Justification au premier euro |
Éléments de synthèse du programme |
| Autorisations d'engagement | Crédits de paiement | ||||
---|---|---|---|---|---|---|
Numéro et intitulé de l'action | Titre 2 | Autres titres | Total | Titre 2 | Autres titres | Total |
01 – Aides directes | 0 | 2 534 886 115 | 2 534 886 115 | 0 | 2 534 886 115 | 2 534 886 115 |
02 – Aides indirectes | 0 | 380 928 271 | 380 928 271 | 0 | 371 898 271 | 371 898 271 |
03 – Santé des étudiants et activités associatives, culturelles et sportives | 0 | 72 286 862 | 72 286 862 | 0 | 72 286 862 | 72 286 862 |
04 – Pilotage et animation du programme | 0 | 100 888 441 | 100 888 441 | 0 | 100 888 441 | 100 888 441 |
Total | 0 | 3 088 989 689 | 3 088 989 689 | 0 | 3 079 959 689 | 3 079 959 689 |
Contrats de projets État-Région (CPER) |
Génération CPER 2015-2020 | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|
| Consommation au 31/12/2021 | Prévision 2022 | 2023 et après | |||
Action / Opérateur | Rappel | Autorisations | Crédits | Autorisations | Crédits | CP |
02 Aides indirectes | 98 950 000 |
| 11 150 000 |
| 3 680 000 | 4 097 500 |
Total | 98 950 000 |
| 11 150 000 |
| 3 680 000 | 4 097 500 |
Génération CPER 2021-2027 | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|
| Consommation au 31/12/2021 | Prévision 2022 | 2023 et après | |||
Action / Opérateur | Rappel | Autorisations | Crédits | Autorisations | Crédits | CP |
02 Aides indirectes | 114 830 000 | 15 171 447 | 3 959 780 | 16 600 000 | 10 921 667 | 16 890 000 |
Total | 114 830 000 | 15 171 447 | 3 959 780 | 16 600 000 | 10 921 667 | 16 890 000 |
Total des crédits de paiement pour ce programme | ||
---|---|---|
Génération | CP demandés | CP sur engagements |
Génération CPER 2015-2020 | 3 680 000 | 4 097 500 |
Génération CPER 2021-2027 | 10 921 667 | 16 890 000 |
Total toutes générations | 14 601 667 | 20 987 500 |
Dans les priorités définies par le MESRI pour les CPER 2015-2020, l’une d’entre elles avait pour objectif de répondre aux besoins de logements étudiants afin d’offrir aux acteurs de l’enseignement supérieur et de la recherche des campus attractifs et fonctionnels. L’enveloppe contractualisée pour les opérations de logement étudiant est de 98,95 M€ sur le programme 231.
Le montant total des AE mises à disposition sur le programme 231 entre 2015 et 2020 pour cette génération de CPER est de 98,95 M€. Les CP mis en place pour couvrir ces AE entre 2015 et 2021 représentent un montant total de 89,4 M€ (dont 11,15 M€ inscrits en loi de finances 2021), soit un taux de couverture en CP des AE ouvertes de 92 %.
L’enveloppe inscrite en 2022 est de 3,68 M€ en CP qui couvrira les AE ouvertes à partir de 2015 sur le programme 231 sur cette génération de CPER.
Pour la nouvelle génération de CPER pour la période 2021-2027, le MESRI s’engage à soutenir une politique d'investissement volontariste pour l’enseignement supérieur, notamment le développement d'une offre de logement social étudiant de qualité.
A ce stade des négociations des CPER 2021-2027, le montant à contractualiser sur le programme 231 est estimé à environ 10 % des enveloppes régionales allouées par le MESRI pour l’enseignement supérieur (programmes 150 et 231) d’un montant total de 1 176,53 M€, soit une enveloppe de 114,83 M€. Ce montant sera affiné après la signature des contrats de plan Etat-régions qui interviendra d’ici la fin 2021.
Une enveloppe a été inscrite en loi de finances 2021 au titre de la première année d’exécution du cette génération de CPER à hauteur de 15,17 M€ en AE et 3,96 M€ en CP (montant qui tient compte des crédits redéployés au profit du financement des contrats de convergence et de transformation -CCT- pour les territoires ultramarins détaillés ci-dessous).
L’enveloppe à financer pour 2022 sur le programme 231 pour les CPER 2021-2027 est de 16,6 M€ en AE et 10,92 M€ en CP (en raison de la prévision de crédits 2022 pour les CCT d’un montant de 0,97 M€ en CP, détaillée ci-dessous).
Contrat de convergence et de transformation (CCT) |
Contrat de convergence et de transformation 2019-2022 | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|
| Consommation au 31/12/2021 | Prévision 2022 | 2023 et après | |||
Action / Opérateur | Rappel | Autorisations | Crédits | Autorisations | Crédits | CP |
02 Aides indirectes | 1 428 000 | 1 428 553 | 460 220 |
| 968 333 |
|
La Réunion | 1 428 000 | 1 428 553 | 460 220 |
| 968 333 |
|
Total | 1 428 000 | 1 428 553 | 460 220 |
| 968 333 |
|
Dans le cadre des contrats de convergence et de transformation des territoires d’Outre-mer (Guadeloupe, Guyane, Martinique, Mayotte et La Réunion) pour la période 2019-2022, qui se sont substitués aux CPER 2015-2020 clôturés de façon anticipée fin 2018, le volet « logement étudiant » ne concerne que la Réunion pour une enveloppe de 1,43 M€ sur le programme 231.
Ce volet « logement étudiant » est totalement financé en AE en 2021. Les CP seront mis en place en deux temps : 0,46 M€ en 2021 et le solde en 2022, par redéploiement des CP inscrits pour le CPER 2021-2027.
Échéancier des crédits de paiement (hors titre 2) |
Estimation des restes à payer au 31/12/2021 | ||||||||
Engagements sur années |
| Engagements sur années |
| AE (LFI + LFRs) 2021 |
| CP (LFI + LFRs) 2021 |
| Évaluation des |
24 173 649 |
| 0 |
| 3 055 576 573 |
| 3 066 242 528 |
| 20 440 000 |
Échéancier des CP à ouvrir | ||||||||
AE |
| CP 2022 |
| CP 2023 |
| CP 2024 |
| CP au-delà de 2024 |
| ||||||||
Évaluation des |
| CP demandés |
| Estimation des CP 2023 |
| Estimation des CP 2024 |
| Estimation des CP |
20 440 000 |
| 11 980 000 |
| 8 260 000 |
| 0 |
| 0 |
| ||||||||
AE nouvelles pour 2022 |
| CP demandés |
| Estimation des CP 2023 |
| Estimation des CP 2024 |
| Estimation des CP |
3 088 989 689 |
| 3 067 979 689 |
| 8 560 000 |
| 8 300 000 |
| 4 150 000 |
| ||||||||
Totaux |
| 3 081 159 689 |
| 16 820 000 |
| 8 300 000 |
| 4 150 000 |
|
| Clés d'ouverture des crédits de paiement sur AE 2022 | ||||||
|
| CP 2022 demandés |
| CP 2023 |
| CP 2024 |
| CP au-delà de 2024 |
|
| 99,32 % |
| 0,28 % |
| 0,27 % |
| 0,13 % |
ACTION 82,1 %
01 – Aides directes |
| Titre 2 | Hors titre 2 | Total | FdC et AdP |
---|---|---|---|---|
Autorisations d'engagement | 0 | 2 534 886 115 | 2 534 886 115 | 500 000 |
Crédits de paiement | 0 | 2 534 886 115 | 2 534 886 115 | 500 000 |
Les dispositifs d’aides sociales en faveur des étudiants ont pour objectif d’améliorer les conditions de réussite des étudiants issus de familles les moins favorisées et des classes moyennes tout en réduisant la nécessité pour ces jeunes de travailler concurremment à leurs études.
L’action 01 comporte l’ensemble des crédits relatifs aux aides financières directes aux étudiants :
Cette aide peut être complétée :
-de l’aide au mérite pour les étudiants boursiers ayant obtenu une mention « très bien » au baccalauréat ;
-de l’aide à la mobilité master s’adressant aux étudiants boursiers s’inscrivant en première année du diplôme national de master dans une région académique différente de celle dans laquelle ils ont obtenu leur diplôme national de licence l’année précédente ;
-de l’aide à la mobilité internationale, pour les boursiers souhaitant suivre une formation supérieure à l’étranger dans le cadre d’un programme d’échanges ou effectuer un stage international dans le cadre de leur cursus.
-L’aide spécifique ponctuelle s’adresse aux étudiants boursiers et non boursiers qui rencontrent ponctuellement de graves difficultés financières.
Les étudiants qui doivent faire face à des difficultés pérennes peuvent faire une demande d’allocation annuelle.
La prise en charge du coût de la certification en langue anglaise pour les étudiants inscrits dans un cursus à dimension internationale et conduisant à un diplôme national.
Par ailleurs, l'aide pour les personnes inscrites dans les formations labellisées de la Grande École du Numérique s’adresse aux apprenants de ces formations ne disposant pas par ailleurs d’aides au titre de la formation et de l’insertion professionnelle. Cette aide est attribuée selon les mêmes modalités que pour les bourses sur critères sociaux.
Éléments de la dépense par nature |
Titre et catégorie | Autorisations | Crédits |
---|---|---|
Dépenses de fonctionnement | 30 667 359 | 30 667 359 |
Subventions pour charges de service public | 30 667 359 | 30 667 359 |
Dépenses d’intervention | 2 504 218 756 | 2 504 218 756 |
Transferts aux ménages | 2 492 959 514 | 2 492 959 514 |
Transferts aux entreprises | 11 259 242 | 11 259 242 |
Dépenses d’opérations financières |
|
|
Prêts et avances |
|
|
Total | 2 534 886 115 | 2 534 886 115 |
DÉPENSES DE FONCTIONNEMENT
Les crédits ouverts au PLF 2022 au titre des subventions pour charges de service public, d’un montant de 30,7 M€ en AE et en CP, correspondent à la part du financement allouée par l’État au réseau des œuvres universitaires pour la couverture de la rémunération (29,0 M€) et des charges connexes (0,2 M€) des personnels administratifs chargés de la gestion des aides directes (gestion du dossier social étudiant) dans les 26 CROUS.
En outre, ce montant a été majoré de 1,5 M€ par rapport à 2021 pour permettre le recrutement de 60 assistantes sociales afin d’assurer un renforcement durable des services sociaux, condition de l’amélioration de l’accès des étudiants aux différents dispositifs mis en place pour répondre aux situations de précarité résultant de la crise sanitaire.
DÉPENSES D’INTERVENTION
Cette catégorie de dépenses regroupe les crédits destinés aux aides directes en faveur des étudiants suivant des études dans les établissements d’enseignement supérieur relevant du ministère chargé de l’enseignement supérieur et de la recherche, pour un montant de 2 504,3 M€ en AE et CP.
TRANSFERT AUX MÉNAGES
Les bourses sur critères sociaux : 2 355,2 M€
Les bourses sur critères sociaux se répartissent en 8 échelons (de 0bis à 7), à chacun desquels correspond un montant de bourse.
Pour le premier semestre 2022 au titre de l’année universitaire 2021-2022, la dépense prévisionnelle est basée sur un effectif d’étudiants boursiers de 777 670 correspondant à une augmentation des boursiers à la rentrée 2021 de 2.85 % par rapport au nombre de boursiers constaté en 2020-2021.Ce taux prend en compte l’évolution prévisionnelle du nombre d’étudiants inscrits dans l’enseignement supérieur à la rentrée 2021, ainsi qu’une augmentation plus que proportionnelle du nombre de boursiers, comme à la rentrée 2021, en raison de la crise sanitaire.
Cet effectif prévisionnel est ventilé selon la répartition constatée en avril 2021 lors de l’année universitaire 2020-2021, soit :
Il ressort de cette ventilation que les échelons 5 à 7 concentrent environ 33 % de la population boursière.
Par ailleurs, les taux annuels sur 10 mois des bourses sur critères sociaux ont été revalorisés à hauteur de 1,0 % à la rentrée 2021 pour les échelons 0bis à 7, soit un niveau supérieur à l’inflation annuelle constatée en janvier 2021, afin de soutenir le pouvoir d’achat des étudiants. Ainsi, les taux annuels des bourses à la rentrée 2021 sont les suivants :
En tenant compte du report de charges lié aux dossiers complets remis tardivement, la dépense prévisionnelle de bourses sur critères sociaux pour le 1er semestre 2022 (janvier à août 2022 – année universitaire 2021-2022) s’élève à 1 442,5 M€.
Ce montant comprend également la dépense au titre du dispositif « grandes vacances universitaires » destiné à certaines catégories d’étudiants boursiers qui ne peuvent rentrer chez eux durant les vacances universitaires, boursiers ultramarins, notamment.
Pour le dernier quadrimestre 2022, au titre de l’année universitaire 2022-2023, la dépense prévisionnelle se fonde sur une hypothèse d’augmentation à la rentrée 2022 des effectifs boursiers de 0,21 %. Elle est estimée à 912,7 M€. Ces prévisions se basent sur un effectif d’étudiants boursiers de 779 304.
Les aides au mérite : 42,8 M€
L'aide au mérite est accordée aux étudiants ayant obtenu une mention « très bien » à la dernière session du baccalauréat et bénéficiant d’une bourse sur critère sociaux. Sous réserve de progression dans les études, cette aide est versée pendant une durée de trois ans. Elle s’élève à 900 € annuels.
Les crédits inscrits au projet de loi de finances 2022, sont en hausse de +8,4 M€ par rapport à la LFI 2021 et permettront ’attribuer plus de 47 000 aides.
Les aides à la mobilité internationale : 25,7 M€
D’un montant mensuel de 400 €, les aides à la mobilité internationale, compléments aux bourses sur critères sociaux, sont accordées pour une durée de 2 à 9 mois aux étudiants boursiers suivant une formation d’enseignement supérieur à l’étranger dans le cadre d’un programme d’échanges au cours de leurs cursus d’études. Cette dotation permet de verser 64 000 mensualités d’aide.
Les aides spécifiques : 48,8 M€
Ces moyens, gérés par les centres régionaux des œuvres universitaires et scolaires (CROUS), permettent de financer :
L’aide à la mobilité Parcoursup : 10 M€
L'aide à la mobilité Parcoursup vise à accompagner l’entrée dans l’enseignement supérieur des futurs étudiants qui souhaitent suivre une formation hors de leur académie de résidence. Elle est ouverte aux bacheliers bénéficiaires d'une bourse nationale de lycée au regard de leur situation et de l’impact matériel et financier de la mobilité envisagée, notamment en raison de la distance, du coût de la vie et des frais d’installation. Elle peut également être accordée aux bacheliers bénéficiaires d’une bourse nationale de lycée qui acceptent une proposition d’admission dans un établissement situé dans leur académie de résidence après examen de leur situation par la commission régionale d’accès à l’enseignement supérieur lorsque l’attribution de l’aide permet, compte tenu de la situation du candidat, de faciliter cette mobilité.
Les demandes d’aide sont instruites par le directeur général du CROUS de l’académie où se situe la formation pour laquelle le candidat a confirmé définitivement son acceptation d’une proposition d’admission. Le directeur général du CROUS décide de l’attribution de l’aide. L’aide est définitivement accordée au candidat quand son inscription est validée par l’établissement d’inscription. Le paiement de l'aide est confié au CROUS « d’accueil ». Son montant est de 500€. L’aide à la mobilité Parcoursup bénéficie de près de 3 M€ de crédits complémentaires dans le cadre du PLF 2022 et permettra d’aider 20 000 étudiants.
L'aide à la mobilité master : 7,2 M€
L’aide à la mobilité master est accordée aux étudiants titulaires du diplôme national de licence et primo-entrants en première année de formation conduisant au diplôme national de master qui changent de région académique entre la troisième année de licence et la première année de master.
Cette aide d'un montant de 1 000 € est attribuée à l'étudiant bénéficiaire d'une bourse sur critères sociaux ou d'une allocation annuelle dans le cadre du dispositif des aides spécifiques. Le réseau des œuvres universitaires s’est vu confier l’instruction des demandes et le paiement de cette aide.
La Grande École du Numérique : 3,3 M€
Pour favoriser l’insertion des jeunes en décrochage scolaire dans une filière d’avenir, la Grande École du numérique (GEN), constituée sous la forme d’un groupement d’intérêt public (GIP), labellise sur le territoire national des formations courtes et qualifiantes. Ces formations préparent aux métiers du numérique et permettent d’acquérir un socle professionnalisant de compétences numériques susceptibles d’offrir des débouchés aux apprenants. Ces formations s’adressent à des personnes diplômées en situation de recherche d’emploi ou dépourvues de qualification professionnelle ou de diplôme.
Des aides peuvent être accordées aux apprenants de la GEN ne disposant pas par ailleurs d’aides au titre de la formation et de l’insertion professionnelles, selon les mêmes modalités d’attribution que pour les bourses sur critères sociaux
TRANSFERT AUX ENTREPRISES
Financement d’un fonds de garantie géré par BPI France : 4,0 M€
Un système de prêts bancaires garantis par l’État est ouvert à tous les étudiants qui le souhaitent, lesquels sont ainsi dispensés de caution bancaire ou familiale. Ce prêt permet de diversifier les sources de financement des étudiants et contribue à renforcer l’égalité des chances entre les étudiants devant l’emprunt. D’un montant maximal porté en 2021 de 15 000 à 20 000 €, ce prêt est ouvert à l’ensemble des étudiants sans condition de ressources et sans caution parentale ou d’un tiers. La possibilité de rembourser l’emprunt de manière différée est prévue. Le risque de défaillance est garanti par l’État à hauteur de 70 %.
Les établissements bancaires qui offrent ce type de prêts sont les Caisses d’épargne et Banque Populaire, le Crédit mutuel, le Crédit industriel et commercial, et la Société générale. Un élargissement à d’autres établissements bancaires est prévu dans le courant de l’année 2021.
Le fonds de garantie mis en place est géré par BPI France. Les étudiants bénéficiaires de la garantie sont issus de toutes les filières et de tous les niveaux d’études.
En outre le fonds de garantie « Prêts étudiants » est doté de 16 M€ supplémentaires en 2021 et 2022 (hors programme 231) dans le cadre du plan de relance.
Prise en charge du coût de la certification en langue anglaise : 7,3 M€
Une attestation de niveau en anglais est rendue obligatoire pour les étudiants inscrits dans un cursus à dimension internationale et conduisant à un diplôme national. Cette attestation donne un niveau internationalement reconnu. La certification est proposée de manière progressive.
ACTION 12,3 %
02 – Aides indirectes |
| Titre 2 | Hors titre 2 | Total | FdC et AdP |
---|---|---|---|---|
Autorisations d'engagement | 0 | 380 928 271 | 380 928 271 | 500 000 |
Crédits de paiement | 0 | 371 898 271 | 371 898 271 | 700 000 |
Cette action concerne essentiellement le logement étudiant et la restauration universitaire gérés par le réseau des œuvres universitaires :
Ce tarif social permettra l’accès à une alimentation équilibrée et durable, à un prix modique, dans plusieurs centaines de structures gérées par les CROUS, qui maillent le territoire national.
Pour répondre aux difficultés renforcées par la crise sanitaire pour s’alimenter, l’ensemble des étudiants boursiers sur critères sociaux et certains étudiants non boursiers en grande précarité pourront bénéficier, sur l’année universitaire 2021-2022, d’un repas à 1€ dans les restaurants universitaires gérés par les CROUS. .
Pour pallier les difficultés des étudiants impactés par la crise sanitaire, il a été décidé de maintenir la non indexation des loyers 2021 en résidences universitaires gérées par les CROUS jusqu’au 1er septembre 2022.
La stratégie immobilière, mise en œuvre par le Centre national des œuvres universitaires et scolaires (CNOUS) est déclinée au niveau des CROUS, notamment dans leurs schémas directeurs immobiliers. Elle vise à mettre à disposition de l’ensemble de la population étudiante une offre de logement et de restauration rénovée et performante. L’action du réseau s'inscrit dans le cadre de ces plans de construction ainsi que dans la modernisation et la réhabilitation des structures de restauration et de logements via des financements divers (CPER, bailleurs sociaux, collectivités territoriales).
Éléments de la dépense par nature |
Titre et catégorie | Autorisations | Crédits |
---|---|---|
Dépenses de fonctionnement | 265 775 809 | 265 775 809 |
Subventions pour charges de service public | 265 775 809 | 265 775 809 |
Dépenses d’investissement | 16 600 000 | 15 570 000 |
Dépenses pour immobilisations corporelles de l’État | 16 600 000 | 15 570 000 |
Dépenses d’intervention | 5 963 756 | 5 963 756 |
Transferts aux autres collectivités | 5 963 756 | 5 963 756 |
Dépenses d’opérations financières | 92 588 706 | 84 588 706 |
Dotations en fonds propres | 92 588 706 | 84 588 706 |
Total | 380 928 271 | 371 898 271 |
DÉPENSES DE FONCTIONNEMENT
Dans le cadre de la subvention pour charges de service public versée par l’État au réseau des œuvres universitaires, 265,7 M€ en AE et CP sont destinés à financer les dépenses relatives à la gestion du logement et de la restauration universitaires, selon la répartition suivante :
Le fonctionnement et les rémunérations des personnels : 263.9 M€
Ces crédits se répartissent de la façon suivante :
les dépenses de fonctionnement du réseau des œuvres universitaires, y compris la part de la rémunération des personnels ouvriers des CROUS financée par l’État pour 110,3 M€ ;
la compensation des moindres ressources pour les CROUS liées au tarif différencié du repas à 1€ pour les boursiers ainsi que les non boursiers ayant des difficultés financières graves ainsi qu’au gel de l’augmentation des loyers pour la période du 1er janvier 2021 au 1er septembre 2022 (62,1M€) ;
le coût de la protection sociale complémentaire pour l’ensemble des personnels du CNOUS et des CROUS (2,5 M€)
le coût de la revalorisation indemnitaire pour les personnels administratifs du CNOUS et des CROUS d'Ile-de-France (0,7 M€) ;
la rémunération des personnels administratifs des CROUS chargés de la gestion des résidences et des restaurants universitaires (43,9 M€) ;
et 44,5 M€ destinés à la fonctionnarisation des personnels ouvriers du réseau des œuvres universitaires et la mise en œuvre de la loi EGALIM.
Autres dépenses liées aux aides indirectes : 1,8 M€
Un montant de 1,6 M€ est prévu pour l’informatique du réseau des œuvres universitaires et 0,2 M€ est prévu pour la formation des personnels du CNOUS et des CROUS affectés au logement et aux achats de restauration.
DÉPENSES D’INVESTISSEMENT
CONTRATS DE PLAN ETAT-REGIONS 2015-2020 et 2021-2027 - CCT 2019-2022
La description détaillée des moyens destinés aux crédits contractualisés est présentée au sein des « Grands projets transversaux et crédits contractualisés » dans la partie consacrée aux éléments transversaux du programme. L’enveloppe 2022 prend en compte :
-le paiement des opérations engagées au titre des CPER 2015-2020 (3,68 M€ en CP),
-le financement des opérations immobilières inscrites dans la nouvelle génération de CPER 2021-2027 (16,6 M€ en AE et 10,92 M€ en CP),
-la substitution des CPER des territoires ultramarins par des contrats de convergence et de transformation (CCT) 2019-2022 (0,97 M€ en CP sur l’AE ouverte en 2021 de 1,43 M€ pour le CCT la Réunion). ,
En plus des crédits budgétaires pour l’exécution des CPER, il est prévu de rattacher des crédits de fonds de concours provenant de collectivités territoriales et d’autres organismes, tels les centres régionaux des œuvres universitaires (CROUS) pour un montant de 0,5 M€ en AE et 0,7 M€ en CP, correspondant à leurs participations au financement des opérations.
Contrats de plan État-Régions 2015- 2020
Le MESRI a défini les priorités du volet enseignement supérieur des contrats de plan 2015-2020 en partant du constat que le patrimoine immobilier des établissements publics d’enseignement supérieur, en partie vétuste, avait besoin d’être remis à niveau. La rénovation du parc immobilier universitaire favorise l’adaptation des locaux aux transformations pédagogiques et numériques, la mise aux normes des bâtiments notamment en matière d’accessibilité et de performance énergétique, la maîtrise des surfaces existantes et de leurs coûts de fonctionnement et d’entretien. Ces priorités sont les suivantes :
L’enveloppe inscrite en 2022 est de 3,68 M€ en CP qui couvrira les AE ouvertes à partir de 2015 sur le programme 231 sur cette génération de CPER.
Une enveloppe de 0,97 M€ en CP est prévue en 2022 au titre des CCT Outre-mer.
L’enveloppe à financer pour 2022 sur le programme 231 pour les CPER 2021-2027 est de 16,6 M€ en AE et 10,92 M€ en CP (en raison de la prévision de crédits 2022 pour les CCT d’un montant de 0,97 M€ en CP)
DÉPENSES D’INTERVENTION
Les crédits prévus au titre des transferts aux autres collectivités s’élèvent à 6,0 M€. Ils se répartissent comme suit :
DÉPENSES D’OPÉRATIONS FINANCIÈRES
Le logement et la restauration étudiants : 92,6 M€ en AE, 84,6 M€ en CP
Le réseau des œuvres universitaires est l’un des principaux acteurs en matière de politique de logement étudiant et participe au financement de réhabilitations en assurant le premier équipement des nouveaux logements. Il poursuit ses actions de réhabilitation, de modernisation et de mise aux normes d’hygiène et de sécurité des restaurants universitaires.
Une description de la politique menée par le réseau des œuvres universitaires en termes de logement étudiant et de restaurant universitaire est décrit dans le volet opérateur.
ACTION 2,3 %
03 – Santé des étudiants et activités associatives, culturelles et sportives |
| Titre 2 | Hors titre 2 | Total | FdC et AdP |
---|---|---|---|---|
Autorisations d'engagement | 0 | 72 286 862 | 72 286 862 | 0 |
Crédits de paiement | 0 | 72 286 862 | 72 286 862 | 0 |
La santé des étudiants constitue une dimension importante de l’intégration et de la réussite universitaires. Priorité du ministère chargé de l’enseignement supérieur, le déploiement d’actions de prévention et l’accès à la santé sont des axes majeurs de sa politique publique définie sous l’égide de la Conférence de prévention étudiante, installée en 2019.
En outre, la Contribution de Vie Etudiante et de Campus créée par la loi « Orientation et Réussite des étudiants » fait l’objet d’une programmation définie par la circulaire du 21 mars 2019 relative à la programmation et suivi des actions. Celle-ci oriente les financements issus de la CVEC vers la programmation d’actions en faveur de la santé des étudiants notamment sur la prévention des addictions, l’alcoolisation massive, la santé mentale et la santé sexuelle. Ces orientations ont pour objet d’apporter des réponses aux difficultés d’adaptation, de santé et d’accès aux soins que les étudiants peuvent rencontrer au cours de leur scolarité.
À cet effet, les services universitaires ou inter-universitaires de médecine préventive et de promotion de la santé (SUMPPS), pivots de la santé étudiante prennent une part active dans la réalisation de campagnes de prévention, de sensibilisation et d’éducation sanitaire. Ils conduisent des actions visant notamment à favoriser l’adaptation des étudiants en situation de difficultés psychologiques et proposent des prestations, individuelles (consultations médico-psychologiques…) ou collectives, de prise en charge du stress, de l’anxiété et de l’isolement.
Ils sont chargés d’effectuer, au cours des trois premières années d’études dans l’enseignement supérieur de l’étudiant, un examen de prévention dans le cadre d’un examen de santé au profit des étudiants, de contribuer au dispositif d’accompagnement et d’intégration des étudiants handicapés dans l’établissement et enfin d’exercer un rôle de veille sanitaire, de conseil et de relais dans le cadre de programmes de prévention et de plans régionaux en santé publique. Les 26 SUMPPS, constitués en centres de santé, proposent une prise en charge curative qui donne accès au parcours de soins coordonnés.
Les services de santé universitaires, non constitués en centre de santé, peuvent, depuis le décret de février 2019, prescrire des moyens de contraception, des traitements de substitution nicotinique, de radiographies du thorax, le dépistage, le diagnostic et le traitement ambulatoire des infections sexuellement transmissibles ainsi que la prescription et la réalisation des vaccinations. Une dérogation au parcours de soins permet aux étudiants qui consultent un médecin en service de santé universitaire de ne pas se voir appliquer de majoration.
L’intégration et la réussite des étudiants handicapés passent par la mise en œuvre de moyens permettant d’assurer de meilleures conditions d’accueil et un suivi personnalisé de ces étudiants. Les travaux de mise en accessibilité des locaux, tant dans les établissements d’enseignement supérieur que dans les résidences et les restaurants universitaires, se poursuivent.
Par ailleurs, le temps des études doit être aussi celui du développement personnel. Ainsi, il est important d’aider les étudiants à devenir acteurs de la vie culturelle universitaire en accompagnant notamment leurs projets artistiques. Des établissements ont créé des services culturels chargés à la fois de proposer des activités culturelles et artistiques sur le site même de l’université, mais aussi de faciliter l’accès aux institutions culturelles locales grâce à une politique de partenariat.
Une période de césure au cours des formations relevant de l’enseignement supérieur, permet aux étudiants de conserver leur statut d’étudiant, pendant une période pouvant aller de 6 mois à un an afin de vivre une expérience personnelle, professionnelle ou d’engagement, en France ou à l’étranger. Elle contribue à la maturation des choix d’orientation, au développement personnel et à l’acquisition de compétences nouvelles.
Enfin, les établissements d’enseignement supérieur sont dotés de services d’activités physiques et sportives ainsi que d’associations sportives qui offrent de nombreuses activités collectives ou individuelles et encouragent les étudiants à la pratique sportive de loisir ou de compétition.
Éléments de la dépense par nature |
Titre et catégorie | Autorisations | Crédits |
---|---|---|
Dépenses de fonctionnement | 64 022 390 | 64 022 390 |
Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel | 2 530 000 | 2 530 000 |
Subventions pour charges de service public | 61 492 390 | 61 492 390 |
Dépenses d’intervention | 8 264 472 | 8 264 472 |
Transferts aux autres collectivités | 8 264 472 | 8 264 472 |
Total | 72 286 862 | 72 286 862 |
DÉPENSES DE FONCTIONNEMENT AUTRES QUE CELLES DE PERSONNEL
Les dépenses de fonctionnement de cette action s’élèvent à 2,5 M€.
2,0 M€ en AE et en CP sont destinés :
Le financement du dispositif des « cordées de la réussite » mobilise par ailleurs 0,5 M€ en AE et en CP. Ce dispositif, consistant à établir un partenariat entre des établissements d’enseignement supérieur et des établissements de l’enseignement secondaire (collèges et lycées), met l’accent sur les actions de tutorat assurées par des étudiants, sur la base du volontariat, au bénéfice de lycéens ou d’étudiants de classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE). Pour l’année 2020-2021, 623 « cordées de la réussite » sur le territoire national ont été recensées.
Dans le cadre du plan de relance un complément de 1 M€ (ouverts en PLF 2022 hors programme 231) permet de soutenir la création de nouvelles cordées et d’accompagner les cordées existantes dans leur développement,
SUBVENTIONS POUR CHARGES DE SERVICE PUBLIC
Les subventions pour charges de service public, d’un montant total de 61,5 M€ en AE et en CP, contribuent aux dépenses relatives aux secteurs de la santé, des activités sportives, socioculturelles et assurent le financement des mesures en faveur des étudiants handicapés.
Elles se décomposent de la manière suivante :
- Les crédits de fonctionnement destinés aux établissements d’enseignement supérieur, à hauteur de 22,1 M€ destinés :
- Au titre des subventions pour charges de service public, figurent également les crédits relatifs au financement des mesures d’accompagnement des étudiants handicapés et de mise en accessibilité dans les établissements, soit 23,8 M€. En application de la loi n° 2005-102 du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées, les établissements d’enseignement supérieur sont chargés de mettre en place toutes les aides et accompagnements nécessaires aux étudiants handicapés pour la réussite de leurs études.
Ainsi, 7,5 M€ seront consacrés au financement :
En outre, une dotation de 16,3 M€ est destinée à financer les travaux immobiliers d'accessibilité dans les établissements d'enseignement supérieur, en complément de la dotation sur le programme 150, ainsi que dans les restaurants et résidences universitaires des CROUS et de la Cité internationale universitaire de Paris (rampes d'accès, automatisation d'ouverture des portes, installation d'ascenseurs, pose d'appareils sanitaires adaptées...).
Enfin, 15,6 M€ sont destinés au réseau des œuvres universitaires et couvrent :
DEPENSES D’INTERVENTION
Le montant des transferts aux autres acteurs de cette action s’élève à 8,3 M€ en AE et en CP. Il permet de financer des activités associatives, culturelles et sportives.
3,0 M€ permettent d’allouer des subventions à des associations étudiantes, correspondant :
Un montant de 5,3 M€ est alloué à la Fédération Française du Sport Universitaire (FFSU) :
ACTION 3,3 %
04 – Pilotage et animation du programme |
| Titre 2 | Hors titre 2 | Total | FdC et AdP |
---|---|---|---|---|
Autorisations d'engagement | 0 | 100 888 441 | 100 888 441 | 0 |
Crédits de paiement | 0 | 100 888 441 | 100 888 441 | 0 |
Les moyens de cette action sont ceux du réseau des œuvres universitaires. Ils correspondent au fonctionnement :
Le CNOUS, tête de réseau assurant des fonctions de pilotage, impulse sur l’ensemble du réseau une modernisation de la gestion. Elle passe par la rénovation des outils informatiques et du système d'information de manière à disposer d’instruments d’analyse permettant un contrôle de gestion efficace.
Le prochain contrat d’objectifs et de performance (2022-2026) de l’opérateur mettra l’accent sur le partenariat avec les universités dans le cadre des politiques de site mais aussi sur l’engagement du réseau à améliorer la performance, par la formation de ses agents, le développement des mutualisations entre CROUS, et une maîtrise des coûts renforcée, et servira de base à l’élaboration du prochain projet d’établissement.
Éléments de la dépense par nature |
Titre et catégorie | Autorisations | Crédits |
---|---|---|
Dépenses de fonctionnement | 98 256 980 | 98 256 980 |
Subventions pour charges de service public | 98 256 980 | 98 256 980 |
Dépenses d’opérations financières | 2 631 461 | 2 631 461 |
Dotations en fonds propres | 2 631 461 | 2 631 461 |
Total | 100 888 441 | 100 888 441 |
Cette action regroupe les crédits :
DEPENSES D’OPERATIONS FINANCIERES
Cette enveloppe de 2,6 M€ inscrite en dotations en fonds propres pour le CNOUS regroupe les dépenses liées à l’informatique ainsi que des dépenses liées à la sécurité des locaux.
Récapitulation des crédits alloués par le programme aux opérateurs |
| LFI 2021 | PLF 2022 | ||
---|---|---|---|---|
Opérateur financé (Programme chef de file) | Autorisations | Crédits | Autorisations | Crédits |
Autres opérateurs d'enseignement supérieur et de recherche (P150) | 729 862 | 729 862 | 729 862 | 729 862 |
Subventions pour charges de service public | 729 862 | 729 862 | 729 862 | 729 862 |
Communautés d'universités et d'établissements (P150) | 286 106 | 286 106 | 286 106 | 286 106 |
Subventions pour charges de service public | 286 106 | 286 106 | 286 106 | 286 106 |
Ecoles et formations d'ingénieurs (P150) | 4 766 415 | 4 766 415 | 4 766 415 | 4 766 415 |
Subventions pour charges de service public | 2 710 415 | 2 710 415 | 2 710 415 | 2 710 415 |
Transferts | 2 056 000 | 2 056 000 | 2 056 000 | 2 056 000 |
Réseau des œuvres universitaires et scolaires (P231) | 546 927 064 | 546 927 064 | 574 777 296 | 566 777 296 |
Subventions pour charges de service public | 383 726 897 | 383 726 897 | 410 277 129 | 410 277 129 |
Dotations en fonds propres | 95 220 167 | 95 220 167 | 95 220 167 | 87 220 167 |
Transferts | 67 980 000 | 67 980 000 | 69 280 000 | 69 280 000 |
Universités et assimilés (P150) | 65 833 026 | 65 833 026 | 65 833 026 | 65 833 026 |
Subventions pour charges de service public | 42 189 026 | 42 189 026 | 42 189 026 | 42 189 026 |
Transferts | 23 644 000 | 23 644 000 | 23 644 000 | 23 644 000 |
Total | 618 542 473 | 618 542 473 | 646 392 705 | 638 392 705 |
Total des subventions pour charges de service public | 429 642 306 | 429 642 306 | 456 192 538 | 456 192 538 |
Total des dotations en fonds propres | 95 220 167 | 95 220 167 | 95 220 167 | 87 220 167 |
Total des transferts | 93 680 000 | 93 680 000 | 94 980 000 | 94 980 000 |
Consolidation des emplois des opérateurs dont le programme est chef de file |
Emplois en fonction au sein des opérateurs de l'État
| LFI 2021 | PLF 2022 | ||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Intitulé de l'opérateur | ETPT rémunérés | ETPT rémunérés | ETPT rémunérés | ETPT rémunérés | ETPT rémunérés | ETPT rémunérés | ||||||
sous | hors | dont | dont | sous | hors | dont | dont | |||||
Réseau des œuvres universitaires et scolaires |
|
| 12 724 | 97 |
| 97 |
|
| 12 724 |
|
|
|
Total |
|
| 12 724 | 97 |
| 97 |
|
| 12 724 |
|
|
|
|
Schéma d’emplois et plafond des autorisations d'emplois des opérateurs de l'État
| ETPT |
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Emplois sous plafond 2021 | 12 724 |
Extension en année pleine du schéma d'emplois de la LFI 2021 |
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Impact du schéma d'emplois 2022 |
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Solde des transferts T2/T3 |
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Solde des transferts internes |
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Solde des mesures de périmètre |
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Corrections techniques |
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Abattements techniques |
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Emplois sous plafond PLF 2022 | 12 724 |