de la liquidation des taxes d'urbanisme à la DGFiP

► 156

-232 011

-106 135

-338 146

 

 

-338 146

-338 146

Sac à dos action sociale P217 - Réforme OTE secrétariats généraux communs

► 216

 

 

 

-437 598

-437 598

-437 598

-437 598

Restauration collective des agents provenant du MTES au sein des DDI

► 216

 

 

 

-2 155 306

-2 155 306

-2 155 306

-2 155 306

Laboratoires d’hydrobiologie

► 113

-1 097 873

-458 281

-1 556 154

 

 

-1 556 154

-1 556 154

Transfert gestion des corps ATE/TE

► 113

-173 437

-76 249

-249 686

 

 

-249 686

-249 686

déploiement des Contrôles Sanctions Automatisés dans les zones à faible émissions

► 216

-157 283

-52 538

-209 821

 

 

-209 821

-209 821

 

   Transferts en ETPT

Prog
Source
/ Cible

ETPT
ministériels

ETPT
hors État

Transferts entrants

+74,00

 

Création du service public de la rue au logement (SRULO) - DIHAL

124 ►

+12,00

 

Transferts des emplois DATE suite à la création de la Direction de la mer et du littoral Corse

354 ►

+2,00

 

Missions d'affectataires des fréquences des ports, de la navigation maritime et fluviale

159 ►

+1,00

 

Francisation des navires et du droit annuel de fancisation et de navigation

302 ►

+54,00

 

Suites de la Délégation intermnistérielle aux risques majeurs OM (DIRMOM)

218 ►

+1,00

 

Enseignants 2nd degré (Mer/MENJS)

141 ►

+4,00

 

Transferts sortants

-18,00

 

Transfert de la liquidation des taxes d'urbanisme à la DGFiP

► 156

-6,00

 

Transfert gestion des corps ATE/TE

► 113

-5,00

 

déploiement des Contrôles Sanctions Automatisés dans les zones à faible émissions

► 216

-3,00

 

Transfert des missions du Haut Conseil des Biotechnologies (HCB)

► 206

-4,00

 

 

 

Emplois et dépenses de personnel


   Emplois rémunérés par le programme

(en ETPT)

Catégorie d'emplois

Plafond
autorisé
pour 2021

Effet des
mesures de
périmètre
pour 2022

Effet des
mesures de
transfert
pour 2022

Effet des
corrections
techniques
pour 2022

Impact des
schémas
d’emplois
pour 2022

dont extension
en année pleine des
schémas d'emplois
2021 sur 2022

dont impact
des schémas
d'emplois
2022 sur 2022

Plafond
demandé
pour 2022

(1)

(2)

(3)

(4)

(5) = 6-1-2-3-4

(6)

Catégorie A

11 886,00

0,00

+20,00

+76,57

+7,43

+76,00

-68,57

11 990,00

Catégorie B

13 732,00

0,00

+41,00

+107,20

-225,20

-121,00

-104,20

13 655,00

Catégorie C

10 150,00

0,00

-5,00

-78,73

-291,27

-161,00

-130,27

9 775,00

Total

35 768,00

0,00

+56,00

+105,04

-509,04

-206,00

-303,04

35 420,00

 

Les chiffres présentés ci-dessus sont au périmètre du programme 217 « Conduite et pilotage des politiques de l’écologie, du développement et de la mobilité durables ». Le programme 217 comprend les effectifs du ministère de la cohésion des territoires et du ministère de la mer.


Volume et structure des emplois


Le plafond d’autorisation des emplois du programme 217 voté en LFI 2021 s'élevait à 35 768 ETPT.

En 2022 le programme 217 connaîtra une évolution de son plafond d’emplois de - 348 ETPT, résultant des éléments suivants :

- l’effet en année pleine (ETPT) du schéma d'emplois mis en œuvre en 2021, soit 206 ETPT ;

- l'effet en année courante (ETPT) du schéma d'emplois pour 2022, soit 303  ETPT ;

- une correction technique de + 105 ETPT ;

- le solde des mesures de périmètre et de transferts d'emplois établi à + 56 ETPT.

L’effet des corrections techniques pour 2002 correspond à :

- l’ajustement de la structure du plafond d’emplois résultant des promotions internes au titre de 2021 ;

- aux sureffectifs temporairement portés par le pôle ministériel dans le cadre de la mise en œuvre de la réforme de l’organisation territoriale de l’État (OTE).

Dans le détail, le plafond d’emplois du programme 217 est construit comme suit :


 1- Effet année pleine (EAP) du schéma d'emplois 2021 :

Le schéma d'emplois arrêté en LFI 2021 à - 780 ETP produit un effet en 2022 estimé à206 ETPT après prise en compte des hypothèses de flux et des dates moyennes d'entrée et de sortie.


 2- Effet année courante (EAC) du schéma d'emplois 2022 :

Le schéma d'emplois 2022 est fixé à - 226 ETP. Après prise en compte des hypothèses de flux et des dates moyennes d'entrée et de sortie, « l'effet année courante » du schéma d'emplois 2022 est estimé à - 303 ETPT.


3- Transferts internes au budget de l'État (transferts entre missions et programmes


En 2022, les transferts entrants suivants ont été actés :

- le transfert de 1 ETPT au bénéfice de l’action 11 (personnels relevant du Ministère de la mer) en provenance du programme 159 « Expertise, information géographique et météorologique »,correspondant au transfer depuis le CEREMA des missions d’affectataire des fréquences des ports, de la navigation maritime et fluviale (PNM) ;

- le transfert de 54 ETPT au bénéfice de l’action 11 (personnels relevant du Ministère de la mer) et de l'action 7 (crédits d'action sociale) en provenance du programme 302 « facilitation et sécurisation des échanges » de la direction générale des douanes et droits indirects (DGDDI) du Ministère de l’économie, des finances et de la relance, correspondant au transfert lié à la francisation des navires et du droit annuel de francisation et de navigation ;

- le transfert de 1 ETPT au bénéfice de l’action 16 (personnels œuvrant pour les politiques du programme « politiques de la prévention des risques ») en provenance du programme 218 « conduite et pilotage des politiques économiques et financières » du Ministère de l’économie, des finances et de la relance, correspondant au transfert lié aux suites de la délégation interministérielle aux risques majeurs outre-mer (DIRMOM) ;

- le transfert de 2 ETPT au bénéfice de l’action 11 (personnels relevant du Ministère de la mer) en provenance du programme 354 « administration générale et territoriale de l’Etat » du Ministère de l’intérieur, correspondant au transfert des emplois fonctionnels à la Direction de la mer et du littoral de Corse (DML) ;

- le transfert de 12 ETPT et de crédits informatiques au bénéfice de l’action 7 (pilotage, support, audit et évaluations) en provenance du programme 124 « conduite et soutien des politiques sanitaires et sociales » du Ministère des solidarités et de la santé, correspondant au transfert lié à la création du service public de la rue au logement (SPRULO).

- le transfert de 4 ETPT au bénéfice de l’action 11 (personnels relevant du Ministère de la mer) en provenance du programme 141 « enseignement scolaire public du second degré » du Ministère Éducation nationale, jeunesse et sports, correspondant au transfert d'emplois au bénéfice des lycées professionnels maritimes.

- le transfert au bénéfice de l'action 7 de crédits informatiques en provenance du programme 124 "Conduite et soutien des politiques sanitaires, sociales, du sport, de la jeunesse et de la vie associative".

En 2022, les transferts sortants suivants ont été actés :

- le transfert de 6 ETPT depuis l’action 15 (personnels œuvrant pour les politiques du programme urbanisme, territoires et aménagement de l’habitat) vers le programme 156 « gestion fiscale et financière de l’Etat et du secteur public local » du Ministère de l’économie, des finances et de la relance, correspondant au transfert de la liquidation des taxes d’urbanisme à la Direction générale des finances publiques (DGFIP) ;

- le transfert de 4 ETPT depuis l’action 28 (personnels œuvrant pour les politiques du programme "stratégie et de la connaissance des politiques de transition écologique") vers le programme 206 « Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation » du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation (MAA) correspondant au transfert des missions du Haut Conseil des Biotechnologies (HCB) ;

- le transfert de 5 ETPT depuis l’action 7 (pilotage, support, audit et évaluations) vers le programme 113 "Paysages, eau et biodiversité" du Ministère de la transition écologique (MTE) correspondant au transfert de la gestion des corps des agents techniques et techniciens de l’environnement (ATE/TE) ;

- le transfert de 3 ETPT depuis l’action 8 (personnels œuvrant pour les politiques de transport) vers le programme 216 (conduite et pilotage des politiques de l’intérieur) du Ministère de l’intérieur (MI) correspondant au déploiement des contrôles de sanctions automatisées dans les zones à faibles émissions.

- le transfert de crédits d'action sociale depuis l'action 7 à destination du programme 354 "Administration générale et territoriale de l'Etat" correspond à la restauration collective des agents du pôle ministériel en poste dans les directions départementales interministérielles et à l'action sociale des agents transférés dans le cadre de la mise en place des secrétariats généraux communs.


4- Effet des mesures antérieures de décentralisation sur le PAE ministériel :

 

Le suivi des transferts liés aux différentes vagues de décentralisation sur le volet des emplois (nouveaux transferts, droit d'option, départs définitifs, etc.) est réalisé via des bases nominatives, permettant lors de chaque loi de finances d'ajuster le plafond d'emplois de l'action 22 (Personnels transférés aux collectivités territoriales) aux effectifs réellement mis à disposition des collectivités territoriales (dès transfert de service, l'ensemble des emplois mis à disposition des collectivités territoriales est basculé sur l'action 22 et rémunéré sur un article d'exécution budgétaire spécifique).

Le présent projet de loi de finances ne prend pas en compte « l'effet décentralisation » au titre de l’année 2022. Il sera ajusté par voie d’amendement gouvernemental lors des débats parlementaires afin de tenir compte de la réalité des droits d'option exercés jusqu’au 31 août 2021 et des départs dans les services transférés.

 

   Évolution des emplois

(en ETP)

Catégorie d'emplois

Sorties
prévues

dont départs
en retraite

Mois moyen
des sorties

Entrées
prévues

dont primo
recrutements

Mois moyen
des entrées

Schéma
d'emplois
 

Catégorie A

955,00

267,00

6,50

930,00

706,00

7,21

-25,00

Catégorie B

1 014,00

475,00

6,60

944,00

561,00

7,45

-70,00

Catégorie C

1 068,00

557,00

6,36

937,00

419,00

7,10

-131,00

Total

3 037,00

1 299,00

2 811,00

1 686,00

-226,00

 

Les sorties et entrées sont exprimées en ETP (hors action 22 « Personnels transférés aux collectivités territoriales »).

Les flux figurant dans la colonne « primo recrutements» correspondent aux recrutements externes et aux mobilités interministérielles.


Les hypothèses de flux sont données au périmètre du programme 217 « Conduite et pilotage des politiques de l'écologie, du développement et de la mobilité durables » et ne tiennent pas compte des changements de catégorie d’emplois (concours interne, liste d’aptitude, examen professionnel, etc.), ni des mesures de transfert et de périmètre.

 Ainsi, le solde entrées/sorties par catégorie d'emplois correspond strictement au schéma d'emplois arrêté par catégorie d'emplois.


Hypothèses de sorties

En 2022, il est prévu 3037 départs dont 1 299 départs à la retraite.

955 sorties sont prévues pour la catégorie A à la date moyenne du 16/06/2022 ;

1014 sorties sont prévues pour la catégorie B à la date moyenne du 19/06/2022 ;

1068 sorties sont prévues pour la catégorie C à la date moyenne du 13/06/2022.


Hypothèses d’entrées

En 2022, il est prévu 2 811 entrées dont 1 686 recrutements externes ou « primo-recrutements ».

930 entrées sont prévues pour la catégorie A à la date moyenne du 07/07/2022 ;

944 entrées sont prévues pour la catégorie B à la date moyenne du 13/07/2022 ;

937 entrées sont prévues pour la catégorie C à la date moyenne du 07/07/2022,



 

   Effectifs et activités des services

Répartition du plafond d'emplois par service

(en ETPT)

Service
 

LFI 2021

PLF 2022

dont mesures
de transfert

dont mesures
de périmètre

dont corrections
techniques

Impact des schémas
d'emplois
pour 2022

Dont extension en année pleine
du schéma d'emplois
2021 sur 2022

Dont impact du schéma d'emplois
2022 sur 2022

Administration centrale

3 708,00

3 584,00

+1,00

0,00

0,00

-108,04

+19,00

-127,04

Services régionaux

17 508,00

17 309,00

+51,00

0,00

0,00

-249,00

-101,00

-148,00

Opérateurs

19,00

19,00

0,00

0,00

0,00

0,00

0,00

0,00

Services départementaux

11 220,00

11 220,00

0,00

0,00

105,04

-105,00

-105,00

0,00

Autres

3 313,00

3 288,00

+4,00

0,00

0,00

-47,00

-19,00

-28,00

Total

35 768,00

35 420,00

+56,00

0,00

105,04

-509,04

-206,00

-303,04


(en ETP)

Service
 

Schéma d’emplois
(Prévision PAP)

ETP
au 31/12/2022
(Prévision PAP)

Administration centrale

-51,00

3 570,00

Services régionaux

-163,00

17 242,00

Opérateurs

0,00

0,00

Services départementaux

0,00

11 177,00

Autres

-12,00

3 296,00

Total

-226,00

35 285,00


L’administration centrale comprend : les effectifs de l’action 07 (secrétariat général, conseil général de l’environnement et du développement durable hors inspecteurs des missions d’inspection générale territoriales) ; de l’action 08 (Direction générale des infrastructures, des transports et de la mer (DGITM) hors Direction des affaires maritimes (DAM); de l’action 11 (DGITM / DAM) ; de l’action 13 (Direction générale de l’aménagement, du logement et de la nature (DGALN) ; de l’action 15 (DGALN) ; de l’action 16 (Direction générale de la prévention des risques (DGPR) ; de l’action 23 (Direction générale de l’énergie et du climat (DGEC) ; de l’action 28 (commissariat général au développement durable).

 Les services régionaux comprennent : les effectifs des services régionaux et interrégionaux ou inter-départementaux, soit ceux des directions régionales de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL), de la Direction régionale et interdépartementale de l’environnement, de l’aménagement et transports d’Île-de-France (DRIEAT ), de la Direction régionale et interdépartementale de l’hébergement et du logement d’Île-de-France (DRIHL), des directions interrégionales de la mer (DIRM), des directions interdépartementales des routes (DIR) et des directions de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DEAL).

 Les services départementaux comprennent : les effectifs des directions départementales interministérielles (DDI) et préfectures, hors emplois des services mis à disposition des collectivités territoriales.

 Les opérateurs comprennent : les doctorants de l’École nationale des travaux publics de l’État (ENTPE) et de l’École nationale des ponts et chaussées (ENPC).

 Les autres services ou entités comprennent : les effectifs des cabinets ministériels ;les effectifs de certaines écoles, soit les élèves et personnels supportés par le budget général pour l’École nationale des techniciens de l’équipement (ENTE) et uniquement les élèves pour l'ENPC et l'ENTPE ; la Commission nationale de débat public (CNDP) ; l'Autorité de contrôle des nuisances sonores aéroportuaires (ACNUSA) ; la Commission de régulation de l’énergie (CRE) ; les effectifs ministériels des services de l’Etat en collectivités d'outre-mer, les services techniques centraux et services particuliers (Armement phares et balises, École nationale de sécurité et d’administration de la mer (ENSAM), etc.) ainsi que des services à compétence nationale (Centre ministériel de valorisation des ressources humaines (CMVRH), etc.) ; inspecteurs des missions d’inspection générale territoriales ; les effectifs mis à disposition des collectivités territoriales (action 22).


Répartition du plafond d'emplois par action

Numéro et intitulé de l'action ou de la sous-action
 

ETPT

07 Pilotage, support, audit et évaluations

5 718,11

08 Personnels œuvrant pour les politiques de transport

9 165,08

09 Personnels oeuvrant pour les politiques du programme "Sécurité et éducation routières"

0,00

11 Personnels oeuvrant pour les politiques du programme "Affaires maritimes"

2 667,68

13 Personnels œuvrant pour la politique de l'eau et de la biodiversité

3 427,90

15 Personnels œuvrant pour les politiques du programme Urbanisme, territoires et aménagement de l'habitat

9 205,07

16 Personnels œuvrant pour la politique de la prévention des risques

3 217,60

18 Personnels relevant de programmes d'autres ministères

0,00

22 Personnels transférés aux collectivités territoriales

465,00

23 Personnels œuvrant pour les politiques de l'énergie et du climat

775,00

25 Commission nationale du débat public

9,00

26 Autorité de contrôle des nuisances aéroportuaires (ACNUSA)

11,00

27 Commission de régulation de l'énergie (CRE)

155,00

28 Personnels œuvrant dans le domaine de la stratégie et de la connaissance des politiques de transition écologique

603,56

Total

35 420,00

 

Recensement du nombre d'apprentis

Nombre d'apprentis pour l'année scolaire 2021-2022 :  470,00

Le ministère a prévu de recruter 470 apprentis pour l’année scolaire 2021-2022 (chiffre provisoire).

 

   Indicateurs de gestion des ressources humaines

Les indicateurs de gestion des ressources humaines sont présentés dans le volet « Performance » .

 

   Présentation des crédits par catégorie et contributions employeurs

Catégorie
 

LFI 2021

PLF 2022

Rémunération d'activité

1 544 249 715

1 572 273 741

Cotisations et contributions sociales

1 081 154 841

1 090 559 882

Contributions d'équilibre au CAS Pensions :

853 713 528

863 010 308

    – Civils (y.c. ATI)

684 234 908

690 147 291

    – Militaires

21 466 866

21 845 211

    – Ouvriers de l'État (subvention d'équilibre au FSPOEIE)

148 011 754

151 017 806

    – Autres (Cultes et subvention exceptionnelle au CAS Pensions)

 

 

Cotisation employeur au FSPOEIE

13 888 373

13 736 459

Autres cotisations

213 552 940

213 813 115

Prestations sociales et allocations diverses

20 598 471

27 900 000

Total en titre 2

2 646 003 027

2 690 733 623

Total en titre 2 hors CAS Pensions

1 792 289 499

1 827 723 315

FDC et ADP prévus en titre 2

10 050 000

9 350 000

 

Le montant de la contribution employeur au compte d'affectation spéciale « Pensions » inscrit au programme est de 863,01 M€ dont 687,19 M€ au titre des personnels civils (taux de 74,28%), 151,02 M€ au titre de la subvention d’équilibre au Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l'Etat, 21,84 M€ au titre des personnels militaires (taux de 126,07%) et 2,96 M€ au titre des allocations temporaires d'invalidité (taux de 0,32%).

 

Une enveloppe de 0,05 M€ de CAS Pensions est prévue afin de permettre le remboursement, par les ministères de la transition écologique (MTE), le ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (MCTRCT) et le ministère de la Mer (MMer) au bénéfice des collectivités locales, de l’écart de cotisations entre CAS Pensions et Caisse nationale de retraites des agents des collectivités locales (CNRACL), pour les personnels issus des MTE/MCTRCT/MMer affectés en position de détachement dans ces collectivités, dans le cadre de la réforme de la gestion de l’application du droit des sols (ADS) et de l’assistance technique fournie par l'État pour des raisons de solidarité et d'aménagement du territoire (ATESAT).

 

Les allocations d’aide au retour à l’emploi pour les personnels représenteront 4,3 M€ en 2022, pour environ 890 agents.

 

Les prestations sociales et allocations diverses comprennent un montant de 7,2 M € au titre du versement au bénéfice des agents du MTE/MCTRCT/MM du remboursement d’une partie des cotisations de protection sociale complémentaire (PSC) destinées à couvrir les frais de santé.

   Éléments salariaux

(en millions d'euros)

Principaux facteurs d'évolution de la masse salariale hors CAS Pensions
 

Socle Exécution 2021 retraitée

1 784,68

Prévision Exécution 2021 hors CAS Pensions

1 794,28

Impact des mesures de transfert et de périmètre 2021–2022

1,96

Débasage de dépenses au profil atypique :

-11,57

    – GIPA

-0,08

    – Indemnisation des jours de CET

-7,10

    – Mesures de restructurations

-5,30

    – Autres

0,91

Impact du schéma d'emplois

-16,52

EAP schéma d'emplois 2021

-3,98

Schéma d'emplois 2022

-12,54

Mesures catégorielles

14,67

Mesures générales

0,06

Rebasage de la GIPA

0,00

Variation du point de la fonction publique

0,00

Mesures bas salaires

0,06

GVT solde

9,78

GVT positif

24,64

GVT négatif

-14,85

Rebasage de dépenses au profil atypique – hors GIPA

12,45

Indemnisation des jours de CET

7,70

Mesures de restructurations

5,50

Autres

-0,75

Autres variations des dépenses de personnel

22,60

Prestations sociales et allocations diverses - catégorie 23

7,20

Autres

15,40

Total

1 827,72

 

Les mesures du rendez-vous salarial 2020 impactent le socle d’exécution 2021 retraité. Ces mesures concernent la mise en place d'un référentiel de rémunération des médecins du travail, la convergence indemnitaire au sein de la filière sociale et la convergence indemnitaire entre les services déconcentrés en Ile-de-France et l'administration centrale.


Le glissement vieillesse technicité (GVT) positif indiciaire est évalué à 1,92 % des rémunérations principales de l'ensemble des agents du programme, y compris ceux mis à disposition des collectivités locales dans le cadre de la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales, représentant une progression de la masse salariale de 24,6 M€ hors CAS.


Le GVT négatif pour les agents du périmètre non transféré aux collectivités locales représente une réduction de la masse salariale du programme évaluée à 14,9 M€ hors CAS, soit -0,8 % de la masse salariale HCAS totale. Au total, le GVT présente un solde de 9,8 M€, soit 0,5 % de la masse salariale HCAS totale inscrite au PLF.


La rubrique « rebasage de dépenses au profil atypique – hors GIPA » comprend notamment les rachats des jours des comptes-épargne-temps (CET) (7,7 M€) et les mesures d’accompagnement des réformes (5,5 M€). L’enveloppe de crédits relative à l’accompagnement de la mise en œuvre des réformes vise à permettre notamment le versement de primes de restructuration de services, d'indemnités temporaires de mobilité, d'indemnités de départ volontaire et d’indemnités de rupture conventionnelle.


La rubrique « autres – autres variations des dépenses de personnel » comprend notamment une enveloppe de 14,3 M€ afin de permettre de solder les indemnités de sujétions spéciales (ISS) dans le cadre de la bascule au RIFSEEP des corps techniques, sur une durée de 6 ans entre 2022 et 2027.


La rubrique « prestations sociales » comprend un montant de 7,2 M€ du remboursement d’une partie des cotisations de protection sociale complémentaire destinées à couvrir les frais de santé.


 FONDS DE CONCOURS : En application de l'article 10-III de la loi n° 2009-1291 du 26 octobre 2009 relative au transfert aux départements des parcs de l'équipement et à l'évolution de la situation des ouvriers des parcs et ateliers, les collectivités territoriales remboursent à l'État les charges de personnel des ouvriers des parcs et ateliers (OPA) mis à leur disposition dans le cadre de ce transfert. Ces sommes sont remboursées sous forme de fonds de concours et rattachées aux crédits de personnel du programme 217. Pour 2022, le montant de ces fonds de concours a vocation à diminuer en raison du dispositif permettant aux OPA d’intégrer la fonction publique territoriale dont les effets sont intervenus depuis le 1er janvier 2015. A compter du1er janvier 2022, moins de 230 OPA resteront mis à disposition des collectivités territoriales. Ils feront l’objet d’un remboursement de leur masse salariale à hauteur de 9,35 M€.

Coûts entrée-sortie

Catégorie d'emplois

Coût moyen chargé HCAS

dont rémunérations d’activité

Coût d'entrée

Coût global

Coût de sortie

Coût d'entrée

Coût global

Coût de sortie

Catégorie A

61 263

66 894

68 452

53 611

59 045

60 471

Catégorie B

38 583

42 530

42 911

33 162

37 567

37 917

Catégorie C

33 672

35 827

34 619

29 036

31 724

30 484

 

 

Mesures catégorielles

Catégorie ou intitulé de la mesure

ETP
concernés

Catégories

Corps

Date d’entrée
en vigueur
de la mesure

Nombre
de mois
d’incidence
sur 2022

Coût

Coût
en
année pleine

Mesures statutaires

1 465 880

1 465 880

Marins - négociation collective annuelle obligatoire

160

C

Marins du commerce

01-2022

12

130 000

130 000

Mersures en faveur des petits corps

403

A/B/C

Dessinateurs et PTEM

01-2022

12

512 903

512 903

Mise en œuvre du protocole PPCR

21 300

A/C

Divers corps

01-2022

12

822 977

822 977

Mesures indemnitaires

13 205 000

13 205 000

Bascule au RIFSEEP des corps techniques (fonctionnarisation)

11 700

A/B/C

Divers corps

01-2022

12

5 220 000

5 220 000

Revalorisation des régimes indemnitaires des personnels ministériels

25 000

A/B/C

Divers corps

01-2022

12

7 985 000

7 985 000

Total

14 670 880

14 670 880

 

L'enveloppe catégorielle prise en compte dans le plafond de crédits du ministère s’établit à 14,67 M€ en 2022 (hors contribution au CAS pensions). La programmation prévisionnelle indicative est la suivante :


  • La revalorisation des régimes indemnitaires des personnels ministériels (7,99 M€) ;
  • La bascule au RIFSEEP des corps techniques et la fonctionnarisation des postes et l’application de cotations différenciées au regard des fonctions exercées (5,22 M€) ;
  • La poursuite de la mise en œuvre du protocole « Parcours professionnels, carrières et rémunérations » (PPCR) qui se traduit par une revalorisation des grilles indiciaires pour les agents de catégories A et C (0,82 M€) ;
  • Les mesures en faveurs des petits corps, Dessinateurs et Professeurs Techniques de l'enseignement maritime (0,51 M€) ;
  • La négociation collective annuelle obligatoire des marins du commerce (0,13 M€).

 

   Action sociale - Hors titre 2

Type de dépenses

Effectif concerné
(ETP)

Prévision
Titre 3

Prévision
Titre 5

Total

Restauration

25 004

6 100 000

 

6 100 000

Logement

36 181

100 000

 

100 000

Famille, vacances

36 181

3 000 000

 

3 000 000

Mutuelles, associations

36 181

4 900 000

 

4 900 000

Prévention / secours

36 181

2 300 000

 

2 300 000

Autres

 

 

 

 

Total

16 400 000

 

16 400 000

 

Les dépenses d’action sociale sont détaillées au sein de l’action 7 « Pilotage, support, audit et évaluations » du programme. 

 

Coûts synthétiques


   Indicateurs immobiliers

L'indicateur relatif au ratio d'efficience de la fonction immobilière est présenté dans la partie objectifs et indicateurs de performance.

 

   Ratio d'efficience bureautique

L'indicateur relatif au ratio d'efficience de la fonction bureautique est présenté dans la partie objectifs et indicateurs de performance.

 

 

Dépenses pluriannuelles

 

 

Marchés de partenariat


   Marché de partenariat / CBI pour l'achat de la Tour Séquoia

La Tour Séquoia (auparavant appelée tour Esplanade) est située à proximité immédiate de l’Arche, et a été libérée par son occupant précédent fin 2013. Elle a d’abord été louée par l’État et rénovée par le propriétaire en 2014, pour permettre l’installation de 2 500 agents d’administration centrale en mars 2015.

L’option d’achat prévue dans le bail civil a été levée le 30 juin 2015, et le crédit-bail pour l’acquisition de cette tour a été signé pour un montant de 541,08 M€. Le partenaire retenu au terme de la procédure est composé de l’alliance de deux sociétés : la Banque Postale Crédit Entreprise (LBPCE) et la Deutsche Pfandbriefbank AG (DP AG).

Le crédit-bail doit se terminer le 31 janvier 2033 et le coût global du contrat sur l’ensemble de la période est de

622,24 M€.

 

(en millions d'euros)

 

AE  
CP  

2019
et années
précédentes

2020

2021

2022

2023

2024
et années
suivantes

Total


Investissement

479,78

92,54

0,00

23,48

0,00

24,41

0,00

25,35

0,00

26,31

0,00

287,69

479,78

479,78


Fonctionnement

13,40

13,39

2,68

2,69

2,72

2,72

2,75

2,75

2,78

2,78

29,30

29,30

53,62

53,62


Financement

40,68

35,83

2,38

7,23

6,76

6,76

6,29

6,29

5,80

5,80

26,94

26,94

88,84

88,84

 

 

   Marché de partenariat / BEA de rénovation de la Grande Arche de la Défense

Ce bail a pour objet la rénovation de la paroi sud de la Grande Arche, propriété de l’État.

Les travaux de régénération de cet immeuble, indispensables compte tenu de l’obsolescence des équipements et nécessaires pour densifier l’occupation, font l’objet d’un bail emphytéotique administratif (BEA) et d’un contrat de location en retour, sur une durée de 20 ans, soit jusqu’en 2034.

La procédure de dialogue compétitif a été lancée en mars 2013. Ce dialogue s’est clôturé en juin 2014.

La signature des contrats a été réalisée le 30 septembre 2014, avec la société Eiffage/Armanéo, pour 292,72 M€.

Le coût global du contrat sur l’ensemble de la période est de 352,42 M€.

 

(en millions d'euros)

 

AE  
CP  

2019
et années
précédentes

2020

2021

2022

2023

2024
et années
suivantes

Total


Investissement

251,95

31,63

-3,91

9,50

-3,34

10,05

-2,77

10,64

-2,20

11,23

-8,80

157,88

230,93

230,93


Fonctionnement

8,33

8,33

3,13

3,13

3,13

3,13

3,11

3,11

3,11

3,11

32,88

32,88

53,68

53,68


Financement

14,64

14,64

5,92

5,92

5,56

5,56

5,18

5,18

4,80

4,80

31,71

31,71

67,81

67,81

 

 

Échéancier des crédits de paiement (hors titre 2)


Estimation des restes à payer au 31/12/2021

Engagements sur années
antérieures non couverts
par des paiements
au 31/12/2020
(RAP 2020)

 

Engagements sur années
antérieures non couverts
par des paiements au
31/12/2020 y.c. travaux
de fin de gestion
postérieurs au RAP 2020
 

 

AE (LFI + LFRs) 2021
+ reports 2020 vers 2021
+ prévision de FdC et AdP

 

CP (LFI + LFRs) 2021
+ reports 2020 vers 2021
+ prévision de FdC et AdP

 

Évaluation des
engagements non couverts
par des paiements
au 31/12/2021

659 268 935

 

0

 

203 701 898

 

228 531 252

 

600 357 619

Échéancier des CP à ouvrir

AE

 

CP 2022

 

CP 2023

 

CP 2024

 

CP au-delà de 2024

 

Évaluation des
engagements
non couverts par
des paiements au 31/12/2021

 

CP demandés
sur AE antérieures à 2022
CP PLF
CP FdC et AdP

 

Estimation des CP 2023
sur AE antérieures à 2022

 

Estimation des CP 2024
sur AE antérieures à 2022

 

Estimation des CP
au-delà de 2024
sur AE antérieures à 2022

600 357 619

 

70 104 744
0

 

71 144 749

 

52 620 581

 

406 487 545

 

AE nouvelles pour 2022
AE PLF
AE FdC et AdP

 

CP demandés
sur AE nouvelles en 2022
CP PLF
CP FdC et AdP
 

 

Estimation des CP 2023
sur AE nouvelles en 2022

 

Estimation des CP 2024
sur AE nouvelles en 2022

 

Estimation des CP
au-delà de 2024
sur AE nouvelles en 2022

187 257 104
3 395 500

 

159 738 881
3 395 500

 

13 759 112

 

9 172 741

 

4 586 370

 

Totaux

 

233 239 125

 

84 903 861

 

61 793 322

 

411 073 915

 

 

Clés d'ouverture des crédits de paiement sur AE 2022

 

 

CP 2022 demandés
sur AE nouvelles
en 2022 / AE 2022
 

 

CP 2023
sur AE nouvelles
en 2022 / AE 2022

 

CP 2024
sur AE nouvelles
en 2022 / AE 2022

 

CP au-delà de 2024
sur AE nouvelles
en 2022 / AE 2022

 

 

85,57 %

 

7,22 %

 

4,81 %

 

2,41 %

 

La majeure partie des restes à payer relève des engagements établis sur près de vingt ans au titre du bail emphytéotique pour la rénovation de l’Arche, signé en septembre 2014, et de la conclusion d’un crédit-bail pour l’achat de la Tour Séquoia, en juin 2015. Le montant des engagements non couverts diminue donc chaque année. Cette diminution est accentuée en 2021 par la déduction des montants prévus dans le cadre du "débouclage" du crédit-bail pour l’achat de la Tour Séquoia (16,9 M€) et par le dédit actualisé du bail emphytéotique administratif de la Grande Arche (13, 7M€)

L'évaluation des restes à payer à couvrir au 31/12/2021 s'élève à 634,4 M€.

 

L’échéancier ci-dessus précise le rythme de mobilisation des CP nécessaires à la couverture de ces engagements.

 

Justification par action

 

ACTION    27,3 %

07 – Pilotage, support, audit et évaluations


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

605 059 228

181 615 252

786 674 480

1 395 500

Crédits de paiement

605 059 228

221 641 103

826 700 331

1 395 500


L’action 7 « Pilotage, support et audit des ministères » regroupe désormais en son sein le titre 2 des personnels transverses et, depuis le projet annuel de performance (PAP) 2021, l’intégralité des crédits hors titre 2 (HT2) du programme à l’exception des crédits destinés aux autorités administratives indépendantes (AAI), qui conservent des actions dédiées. Cette nouvelle action a été constituée hors-titre 2 par fusion des anciennes actions HT2.


Elle est divisée en huit sous-actions, permettant de conserver une nomenclature détaillée en budgétisation et en exécution et un niveau d’information équivalent à celui qui était présenté jusqu’à présent dans les projets et rapports annuels de performance :

- fonction juridique ;

- fonctionnement de l’administration centrale et des services rattachés ;

- immobilier de l’administration centrale et des services rattachés ;

- services numériques-fonctionnement des infrastructures et évolution des systèmes d’information ;

- moyens hors-titre 2 consacrés aux ressources humaines ;

- actions nationales et internationales en faveur du développement durable ;

- fonctionnement courant du CGEDD ;

- moyens consacrés à l’ENTPE et à l’ENPC.



TITRE 2

Cette action regroupe les 5 718 ETPT (2 772 A, 1 752 B et 1 194 C) exerçant des activités de nature transversale, non rattachables directement à un programme de politique publique.

Ces effectifs se répartissent à hauteur de 43 % en administration centrale, 37 % en services déconcentrés et 20 % dans les autres services (écoles, services techniques centraux, CMVRH, etc.).

Les effectifs de l’administration centrale regroupent principalement les personnels suivants :

- les effectifs des cabinets ministériels ;

- les effectifs du secrétariat général du ministère ;

- les effectifs du conseil général de l’environnement et du développement durable (CGEDD).

Les effectifs des services déconcentrés regroupent principalement les agents en poste dans les secrétariats généraux des directions régionales de l'environnement, de l'aménagement et du logement (DREAL), les effectifs présents dans les secrétariats généraux des directions départementales interministérielles étant transférés au ministère de l'intérieur.


 

Éléments de la dépense par nature


Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

605 059 228

605 059 228

Rémunérations d’activité

276 708 018

276 708 018

Cotisations et contributions sociales

315 077 280

315 077 280

Prestations sociales et allocations diverses

13 273 930

13 273 930

Dépenses de fonctionnement

167 253 287

171 307 073

Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

120 502 214

124 556 000

Subventions pour charges de service public

46 751 073

46 751 073

Dépenses d’investissement

3 382 000

39 354 065

Dépenses pour immobilisations corporelles de l’État

3 382 000

39 354 065

Dépenses d’intervention

10 979 965

10 979 965

Transferts aux autres collectivités

10 979 965

10 979 965

Total

786 674 480

826 700 331

 

SOUS-ACTION 1 « FONCTION JURIDIQUE » (995 000 € en AE et en CP)


Les modes d’actions de la fonction juridique sont notamment :

• le conseil, l’expertise et l’assistance auprès des services et des établissements publics sous tutelle des ministères ;

• la défense des intérêts de l’État et l’instruction des litiges ou le règlement amiable des différends ;

• la protection des agents dans le cadre de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires ;

• le règlement des conséquences indemnitaires des accidents de la circulation impliquant un véhicule de l’administration.

Le tableau suivant présente le détail prévisionnel des dépenses à la maille fine de l’activité :



ÉLÉMENTS DE LA DÉPENSE PAR ACTIVITÉS

 


Autorisations d’engagement

Crédits de paiement

Conseil et assistance aux directions d’administration centrale et aux services déconcentrés

200 000200 000

Protection statutaire des fonctionnaires

70 00070 000

Indemnisations liées aux accidents de la circulation impliquant un véhicule de service

60 00060 000

Autres contentieux

665 000665 000

Total

995 000995 000


Cette sous-action est pilotée par la DAJ des ministères qui peut s’adjoindre le concours d’avocats dans des dossiers nécessitant une présence à l'audience, un conseil sur des technicités spécifiques ou pour la réalisation d’expertises.

Cette sous-action permet également d’assurer les frais liés la défense des agents du ministère poursuivis en recherche de responsabilité dans le cadre d’une procédure pénale, ainsi que l’indemnisation des accidents de la circulation impliquant un véhicule de service.

Enfin, le poste « Autres contentieux » couvre quatre domaines : le remboursement au Fonds d'indemnisation des victimes de l'amiante des indemnisations versées aux agents des ministères ou à leurs ayant-droits; le contentieux de la fonction publique ; certains contentieux de l'ingénierie publique et les frais de justice mis à la charge de l’État par les juridictions administratives (article L. 761-1 du code de justice administrative) et les intérêts assortissant les condamnations (articles 1153 et 1154 du code civil).



SOUS-ACTION 2 « FONCTIONNEMENT DE L'ADMINISTRATION CENTRALE ET DES SERVICES RATTACHÉS » (18 239 735 € en AE et 18 070 341 € en CP)


La finalité de cette sous-action est la mise en œuvre, en administration centrale, de prestations logistiques de qualité pour les directions générales et les cabinets ministériels du MTE du MCTRCT et du MMer. Cette dotation ne couvre pas les services déconcentrés du ministère, dont les crédits de fonctionnement courant ont été transférés progressivement ces dernières années au programme 354 « Administration territoriale de l’État », géré par le ministère de l’Intérieur.



Cette sous-action s’inscrit dans l’objectif d’exemplarité et de fonctionnement durable des services de l’État en recherchant un moindre impact des activités sur l’environnement, une efficience accrue de la dépense et une efficacité sociale renforcée de la commande publique.



Le tableau suivant présente le détail des dépenses à la maille fine de l’activité :



ÉLÉMENTS DE LA DÉPENSE PAR ACTIVITÉS




Autorisations d’engagement

Crédits de paiement

Aménagements et déménagements

385 000267 000

Frais de déplacement, de mission et de représentation

4 375 0004 375 000

Congés bonifiés, frais de changement de résidence, indemnisation des stagiaires

851 970851 970

Parc automobile et taxis

1 168 266926 519

Fournitures de bureau, papier, reprographie, affranchissement

1 117 8781 488 231

Documentation et presse

525 000525 000

Information et communication

1 994 4501 994 450

Études

1 855 9991 855 999
Fonctionnement de la direction des territoires, de l'alimentation et de la mer (DTAM) de Saint-Pierre et Miquelon529 008529 008

Fonctionnement du Haut fonctionnaire de défense et de sécurité

492 000492 000

Fonctionnement du service du numérique (sites hors Ile-de-France)

1 100 0001 100 000

Ecole nationale des techniciens de l’équipement (ENTE)

2 280 0002 230 000

Autres dépenses de fonctionnement courant

1 565 1641 435 164

Total

18 239 73518 070 341



SOUS-ACTION 3 « IMMOBILIER DE L'ADMINISTRATION CENTRALE ET DES SERVICES RATTACHÉS » ( 34 516 196 € en AE et  77 011 849 € en CP)


Cette sous-action revêt une double finalité :


1. Élaborer et piloter la politique foncière et immobilière des ministères :

– piloter et coordonner les actions foncières mises en œuvre par le MTE, le MCTRCT et le MMer ou par les établissements publics qui leur sont rattachés afin d’accroître l’offre foncière d'origine publique destinée à des projets d’aménagement en vue principalement de la production de logements, notamment sociaux ;

– assurer la maîtrise d’ouvrage et la conduite d’opérations pour des projets immobiliers de l'administration centrale des ministères ;

– piloter la politique patrimoniale et immobilière des ministères, en partenariat avec la direction de l’immobilier de l’État (DIE).



2. Fournir aux services des conditions de travail satisfaisantes dans des implantations immobilières rationalisées, en les faisant bénéficier de l’ensemble des services d’utilité collective nécessaires à leur activité dans un environnement de travail conforme aux niveaux de service attendus en optimisant les surfaces allouées en application des objectifs fixés par la politique immobilière de l’État.



Le tableau suivant présente le détail des dépenses à la maille fine de l’activité :



ÉLÉMENTS DE LA DÉPENSE PAR ACTIVITÉS




Autorisations d’engagement

Crédits de paiement

Loyers marchands et charges

19 621 03119 919 119

Gardiennage

944 0005 944 000

Accueil

842 225842 225

Sécurité incendie

1 340 0001 340 000

Entretien courant

1 221 5001 227 000

Nettoyage

3 042 4403 042 440

Énergie et fluides

1 348 0002 568 000

Exploitation et maintenance des bâtiments

2 775 0002 775 000

Total dépenses de fonctionnement

31 134 19637 657 784

Loyers marchands et charges locatives- investissement

035 988 065

Investissements immobiliers de l’administration centrale- investissement

3 382 0003 366 000

Total dépenses d’investissement

3 382 00039 354 065

Total

34 516 19677 011 849


Les loyers marchands et charges inscrits en fonctionnement permettent le paiement de l'annuité 2022 du crédit-bail, signé en 2015, pour l'acquisition de la Tour Séquoia, des intérêts et charges liés au bail emphytéotique administratif de la Grande Arche ainsi que des charges de copropriété de la Grande Arche et divers loyers et charges locatives des services centraux.

Les loyers marchands et charges locatives inscrits en investissement permettent le financement de l’annuité du volet "investissement" du bail emphytéotique administratif de la Grande Arche.

La dotation investissements immobiliers de l’administration centrale permettra le financement des dépenses relatives à la surveillance technique des systèmes électriques et groupes électrogènes ou relatives aux travaux de rénovation lourde ne pouvant pas être imputés sur les programmes immobiliers, notamment en ce qui concerne les bâtiments inscrits à l'inventaire des monuments historiques ou qui ne sont pas soumis à loyer budgétaire.



SOUS-ACTION 4 « SERVICES NUMÉRIQUES - FONCTIONNEMENT DES INFRASTRUCTURES ET ÉVOLUTION DES SYSTÈMES D’INFORMATIONS » ( 42 952 808 € en AE et 41 672 808 € en CP)


La sous-action 4 : « Services numériques - Fonctionnement des infrastructures et évolution des systèmes d’informations » porte l’ambition numérique du ministère de la transition écologique (MTE), du ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (MCTRCT) et du ministère de la mer (MMer), pionniers dans le lancement d’une transformation numérique d’ampleur de métiers fortement marqués par l’innovation, proches des préoccupations du citoyen et au cœur des priorités de l’action publique.

Les projets de transformation numérique doivent être centrés sur les utilisateurs, les usagers comme les parties prenantes (entreprises, associations, citoyens) et au profit des politiques publiques ministérielles.

La priorité est donnée à la dématérialisation et à la simplification des procédures administratives conformément à l’objectif gouvernemental de dématérialisation de l’ensemble des démarches à l’horizon 2022.

Le déclenchement des plans de continuité d’activité ministériels dû à la crise sanitaire de la Covid-19 a fortement augmenté la dotation de cette sous-action en 2021. Des investissements complémentaires sont nécessaires pour mieux équiper les agents permettant le travail à distance et pour améliorer la disponibilité des services de télécommunications. Les charges d’administration des parcs d’ordinateurs et de téléphone portables sont également plus importantes. Pour 2022, le service du numérique (SNUM) bénéficiera d'une augmentation de 10 M€ en AE=CP.



La sous-action 4 « Services numériques - Fonctionnement des infrastructures et évolution des systèmes d’informations » recouvre trois domaines  définis au niveau interministériel :



1) L’élaboration de la politique informatique ministérielle et le fonctionnement des infrastructures informatiques :

Ce domaine regroupe :

a. les outils actuels de messagerie, de publications web, de travail collaboratif et de supervision des applications . 

b. le maintien en conditions opérationnelles des infrastructures réseau (historique, cloud et sécurité), mais également leur modernisation nécessitée par le recours accru au mode agile et au travail à distance ; 

c. la protection de l'information et la sécurisation des systèmes d'informations et des accès au réseau virtuel nomade ; 

d. le financement des accès aux réseaux de données privés, internet et de conférences électroniques (visio conférences, web conférence) ; 

e. le financement de l’incubateur numérique ministériel, d'outils transverses facilitant le travail à distance et l'agilité. Elle finance également l'appui méthodologique à la transformation numérique. 



2) L’exploitation et l’évolution des systèmes d’information (SI) des activités support :

Il s’agit :

a. d’exploiter et de maintenir en condition opérationnelle les applicatifs existants ;

b. de mettre en œuvre les actions du programme de refonte du SI ressources humaines (SIRH) en cohérence avec les actions et projets interministériels ;

c. de poursuivre la dématérialisation des processus dans le cadre du SI financier en cohérence avec les actions et projets interministériels du SI financier de l’État (la troisième phase concerne les factures et engagements juridiques) et de la direction des achats de l’État, et d’améliorer les capacités de pilotage des opérateurs en mettant au point des procédures et des outils permettant de tirer un meilleur parti des données financières existantes ;

d. de développer des SI stratégiques notamment pour la gestion des connaissances et la gestion des archives, projet s’inscrivant dans une dynamique interministérielle d’archivage électronique.



3) La construction de l’environnement de travail numérique :

Il s’agit d’équiper les agents de l’administration centrale au quotidien, d’assurer leur support, d’héberger et de mettre à disposition les ressources et applications nécessaires à l’exercice de leurs missions, mais aussi d’adapter l’environnement de travail numérique des agents à l’évolution des besoins (travail en groupe, mobilité, télétravail).


Le tableau suivant présente le détail des dépenses à la maille fine de l’activité :



ÉLÉMENTS DE LA DÉPENSE PAR ACTIVITÉS




Autorisations d’engagement

Crédits de paiement

Services bureautiques : Gestion du poste de travail

4 792 5004 792 500

Services bureautiques : Télécommunications individuelles

3 235 0003 235 000

Total construction de l’environnement de travail numérique

8 027 5008 027 500

Domaines d’échanges

7 951 1997 051 199

Service d’hébergement applicatif

6 400 0006 400 000

Service de sécurité

560 000610 000

Service de transports de données – Réseaux informatiques

3 975 0003 975 000

Services mutualisés

7 019 1096 589 109

Total politique technique et fonctionnement des infrastructures du ministère

25 905 30824 625 308

Système d’information « Gestion de la documentation et de la connaissance 

930 000930 000

Système d’information « Moyens généraux et immobiliers 

570 000570 000

Système d’information « Finances »

1 900 0001 900 000

Système d’information « Affaires juridiques »

420 000420 000

Système d’information « Ressources humaines »

5 200 0005 200 000

Total exploitation et évolution des systèmes d’information des activités support

9 020 0009 020 000

Total

42 952 80841 672 808


L'activité « domaine d’échanges » regroupe des produits et services au cœur de la transformation numérique comme la messagerie, le travail collaboratif. Avec le développement du travail à distance, un renouvellement substantiel des outils est nécessaire pour mettre en place un environnement numérique adapté aux enjeux des années à venir.


Le service d’hébergement applicatif assure l'hébergement de toutes les applications du pôle ministériel: maintenance des datacenters, réseau d'accès, serveurs, équipements associés, services virtualisés et cloud, hébergement externalisé.


Le service de sécurité se définit dans le cadre de l'élaboration de la politique des systèmes d'information du pôle ministériel et de sa mise en œuvre en référence aux nouvelles orientations stratégiques du plan de transformation numérique. Les actions de sécurisation des SI structurants telles que le portail d’authentification centralisé, les services de gestion de certificats (IGC) seront poursuivis. De même, le développement des plans de continuité et de reprise d'activité sur les infrastructures majeures, avec conduite de tests réguliers des dispositifs de résilience, seront des axes forts du plan d’actions sécurité 2022.


Les services de transport de données constituent l'infrastructure socle en matière d'échange des données et d'accès aux services en ligne : points d'accès au réseau interministériel de l’État (RIE) pour l'administration centrale et les services déconcentrés, gestion de réseaux privés virtuels permettant le travail en situation de nomadisme et supervision de l'ensemble.

Le développement du nomadisme, les projets majeurs de dématérialisation en cours (dématérialisation de l'autorisation environnementale et du permis de construire) comme la généralisation de l'utilisation de services vidéo (visio-conférence, web-conférence, tutoriels notamment) nourrissent une croissance très soutenue du trafic.

Ils s'inscrivent pleinement dans le cadre des actions interministérielles de mutualisation, soit en tant que client, soit en tant que fournisseur (service de vidéo-conférence depuis le poste de travail).


Les services mutualisés recouvrent d'une part des dispositifs mutualisés d'infrastructure (socles bureautique, géomatique, décisionnel) utilisés tant par les équipes de projet que par les utilisateurs finaux et d'autre part des dispositifs de nature méthodologique destinés à développer l'agilité des réponses aux besoins des politiques publiques (architecture des systèmes, coaching des équipes agiles, incubation de produits innovants par des start-ups d’État).

À ce titre, ils participent à ce titre pleinement à la transformation numérique des métiers du pôle ministériel.

Ils s'inscrivent par ailleurs dans le cadre des actions interministérielles de mutualisation, en tant que fournisseurs, comme pour les serveurs bureautiques Eole mutualisés avec le ministère de l'éducation nationale ou le socle géomatique mutualisé avec le ministère de l'agriculture et de l'alimentation.



SOUS-ACTION 5 « MOYENS HORS TITRE 2 CONSACRÉS AUX RESSOURCES HUMAINES »  ( 25 776 349 € en AE et 24 755 941 € en CP)


Cette sous-action permet le financement des politiques de ressources humaines, dans un contexte de réformes lourdes, concernant non seulement la formation initiale et continue, le recrutement et l’affectation des agents, le conseil aux services et aux agents, la gestion des cadres dirigeants et des personnels d’encadrement, la gestion des carrières, la gestion des filières, l’organisation du travail, l’accompagnement des agents concernés par les restructurations de service, le dialogue social mais également l’action sociale et la prévention des risques professionnels. Elle contribue aux objectifs fixés en matière de responsabilité sociale du ministère de la transition écologique (MTE), du ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (MCTRCT) et du ministère de la mer (MMer), notamment dans l’emploi des travailleurs handicapés.



Le tableau suivant présente le détail des dépenses à la maille de l’activité :



ÉLÉMENTS DE LA DÉPENSE PAR ACTIVITÉS




Autorisations d’engagement

Crédits de paiement

Prestations et soutien aux initiatives locales

3 095 0003 095 000

Politique en matière de restauration collective

6 066 3805 045 972

Prévention des risques professionnels

2 337 3492 337 349

Subventions aux partenaires associatifs

4 900 0004 900 000

Recrutement, insertion, reclassement et maintien dans l’emploi des travailleurs handicapés

10 00010 000

Total dépenses d’action sociale

16 408 72915 388 321

Dispositifs de formation individuelle et professionnalisation

400 000400 000

Recrutements et organisation des concours

1 000 0001 000 000

Centres de valorisation des ressources humaines

5 200 0005 200 000

IPEC : Formation et fonctionnement

567 620567 620

Total dépenses de formation

7 167 6207 167 620

Remboursement du coût du personnel mis à disposition

1 665 0001 665 000

Relations sociales

535 000535 000

Total

25 776 34924 755 941



Dépenses d'action sociale


La restauration collective revêt un caractère prioritaire dans le cadre de la politique d’action sociale conduite par les ministères MTE-MCTRCT-MMer dans la mesure où elle concerne directement les conditions de travail des agents, ce poste de dépense revêtant, par ailleurs, un caractère incompressible. Nonobstant la baisse de la fréquentation due à la crise sanitaire, la dépense devrait rester dynamique, en raison des charges fixes et de la nécessité d’indemniser les prestataires de restauration.

Le décalage entre AE et CP doit permettre de faire face à des indemnisations de prestataires et à l'évolution des engagements du nouveau marché de restauration collective d'administration centrale.


Les crédits mobilisés pour la prévention des risques professionnels doivent financer :

- le fonctionnement des cabinets médicaux ainsi que les prestations de service de santé au travail ;

- les prescriptions médicales ;

- l'accompagnement de services confrontés à des situations d'urgence, ce qui peut nécessiter notamment le recours à des psychologues.
Compte tenu des difficultés à recruter des praticiens, le départ à la retraite de médecins du travail provoque un recours accru à des conventions avec des services de médecine du travail.


Les prestations d'action sociale et comités locaux d'action sociale (CLAS) regroupent différentes prestations ayant trait  :

- à la politique sociale en faveur des enfants des agents des ministères : l’organisation de l’arbre de Noël, la réservation de places en crèches pour les conventions existantes et les subventions (PIM) des séjours d’enfants ;

- aux logements des agents ;

- aux crédits d’initiative locale (CIL), qui permettent la réalisation d’actions de nature collective, s’adressantà l’ensemble des bénéficiaires de l’action sociale sans condition de ressources. Ces crédits déployés par les CLAS sont un facteur important de développement du lien social au sein des différentes communautés de travail. Ils financent notamment les actions d'information menées par les CLAS en faveur des agents actifs, des retraités, et de leurs ayants-droit, sur des thèmes tels que les relations familiales, la santé (hors santé au travail et prévention des risques psychosociaux), le handicap (hors actions financées par le FIPHFP), la préparation à la retraite (hors information à caractère réglementaire) ou sur les loisirs ;

- aux expertises en matière de protection sociale complémentaire proposée aux agents des MTE-MCTRCT-MMer, ainsi qu'à la participation ministérielle due à l’organisme de protection sociale complémentaire référencée (MGEN) dans le cadre du paiement des transferts de solidarité. Le ministère finance également les activités de plusieurs associations nationales d'action sociale (Fédération nationale des associations sportives, culturelles et d’entraide (FNASCE), Comité de gestion des centres de vacances (CGCV), Comité d’aide sociale (CAS), Fédération nationale des anciens combattants et victimes de guerre (FNACE), ainsi que les frais de fonctionnement du Comité central d’action sociale (CCAS). La dotation est principalement dédiée à ces subventions de fonctionnement ainsi qu'à l'avance de masse salariale au titre des agents mis à disposition de ce secteur associatif. A titre accessoire, la dotation permet également le remboursement au ministère chargé des finances des dépenses de tickets restaurants et de prestations sociales constatées pour les agents à statut « finances » en poste aux MTE-MCTRCT-MMer.


- Prévisions de rattachements de crédits par voie de fonds de concours :


Le montant attendu du Fonds d’Insertion des personnes handicapées dans la fonction publique (FIPHFP) en 2022 s'élève à 667 000 €.



SOUS-ACTION 6 « ACTIONS NATIONALES ET INTERNATIONALES EN FAVEUR DU DÉVELOPPEMENT DURABLE » ( 11 686 990 € en AE et en CP)


Les crédits de cette sous-action sont exclusivement destinés à contribuer au financement d’actions visant à structurer, coordonner et consolider des réseaux associatifs aux niveaux national, régional ou local. Ces actions doivent s’inscrire dans les objectifs statutaires des associations financées.

Ces dernières doivent également œuvrer de manière désintéressée pour la protection de l’environnement à titre principal. Ces crédits n’ont pas vocation à soutenir des actions s’inscrivant dans les domaines spécifiques relevant d’autres programmes (205, 203, 181, 174, 159, par exemple), ni d'éducation à l'environnement ou au développement durable.
Dans ce cadre, une attention particulière peut, si nécessaire, être apportée aux associations présentes au sein d’instances consultatives nationales ou locales qui traitent des politiques environnementales et de développement durable (article L 141-3 du code de l’environnement).

Les subventions versées par le programme 217 sont recensées, à la demande du Parlement, dans une annexe budgétaire retraçant l’effort financier de l’État en faveur des associations. Les conditions de versement de ces subventions sont par ailleurs strictement encadrées comptablement.


Dans le domaine des relations multilatérales, les crédits de fonctionnement serviront à financer notamment :

- le fonctionnement des coalitions climat décidées lors des COP Climat ; 

- le fonctionnement des délégations  lors des COP climat, biodiversité etc. ; 

- la coordination et le suivi des négociations multilatérales et communautaires dans le domaine du climat, de l'énergie, des transports et de la prévention des risques ;

- la coordination et le suivi des négociations multilatérales et communautaires relatives à la biodiversité et aux milieux (eau, mers, sols, forêts, environnement polaire…) ;

- les actions relatives à l'élaboration et à l'appui de la position française en matière de gouvernance internationale de l'environnement ;

- les relations avec les acteurs extérieurs à l’administration et la société civile.

Les crédits demandés sont destinés à gérer les relations bilatérales avec tous les pays (hors UE/EEE/AELE, Royaume-Uni et pays candidats à l'adhésion), à assurer l'accueil de délégations étrangères en France et à améliorer la connaissance de l'environnement international du pôle ministériel.


Dans le domaine communautaire, il s'agit de financer :

- le pilotage général de l'action communautaire du pôle ministériel en s’appuyant sur l’expertise de leurs services (comme les directions métiers ou le commissariat général au développement durable) ;

- la participation aux frais de fonctionnement des représentants des deux ministères en Europe, notamment ceux de la Représentation permanente à Bruxelles ;

- une assistance à la mise en œuvre et à la mise en place du programme européen Life+ ;

- les relations avec les acteurs extérieurs à l’administration et la société civile. Les crédits demandés sont destinés à gérer les relations bilatérales du pôle ministériel avec les pays de l'UE/EEE/AELE, le Royaume-Uni et les pays candidats à l'adhésion, à assurer l'accueil de délégations étrangères en France et à améliorer la connaissance de l'environnement européen du pôle ministériel.


Les crédits d'intervention de l’action européenne et internationale recouvrent deux postes :

Dans le domaine de l'appui et soutien aux intérêts français pour l'action européenne, il s'agit essentiellement de renforcer l'association de la société civile à l'action européenne du pôle ministériel et d'animer le débat national sur les dossiers européens relevant de leur compétence respective.

Dans le domaine de l'appui et soutien des intérêts français pour l'action internationale, les contributions obligatoires versées aux organisations internationales entrant dans le champ de compétence du pôle ministériel :

- énergie et matières premières ;

- lutte contre la pollution des eaux ;

- protection de l'environnement ;

- transports.


L'animation de la politique stratégique et la gouvernance en matière de changement climatique et de développement durable visent à aider les organisations internationales à porter les priorités françaises sur les thématiques suivantes:
- appui aux coalitions climat, maîtrise de l’énergie et biodiversité, dans le sillage des décisions prises lors des conférences des Parties ;

- mise en place d’une gouvernance rénovée de l’environnement et du développement durable;

- préservation de la biodiversité marine et terrestre et de la qualité des milieux;

- prévention des risques;

- renforcement de la durabilité environnementale dans l’agenda du développement post-2015;

- promotion de l'économie verte.

Ces crédits doivent également permettre de renforcer la participation de la société civile à la gouvernance de ces thématiques.
La dotation demandée est destinée à assurer la promotion à l'étranger du savoir-faire et de l'expertise de la France et à renforcer la prise en compte des enjeux portés par les ministères dans les échanges internationaux.


Le tableau suivant présente le détail des dépenses à la maille fine de l’activité :



ÉLÉMENTS DE LA DÉPENSE PAR ACTIVITÉS



Autorisations d’engagement

Crédits de paiement

Participation à l'élaboration des normes et de la législation dans le cadre communautaire- fonctionnement

343 500343 500

Appui et soutien des intérêts français dans le dispositif international- fonctionnement

548 525548 525

Total dépenses de fonctionnement

892 025892 025

Participation à l'élaboration des normes et de la législation dans le cadre communautaire-intervention

7 352 9337 352 933

Appui et soutien des intérêts français dans le dispositif international-intervention

114 500114 500
One Plannet Summit350 000350 000

Partenariat associatif-intervention

2 977 5322 977 532

Total dépenses d’interventions

10 794 96510 794 965

Total

11 686 99011 686 990



SOUS-ACTION 7 « FONCTIONNEMENT COURANT DU CGEDD » ( 697 101 € en AE et en CP)


Ces crédits sont destinés au fonctionnement courant du commissariat général à l'environnement et au développement durable (CGEDD), de l’autorité environnementale (AE), des missions régionales d’autorité environnementale (MRAe), de l’autorité de la qualité de service dans les transports (AQST), du bureau d'enquête et d'analyse risques industriels (BEA-RI), du comité d’histoire ministériel. Ils recouvrent la prise en charge des frais de mission (déplacements), de réception et de représentation, de financement de l’informatique spécifique (notamment suivi et gestion des rapports et audits), de la communication, des publications, ou encore des colloques organisés par le Commissariat et des prestations d’études et de conseil.



SOUS-ACTION 8 « MOYENS CONSACRÉS À L'ENPC ET À L'ENTPE » (46 751 073 € en AE et en CP)


La sous-action concourt au financement de deux écoles du pôle ministériel :


L’Ecole nationale des ponts et chaussées (ENPC) à hauteur de 27 300 030 € en AE et en CP et l’Ecole nationale des travaux publics de l’État (ENTPE) à hauteur de 19 451 043 € en AE et en CP, voir la partie "opérateurs" infra,

50 000 € de fonds de concours sont rattachés sur cette ligne.

 

ACTION    19,9 %

08 – Personnels œuvrant pour les politiques de transport


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

572 602 476

0

572 602 476

0

Crédits de paiement

572 602 476

0

572 602 476

0


Pour 2022, les personnels œuvrant pour les actions du programme « politiques de transport »

représentent un total de 9 166 ETPT (1 591 A, 2 809 B et 4 766 C).


Ces personnels sont répartis de façon analytique selon les différentes actions opérationnelles suivantes :

- Développement des infrastructures routières (action 01) ;

- Infrastructures de transports collectifs et ferroviaires (action 10) ;

- Infrastructures fluviales, portuaires et aéroportuaires (action 11) ;

- Entretien et exploitation du réseau routier national (action 12) ;

- Soutien, régulation, contrôle et sécurité des services de transports terrestres (action 13) ;

- Soutien, régulation et contrôle dans les domaines des transports fluviaux, maritimes et aériens (action 14).




 

Éléments de la dépense par nature


Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

572 602 476

572 602 476

Rémunérations d’activité

358 742 020

358 742 020

Cotisations et contributions sociales

210 077 653

210 077 653

Prestations sociales et allocations diverses

3 782 803

3 782 803

Total

572 602 476

572 602 476

 

 

ACTION    0,0 %

09 – Personnels oeuvrant pour les politiques du programme "Sécurité et éducation routières"


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

0

0

0

0

Crédits de paiement

0

0

0

0



 

 

ACTION    6,7 %

11 – Personnels oeuvrant pour les politiques du programme "Affaires maritimes"


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

191 817 142

0

191 817 142

0

Crédits de paiement

191 817 142

0

191 817 142

0


Les personnels œuvrant pour les politiques du programme « Affaires maritimes » sont affectés en métropole et en outre-mer, en direction interrégionale de la mer (DIRM), en direction départementale des territoires et de la mer (DDTM), en direction de la mer (DM) ou service des affaires maritimes (SAM) outre-mer, ainsi qu’en administration centrale (direction des affaires maritimes, inspection générale des affaires maritimes (IGAM), bureau d’enquête sur les événements de mer (BEA mer) et dans deux services à compétence nationale (armement de phares et balises (APB) et école nationale de sécurité et d’administration de la mer (ENSAM)).

Ces personnels sont répartis entre les budgets opérationnels de programme (BOP) par le responsable du programme « Affaires maritimes ».



En 2022, les 2 668 ETPT (897 A, 1064 B et 707 C) oeuvrant à la mise en oeuvre de ce programme tout en étant rattachés budgétairement au programme support du MTE (programme 217, action 11) sont répartis selon les actions opérationnelles suivantes :

• sécurité et sûreté maritimes ;

• gens de mer et enseignement maritime ;

• flotte de commerce ;

• action interministérielle de la mer



 

Éléments de la dépense par nature


Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

191 817 142

191 817 142

Rémunérations d’activité

119 042 280

119 042 280

Cotisations et contributions sociales

71 414 785

71 414 785

Prestations sociales et allocations diverses

1 360 077

1 360 077

Total

191 817 142

191 817 142

 

 

ACTION    9,3 %

13 – Personnels œuvrant pour la politique de l'eau et de la biodiversité


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

266 892 032

0

266 892 032

0

Crédits de paiement

266 892 032

0

266 892 032

0


Cette action, intitulée « Personnels œuvrant pour les politiques du programme paysages, eau et biodiversité », regroupe les effectifs de la direction de l’eau et de la biodiversité, d’une partie de la sous-direction de la qualité du cadre de vie de la direction de l’habitat, dans les domaines des sites, des paysages, de la publicité, de l'évaluation environnementale et des ressources naturelles.



Pour 2022, le plafond d'emplois de l'action 13 est fixé à 3 428 ETPT (1 563 A, 1 413 B et 452 C).


Le programme comprend les actions 01, 02 et 07 qui portent des ETPT :

• l’action 01 « Sites, paysages, publicité » ;

• l’action 02 « Logistique, formation et contentieux » ;

• enfin, l’action 07 « Gestion des milieux et biodiversité ».


 

Éléments de la dépense par nature


Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

266 892 032

266 892 032

Rémunérations d’activité

165 484 186

165 484 186

Cotisations et contributions sociales

99 442 732

99 442 732

Prestations sociales et allocations diverses

1 965 114

1 965 114

Total

266 892 032

266 892 032

 

 

ACTION    22,8 %

15 – Personnels œuvrant pour les politiques du programme Urbanisme, territoires et aménagement de l'habitat


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

655 632 033

0

655 632 033

0

Crédits de paiement

655 632 033

0

655 632 033

0


L’action 15 « Urbanisme, Territoires et Amélioration de l’Habitat » regroupe les effectifs qui mettent en oeuvre les politiques des programmes 109 « Aide à l’accès au logement » et 135 « Urbanisme, territoires, et amélioration de l’habitat ».

Ils sont, pour la grande majorité d’entre eux, affectés au sein des services déconcentrés : directions régionales de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL et DEAL), directions départementales des territoires (DDT et DDTM) et directions départementales de la cohésion sociale (DDCS et DDCSPP).

L’action comprend également les personnels qui, en administration centrale contribuent à l’élaboration et à la mise en oeuvre de ces politiques.

Pour 2022, les personnels oeuvrant pour les politiques du programme représentent un total de 9 205 ETPT ( 2 547 A, 4 845 B et 1 813 C).



 

Éléments de la dépense par nature


Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

655 632 033

655 632 033

Rémunérations d’activité

402 727 643

402 727 643

Cotisations et contributions sociales

248 320 094

248 320 094

Prestations sociales et allocations diverses

4 584 296

4 584 296

Total

655 632 033

655 632 033

 

 

ACTION    8,9 %

16 – Personnels œuvrant pour la politique de la prévention des risques


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

255 432 514

0

255 432 514

0

Crédits de paiement

255 432 514

0

255 432 514

0


Cette action regroupe les personnels affectés tant en administration centrale qu’en services déconcentrés (DREAL, DEAL, DR IDF et DDT(M)) et œuvrant pour le programme 181 « Prévention des risques », dont les principales politiques menées sont les suivantes :

- prévention des risques technologiques et des pollutions industrielles ;

- prévention des risques naturels et hydrauliques ;


Pour 2022, les personnels œuvrant pour les politiques du programme représentent un total de 3 218 ETPT (1 616 A,  1158 B et 444 C).



 

Éléments de la dépense par nature


Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

255 432 514

255 432 514

Rémunérations d’activité

158 575 230

158 575 230

Cotisations et contributions sociales

94 961 010

94 961 010

Prestations sociales et allocations diverses

1 896 274

1 896 274

Total

255 432 514

255 432 514

 

 

ACTION    0,0 %

18 – Personnels relevant de programmes d'autres ministères


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

0

0

0

0

Crédits de paiement

0

0

0

0



 

 

ACTION    0,4 %

22 – Personnels transférés aux collectivités territoriales


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

12 880 532

0

12 880 532

9 350 000

Crédits de paiement

12 880 532

0

12 880 532

9 350 000


Cette action permet d’identifier les personnels affectés dans les services transférés aux collectivités territoriales et mis à disposition des collectivités territoriales, principalement en application de la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales et de la loi du 26 octobre 2009 relative au transfert aux départements des parcs de l’équipement et à l’évolution de la situation des ouvriers des parcs et ateliers (loi « parcs »).


La prise en charge de la rémunération de ces agents par la collectivité bénéficiaire n’est réalisée qu’après l'exercice, pour les agents qui en disposent, de leur droit d'option entre l'intégration dans un cadre d’emploi de la fonction publique territoriale ou le maintien dans leur corps de la fonction publique de l’État. L’exercice du droit d’option s’effectue dans un délai de deux années après le décret prévoyant le transfert de service.


Chaque année, l'action 22 est abondée des effectifs des nouveaux services transférés qui sont mis à disposition des collectivités territoriales, et diminuée à hauteur des transferts définitifs vers les collectivités (intégration à la fonction publique territoriale, détachement sans limitation de durée) et des départs définitifs des agents mis à disposition (départs à la retraite, autres départs).


Pour 2022, cette action regroupe 465 ETPT (76 A, 221 B et 168 C) travaillant pour les collectivités et payés par le MTE.


L' « effet décentralisation » sur le plafond autorisé d’emplois (PAE), c'est-à-dire les ETPT retirés du PAE ministériel au titre des droits d'option exprimés en 2020 des départs définitifs en cours d’année 2020, etc. n’est pas pris en compte à ce stade. Un amendement gouvernemental permettra d’ajuster le plafond d’emplois de l’action 22 lors du débat budgétaire afin de tenir compte des différents mouvements liés aux services transférés, à l’exercice du droit d’option et aux ajustements en fonction de la réalité constatée dans les transferts.


 

Éléments de la dépense par nature


Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

12 880 532

12 880 532

Rémunérations d’activité

8 249 884

8 249 884

Cotisations et contributions sociales

4 604 542

4 604 542

Prestations sociales et allocations diverses

26 106

26 106

Total

12 880 532

12 880 532

 

 

ACTION    2,1 %

23 – Personnels œuvrant pour les politiques de l'énergie et du climat


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

61 428 907

0

61 428 907

0

Crédits de paiement

61 428 907

0

61 428 907

0


Cette action identifie les personnels oeuvrant notamment pour les politiques du programme 174 de la mission «Écologie, développement et mobilité durables».


Ces personnels sont répartis entre les différentes unités opérationnelles par le responsable du programme «Énergie, climat et après-mines», également responsable du BOP central correspondant.


En 2022, 775 ETPT (397 A, 229 B et 149 C) vont œuvrer à la mise en œuvre du programme 174 tout en étant rattachés budgétairement au programme support du MTE.


 

Éléments de la dépense par nature


Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

61 428 907

61 428 907

Rémunérations d’activité

38 076 669

38 076 669

Cotisations et contributions sociales

22 898 821

22 898 821

Prestations sociales et allocations diverses

453 417

453 417

Total

61 428 907

61 428 907

 

 

ACTION    0,1 %

25 – Commission nationale du débat public


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

2 563 432

964 149

3 527 581

2 000 000

Crédits de paiement

2 563 432

964 149

3 527 581

2 000 000


Autorité administrative indépendante, la Commission nationale du débat public (CNDP) veille au respect de la participation du public au processus d’élaboration des projets d’aménagement ou d’équipement d’intérêt national, dès lors qu’ils présentent de forts enjeux socio-économiques ou ont des impacts significatifs sur l’environnement ou l’aménagement du territoire et des plans et programmes de niveau national. Elle ne se prononce pas sur le fond des plans, programmes ou projets.

Elle organise des débats publics et des concertations préalables et veille à la participation et la bonne information du public, depuis l’engagement des études préliminaires jusqu’à l’ouverture de l’enquête publique sur des plans et programmes et certains projets d'infrastructures ou équipement d'intérêt national, ayant un impact sur l'environnement et fait réaliser, le cas échéant, des expertises complémentaires.

Par ailleurs, la CNDP gère une liste nationale de garants de la concertation (appel à candidatures, sélection, formation). A la demande du porteur d’un projet, plan ou programme relevant de l’évaluation environnementale, elle désigne un ou plusieurs garants chargés de veiller à la participation et à bonne information du public.

Lorsqu’elle désigne un garant, la CNDP en assure l’indemnisation et le défraiement.

La CNDP mène une activité de conseil auprès des maîtres d’ouvrage et des autorités publiques sur toute question relative à la participation du public tout au long de l'élaboration d'un plan, programme ou projet. Elle peut émettre tous avis et recommandations à caractère général ou méthodologique de nature à favoriser et développer la participation du public.

Le plafond d'emplois autorisé pour 2022 s'élève à 9 ETPT (7 A, 1 B, 1 C).

La CNDP, par mesure d’optimisation de ses coûts de fonctionnement, est adossée aux services support du ministère en charge de l’écologie.

 

Prévisions de rattachements de crédits par voie de fonds concours

Devrait être rattaché au programme 2 000 000 € dont  1 050 000 € TTC € sur un fonds de concours qui est actif depuis 2021 et sera clos en 2022. Il est relatif au financement du débat public HORIZEO par ses maîtres d’ouvrages. D’autres fonds de concours sont susceptibles d’être mis en place en 2022, au fur et à mesure des décisions que prendra la CNDP d’organiser de telles formes de participation du public.

 


 

Éléments de la dépense par nature


Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

2 563 432

2 563 432

Rémunérations d’activité

1 771 491

1 771 491

Cotisations et contributions sociales

754 083

754 083

Prestations sociales et allocations diverses

37 858

37 858

Dépenses de fonctionnement

964 149

964 149

Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

964 149

964 149

Total

3 527 581

3 527 581

 

L’activité de la CNDP dépend de l’initiative des maîtres d’ouvrage ou des autres tiers (parlementaires, collectivités, associations et désormais ressortissants de l’Union européenne résidant en France) qui peuvent la saisir.
La CNDP enregistre une augmentation très forte de ses sollicitations, qui ont été multipliées par 6 de 2016 à 2019. Malgré une année 2020 traversée par la crise sanitaire, 125 processus participatifs ont été garantis par l’institution, témoignant de la forte attente citoyenne en matière de participation.



 

ACTION    0,1 %

26 – Autorité de contrôle des nuisances aéroportuaires (ACNUSA)


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

1 455 251

509 158

1 964 409

0

Crédits de paiement

1 455 251

509 158

1 964 409

0


L’Autorité de contrôle des nuisances aéroportuaires (ACNUSA) a été créée par la loi n° 99-588 du 12 juillet 1999. Première autorité administrative indépendante dans le domaine de l’environnement, ses objectifs sont de restaurer le dialogue, rétablir la confiance, faire que les nuisances des activités aéroportuaires soient maîtrisées et ne pénalisent pas les collectivités et populations riveraines.


L’ACNUSA comprend un président et 9 membres. Leur mandat est de six ans, non révocable, non renouvelable. Son président est ordonnateur des dépenses.


L’Autorité est dotée d’un pouvoir de sanction à l’encontre des personnes morales et/ou physiques ne respectant pas les règles de protection environnementales sur et autour des aéroports. Les poursuites sont engagées par les agents de l’État assermentés à cet effet (police de l’environnement).


Depuis la loi n° 2010-788 du 12 juillet 2010 portant engagement national pour l’environnement, l’Autorité exerce le contrôle de toutes les nuisances aéroportuaires dans une approche globale et systémique. 

Elle est adossée, pour son fonctionnement, aux services support du secrétariat général des ministères de la transition écologique (MTE), de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (MCTRCT) et de la mer (MMer) et bénéficie de l’appui des organismes scientifiques et techniques compétents dans ses domaines d’intervention.

En 2022, le nombre d’ETP rattachés à cette action est de 11 hors président (7 A, 3 B et 1 C) en 2022, comprenant le président, le secrétaire général et 9 agents.


 

Éléments de la dépense par nature


Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

1 455 251

1 455 251

Rémunérations d’activité

1 009 620

1 009 620

Cotisations et contributions sociales

434 820

434 820

Prestations sociales et allocations diverses

10 811

10 811

Dépenses de fonctionnement

509 158

509 158

Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

509 158

509 158

Total

1 964 409

1 964 409

 

Les crédits de l’ACNUSA de titre 3 sont destinés à couvrir ses dépenses dans les 4 domaines suivants : fonctionnement général, études, communication et documentation et le contentieux.


Les dépenses de fonctionnement courant (matériel et fournitures de bureau, frais de déplacement des agents, des membres et membres associés, reprographie, télécommunications, frais de correspondance, informatique dont logiciel de gestion des amendes administratives, la création du nouveau site internet, les coûts de formation du personnel permanent et des contrats d'apprentissage, gratifications stagiaires, etc.) pour un effectif composé de 12 agents, un président, 9 membres et 7 membres associés, 4 apprentis sont programmés en 2022 à hauteur de  239 158 € en AE et CP.

Les études, évaluées à 100 000 € en AE et en CP pour 2022, dans le domaine du bruit et de la pollution de l’air (études générales et campagnes de mesures) permettent de disposer de données indépendantes, d’enrichir la réflexion et d’aider aux contrôles à la définition de ses recommandations.

La communication - documentation est un poste important, programmé à hauteur de 80 000 € en AE et en CP qui permet à l’ACNUSA de remplir le rôle qui lui a été confié par la loi d’information du public (conception et édition du rapport annuel d’activités et de brochures diverses, diffusion d’études), et de contribuer au débat en matière d’environnement aéroportuaire (rencontres avec des élus français et européens, professionnels, associations de riverains, etc.).

Les dépenses pour contentieux (frais de justice et assistance juridique) restent élevées après la censure par le Conseil constitutionnel de certaines dispositions du code des transports relatives à la procédure de sanctions applicables devant l’ACNUSA. Il est donc nécessaire pour l’Autorité de recourir à un cabinet d’avocats aux Conseils pour traiter une partie des dossiers devant le tribunal administratif et, en tout état de cause, pour tout pourvoi en appel devant la cour administrative d’appel et les recours devant le Conseil d'État. La dotation prévue pour 2022 est de 90 000 € en AE et en CP.




 

ACTION    0,7 %

27 – Commission de régulation de l'énergie (CRE)


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

14 609 197

4 168 545

18 777 742

0

Crédits de paiement

14 609 197

6 729 215

21 338 412

0


Née de l’ouverture à la concurrence des marchés de l’électricité et du gaz (loi du 10 février 2000 de modernisation et le développement du service public de l’électricité), la Commission de régulation de l’énergie (CRE) est une autorité administrative indépendante chargée de leur bon fonctionnement.

 

La CRE s’appuie sur deux organes indépendants, le collège de la Commission, dont les missions ne cessent de se renforcer, et le Comité de règlement des différends et des sanctions (CoRDiS) dont l’activité croît depuis sa création, en 2006.

 

  • Le collège comprend 5 commissaires qui définissent les grandes orientations et adoptent les décisions et avis en s'appuyant sur l'expertise des directions, placées sous l'autorité du président.

 

  • Le CoRDIS est composé de 4 magistrats (Cour de cassation et Conseil d’État) chargés de régler les différends portant sur l'accès aux réseaux publics d'électricité et de gaz, leur utilisation entre gestionnaires et utilisateurs, et de sanctionner les infractions au code de l'énergie.

 

Instance indépendante aux analyses techniques approfondies et reconnues, la CRE est un rouage indispensable de la confiance des acteurs et des citoyens dans le système énergétique. Elle entretient un dialogue nourri avec les pouvoirs publics chargés de la politique énergétique, ainsi qu’avec les institutions européennes.

Très impliquée dans les instances de coopération des régulateurs européens de l’énergie, elle étend cet engagement à l’international.

 

Son expertise, son dynamisme et son ouverture lui ont permis d’adapter son fonctionnement pour accompagner le secteur énergétique en 2021, dans un contexte de crise sanitaire et économique.

 

Pour 2022, le plafond d’autorisations d’emplois s’élève à 155 ETPT (145 A, 8 B et 2 C).


 

Éléments de la dépense par nature


Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

14 609 197

14 609 197

Rémunérations d’activité

10 524 487

10 524 487

Cotisations et contributions sociales

3 957 340

3 957 340

Prestations sociales et allocations diverses

127 370

127 370

Dépenses de fonctionnement

4 168 545

6 729 215

Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

4 168 545

6 729 215

Total

18 777 742

21 338 412

 

Le budget de la CRE s’élève à 4 168 545 € en AE et 6 729 215 € en CP, hors dépenses de personnel.


1. Dépenses spécifiques liées à l’activité de la CRE (2 478 000 € en AE et 1 963 000 € en CP)

Les activités de la CRE se sont particulièrement développées depuis 2017 et les dépenses directement liées à son activité représenteront en 2022, près de 59 % des crédits en AE du budget de fonctionnement.

Justifiés par l'appel à de l’expertise externe, nécessaire dans des domaines dans lesquels la CRE ne dispose pas des moyens techniques adéquats pour exercer les missions de contrôle et d’audit prévues par la loi, ces crédits de fonctionnement permettent notamment de réaliser les études et les enquêtes liées à la surveillance des marchés de l’électricité et du gaz, ainsi que les études communes réalisées avec les autres régulateurs européens. Une partie de ces audits est remboursée, en application de la loi n°2015-992 du 17 août 2015 - art. 169 modifiant l'article L134-18 du code de l'énergie, par les entreprises régulées (1 M€ en AE et en CP).

Les dépenses liées à l'activité concernent aussi les activités européennes de la CRE qui a un rôle central dans les instances européennes pour la définition des règles du marché européen de l’énergie (0,2 M€ en AE et CP).

La création d’un comité de la prospective au sein de la CRE permettra d'animer à haut niveau le secteur de l'énergie et de réfléchir collectivement à l'avenir du secteur (0,2 M€ en AE et en CP).

Les crédits destinés au financement des actions de communication et de rayonnement national et international de la CRE sont destinés à la refonte du site internet, l’organisation de forums et de colloques (0,45 M€ en AE et CP).

Le reste des crédits se répartit entre les frais de déplacements, la documentation, la formation des personnels et le paiement des honoraires de conseils.


2. Dépenses liées à l’immobilier (840 000 € en AE et 4 122 000 € en CP)

Ces dépenses totaliseront environ 20 % des crédits de fonctionnement en 2022.

Les dépenses liées à l’immobilier comprennent également les charges locatives, la maintenance de l’immeuble, ainsi que les dépenses relatives à la sécurité, l’accueil, le nettoyage, les fluides, etc.


3. Dépenses de fonctionnement courant (250 545 € en AE et 244 215 € en CP)

Les dépenses de fonctionnement courant regroupent les autres dépenses nécessaires à la vie collective de la Commission : matériels et fournitures de bureaux, de matériels techniques après réforme des matériels obsolètes, de matériels liés à la téléphonie, les frais de télécommunication et frais de correspondance, les prestations d’action sociale, travaux de remise en état des locaux.

Ces dépenses représentent 6 % des crédits de fonctionnement en 2022.


4. Dépenses d’informatique – hors consommables liés à la bureautique inclus dans les dépenses de fonctionnement courant (600 000 € en AE et 400 000 € en CP)

Les dépenses informatiques de la CRE représenteront en 2022 soit environ 15 % du total des dépenses de fonctionnement. Elles sont en hausse en raison de contraintes diverses :

- de sécurité dans le cadre du projet REMIT, projet demandé par l’Union Européenne ;

- prise en compte des exigences de sûreté dans les process de la CRE ;

- projet de dématérialisation et archivage en raison de la rénovation des locaux et du nouveau mode d'organisation du travail à la CRE.

La détention par la CRE de données financières sensibles et la communication dématérialisée de données d’investissements à venir nécessitent la mise en place de procédures de contrôle interne et de moyens informatiques adaptés. Elles comprennent aussi le renouvellement partiel du parc bureautique et des serveurs, l’achat de logiciels, le renouvellement des équipements actifs de réseau, et des études de sécurisation des réseaux et des données. La CRE conserve comme priorité le développement des compétences informatiques en interne afin de garantir la maîtrise de la qualité et de la sécurité des systèmes. Seule la maintenance des matériels d’exploitation est externalisée ainsi que des prestations ponctuelles d’assistance.




 

ACTION    1,7 %

28 – Personnels œuvrant dans le domaine de la stratégie et de la connaissance des politiques de transition écologique


 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

50 360 879

0

50 360 879

0

Crédits de paiement

50 360 879

0

50 360 879

0


Les effectifs du Commissariat général au développement durable correspondent à ceux exerçant des missions transverses de développement durable, Pour 2022, le plafond autorisé d’emplois de l’action 28 s’élève à 604 ETPT (373 A, 152 B et 79 C).


 

Éléments de la dépense par nature


Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

50 360 879

50 360 879

Rémunérations d’activité

31 362 213

31 362 213

Cotisations et contributions sociales

18 616 722

18 616 722

Prestations sociales et allocations diverses

381 944

381 944

Total

50 360 879

50 360 879

 

 

 

Récapitulation des crédits et emplois alloués aux opérateurs de l'État

 

Récapitulation des crédits alloués par le programme aux opérateurs


 

LFI 2021

PLF 2022

Opérateur financé (Programme chef de file)
Nature de la dépense

Autorisations
d’engagement
 

Crédits
de paiement

Autorisations
d’engagement

Crédits
de paiement

ENTPE - Ecole nationale des travaux publics de l'Etat (P217)

19 451 043

19 451 043

19 451 043

19 451 043

Subventions pour charges de service public

19 451 043

19 451 043

19 451 043

19 451 043

ENPC - Ecole nationale des Ponts et Chaussées (P217)

27 300 030

27 300 030

27 300 030

27 300 030

Subventions pour charges de service public

27 300 030

27 300 030

27 300 030

27 300 030

Total

46 751 073

46 751 073

46 751 073

46 751 073

Total des subventions pour charges de service public

46 751 073

46 751 073

46 751 073

46 751 073

Total des dotations en fonds propres

0

0

0

0

Total des transferts

0

0

0

0

 

 

Consolidation des emplois des opérateurs dont le programme est chef de file


   Emplois en fonction au sein des opérateurs de l'État

 

LFI 2021

PLF 2022

Intitulé de l'opérateur

ETPT rémunérés
par d’autres
programmes
(1)

ETPT rémunérés
par ce
programme
(1)

ETPT rémunérés
par les opérateurs

ETPT rémunérés
par d’autres
programmes
(1)

ETPT rémunérés
par ce
programme
(1)

ETPT rémunérés
par les opérateurs

sous
plafond

hors
plafond

dont
contrats
aidés

dont
apprentis

sous
plafond

hors
plafond

dont
contrats
aidés

dont
apprentis

ENTPE - Ecole nationale des travaux publics de l'Etat

 

19

158

39

 

 

 

19

158

35

 

 

ENPC - Ecole nationale des Ponts et Chaussées

 

 

307

141

16

14

 

 

307

174

 

 

Total

 

19

465

180

16

14

 

19

465

209

 

 


(1) Emplois des opérateurs inclus dans le plafond d'emplois du ministère

 

   Schéma d’emplois et plafond des autorisations d'emplois des opérateurs de l'État

 

ETPT

Emplois sous plafond 2021

465

Extension en année pleine du schéma d'emplois de la LFI 2021

 

Impact du schéma d'emplois 2022

 

Solde des transferts T2/T3

 

Solde des transferts internes

 

Solde des mesures de périmètre

 

Corrections techniques

 

Abattements techniques

 

Emplois sous plafond PLF 2022


Rappel du schéma d’emplois 2022 en ETP

465
 
 
 

 

Les opérateurs rattachés au programme 217 connaissent un schéma d'emploi nul en 2022 après plusieurs années de schémas d'emplois négatifs. Ainsi, les plafonds d’emplois inscrits au PLF 2022 s’élèvent respectivement à 307 ETPT pour l’ENPC et 158 ETPT pour l’ENTPE, soit un total de 465 ETPT.

Les emplois hors plafond, financés par des ressources propres, concernent des CDD.