$@FwLOVariable(annee#2022)

$@FwLOVariable(numProg#174)

$@FwLOVariable(libelleProg#Énergie, climat et après-mines)

$@FwLOVariable(enteteSousTitre#Opérateurs)

 

Opérateurs

 

OPÉRATEUR

ANDRA - Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs

 

   Analyse de l’activité et des résultats de l’opérateur

Missions

L’ANDRA, créée par l’article 13 de la loi n° 91-1381 du 30 décembre 1991 relative aux recherches sur la gestion des déchets radioactifs dont les dispositions ont été codifiées à l’article L. 542-12 du code de l’environnement par l’ordonnance n° 2000-914 du 18 septembre 2000, est chargée des opérations de gestion à long terme des déchets radioactifs. Ses missions, confirmées, précisées et élargies par les modifications de rédaction de l’article L. 542-12 du code de l’environnement par l’article 1er de la loi du 28 juin 2006 relative à la gestion durable des matières et déchets radioactifs, consistent notamment à :

 Établir et publier tous les trois ans l’inventaire des matières et déchets radioactifs présents sur le territoire national ;

  • Réaliser ou faire réaliser, conformément au plan national de gestion des matières et déchets radioactifs, des recherches et études sur l’entreposage et le stockage en couche géologique profonde et assurer leur coordination ;

  • Contribuer à l’évaluation des coûts afférents à la mise en œuvre des solutions de gestion à long terme des déchets radioactifs de haute et moyenne activité à vie longue ;

  • Prévoir, dans le respect des règles de sûreté nucléaire, les spécifications pour le stockage des déchets radioactifs et donner un avis aux autorités compétentes sur les spécifications pour le conditionnement des déchets ;

  • Concevoir, implanter, réaliser et assurer la gestion de centres d’entreposage ou de centres de stockage de déchets radioactifs compte tenu des perspectives à long terme de production et de gestion de ces déchets ;

  • Assurer la collecte, le transport et la prise en charge de déchets radioactifs et la remise en état de sites de pollution radioactive, sur demande et aux frais de leurs responsables, ou sur réquisition publique lorsque les responsables de ces déchets et/ou de ces sites sont défaillants ;

  • Mettre à la disposition du public des informations relatives à la gestion des déchets radioactifs et participer à la diffusion de la culture scientifique et technologique dans ce domaine ;

  • Diffuser à l’étranger son savoir-faire.

 

L’ANDRA intervient dans la mise en œuvre de l’action n° 01 « Politique de l’énergie » du programme 174 « Énergie, climat et après mines ». En 2022, l’établissement a perçu à ce titre 2,5 M€ en autorisations d’engagement et en crédits de paiement après mise en réserve. Ce montant traduit la volonté de poursuivre la remise en état des sites radio-contaminés dont le propriétaire des anciennes installations à l’origine de la pollution a disparu ou est insolvable.

Concernant les terres entreposées sur l’installation nucléaire de base (INB) du Commissariat à l’énergie atomique (CEA) du site de Cadarache, un versement de 2,5 M€ a été effectué en 2022 par la direction général de la prévention des risques (DGPR) au titre du programme 181 « Prévention des risques ».

 

Gouvernance et pilotage stratégique

L’ANDRA est placée sous la tutelle des ministères chargés de l’énergie, de l’environnement et de la recherche. Elle est liée à l’État par un contrat d’objectifs et de performance (COP) sur la période 2022-2026 qui définit des orientations et fixe des objectifs pour chacune de ses différentes missions, dans le cadre défini par les dispositions du chapitre II « Dispositions particulières à la gestion durable des matières et des déchets radioactifs » du titre IV « Déchets » du Livre V « Prévention des pollutions, des risques et des nuisances » de la partie législative du code de l’environnement.

 

Ses priorités stratégiques sont pour l’essentiel transverses à l’organisation managériale de l’ANDRA et conçues pour disposer d’une lisibilité au-delà de la période quinquennale du contrat. Elles sont issues d’une démarche de construction collective menée avec l’encadrement de l’agence et partagée en interne avec l’ensemble du personnel. Elle s’est enrichie d’une écoute des parties prenantes externes : producteurs, évaluateurs, partenaires et ONG.

 

 Le COP 2022-2026 décline l’action de l’ANDRA en 7 axes stratégiques :

  • Réussir Cigéo collectivement, dans le cadre de ses missions de maître d’ouvrage ;

  • Anticiper les besoins futurs pour la gestion des déchets radioactifs et structurer les filières correspondantes ;

  • Maintenir l’excellence industrielle de l’exploitation des centres de stockage, de la collecte et de l’entreposage des déchets, et de la dépollution de sites ;

  • Adapter et conduire les recherches et études nécessaires aux développements et aux évolutions des filières de déchet ;

  • Conforter la prise en compte de l’environnement, de la santé et de la sécurité au cœur des projets et des activités de l’ANDRA ;

  • Poursuivre le dialogue avec la société et garantir l’équité intergénérationnelle et territoriale ;

  • Renforcer la performance de l’Agence et conduire sa transformation.

 

Bilan année 2022

L’année 2022 a été marquée par un certain nombre d’événements importants pour l’Andra :

S’agissant du projet Cigéo :

  • Déclaration d’utilité publique et d’intérêt national : publication des décrets déclarant d’utilité publique le centre de stockage en couche géologique profonde (décret n° 2022-993) et l’inscrivant parmi les opérations d’intérêt national (décret n° 2022-992).

  • Demande d’autorisation de création (DAC) : le dossier de DAC a été finalisé en 2022, et déposé officiellement le 16 janvier 2023 auprès de la ministre de la transition énergétique, en vue de l’instruction technique par les autorités compétentes.

  • Publication du bilan des concertations avec le public et les parties prenantes : ces concertation ont porté sur la gouvernance de Cigéo et sur la phase industrielle pilote.

  • Comité de Haut Niveau (CHN) à l’Espace Technologique de Bure : ce CHN visait à effectuer un état des lieux des travaux menés par l’Andra dans le cadre du projet Cigéo, à mobiliser les opérateurs de la filière nucléaire impliqués dans le développement économique local et à évoquer les projets des territoires concernés ainsi que les enjeux de fiscalité locale associés au projet Cigéo.

  • Évaluation socioéconomique de Cigéo : contribution au colloque « Évaluation socioéconomique des investissements publics : comment prendre en compte le très long terme et le risque dans la décision publique ? »

  • Revue du programme Scientifique et technologique Cigéo : échanges avec les producteurs, sous l’égide du Haut-Commissaire à l’énergie atomique, sur les études scientifiques et technologiques à mener dans le cadre du projet. Cette revue a permis de restructurer le programme et réviser les budgets associés, ainsi que d’échanger sur les options de fermeture du laboratoire.

  • Dossier de chiffrage Cigéo : mise à jour de l’évaluation du coût global de possession en cours, l’objectif étant de finaliser le dossier de justification du chiffrage au profit des producteurs en 2023 et de rédiger le dossier de chiffrage en vue de la rédaction du futur arrêté coûts.

 

S’agissant de l’exploitation des centres industriels de l’Andra :

  • Aucun incident ou événement significatif en matière de sûreté n’a été observé en 2022.

  • Projet d’Augmentation de la capacité de stockage du Cires (ACACI) : Le projet a été lancé en 2021. Il vise à étendre la capacité d’accueil de l’installation à 900 000 m³ de déchets de très faible activité (TFA), et à permettre à l’Andra de continuer à exploiter le centre pour 10 années supplémentaires. Après une concertation préalable volontaire en 2021, sous l’égide de deux garants nommés par la commission nationale du débat public, l’année 2022 a été consacrée à la préparation du dossier de demande d’autorisation environnementale avec un dépôt en préfecture prévu en 2023.

  • Signature du nouveau contrat de prise en charge des déchets sur le centre de stockage de l’Aube (CSA) pour la période 2022-2026 permettant d’avoir une meilleure couverture des frais fixes du centre avec effet rétroactif au 1er janvier 2022.

  • Autorisation de l’autorité de sureté nucléaire de poursuivre l’exploitation du CSA suite à l’instruction du dossier de réexamen décennal déposé en 2016 et avis favorable sur le rapport de l’ANDRA présentant l’analyse de sûreté de l’installation du centre de stockage de la Meuse .

 

Autres faits marquants :

  • Maintien des certifications ISO 9001 « qualité » et ISO 14001 « environnement » et passage à la certification ISO 45001 (nouvelle norme « Sécurité »).

 

Impact du contexte inflationniste :

La hausse générale des prix pour 2022 a impacté majoritairement les coûts de fonctionnement de l’Agence (énergie, sous-traitance, travaux) et dans une moindre mesure les coûts de personnel.

L’impact sur le résultat des activités, bien que plus faible qu’attendu, est globalement maîtrisé grâce aux mécanismes de financement globalement protecteurs et aux efforts supplémentaires en matière de sobriété énergétique.

 

 

   Financement apporté à l’opérateur par le budget de l’État

(en milliers d'euros)

 

Réalisation 2021

Prévision LFI 2022

Réalisation 2022

Programme intéressé
Nature de la dépense
 

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

P175 – Patrimoines

 

 

 

 

 

 

Transferts

 

 

 

 

 

 

P181 – Prévention des risques

 

 

 

 

2 500

2 500

Subventions pour charges de service public

 

 

 

 

2 500

2 500

P174 – Énergie, climat et après-mines

2 547

2 547

2 632

2 632

2 549

2 549

Subventions pour charges de service public

2 547

2 547

2 632

2 632

2 549

2 549

P363 – Compétitivité

 

 

 

 

90

40

Transferts

 

 

 

 

90

40

Total

2 547

2 547

2 632

2 632

5 139

5 089

 

 

   Compte financier 2022

Avertissement
La situation du compte financier au regard de son vote n'est pas renseignée. Le compte financier de l’opérateur n’a pas été certifié par un commissaire aux comptes.

 

Compte de résultat

 

(en milliers d'euros)

Charges

Budget
initial
2022

Compte
financier
2022 *

Produits

Budget
initial
2022

Compte
financier
2022 *

Personnel

76 367

71 547

Subventions de l'État

2 549

5 089

  dont contributions employeur au CAS pensions

336

295

  – subventions pour charges de service public

2 549

5 049

 

 

  – crédits d'intervention( transfert)

 

40

Fonctionnement autre que les charges de personnel

222 229

179 353

Fiscalité affectée

134 746

134 747

Intervention (le cas échéant)

 

 

Autres subventions

867

931

Total des charges non décaissables sur le fonctionnement et/ou l’intervention

34 545

36 569

Revenus d’activité et autres produits

169 997

120 272

  dont dotations aux amortissements, dépréciations et provisions

33 695

35 642

  dont reprises sur amortissements, dépréciations et provisions

4 441

6 043

  dont valeur nette comptable des éléments d'actif cédés

850

927

  dont produits de cession d’éléments d’actif

800

482

 

 

  dont quote-part reprise au résultat des financements rattachés à des actifs

19 697

17 140

Total des charges

298 596

250 900

Total des produits

308 159

261 039

Résultat : bénéfice

9 563

10 139

Résultat : perte

 

 

Total : équilibre du CR

308 159

261 039

Total : équilibre du CR

308 159

261 039


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée

 

Évolution de la situation patrimoniale

 

(en milliers d'euros)

Emplois

Budget
initial
2022

Compte
financier
2022 *

Ressources

Budget
initial
2022

Compte
financier
2022 *

Insuffisance d'autofinancement

 

 

Capacité d'autofinancement

19 170

23 043

Investissements

41 373

32 230

Financement de l'actif par l'État

 

 

 

 

Financement de l'actif par les tiers autres que l'État

 

 

 

 

Autres ressources

19 659

17 929

Remboursement des dettes financières

1 250

1 250

Augmentation des dettes financières

 

 

Total des emplois

42 623

33 480

Total des ressources

38 829

40 972

Augmentation du fonds de roulement

 

7 492

Diminution du fonds de roulement

3 794

 


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée

 

 

Trésorerie

(en milliers d'euros)

Compte financier
2021

Budget initial
2022

Compte financier
2022

206 373

144 608

205 907

 

 

Dépenses par destination

(en milliers d'euros)

Destination

Budget initial   
Compte financier * 

Personnel

Fonctionnement

Intervention

Investissement

Total

Autres services publics et privés

614
582

37
18

0
0

0
13

651
613

Hors exploitation

1 283
2 480

16 278
14 912

0
0

6 670
2 718

24 231
20 110

Innovations, développement et valorisation

1 950
1 852

1 265
630

0
0

0
0

3 215
2 482

Opérations industrielles

21 309
20 568

41 113
35 665

0
0

7 359
8 166

69 781
64 399

Projets de stockage

51 211
46 065

108 162
74 645

0
0

18 859
14 604

178 232
135 314

Total

76 367
71 547

166 855
125 870

0
0

32 888
25 501

276 110
222 918


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée


 

   Consolidation des emplois de l’opérateur

 

Réalisation 2021
(1)

Prévision 2022
(2)

Réalisation 2022

Emplois rémunérés par l'opérateur :

720

773

730

  – sous plafond

262

260

250

  – hors plafond

458

513

480

        dont contrats aidés

24

14

18

        dont apprentis

 

 

 

Autres emplois en fonction dans l'opérateur :

 

 

 

  – rémunérés par l'État par d'autres programmes

 

 

 

  – rémunérés par d'autres collectivités ou organismes

 

 

 


(1) La réalisation reprend la présentation du RAP 2021.


(2) La prévision fait référence aux plafonds des autorisations d'emplois votés en loi de finances initiale ou, le cas échéant, en lois de finances rectificatives 2022.

 

 

OPÉRATEUR

ANGDM - Agence nationale pour la garantie des droits des mineurs

 

   Analyse de l’activité et des résultats de l’opérateur

Mission

L’Agence nationale pour la garantie des droits des mineurs (ANGDM), établissement public administratif créé par la loi n° 2004-105 du 3 février 2004, a pour mission de prendre la suite des exploitants miniers au fur et à mesure de leur disparition, notamment des Charbonnages de France qui ont été mis en liquidation au 1er janvier 2008. Elle assure ainsi, pour les mineurs encore actifs, les obligations de l’employeur ayant disparu afin de garantir les engagements sociaux pris envers ses salariés. Elle peut, en outre, gérer les mêmes droits pour le compte d’entreprises minières et ardoisières en activité.


A ce titre, l’ANGDM verse aux anciens mineurs ou à leurs conjoints survivants les prestations prévues par le statut du mineur et les différents protocoles et règlements applicables dans les entreprises disparues. Dans ce cadre, l’agence a géré, en 2021, 86 344 ayants droit (nombre annuel moyen). Ils étaient 78 595 en 2022 (effectifs moyens), soit une baisse globale de 9 %. Les ayants droit reçoivent des indemnités de logement ou de chauffage, des prestations de préretraite ou des indemnités de cessation d’activité. Par ailleurs, l’ANGDM permet à 16 541 personnes d’être logées gratuitement et mène à cet effet une politique d’adaptation de ces logements aux populations âgées.


Enfin, l’ANGDM assume les obligations de l’employeur pour les 34 anciens salariés des Charbonnages de France qu’ils soient mis à disposition d’une autre entreprise ou en dispense d’activité.


Gouvernance et pilotage stratégique

L’Agence est placée sous la double tutelle du ministre chargé des mines et du ministre chargé du budget. Son conseil d’administration comprend, outre son président, un représentant du ministre chargé des mines, un représentant du ministre chargé du budget, un représentant du ministre chargé de la sécurité sociale, un représentant du ministre chargé du logement, ainsi qu’un représentant de chacune des cinq fédérations syndicales des anciens mineurs et ardoisiers et cinq personnes désignées en raison de leur compétence en matière économique et sociale. La direction de l’énergie et du climat du ministère de la transition écologique dispose d’un siège de commissaire du Gouvernement.


L’agence assure également, depuis le 1er avril 2012, la gestion de l’action sanitaire et sociale (ASS) du régime minier de sécurité sociale. Le financement des dépenses correspondantes (prestations, masse salariale et fonctionnement) est assuré principalement par un transfert du régime minier de sécurité sociale (34,2 M€ en 2022). Les dépenses et les recettes afférentes à la gestion de l’ASS ne sont donc pas retracées dans les tableaux ci-après qui ne concernent que le programme 174. Les effectifs correspondants, financés par l’ASS (144 ETPT au 31/12/2022), figurent néanmoins dans le tableau des emplois de l’opérateur du présent rapport.


 

   Financement apporté à l’opérateur par le budget de l’État

(en milliers d'euros)

 

Réalisation 2021

Prévision LFI 2022

Réalisation 2022

Programme intéressé
Nature de la dépense
 

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

P362 – Écologie

1 200

1 200

 

 

 

 

Dotations en fonds propres

1 200

1 200

 

 

 

 

P174 – Énergie, climat et après-mines

261 946

261 946

262 699

262 699

252 643

252 643

Subventions pour charges de service public

12 485

12 485

12 192

12 192

12 055

12 055

Transferts

249 460

249 460

250 507

250 507

240 588

240 588

P363 – Compétitivité

 

 

 

 

90

90

Transferts

 

 

 

 

90

90

Total

263 146

263 146

262 699

262 699

252 733

252 733

 

Le total des recettes de l’agence est de 290,8 M€, dont 252,7 M€ issu du programme 174 et 34,5 M€ issu de l’Action sanitaire et sociale (ASS) et 3,7 M€ de ressources propres, qui proviennent essentiellement des refacturations des personnels mis à disposition, du recouvrement d’indus et de cotisations sociales.

 

   Compte financier 2022

Avertissement
Le compte financier de l’opérateur n’a pas été certifié par un commissaire aux comptes.

 

Compte de résultat

 

(en milliers d'euros)

Charges

Budget
initial
2022

Compte
financier
2022 *

Produits

Budget
initial
2022

Compte
financier
2022 *

Personnel

9 750

8 772

Subventions de l'État

252 542

252 567

  dont contributions employeur au CAS pensions

199

207

  – subventions pour charges de service public

12 055

12 080

 

 

  – crédits d'intervention( transfert)

240 487

240 487

Fonctionnement autre que les charges de personnel

4 095

4 269

Fiscalité affectée

 

 

Intervention (le cas échéant)

245 448

262 653

Autres subventions

 

8

Total des charges non décaissables sur le fonctionnement et/ou l’intervention

2 668

15 300

Revenus d’activité et autres produits

6 127

23 497

  dont dotations aux amortissements, dépréciations et provisions

2 668

7 650

  dont reprises sur amortissements, dépréciations et provisions

3 319

16 629

  dont valeur nette comptable des éléments d'actif cédés

 

7 650

  dont produits de cession d’éléments d’actif

 

9

 

 

  dont quote-part reprise au résultat des financements rattachés à des actifs

8

56

Total des charges

259 293

275 694

Total des produits

258 669

276 072

Résultat : bénéfice

 

378

Résultat : perte

624

 

Total : équilibre du CR

259 293

276 072

Total : équilibre du CR

259 293

276 072


* Voté

 

Évolution de la situation patrimoniale

 

(en milliers d'euros)

Emplois

Budget
initial
2022

Compte
financier
2022 *

Ressources

Budget
initial
2022

Compte
financier
2022 *

Insuffisance d'autofinancement

1 283

1 016

Capacité d'autofinancement

 

 

Investissements

1 994

1 758

Financement de l'actif par l'État

 

 

 

 

Financement de l'actif par les tiers autres que l'État

 

 

 

 

Autres ressources

6 661

11 986

Remboursement des dettes financières

 

 

Augmentation des dettes financières

 

 

Total des emplois

3 277

2 774

Total des ressources

6 661

11 986

Augmentation du fonds de roulement

3 384

9 212

Diminution du fonds de roulement

 

 


* Voté

 

Les écarts entre comptabilité budgétaire et comptabilité générale résultent des opérations d’ordre (amortissements, provisions, etc.).

 

Trésorerie

(en milliers d'euros)

Compte financier
2021

Budget initial
2022

Compte financier
2022

11 129

9 079

11 939

 

Le solde budgétaire, calculé par différence entre les encaissements et les décaissements, fait apparaître un excédent de 0,7 M€ sur le P174 après les déficits de 6,8 M€ en 2021, de 10,4 M€ en 2020 et 30,4 M€ en 2019.

La trésorerie finale est de 11,9 M€ contre 11,1 M€ au 31/12/2020 soit une situation plus favorable que la prévision du BI 2022 qui était de 9,1 M€. Exprimée en nombre de jours de dépenses, elle ressort à 17 jours de dépenses, contre 15 jours en 2021. En tenant compte des 5,1 M€ de fonds réservés au bilan, la trésorerie nette est de 6,8 M€ soit 10 jours de dépenses. Il s’agit d’un seuil qui reste très bas et que l’agence pilote attentivement de façon infra annuelle en liaison étroite avec les tutelles et avec le contrôleur budgétaire pour ne pas prendre le risque de difficultés de paiement ni sur les salaires, ni sur les dépenses d’intervention, ni sur les factures.

 

Autorisations budgétaires

 

(en milliers d'euros)

Dépenses

Budget initial 2022

Compte financier 2022 *

AE

CP

AE

CP

Personnel

9 750

9 750

9 379

9 379

Fonctionnement

5 500

2 750

3 484

2 749

Intervention

244 125

244 125

242 568

242 619

Investissement

966

1 315

413

880

Total des dépenses AE (A) CP (B)

260 341

257 940

255 844

255 627

dont contributions employeur au CAS pensions

199

199

194

194


* Voté

 

 

(en milliers d'euros)

Recettes

Budget initial
2022

Compte financier
2022 *

Recettes globalisées

255 342

256 292

Subvention pour charges de service public

12 055

12 055

Autres financements de l’État

240 487

240 487

Fiscalité affectée

0

0

Autres financements publics

0

90

Recettes propres

2 800

3 660

Recettes fléchées

0

0

Financements de l’État fléchés

0

0

Autres financements publics fléchés

0

0

Recettes propres fléchées

0

0

Total des recettes  (C)

255 342

256 292

Solde budgétaire (excédent)  (D1 = C – B)

0

665

Solde budgétaire (déficit)  (D2 = B – C)

2 598

0


* Voté

 

Dépenses par destination

(en milliers d'euros)

Destination

Budget initial   
Compte financier * 

Personnel

Fonctionnement

Intervention

Investissement

Total

AE = CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

Autres dépenses

0
0

0
0

0
0

7 135
3 170

7 135
3 170

0
0

0
0

7 135
3 170

7 135
3 170

Gestion des actifs

0
0

0
0

0
0

4 408
4 156

4 408
4 207

0
0

0
0

4 408
4 156

4 408
4 207

Pilotage des activités

9 750
9 379

5 500
3 484

2 750
2 749

0
0

0
0

966
413

1 315
880

16 216
13 276

13 815
13 009

Prestations chauffage espèces

0
0

0
0

0
0

52 066
56 051

52 066
56 051

0
0

0
0

52 066
56 051

52 066
56 051

Prestations logement espèces

0
0

0
0

0
0

60 102
60 871

60 102
60 871

0
0

0
0

60 102
60 871

60 102
60 871

Prestations logement nature

0
0

0
0

0
0

102 418
101 560

102 418
101 560

0
0

0
0

102 418
101 560

102 418
101 560

Prestations préretraite

0
0

0
0

0
0

17 996
16 760

17 996
16 760

0
0

0
0

17 996
16 760

17 996
16 760

Total

9 750
9 379

5 500
3 484

2 750
2 749

244 125
242 568

244 125
242 619

966
413

1 315
880

260 341
255 844

257 940
255 627


* Voté


 

Équilibre financier

(en milliers d'euros)

Besoins

Budget initial
2022

Compte financier
2022 *

Solde budgétaire (déficit)  (D2)

2 598

0

Remboursements d'emprunts (capital), nouveaux prêts (capital), dépôts et cautionnements

146

0

Opérations au nom et pour le compte de tiers : besoins

5 236

5 102

Autres décaissements non budgétaires

1 181

2 377

Sous-total des opérations ayant un impact négatif sur la trésorerie de l'organisme  (1)

9 161

7 479

ABONDEMENT de la trésorerie  = (2) - (1)

0

810

Abondement de la trésorerie fléchée

0

0

Abondement de la trésorerie non fléchée

0

1 318

Total des besoins

9 161

8 289


* Voté

 

(en milliers d'euros)

Financements

Budget initial
2022

Compte financier
2022 *

Solde budgétaire (excédent)  (D1)

0

665

Nouveaux emprunts (capital), remboursements de prêts (capital), dépôts et cautionnements

0

0

Opérations au nom et pour le compte de tiers : financement

5 236

5 081

Autres encaissements non budgétaires

1 504

2 543

Sous-total des opérations ayant un impact positif sur la trésorerie de l'organisme  (2)

6 740

8 289

PRÉLÈVEMENT sur la trésorerie  = (1) - (2)

2 421

0

Prélèvement sur la trésorerie fléchée

500

508

Prélèvement sur la trésorerie non fléchée

1 921

0

Total des financements

9 161

8 289


* Voté

 

 

   Consolidation des emplois de l’opérateur

 

Réalisation 2021
(1)

Prévision 2022
(2)

Réalisation 2022

Emplois rémunérés par l'opérateur :

127

124

123

  – sous plafond

125

122

121

  – hors plafond

2

2

2

        dont contrats aidés

 

 

 

        dont apprentis

 

 

 

Autres emplois en fonction dans l'opérateur :

 

 

144

  – rémunérés par l'État par d'autres programmes

 

 

 

  – rémunérés par d'autres collectivités ou organismes

 

 

144


(1) La réalisation reprend la présentation du RAP 2021.


(2) La prévision fait référence aux plafonds des autorisations d'emplois votés en loi de finances initiale ou, le cas échéant, en lois de finances rectificatives 2022.

 

En exécution au 31 décembre 2022, l’agence compte au total 267 ETPT (dont 144 ETPT pris en charge par le budget de l’ASS), soit une diminution de 8 ETPT par rapport au réalisé 2021.

S’agissant du budget P174, l’agence a atteint les deux objectifs qui lui sont imposés :

  • Le plafond d’autorisations d’emplois voté de 124 ETPT, dont 121 ETPT sous plafond inscrit en loi de finances initiale 2022 a été respecté.

  • L’objectif de réduction du plafond de 3 ETP, conformément au schéma d’emplois inscrit dans le PLF, a été dépassé : au 31 décembre 2022, l’agence compte 121 ETP, soit une baisse de 4 ETP par rapport à 2021.

 

OPÉRATEUR

CITEPA - Centre interprofessionnel technique d'études de la pollution atmosphérique

 

   Analyse de l’activité et des résultats de l’opérateur

Missions

Créé en 1961, le Centre interprofessionnel technique d’études de la pollution atmosphérique (CITEPA) est une association à but non lucratif (loi 1901), organisme de référence au niveau national en matière de changement climatique et de pollution atmosphérique. Le CITEPA identifie, analyse et diffuse des informations sur les émissions de polluants atmosphériques et de gaz à effet de serre (GES), en France et à l’international. Il évalue et rapporte les actions d’adaptation à toutes échelles territoriales et d’entreprises. Le CITEPA est ainsi une charnière entre l’État, ses administrations et le secteur privé, en France et dans d’une vingtaine de pays. Il rassemble plus de 90 adhérents représentatifs des émissions atmosphériques et leur expertise (industriels, fédérations et syndicats professionnels, producteurs et distributeurs d’énergie, constructeurs automobiles, éco-industries, associations dans l’environnement, bureaux d’études, organismes de recherche, associations de mesures de la qualité de l’air (AASQA) et laboratoires de mesure).


En France, le CITEPA remplit, à la demande du ministère chargé de l’environnement, la fonction de centre national de référence des émissions dans l’air en application de l’arrêté du 24 août 2011 relatif au système national d’inventaires d’émissions et de bilans dans l’atmosphère (SNIEBA) pour mettre en œuvre certaines dispositions issues du code de l’environnement notamment au chapitre IX Effet de serre du titre II Air et atmosphère du livre II Milieux physiques de la partie législative du code de l’environnement. À ce titre, le CITEPA détermine régulièrement les quantités de polluants et de gaz à effet de serre rejetées dans l’atmosphère provenant de différentes sources prolongeant et confirmant ainsi une compétence et une expérience acquises depuis le milieu des années 1960. Il a notamment développé dans les années 1980 et 1990 une méthodologie de réalisation de ces inventaires (CORINAIR), reconnue et utilisée au niveau de l’Europe entière. L’activité du CITEPA en matière d’inventaires d’émissions revêt un intérêt particulièrement important dans la mesure où elle constitue l’un des éléments indispensables au regard des engagements souscrits par la France (Kyoto, Göteborg, directives européennes sur les plafonds d’émissions de polluants, grandes installations de combustion, etc.). La production des inventaires d’émissions, la réalisation d’activités associées (audits des Nations Unies, audits des Parties tierces, cohérence avec les autres instruments de la politique environnementale telles que projections, mécanismes de marché quotas CO2, projets domestiques, etc.), sont des actions essentielles pour que la France respecte ses diverses obligations.


Gouvernance et pilotage stratégique

Son statut associatif confère au CITEPA un cadre juridique non lucratif de droit privé. La réalisation des inventaires pour le compte du MTE est encadrée par une convention pluriannuelle d’objectifs. Des échanges réguliers ont lieu entre les services du MTE et le CITEPA dans ce cadre, et trois réunions annuelles rassemblant l’ensemble des administrations intéressées sont organisées pour valider les évolutions méthodologiques et les résultats d’inventaires (GCIIE – Groupe de Concertation et d’Information sur les Inventaires d’Émissions).


Bilan 2022

L’activité en France du CITEPA en 2022 s’inscrit dans un contexte de reprise soutenue en raison de la fin progressive des restrictions de déplacement. Le travail à domicile qui avait été étendu pour faire face à la pandémie de Covid‑19 demeure un moyen de flexibilité des conditions de travail en France et à l’international à raison de deux jours par semaine. Les travaux du CITEPA ont répondu aux orientations de la nouvelle Convention pluriannuelle d’objectifs (CPO 2022-2024) :

  • finalisation du travail de spatialisation explicite des données d’inventaires pour les secteurs des terres, dit « UTCATF » ;

  • amélioration continue des inventaires notamment grâce au développement de solutions alternatives d’étalonnages (satellite);

  • participation du CITEPA au groupe de travail de la Direction Générale du Climat (DG Clima) sur les inventaires de gaz à effet de serre ;

  • cadre de transparence renforcé pour suivre l’impact des politiques et mesures ;

  • renforcement des capacités air et climat à l’international


La production des inventaires d’émission et les activités associées (audits des Nations-Unies, audits des parties tierces, cohérence avec les autres instruments de la politique environnementale tels que projections, mécanismes de marché comme les quotas CO2) sont des activités essentielles pour que la France se conforme à ses obligations dans le cadre de différents dispositifs européens et internationaux (Kyoto, Göteborg, directives européennes sur les plafonds d’émissions de polluants, grandes installations de combustion). En cas de travaux d’inventaires jugés non satisfaisants, la France pourrait être non éligible à certains protocoles, comme celui de Kyoto, ce qui la priverait ainsi de l’accès au marché des quotas. La participation du CITEPA à divers exercices afin d’aider des pays tiers à consolider leur système de mesure, de rapportage, de Contributions Déterminées au niveau national (NDCs) et de rapports biennaux (BUR) s’est poursuivie, grâce au déploiement de sa suite logicielle RISQ, contribuant ainsi au respect des obligations internationales de la France en matière d’appui aux pays en voie de développement et à l’implémentation de l’Accord de Paris. Une vingtaine de pays tiers ont été accompagnés en 2022. Les travaux de secrétariat technique de la task force on Techno-economic issues (TEFTEI), au sein de la Convention air de Genève et de son Protocole de Göteborg, s’est développée sur la maîtrise des émissions de polluants atmosphériques dans les pays de l’EOCAC.


S’appuyant sur son expérience et son expertise en matière d’inventaires d’émissions de gaz à effet de serre, le CITEPA propose depuis le mois de novembre 2020 un baromètre mensuel des émissions cohérent avec la méthodologie de l’inventaire, sur la base des données statistiques mensuelles disponibles. Même s’il s’appuie sur des données provisoires, ce baromètre permet de suivre, chaque trimestre, les tendances d’émissions sans attendre la consolidation des inventaires officiels. Des comparaisons avec l’inventaire national ont confirmé la grande fiabilité de cet indicateur. Le temps de réactivité par rapport aux émissions réelles ne cesse de s’améliorer.


 

   Financement apporté à l’opérateur par le budget de l’État

(en milliers d'euros)

 

Réalisation 2021

Prévision LFI 2022

Réalisation 2022

Programme intéressé
Nature de la dépense
 

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

P149 – Compétitivité et durabilité de l'agriculture, de l'agroalimentaire, de la forêt, de la pêche et de l'aquaculture

78

27

 

 

69

73

Transferts

78

27

 

 

69

73

P209 – Solidarité à l'égard des pays en développement

50

50

 

 

 

 

Transferts

50

50

 

 

 

 

P181 – Prévention des risques

227

213

 

 

200

214

Subventions pour charges de service public

 

 

 

 

 

 

Transferts

227

213

 

 

200

214

P174 – Énergie, climat et après-mines

1 509

1 509

1 400

1 400

1 590

1 590

Subventions pour charges de service public

1 376

1 376

1 400

1 400

1 456

1 456

Transferts

133

133

 

 

133

133

Total

1 864

1 800

1 400

1 400

1 859

1 876

 

 

   Compte financier 2022

Avertissement
La situation du compte financier au regard de son vote n'est pas renseignée. Le compte financier de l’opérateur n’a pas été certifié par un commissaire aux comptes.

 

Compte de résultat

 

(en milliers d'euros)

Charges

Budget
initial
2022

Compte
financier
2022 *

Produits

Budget
initial
2022

Compte
financier
2022 *

Personnel

3 416

3 343

Subventions de l'État

1 577

1 577

  dont contributions employeur au CAS pensions

 

 

  – subventions pour charges de service public

1 577

1 577

 

 

  – crédits d'intervention( transfert)

 

 

Fonctionnement autre que les charges de personnel

1 014

1 087

Fiscalité affectée

 

 

Intervention (le cas échéant)

 

 

Autres subventions

103

103

Total des charges non décaissables sur le fonctionnement et/ou l’intervention

63

63

Revenus d’activité et autres produits

2 550

2 550

  dont dotations aux amortissements, dépréciations et provisions

63

63

  dont reprises sur amortissements, dépréciations et provisions

 

 

  dont valeur nette comptable des éléments d'actif cédés

 

 

  dont produits de cession d’éléments d’actif

 

 

 

 

  dont quote-part reprise au résultat des financements rattachés à des actifs

 

 

Total des charges

4 430

4 430

Total des produits

4 230

4 230

Résultat : bénéfice

 

 

Résultat : perte

200

200

Total : équilibre du CR

4 430

4 430

Total : équilibre du CR

4 430

4 430


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée

 

Évolution de la situation patrimoniale

 

(en milliers d'euros)

Emplois

Budget
initial
2022

Compte
financier
2022 *

Ressources

Budget
initial
2022

Compte
financier
2022 *

Insuffisance d'autofinancement

137

137

Capacité d'autofinancement

 

 

Investissements

40

40

Financement de l'actif par l'État

 

 

 

 

Financement de l'actif par les tiers autres que l'État

 

 

 

 

Autres ressources

 

 

Remboursement des dettes financières

 

 

Augmentation des dettes financières

 

 

Total des emplois

177

177

Total des ressources

 

 

Augmentation du fonds de roulement

 

 

Diminution du fonds de roulement

177

177


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée

 

 

Trésorerie

(en milliers d'euros)

Compte financier
2021

Budget initial
2022

Compte financier
2022

1 745

1 400

1 538

 

 

Dépenses par destination

(en milliers d'euros)

Destination

Budget initial   
Compte financier * 

Personnel

Fonctionnement

Intervention

Investissement

Total

Activités associatives - diffusion de l'information

192
192

59
59

0
0

0
0

251
251

Etudes technico-économiques et prospectives

1 660
1 655

513
518

0
0

0
20

2 173
2 193

Formation

243
243

76
76

0
0

0
0

319
319

Inventaires et connexes (CPO) - part DGEC

1 106
1 101

342
347

0
0

0
20

1 448
1 468

Inventaires et connexes (CPO) - Part DGPR

152
152

47
47

0
0

0
0

199
199

Total

3 353
3 343

1 037
1 047

0
0

0
40

4 390
4 430


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée


 

   Consolidation des emplois de l’opérateur

 

Réalisation 2021
(1)

Prévision 2022
(2)

Réalisation 2022

Emplois rémunérés par l'opérateur :

33

33

38

  – sous plafond

16

16

16

  – hors plafond

17

17

22

        dont contrats aidés

 

 

 

        dont apprentis

 

 

 

Autres emplois en fonction dans l'opérateur :

 

 

 

  – rémunérés par l'État par d'autres programmes

 

 

 

  – rémunérés par d'autres collectivités ou organismes

 

 

 


(1) La réalisation reprend la présentation du RAP 2021.


(2) La prévision fait référence aux plafonds des autorisations d'emplois votés en loi de finances initiale ou, le cas échéant, en lois de finances rectificatives 2022.