OBJECTIF
1 – Assurer la conservation et la valorisation du patrimoine audiovisuel |
INDICATEUR
1.1 – Part des fonds menacés de dégradation sauvegardée en numérique
(du point de vue de l'usager)
| Unité | 2020 | 2021 | 2022 | 2022 | 2023 |
---|---|---|---|---|---|---|
Part des fonds menacés de dégradation sauvegardée en numérique | % | 96,47 | 98,96 | 100 | 100,48 | 102 |
Commentaires techniques
Dans le cadre du COM 2015-2019, le mode de calcul de l’indicateur 1.1 a été modifié. En effet, le périmètre du PSN a été révisé à la suite d’une réévaluation des volumes correspondant à la programmation initiale et à l’identification de besoins nouveaux. Il correspond désormais à 935 373 heures d’archives audiovisuelles dont une partie a déjà fait l’objet d’une numérisation au cours du COM précédent.
Remarque : les fonds photographiques inclus dans le nouveau périmètre du PSN ne sont pas comptabilisés dans cet indicateur.
Mode de calcul : Nombre d’heures sauvegardées sur support numérique rapporté au nombre d’heures menacées de dégradation.
Source des données : INA.
INDICATEUR
1.2 – Nombre de vidéos vues en ligne par le grand public
(du point de vue de l'usager)
| Unité | 2020 | 2021 | 2022 | 2022 | 2023 |
---|---|---|---|---|---|---|
Nombre de vidéos vues en ligne par le grand public | heure | 1 132 000 | 1 177 500 | 1 300 000 | 1 317 400 | 1 225 000 |
Commentaires techniques
Précisions méthodologiques
Nombre de vidéos de l’INA vues sur toutes les plateformes en ligne grand public (ina.fr, YouTube, Facebook, Twitter, TikTok etc.).
Périmètre : L’indicateur 1.2 cumule le nombre de vidéos vues par an sur les sites du domaine ina.fr (www.ina.fr, boutique.ina.fr, m.ina.fr, sites.ina.fr, fresques.ina.fr, api.ina.fr, *.ina.fr), y compris le player exportable, et sur les plateformes externes grand public sur lesquelles l’INA propose une offre (YouTube, Facebook, Instagram, Twitter, TikTok, …). Les vidéos de l’INA publiées sur le site franceinfo.fr dans le cadre de l’offre de chaîne publique d’information en continu sont également prises en compte depuis septembre 2016, date de lancement de cette offre.
Mode de calcul : Cumul annuel des vidéos vues sur chaque plateforme en milliers d’heures.
Source des données :
pour les vidéos du domaine *.ina.fr : les logs des serveurs de vidéos INA ;
pour les vidéos des plateformes externes : les reporting fournis par chacune de ces plateformes.
Analyse des résultats
RÉSULTAT OBJECTIF 1
Assurer la conservation et la valorisation du patrimoine audiovisuel
Le présent objectif, qui correspond à l’une des missions que l’INA s’est vu confier par la loi n° 86-1067 du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication, est évalué à l’aune de deux indicateurs de performance :
Part des fonds menacés de dégradation, sauvegardés en numérique :
Fin 2002, une cartographie des fonds en danger avait été élaborée par le cabinet Veritas, qui a servi de base à l’élaboration des COM 1 et 2 tout en fixant la fin du plan de sauvegarde et de numérisation (PSN) à l’horizon 2015. Le périmètre initial de ce plan de sauvegarde couvrait les fonds télévisuels ainsi que les fonds radiophoniques conservés sur des supports obsolètes, soit 759 400 heures.
À ce périmètre initial sont venus s’ajouter les fonds régionaux, ultramarins, ou les migrations sur supports numériques plus récents, portant le volume total à 2 020 963 heures. Une actualisation du périmètre a été réalisée en 2015. Toutefois, malgré cette actualisation, le chiffre de référence reste une valeur relative, dans la mesure où de nouveaux reliquats de fonds menacés à sauvegarder continuent à apparaître régulièrement.
Nombre de vidéos vues en ligne par le grand public :
L’un des objectifs des COM 3 et 4 était de restituer au public, dans le respect des ayants droit, les images et les sons qui constituent la mémoire collective de ces soixante dernières années.
Cet objectif a été reconduit dans le cadre du COM5 pour la période 2020-2022.
L’indicateur retenu pour apprécier la performance de la valorisation des archives auprès du grand public mesure le nombre de vidéos vues gratuitement par le grand public sur les supports numériques propriétaires de l’INA (ina.fr), comme sur les plateformes externes (Facebook, YouTube, Instagram, Twitter, TikTok). Cet indicateur permet de suivre l’activité de média patrimonial de l’INA à destination du grand public. Il reflète la performance des activités éditoriales de l’Institut sur les supports numériques.
Analyse du résultat de l’indicateur 1.1 :
Marquée par l’intégration dans les nouveaux locaux et les nécessaires ajustements liés à ces relocalisations et à la réalisation des travaux liés au programme France Relance, l’année 2022 a permis, dans ce contexte, de maintenir un rythme de travail important avec la numérisation de plus de 23 000 heures pour les fonds dits « dévolus », sans compter les fonds tiers.
Au 31 décembre 2022, le taux de numérisation des archives s’élève à 100,48 % (2 020 963 heures cumulées de fonds sauvegardés), soit un taux légèrement supérieur à la prévision (100 %). Pour autant, ce taux de 100 % ne doit pas laisser à penser que tout a été numérisé, tant les valeurs de référence qui servent au calcul initial d’avancement sont datées (2003), et restent relatives, malgré leur révision de 2015. Le suivi d’activité tel que défini dans le COM5 n’y fait d’ailleurs plus référence. Parmi les archives numérisées par l’INA en 2022 dans le cadre de cet indicateur on relève :
plus de 400 heures de remasterisation ;
166 heures de programmes « inédits » ;;
de plus de 6 000 heures de fonds régionaux numérisés à partir de supports bêta ou migrée à partir de XDCAM. Ces activités sont en décroissance du fait du tarissement progressif des fonds restant à numériser. Le marché externe s’est d’ailleurs éteint en 2021, laissant place à un travail restant réalisé entièrement en interne ;
378 heures de fonds vidéo ultramarins numérisés, reliquat particulièrement difficile à traiter du fait de leur importante dégradation.
Outre ces activités, la numérisation de fonds encore inédits s’est poursuivie en 2022 pour atteindre près de 9 000 heures.
Analyse du résultat de l’indicateur 1.2 :
Internet a profondément transformé l’activité de valorisation des archives de la radio et de la télévision de l’Institut : s’adressant auparavant exclusivement aux professionnels, l’INA s’adresse désormais également au grand public. Après l’ouverture en 2006 de son site ina.fr et la mise à disposition d’une partie de son fonds d’archives au grand public, l’INA s’est engagé dans une politique de curation et d’éditorialisation s’adressant à tous les publics et déployée sur tous les supports, à travers l’animation de multiples vecteurs de diffusion : site Ina.fr, ou encore chaînes YouTube, Dailymotion et réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Instagram, TikTok).
L’année 2021 avait été une année record avec des audiences principalement enregistrées sur les plateformes Facebook et YouTube (80 % des vidéos vues) et de nouveaux canaux comme Instagram et Tik Tok. Une progression globale des audiences continue sur l’année 2022, avec plus de 1,3 milliard de vidéos vues enregistrées sur l’ensemble des plateformes (une augmentation d’environ 140 000 vidéos par rapport à 2021) et près de 9,2 millions d’abonnés à l’ensemble des canaux INA. Les deux plateformes amirales restent Facebook, qui se stabilise avec 599 millions de vidéos vues, et YouTube qui enregistre une progression record, liée notamment à la réussite des shorts INA, qui permettent une progression de 70 % des vidéos vues (soit 514 millions de vidéos vues sur l’ensemble des chaînes) et un rajeunissement du public (42 % des audiences sont réalisées chez les 18-35 ans). Une progression s’observe également sur Instagram et TikTok, où l’approche éditoriale sur-mesure pour ces audiences a été payante : sur Instagram, bientôt 1 million d’abonnés et plus de 150 millions de vidéos vues réalisées, soit une augmentation de 26 % par rapport à 2021 ; sur TikTok, une progression record d’abonnés avec plus 190 000 abonnés à ce jour (40 000 en 2021) et plus de 15 millions de vidéos vues.
OBJECTIF
2 – Constituer et transmettre les savoirs et les compétences |
INDICATEUR
2.1 – Taux d'insertion professionnelle des diplômés
(du point de vue de l'usager)
| Unité | 2020 | 2021 | 2022 | 2022 | 2023 |
---|---|---|---|---|---|---|
Taux d'insertion professionnelle des diplômés | % | 81 | 84,1 | >70 | 81 | >75 |
Commentaires techniques
Précisions méthodologiques
Le taux d’insertion est calculé sur l’ensemble des diplômés d’une promotion en recherche effective d’activité (i.e. en excluant les diplômés ayant fait le choix de poursuivre des études et les inactifs). Depuis 2017, son calcul est réalisé par un tiers extérieur.
Périmètre : Anciens élèves des formations initiales INA, diplômés l’année précédant la mesure.
Mode de calcul : Nombre de diplômés ayant trouvé un emploi qualifié dans l’année qui suit l’obtention de leur diplôme (1) rapporté à l’ensemble des diplômés de cette promotion (2).
anciens étudiants ayant exercé une activité professionnelle qualifiée en lien avec la formation dispensée durant au moins 3 mois cumulés, depuis l’obtention de leur diplôme, au moment de l’enquête (N+1)
hors anciens étudiants en poursuite d’études ou inactifs (hommes et femmes au foyer, personnes en incapacité de travailler…)
Source des données : INA.
Remarque : Les données sont prévisionelles.
Analyse des résultats
RÉSULTAT OBJECTIF 2
Constituer et transmettre les savoirs et les compétences
L’INA poursuit le développement de ses offres de formation initiale et continue avec l’objectif de favoriser l’insertion professionnelle, notamment en adaptant son catalogue aux évolutions des usages à l’innovation et aux besoins des professionnels du secteur de l’audiovisuel et des médias numériques, ainsi qu’aux acteurs du secteur « hors média », en veillant à s’adapter au contexte issu de la réforme de la formation professionnelle (loi sur la formation professionnelle et l’apprentissage du 6 septembre 2018 pour la liberté de choisir son avenir professionnel).
Analyse du résultat de l’objectif n° 2 :
Le taux d’insertion professionnelle pour l’année 2022 atteint 81 % pour l’ensemble des diplômes d’INAsup, soit un taux supérieur à l’objectif fixé par le COM5 (70 %), en baisse néanmoins par rapport à 2021 (où il atteignait 84 %), revenant au même niveau que 2020.
OBJECTIF
3 – Assurer la maîtrise de la masse salariale, optimiser la gestion et être une entreprise de média exemplaire |
INDICATEUR
3.1 – Maîtrise des charges
(du point de vue du contribuable)
| Unité | 2020 | 2021 | 2022 | 2022 | 2023 |
---|---|---|---|---|---|---|
Charges de personnels | M€ | 66,2 | 66,3 | 67 | 66,9 | 68 |
Frais généraux | M€ | 2,2 | 2,2 | <3 | 2,2 | <3 |
Commentaires techniques
Précisions méthodologiques
Mode de calcul :
Le montant des charges de personnel correspond à l’ensemble des coûts des personnels permanents et non-permanents de l’établissement (hors intermittents).
Les frais généraux correspondent à l’ensemble dépenses d’énergie, charges locatives et de copropriété, locations mobilières, frais de mission, frais de réception, transport collectif du personnel, téléphonie, fournitures administratives, documentations et photocopies.
Source des données : INA.
Note : la cible pour l’année 2023 a été reprise dans l’avenant portant au COM 2020-2022 visant à proroger le COM sur l’année 2023.
Indicateur de suivi 3.1.1 : Nombre d’ ETP permanents et non permanents
Unité | Réalisation 2017 | Réalisation 2018 | Réalisation 2019 | Réalisation 2020 | Réalisation 2021 | Réalisation | |
ETP permanents fin d’année | ETP | 925 | 920 | 915 | 921 | 898 | 882 |
ETP non permanents fin d’année | ETP | 70 | 74 | 68 | 75 | 61 | 68,8 |
INDICATEUR
3.2 – Ressources propres
(du point de vue du contribuable)
| Unité | 2020 | 2021 | 2022 | 2022 | 2023 |
---|---|---|---|---|---|---|
Ressources propres | M€ | 34,1 | 40,2 | 38 | 42,3 | 39 |
Commentaires techniques
Précisions méthodologiques
Mode de calcul : somme des recettes commerciales de l’INA
Source des données : INA, rapports d’exécution du COM 5 et rapports de gestion des exercices clôturés pour les réalisations 2020-2022, arrêté prévisionnel des comptes 2022.
Indicateur de suivi 3-2-1 : chiffres d’affaires provenant des activités de formation et de cession
|
Mode de calcul : somme des recettes commerciales de l’INA.
Le chiffre d’affaires issu de la formation présenté dans le tableau ne correspond pas à l’intégralité du chiffre d’affaires de la Direction générale Campus (DG Campus), qui génère par ailleurs des recettes liées aux missions d’expertise et de conseil qu’elle conduit.
Source des données : INA, rapports de gestion des exercices clôturés pour les réalisations, plan d’affaires pluriannuel pour les cibles.
INDICATEUR
3.3 – Index égalité femmes-hommes
(du point de vue du contribuable)
| Unité | 2020 | 2021 | 2022 | 2022 | 2023 |
---|---|---|---|---|---|---|
Résultat de l'index égalité femmes-hommes | ratio | 98 | 98 | ≥ 2021 | 99 | Non déterminé |
Commentaires techniques
Précisions méthodologiques
Source des données : INA
Mode de calcul : Cet indicateur est défini par la loi du 5 septembre 2018 et comporte cinq paramètres : l’écart de rémunération entre les femmes et les hommes à poste égal et âge comparable, le nombre de femmes parmi les dix plus hautes rémunérations, le pourcentage de salariées ayant bénéficié d’une augmentation dans l’année de leur retour de congés maternité, l’écart de taux de promotions entre les femmes et les hommes ainsi que l’écart de taux d’augmentations individuelles de salaire.
Analyse des résultats
RÉSULTAT OBJECTIF 3
Assurer la maîtrise de la masse salariale et optimiser la gestion
Cet objectif est triple : maîtriser l’évolution des charges ; maintenir l’équilibre entre ressources propres et ressources publiques. Deux indicateurs de performance permettent de le mesurer et assurer l’égalité entre les femmes et les hommes au sein de l’entreprise.
-Maîtrise des charges et des effectifs : cet indicateur se compose de deux volet s :
Montant des charges de personnel
L’Institut s’est engagé à poursuivre l’effort de maîtrise de sa masse salariale réalisé au cours de l’exécution des quatre premiers COM et à respecter l’objectif de masse salariale fixé dans son COM5 pour 2022 (66,9 M€). Ces charges constituent en effet le poste principal parmi les dépenses de l’INA. L’objectif est de limiter le poids des charges salariales dans la structure des dépenses, sans que cette évolution ne soit obtenue au détriment de la maîtrise des autres charges d’exploitation ou du développement des activités et ressources propres de l’Institut. Ce volet est complété par le suivi des effectifs permanents et non permanents exprimés en équivalents temps plein (ETP) (indicateur de suivi 3.1.1).
Frais généraux rapportés aux charges d’exploitation
L’objectif est de limiter le poids des frais généraux. L’effort de maîtrise affirmé dans les précédents COM a permis de les stabiliser à des niveaux acceptables par une identification plus précise au travers d’une comptabilité analytique refondue, des procédures revues et la mise en œuvre de nombreux marchés d’encadrement des coûts récurrents (contractualisation de marchés ayant entraîné une baisse des coûts dans les domaines de la téléphonie, de la reprographie ou encore des supports informatiques).
-Part des ressources propres rapportées aux ressources totales :
Cet indicateur doit permettre de vérifier que l’intensification et la diversification des activités de l’INA visent bien à accroître de manière maîtrisée ses ressources propres. Cet indicateur est complété par le suivi du chiffre d’affaires des activités de formation et de cession des droits, qui sont les deux activités les plus génératrices de ressources propres pour l’Institut.
-Index égalité femmes-hommes :
Cet indicateur doit permettre de mettre en lumière le niveau d’égalité salariale atteint au sein de l’Institut Ses critères sont définis par la loi du 5 septembre 2018 et comporte cinq paramètres : l’écart de rémunération entre les femmes et les hommes à poste égal et âge comparable, le nombre de femmes parmi les dix plus hautes rémunérations, le pourcentage de salariées ayant bénéficié d’une augmentation dans l’année de leur retour de congés maternité, l’écart de taux de promotions entre les femmes et les hommes ainsi que l’écart de taux d’augmentations individuelles de salaire.
Analyse globale des résultats et de la performance de l’objectif n° 3 :
Pour l’année 2022, la masse salariale (hors charges d’intermittence) s’établit à 66,9 M€ contre 66,3 M€ en 2021 et un niveau stable par rapport aux prévisions du budget initial de décembre 2021. La masse salariale des personnels permanents progresse de 0,6 M€ tandis que l’enveloppe consacrée au personnel non permanent, notamment les CDD de remplacement, est stable.
Le montant des frais généraux de l’INA s’établit à 2,2 M€ en 2022 soit un niveau en-deçà de l’objectif annuel fixé dans le projet annuel de performance pour 2022 (inférieur à 3 M€) et stable par rapport à l’exercice 2021. Rapportée aux dépenses totales, la part des frais généraux s’établit à 2 %. Cet indicateur confirme l’efficacité de la démarche de maîtrise des charges engagée depuis 2015 et plus particulièrement sur celles relevant de la catégorie des frais généraux comme la téléphonie, mobile et fixe, les abonnements ou les fournitures administratives.
L’indicateur n° 3.2 relatif au chiffre d’affaires réalisé s’établit à 42,3 M€, un niveau jamais atteint depuis 2012, en hausse de 5 % par rapport à 2021 et de 9 % par rapport au budget initial 2022 :
s’agissant du chiffre d’affaires des activités de formation : en dépit des derniers effets des mesures sanitaires qui ont encore perturbé ces activités en début d’année, le chiffre d’affaires progresse de 12 % (+757 k€) par rapport à l’exercice précédent et de 11 % par rapport au budget initial (+728 k€) ;
s’agissant du chiffre d’affaires tiré des activités de cession de droits : il progresse également par rapport à 2021 :
les recettes tirées des cessions de contenus atteignent 14 M€ (+4 % par rapport à 2021), l’INA a notamment observé une forte reprise de ses ventes d’extraits en France et à l’international par rapport à 2021 ;
les recettes tirées des conventions encadrant notamment les cessions d’archives à France Télévisions, Radio France, FMM ou encore TF1 atteignent 11,8 M€ (stable par rapport à 2021).
L’indicateur 3.3 montre que l’Institut a pu améliorer son résultat à l’index égalité femmes-hommes en 2022 (score de 99/100 contre 98/100 en 2021).