$@FwLOVariable(annee#2023)

$@FwLOVariable(numProg#217)

$@FwLOVariable(libelleProg#Conduite et pilotage des politiques de l'écologie, du développement et de la mobilité durables)

$@FwLOVariable(enteteSousTitre#Justification au premier euro)

 

Justification au premier euro

Éléments transversaux au programme

Éléments de synthèse du programme

 

Autorisations d'engagement

Crédits de paiement

Action / Sous-action

Titre 2
Dépenses
de personnel

Autres titres

Total

Titre 2
Dépenses
de personnel

Autres titres

Total

07 – Pilotage, support, audit et évaluations

617 434 758

214 530 888

831 965 646

617 434 758

229 117 347

846 552 105

08 – Personnels œuvrant pour les politiques de transport

593 400 248

0

593 400 248

593 400 248

0

593 400 248

09 – Personnels oeuvrant pour les politiques du programme "Sécurité et éducation routières"

0

0

0

0

0

0

11 – Personnels oeuvrant pour les politiques du programme "Affaires maritimes"

206 095 814

0

206 095 814

206 095 814

0

206 095 814

13 – Personnels œuvrant pour la politique de l'eau et de la biodiversité

266 539 288

0

266 539 288

266 539 288

0

266 539 288

15 – Personnels œuvrant pour les politiques du programme Urbanisme, territoires et aménagement de l'habitat

676 463 214

0

676 463 214

676 463 214

0

676 463 214

16 – Personnels œuvrant pour la politique de la prévention des risques

267 854 064

0

267 854 064

267 854 064

0

267 854 064

18 – Personnels relevant de programmes d'autres ministères

0

0

0

0

0

0

22 – Personnels transférés aux collectivités territoriales

17 717 506

0

17 717 506

17 717 506

0

17 717 506

23 – Personnels œuvrant pour les politiques de l'énergie et du climat

66 189 573

0

66 189 573

66 189 573

0

66 189 573

25 – Commission nationale du débat public

3 102 422

964 149

4 066 571

3 102 422

964 149

4 066 571

26 – Autorité de contrôle des nuisances aéroportuaires (ACNUSA)

1 501 727

509 158

2 010 885

1 501 727

509 158

2 010 885

27 – Commission de régulation de l'énergie (CRE)

15 905 476

4 168 545

20 074 021

15 905 476

6 729 215

22 634 691

28 – Personnels œuvrant dans le domaine de la stratégie et de la connaissance des politiques de transition écologique

52 084 916

0

52 084 916

52 084 916

0

52 084 916

Total

2 784 289 006

220 172 740

3 004 461 746

2 784 289 006

237 319 869

3 021 608 875




Évolution du périmètre du programme

   Transferts en crédits

Prog
Source
/ Cible

T2
Hors Cas
pensions

T2
CAS
pensions

Total T2

AE
Hors T2

CP
Hors T2

Total AE

Total CP

Transferts entrants

+4 802 572

+1 760 506

+6 563 078

+1 136 758

+1 136 758

+7 699 836

+7 699 836

DGD des départements - ajustement non pérenne de la compensation financière

119 ►

+133 261

 

+133 261

 

 

+133 261

+133 261

DGD Ports - ajustement non pérenne de la compensation financière

119 ►

+76 472

 

+76 472

 

 

+76 472

+76 472

DGD EMS - ajustement non pérenne DAC "Transfert de services"

119 ►

+10 879

 

+10 879

 

 

+10 879

+10 879

Loi de programmation pour la recherche - mesures reconventionnelles 2023

150 ►

 

 

 

+82 977

+82 977

+82 977

+82 977

Contribution des ministères sociaux à la solution de messagerie MEL

124 ►

 

 

 

+49 000

+49 000

+49 000

+49 000

BTS maritimes (MENJ)

141 ►

+180 782

+100 695

+281 477

 

 

+281 477

+281 477

Evolution du schéma d'organisation de l'école nationale des travaux publics de l'Etat

217 ►

 

 

 

+879 781

+879 781

+879 781

+879 781

Mise en place Direction générale des affaires maritimes, de la pêche et de l'aquaculture (DGAMPA)

215 ►

+4 331 978

+1 659 811

+5 991 789

 

 

+5 991 789

+5 991 789

MOA Exploc ETP

216 ►

+69 200

 

+69 200

 

 

+69 200

+69 200

Mise en place Direction générale des affaires maritimes, de la pêche et de l'aquaculture (DGAMPA)

205 ►

 

 

 

+125 000

+125 000

+125 000

+125 000

Transferts sortants

-5 425 720

-2 380 873

-7 806 593

-2 519 507

-2 519 507

-10 326 100

-10 326 100

Montée en charge du Centre de gestion financière d'administration centrale

► 156

-64 825

-22 236

-87 061

 

 

-87 061

-87 061

Transfert de la liquidation des taxes d'urbanisme à la DGFIP

► 156

-1 895 202

-840 613

-2 735 815

-5 184

-5 184

-2 740 999

-2 740 999

Transfert de contributions obligatoires à la DGEC

► 174

 

 

 

-2 487 729

-2 487 729

-2 487 729

-2 487 729

Montée en charge du Centre de gestion financière d'administration centrale - HT2

► 156

 

 

 

-2 500

-2 500

-2 500

-2 500

Transfert renforcement couronne SGCd SIC - DRIEEAT

► 354

-409 591

-184 065

-593 656

-1 080

-1 080

-594 736

-594 736

Transfert fluvial axe Rhône Saône

► 354

-63 724

-26 787

-90 511

 

 

-90 511

-90 511

Laboratoires d'hydrobiologie

► 113

-2 376 843

-1 042 926

-3 419 769

-23 014

-23 014

-3 442 783

-3 442 783

Evolution du schéma d'organisation de l'école nationale des travaux publics de l'Etat

► 217

-615 535

-264 246

-879 781

 

 

-879 781

-879 781

 

   Transferts en ETPT

Prog
Source
/ Cible

ETPT
ministériels

ETPT
hors État

Transferts entrants

+75,33

+11,00

BTS maritimes (MENJ)

141 ►

+1,33

 

Evolution du schéma d'organisation de l'école nationale des travaux publics de l'Etat

217 ►

 

+11,00

Mise en place Direction générale des affaires maritimes, de la pêche et de l'aquaculture (DGAMPA)

215 ►

+73,00

 

MOA Exploc ETP

216 ►

+1,00

 

Transferts sortants

-140,93

 

Montée en charge du Centre de gestion financière d'administration centrale

► 156

-1,00

 

Transfert de la liquidation des taxes d'urbanisme à la DGFIP

► 156

-48,93

 

Transfert renforcement couronne SGCd SIC - DRIEEAT

► 354

-10,00

 

Transfert fluvial axe Rhône Saône

► 354

-1,00

 

Laboratoires d'hydrobiologie

► 113

-69,00

 

Evolution du schéma d'organisation de l'école nationale des travaux publics de l'Etat

► 217

-11,00

 

 

 

Emplois et dépenses de personnel

   Emplois rémunérés par le programme

(en ETPT)

Catégorie d'emplois

Plafond
autorisé
pour 2022

Effet des
mesures de
périmètre
pour 2023

Effet des
mesures de
transfert
pour 2023

Effet des
corrections
techniques
pour 2023

Impact des
schémas
d’emplois
pour 2023

dont extension
en année pleine des
schémas d'emplois
2022 sur 2023

dont impact
des schémas
d'emplois
2023 sur 2023

Plafond
demandé
pour 2023

(1)

(2)

(3)

(4)

(5) = 6-1-2-3-4

(6)

1052 - Catégorie A

11 982,00

0,00

+32,33

0,00

+1,67

+43,57

-44,20

12 016,00

1053 - Catégorie B

13 655,00

0,00

-72,93

0,00

-60,07

+34,20

-93,54

13 522,00

1054 - Catégorie C

9 587,00

0,00

-25,00

+141,00

-79,00

-0,72

-77,08

9 624,00

Total

35 224,00

0,00

-65,60

+141,00

-137,40

+77,05

-214,82

35 162,00

 

Le programme 217 comprend les effectifs des ministères de la transition écologique et de la cohésion des territoires, de la transition énergétique et du secrétariat d’État chargé de la mer.

Volume et structure des emplois

 Le plafond d’autorisation des emplois du programme 217 voté en LFI 2022 s’élevait à 35 224  ETPT.

En 2023, le programme 217 connaîtra une évolution de son plafond d’emplois de ‑62 ETPT, résultant des éléments suivants :

- l’effet en année pleine ( ETPT) du schéma d’emplois mis en œuvre en 2022, soit +77 ETPT ;

- l’effet en année courante ETPT) du schéma d’emplois pour 2023, soit ‑215 ETPT ;

- une correction technique de +141 ETPT ;

- le solde des mesures de périmètre et de transferts d’emplois établi à ‑66  ETPT.

 

Dans le détail, le plafond d’emplois du programme 217 est construit comme suit :

 

 1- Effet année pleine (EAP) du schéma d’emplois 2022 :

Le schéma d’emplois arrêté en LFI 2022 à ‑226 ETP produit un effet en 2023 estimé à +77 ETPT après prise en compte des hypothèses de flux et des dates moyennes d’entrée et de sortie.

 

 2- Effet année courante (EAC) du schéma d’emplois 2023 :

Le schéma d’emplois 2023 est fixé à 0 ETP. Après prise en compte des hypothèses de flux et des dates moyennes d’entrée et de sortie, « l’effet année courante » du schéma d’emplois 2023 est estimé à ‑215 ETPT.

 

3- Transferts internes au budget de l’État (transferts entre missions et programmes)

 

En 2023, les transferts entrants suivants ont été actés :

 

- le transfert de 73 ETPT au bénéfice de l’action 11 (personnels œuvrant pour les politiques maritimes) en provenance du programme 215 « Conduite et pilotage des politiques de l’agriculture », du ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire correspondant à la mise en place de la direction générale des affaires maritimes, de la pêche et de l’aquaculture (DGAMPA) ;

- le transfert de 1,33 ETPT au bénéfice de l’action 11 (personnels œuvrant pour les politiques maritimes) en provenance du programme 141 « Enseignement scolaire public du second degré » du ministère de l’éducation nationale et de la jeunesse, correspondant au transfert des emplois des professeurs techniques de l’enseignement maritime ;

- le transfert d’1 ETPT au bénéfice de l’action 15 (personnels œuvrant pour les politiques d’urbanisme, territoires et amélioration de l’habitat) en provenance du programme 216 « Conduite et pilotage des politiques de l’intérieur » correspondant à la reprise au sein du pôle ministériel de la MOA puis de la MOE d’un système d’information relatif au suivi et au pilotage des expulsions locatives (Exploc).

 

En 2023, les transferts sortants suivants ont été actés :

 

- le transfert de la masse salariale correspondant à 11 ETPT du programme 217 T2 (pilotage, support, audit et évaluations) vers le programme 217 HT2 (Conduite et pilotage des politiques de l’écologie, du développement et de la mobilité durables – budget des opérateurs) des ministères de la transition écologique et de la cohésion des territoires, de la transition énergétique et du secrétariat d’État chargé de la mer correspondant à l’évolution du schéma d’organisation de l’école nationale des travaux publics de l’État ;

 

- le transfert de 69 ETPT depuis l’action 13 (personnels œuvrant pour la politique de l’eau et de la biodiversité) vers l’Office français de la biodiversité, correspondant au transfert des laboratoires d’hydrobiologie ;

 

- le transfert d’1 ETPT depuis l’action 8 (personnel œuvrant pour les politiques de transport) vers le programme 354 (Administration territoriale de l’État) du Ministère de l’intérieur correspondant au transfert fluvial axe Rhône Saône ;

 

- le transfert de 10 ETPT depuis l’action 7 (pilotage, support, audit et évaluations) vers le programme 354 (Administration territoriale de l’État) du ministère de l’intérieur et des outre-mer dans le cadre de la réforme de l’organisation territoriale de l’État (OTE) et de la suite de la constitution du secrétariat général aux moyens mutualisés (SGAMM) de la préfecture de la région Île-de-France, correspondant à la création des services interministériels départementaux des systèmes d’information et de communication SIDSIC) ;

 

- le transfert de 48,93 ETPT depuis l’action 15 (personnels œuvrant pour les politiques du programme urbanisme, territoires et aménagement de l’habitat) vers le programme 156 « Gestion fiscale et financière de l’État et du secteur public local » du ministère de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique, correspondant au transfert de la liquidation des taxes d’urbanisme à la direction générale des finances publiques (DGFIP) ;

 

- le transfert d’1 ETPT depuis l’action 7 (pilotage, support, audit et évaluations) vers le programme 156 « Gestion fiscale et financière de l’État et du secteur public local » du ministère de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique, correspondant à la montée en charge du centre de gestion financière d’administration centrale.

 

4- Effet des mesures antérieures de décentralisation sur le PAE ministériel :

 

Le suivi des transferts liés aux différentes vagues de décentralisation sur le volet des emplois (nouveaux transferts, droit d’option, départs définitifs, etc.) est réalisé à partir de bases nominatives, permettant, lors de chaque loi de finances, d’ajuster le plafond d’emplois de l’action 22 « Personnels transférés aux collectivités territoriales » aux effectifs réellement mis à disposition des collectivités territoriales (dès transfert de service, l’ensemble des emplois mis à disposition des collectivités territoriales est basculé sur l’action 22 et rémunérés sur un article d’exécution budgétaire spécifique).

Le présent projet de loi de finances ne prend pas en compte « l’effet décentralisation » au titre de l’année 2023. Il sera ajusté par voie d’amendement gouvernemental lors des débats parlementaires afin de tenir compte de la réalité des droits d’option exercés jusqu’au 31 août 2022 et des départs dans les services transférés.

 

   Évolution des emplois

(en ETP)

Catégorie d'emplois

Sorties
prévues

dont départs
en retraite

Mois moyen
des sorties

Entrées
prévues

dont primo
recrutements

Mois moyen
des entrées

Schéma
d'emplois
 

Catégorie A

1 020,00

285,00

6,68

1 020,00

775,00

7,20

0,00

Catégorie B

1 207,00

566,00

6,67

1 207,00

717,00

7,60

0,00

Catégorie C

925,00

482,00

6,60

925,00

405,00

7,60

0,00

Total

3 152,00

1 333,00

3 152,00

1 897,00

0,00

 

Les sorties et entrées sont exprimées en ETP (hors action 22 « Personnels transférés aux collectivités territoriales »).

Les flux figurant dans la colonne « primo recrutements » correspondent aux recrutements externes (concours et autres primo-recrutements et mobilités interministérielles).


Les hypothèses de flux sont données au périmètre du programme 217 « Conduite et pilotage des politiques de l’écologie, du développement et de la mobilité durables » et ne tiennent pas compte des changements de catégorie d’emplois (concours interne, liste d’aptitude, examen professionnel, etc.), ni des mesures de transfert et de périmètre.

 Ainsi, le solde entrées/sorties par catégorie d’emplois correspond strictement au schéma d’emplois arrêté par catégorie d’emplois.


Hypothèses de sorties

En 2023, il est prévu 3 152 départs dont 1 333 départs à la retraite.

1 020 sorties sont prévues pour la catégorie A à la date moyenne du 21/06/2023 ;

1 207 sorties sont prévues pour la catégorie B à la date moyenne du 21/06/2023 ;

925 sorties sont prévues pour la catégorie C à la date moyenne du 19/06/2023.


Hypothèses d’entrées

En 2023, il est prévu 3 152 entrées dont 1 897 recrutements externes ou « primo-recrutements ».

1020 entrées sont prévues pour la catégorie A à la date moyenne du 07/07/2023 ;

1 207 entrées sont prévues pour la catégorie B à la date moyenne du 19/07/2023 ;

925 entrées sont prévues pour la catégorie C à la date moyenne du 19/07/2023.

 

   Effectifs et activités des services

Répartition du plafond d'emplois par service

(en ETPT)

Service

LFI 2022

PLF 2023

dont mesures
de transfert

dont mesures
de périmètre

dont corrections
techniques

Impact
des schémas
d'emplois
pour 2023

dont extension
en année pleine
du schéma
d'emplois
2022 sur 2023

dont impact
du schéma
d'emplois
2023 sur 2023

Administration centrale

3 390,00

3 402,00

+73,00

0,00

15,00

-14,21

+7,46

-21,67

Services régionaux

17 309,00

17 207,00

-70,00

0,00

64,00

-62,74

+37,66

-100,40

Opérateurs

19,00

0,00

0,00

0,00

0,00

0,00

0,00

0,00

Services départementaux

11 218,00

11 312,00

-58,93

0,00

48,00

-47,21

+24,79

-72,00

Autres

3 288,00

3 241,00

-9,67

0,00

14,00

-13,61

+7,14

-20,75

Total

35 224,00

35 162,00

-65,60

0,00

141,00

-137,77

+77,05

-214,82


(en ETP)

Service

Schéma
d’emplois
 

ETP
au 31/12/2023

Administration centrale

+4,00

3 389,06

Services régionaux

-19,00

17 121,28

Opérateurs

0,00

19,00

Services départementaux

+30,00

11 268,01

Autres

-15,00

3 229,94

Total

0,00

35 027,29


Les éléments présents dans ce tableau sont indicatifs. En effet, pour mémoire, la répartition de 2023 entre services régionaux et services départementaux dépend d’une décision qui relève des préfets de région qui sont responsables des budgets opérationnels de programme.


L’administration centrale comprend : les effectifs de l’action 07 (secrétariat général, inspection générale de l’environnement et du développement durable – IGEDD – hors inspecteurs des missions d’inspection générale territoriales) ; de l’action 08 (direction générale des infrastructures, des transports et des mobilités – DGITM) ; de l’action 11 (direction générale des affaires maritimes, de la pêche et de l’aquaculture – DGAMPA) ; de l’action 13 (direction générale de l’aménagement, du logement et de la nature/direction de l’eau et de la biodiversité – DGALN/DEB) ; de l’action 15 (direction générale de l’aménagement, du logement et de la nature/direction de l’habitat de l’urbanisme et des paysages – DGALN/DHUP) ; de l’action 16 (direction générale de la prévention des risques – DGPR) ; de l’action 23 (direction générale de l’énergie et du climat – DGEC) ; de l’action 28 (commissariat général au développement durable – CGDD).


Les services régionaux comprennent : les effectifs des services régionaux et interrégionaux ou inter-départementaux, soit ceux des directions régionales de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL), de la direction régionale et interdépartementale de l’environnement, de l’aménagement et transports d’Île-de-France (DRIEAT), de la direction régionale et interdépartementale de l’hébergement et du logement d’Île-de-France (DRIHL), des directions interrégionales de la mer (DIRM), des directions interdépartementales des routes (DIR) et des directions de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DEAL).


Les services départementaux comprennent : les effectifs des directions départementales interministérielles (DDI), des unités départementales des directions régionales de l’environnement , de l’aménagement et du logement (UD DREAL) et des préfectures, hors emplois des services mis à disposition des collectivités territoriales.


Les opérateurs comprennent : les doctorants de l’École nationale des travaux publics de l’État (ENTPE)


Les autres services ou entités comprennent : les effectifs des cabinets ministériels ; les effectifs de certaines écoles, soit les élèves pour l’ENPC et l’ENTPE ; la Commission nationale de débat public (CNDP) ; l’Autorité de contrôle des nuisances sonores aéroportuaires (ACNUSA) ; la Commission de régulation de l’énergie (CRE) ; les effectifs ministériels des services de l’État en collectivités d’outre-mer, les services techniques centraux et services particuliers (Armement phares et balises, École nationale de sécurité et d’administration de la mer - ENSAM -, etc.) ainsi que des services à compétence nationale (Centre ministériel de valorisation des ressources humaines -CMVRH-, etc.) ; inspecteurs des missions d’inspection générale territoriales ; les effectifs mis à disposition des collectivités territoriales (action 22).


Répartition du plafond d'emplois par action

Action / Sous-action
 

ETPT

07 – Pilotage, support, audit et évaluations

5 468,73

08 – Personnels œuvrant pour les politiques de transport

9 165,34

09 – Personnels oeuvrant pour les politiques du programme "Sécurité et éducation routières"

0,00

11 – Personnels oeuvrant pour les politiques du programme "Affaires maritimes"

2 742,45

13 – Personnels œuvrant pour la politique de l'eau et de la biodiversité

3 300,32

15 – Personnels œuvrant pour les politiques du programme Urbanisme, territoires et aménagement de l'habitat

9 137,41

16 – Personnels œuvrant pour la politique de la prévention des risques

3 245,60

18 – Personnels relevant de programmes d'autres ministères

0,00

22 – Personnels transférés aux collectivités territoriales

513,43

23 – Personnels œuvrant pour les politiques de l'énergie et du climat

812,00

25 – Commission nationale du débat public

11,00

26 – Autorité de contrôle des nuisances aéroportuaires (ACNUSA)

11,00

27 – Commission de régulation de l'énergie (CRE)

155,00

28 – Personnels œuvrant dans le domaine de la stratégie et de la connaissance des politiques de transition écologique

599,72

Total

35 162,00

 

Recensement du nombre d'apprentis

Nombre d’apprentis
pour l’année scolaire
2022-2023

Dépenses de titre 2
Coût total chargé
(en M€)

Dépenses hors titre 2
Coût total
(en M€)

290,00

4,67

0,00

 

 

 

   Présentation des crédits par catégorie et contributions employeurs

Catégorie
 

LFI 2022

PLF 2023

Rémunération d'activité

1 569 933 099

1 640 737 659

Cotisations et contributions sociales

1 089 949 346

1 118 651 347

Contributions d'équilibre au CAS Pensions :

862 813 123

882 671 860

    – Civils (y.c. ATI)

689 950 106

698 852 005

    – Militaires

21 845 211

22 501 057

    – Ouvriers de l'État (subvention d'équilibre au FSPOEIE)

151 017 806

161 318 798

    – Autres (Cultes et subvention exceptionnelle au CAS Pensions)

 

 

Cotisation employeur au FSPOEIE

13 363 351

12 619 680

Autres cotisations

213 772 872

223 359 807

Prestations sociales et allocations diverses

27 895 476

24 900 000

Total en titre 2

2 687 777 921

2 784 289 006

Total en titre 2 hors CAS Pensions

1 824 964 798

1 901 617 146

FDC et ADP prévus en titre 2

9 350 000

9 050 000

 

Le montant de la contribution employeur au compte d’affectation spéciale « Pensions » inscrit au programme est de 882,67 M€ dont 695,85 M€ au titre des personnels civils (taux de 74,28 %), 161,41 M€ au titre de la subvention d’équilibre au Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l’État, 22,41 M€ au titre des personnels militaires (taux de 126,07 %) et 3 M€ au titre des allocations temporaires d’invalidité (taux de 0,32 %).


Les allocations d’aide au retour à l’emploi pour les personnels sont estimées à 5,3 M€ en 2023, pour environ 1 200 agents.


Les prestations sociales et allocations diverses comprennent un montant de 4,1 M € au titre du remboursement d’une partie des cotisations de protection sociale complémentaire destinées à couvrir les frais de santé des agents affectés au ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires (MTECT). Ce montant a été revu à la baisse de 3,1 M€ pour le PLF 2023 par rapport à la LFI 2022 (7,2 M €), compte-tenu d’un nombre de bénéficiaires constaté en gestion 2022 inférieur à celui envisagé, ce qui explique également la diminution du montant dédié aux prestations sociales et allocations diverses.


Enfin, en application de l’article 10-III de la loi n° 2009-1291 du 26 octobre 2009 relative au transfert aux départements des parcs de l’équipement et à l’évolution de la situation des ouvriers des parcs et ateliers, les collectivités territoriales remboursent à l’État les charges de personnel des ouvriers des parcs et ateliers (OPA) mis à leur disposition dans le cadre de ce transfert.

Ces sommes sont remboursées sous forme de fonds de concours rattachés aux crédits de personnel du programme 217. Pour 2023, le montant de ces fonds de concours a vocation à diminuer en raison des départs à la retraite et du dispositif permettant aux OPA d’intégrer la fonction publique territoriale dont les effets sont intervenus depuis le 1er janvier 2015.

A compter du 1er janvier 2023, moins de 190 OPA seront mis à disposition des collectivités territoriales. Ils feront l’objet d’un remboursement de leur masse salariale à hauteur de 9,05 M€

   Éléments salariaux

(en millions d'euros)

Principaux facteurs d'évolution de la masse salariale hors CAS Pensions
 

Socle Exécution 2022 retraitée

1 831,21

Prévision Exécution 2022 hors CAS Pensions

1 860,10

Impact des mesures de transfert et de périmètre 2022–2023

-0,62

Débasage de dépenses au profil atypique :

-28,27

    – GIPA

-0,10

    – Indemnisation des jours de CET

-7,00

    – Mesures de restructurations

-5,30

    – Autres

-15,87

Impact du schéma d'emplois

-4,54

EAP schéma d'emplois 2022

4,83

Schéma d'emplois 2023

-9,37

Mesures catégorielles

8,00

Mesures générales

23,50

Rebasage de la GIPA

0,00

Variation du point de la fonction publique

23,30

Mesures bas salaires

0,20

GVT solde

9,00

GVT positif

25,00

GVT négatif

-16,00

Rebasage de dépenses au profil atypique – hors GIPA

31,07

Indemnisation des jours de CET

7,27

Mesures de restructurations

4,20

Autres

19,60

Autres variations des dépenses de personnel

3,36

Prestations sociales et allocations diverses - catégorie 23

0,20

Autres

3,16

Total

1 901,62

 

En 2023, le coût de l’augmentation de la valeur du point d’indice de la fonction publique de 3,5 % mise en œuvre au 1er juillet 2022 est évalué, pour le programme 217, à 47,8 M€ HCAS.


Le glissement vieillesse technicité (GVT) positif indiciaire est évalué à 1,92 % des rémunérations principales de l’ensemble des agents du programme, y compris ceux mis à disposition des collectivités locales dans le cadre de la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales, représentant une progression de la masse salariale de 25 M€ hors CAS.

Le GVT négatif pour les agents du périmètre non transféré aux collectivités locales représente une réduction de la masse salariale du programme évaluée à 16 M€ hors CAS, soit ‑0,8 % de la masse salariale HCAS totale.

Au total, le GVT présente un solde de 9 M€, soit 0,5 % de la masse salariale HCAS totale inscrite au PLF.


La rubrique « Rebasage de dépenses au profil atypique – hors GIPA » comprend principalement une enveloppe de 18,8 M€, reconduite jusqu’en 2027, qui permet de solder les indemnités de sujétions spéciales (ISS) dans le cadre de la bascule au RIFSEEP des corps techniques. Elle comprend aussi le rachat des jours des comptes épargne-temps (7,2 M€) et les mesures d’accompagnement des réformes (4,2 M€), afin de mettre en œuvre le versement de primes de restructuration de services, d’indemnités temporaires de mobilité, d’indemnités de départ volontaire.


Coûts entrée-sortie

Catégorie d'emplois

Coût moyen chargé HCAS

dont rémunérations d’activité

Coût d'entrée

Coût global

Coût de sortie

Coût d'entrée

Coût global

Coût de sortie

Catégorie A

61 716

67 849

68 597

53 825

59 541

60 017

Catégorie B

38 691

43 571

43 934

33 282

38 021

38 190

Catégorie C

34 125

36 928

35 413

29 411

32 659

31 024

 

 

Mesures catégorielles

Catégorie ou intitulé de la mesure

ETP
concernés

Catégories

Corps

Date d’entrée
en vigueur
de la mesure

Nombre
de mois
d’incidence
sur 2023

Coût

Coût
en année
pleine

Mesures statutaires

625 806

625 806

Marins- négociation collective annuelle obligatoire

150

C

Marins du commerce

01-2023

12

200 000

200 000

Mesures en faveur des personnels contractuels (RIN/RIL)

100

A/B/C

Contractuels

01-2023

12

70 000

70 000

Mesures en faveur des petits corps

750

A/C

Dessinateurs, SGM et PTEM

01-2023

12

325 806

325 806

Mesures en faveurs des agents dits "Berkani"

20

C

Contractuels

01-2023

12

30 000

30 000

Mesures indemnitaires

7 375 000

7 375 000

Revalorisation des régimes indemnitaires des personnels ministériels

25 000

A/B/C

Divers coprs

01-2023

12

7 375 000

7 375 000

Total

8 000 806

8 000 806

 

L’enveloppe catégorielle prise en compte dans le plafond de crédits du ministère s’établit à 8 M€ en 2023 (hors contribution au CAS pensions). La programmation prévisionnelle est la suivante :


  • La revalorisation des régimes indemnitaires des personnels ministériels (7,4 M€) ;

  • Les mesures en faveurs des petits corps, Dessinateurs, Professeurs Techniques de l’enseignement maritime et Syndic des gens de mer (0,3 M€) ;

  • La négociation collective annuelle obligatoire des marins du commerce (0,2 M€) ;

  • Les mesures en faveurs des personnels contractuels dits « Berkani » (0,03 M€) ;

  • Les mesures en faveur des agents personnels contractuels sous règlement intérieur national (RIN) et sous règlement intérieur local (RIL) (0,07 M€).


 

   Action sociale - Hors titre 2

Type de dépenses

Effectif concerné
(ETP)

Prévision
Titre 3

Prévision
Titre 5

Total

Restauration

26 371

7 000 000

 

7 000 000

Logement

35 162

100 000

 

100 000

Famille, vacances

35 162

3 400 000

 

3 400 000

Mutuelles, associations

35 162

4 900 000

 

4 900 000

Prévention / secours

35 162

2 400 000

 

2 400 000

Autres

 

 

 

 

Total

17 800 000

 

17 800 000

 

 

Coûts synthétiques

   Indicateurs immobiliers

L’indicateur relatif au ratio d’efficience de la fonction immobilière est présenté dans la partie objectifs et indicateurs de performance.

 

   Ratio d'efficience bureautique

L’indicateur relatif au ratio d’efficience de la fonction bureautique est supprimé à compter du PAP 2023.

 

 

Dépenses pluriannuelles

 

Marchés de partenariat

   Marché de partenariat / CBI pour l'achat de la Tour Séquoia

La Tour Séquoia (auparavant appelée tour Esplanade) est située à proximité immédiate de l’Arche, et a été libérée par son occupant précédent fin 2013. Elle a d’abord été louée par l’État et rénovée par le propriétaire en 2014, pour permettre l’installation de 2 500 agents d’administration centrale en mars 2015.

L’option d’achat prévue dans le bail civil a été levée le 30 juin 2015, et le crédit-bail pour l’acquisition de cette tour a été signé pour un montant de 541,08 M€. Le partenaire retenu au terme de la procédure est composé de l’alliance de deux sociétés : la Banque Postale Crédit Entreprise (LBPCE) et la Deutsche Pfandbriefbank AG (DP AG).

Le crédit-bail doit se terminer le 31 janvier 2033 et le coût global du contrat sur l’ensemble de la période est de 622,24 M€.

 

(en millions d'euros)

 

AE  
CP  

2020
et années
précédentes

2021

2022

2023

2024

2025
et années
suivantes

Total


Investissement

501,52

116,02

0,00

24,41

0,00

25,35

0,00

26,31

0,00

27,28

-21,75

260,40

479,78

479,78


Fonctionnement

14,65

14,44

2,72

4,27

2,75

2,75

2,78

2,78

2,81

2,81

27,93

26,58

53,62

53,62


Financement

43,06

42,74

6,65

6,65

6,29

6,29

5,80

5,80

5,30

5,30

21,74

22,06

88,84

88,84

 

 

   Marché de partenariat / BEA de rénovation de la Grande Arche de la Défense

Ce bail a pour objet la rénovation de la paroi sud de la Grande Arche, propriété de l’État.

Les travaux de régénération de cet immeuble, indispensables compte tenu de l’obsolescence des équipements et nécessaires pour densifier l’occupation, font l’objet d’un bail emphytéotique administratif (BEA) et d’un contrat de location en retour, sur une durée de 20 ans, soit jusqu’en 2034.

La procédure de dialogue compétitif a été lancée en mars 2013. Ce dialogue s’est achevé en juin 2014.

La signature des contrats a été réalisée le 30 septembre 2014, avec la société Eiffage/Armanéo, pour 292,72 M€.

Le coût global du contrat sur l’ensemble de la période est de 352,42 M€.

 

(en millions d'euros)

 

AE  
CP  

2020
et années
précédentes

2021

2022

2023

2024

2025
et années
suivantes

Total


Investissement

248,04

41,13

-3,34

10,05

-2,77

10,64

-2,20

11,23

-1,61

11,79

-7,19

146,09

230,93

230,93


Fonctionnement

13,91

13,77

3,33

3,23

3,11

3,11

3,11

3,11

3,09

3,09

27,14

27,37

53,68

53,68


Financement

20,60

20,60

5,56

5,56

5,18

5,18

4,80

4,80

4,45

4,45

27,22

27,22

67,81

67,81

 

 

Échéancier des crédits de paiement (hors titre 2)

Estimation des restes à payer au 31/12/2022

Engagements sur années
antérieures non couverts
par des paiements
au 31/12/2021
(RAP 2021)

 

Engagements sur années
antérieures non couverts
par des paiements au
31/12/2021 y.c. travaux
de fin de gestion
postérieurs au RAP 2021
 

 

AE (LFI + LFR + Décret d’avance) 2022
+ Reports 2021 vers 2022
+ Prévision de FdC et AdP

 

CP (LFI + LFR + Décret d’avance) 2022
+ Reports 2021 vers 2022
+ Prévision de FdC et AdP

 

Évaluation des
engagements non couverts
par des paiements
au 31/12/2022

614 521 930

 

0

 

191 700 326

 

239 206 601

 

536 620 748

Échéancier des CP à ouvrir

AE

 

CP 2023

 

CP 2024

 

CP 2025

 

CP au-delà de 2025

 

Évaluation des
engagements
non couverts par
des paiements au 31/12/2022

 

CP demandés
sur AE antérieures à 2023
CP PLF
CP FdC et AdP

 

Estimation des CP 2024
sur AE antérieures à 2023

 

Estimation des CP 2025
sur AE antérieures à 2023

 

Estimation des CP
au-delà de 2025
sur AE antérieures à 2023

536 620 748

 

64 298 389
0

 

56 915 297

 

48 232 048

 

367 175 014

 

AE nouvelles pour 2023
AE PLF
AE FdC et AdP

 

CP demandés
sur AE nouvelles en 2023
CP PLF
CP FdC et AdP
 

 

Estimation des CP 2024
sur AE nouvelles en 2023

 

Estimation des CP 2025
sur AE nouvelles en 2023

 

Estimation des CP
au-delà de 2025
sur AE nouvelles en 2023

220 172 740
2 480 000

 

173 021 480
2 480 000

 

23 230 630

 

17 418 753

 

6 501 877

 

Totaux

 

239 799 869

 

80 145 927

 

65 650 801

 

373 676 891

 

 

Clés d'ouverture des crédits de paiement sur AE 2023

 

 

CP 2023 demandés
sur AE nouvelles
en 2023 / AE 2023
 

 

CP 2024
sur AE nouvelles
en 2023 / AE 2023

 

CP 2025
sur AE nouvelles
en 2023 / AE 2023

 

CP au-delà de 2025
sur AE nouvelles
en 2023 / AE 2023

 

 

78,82 %

 

10,43 %

 

7,82 %

 

2,92 %

 

La majeure partie des restes à payer relève des engagements établis sur près de vingt ans au titre du bail emphytéotique pour la rénovation de l’Arche, signé en septembre 2014, et de la conclusion d’un crédit-bail pour l’achat de la Tour Séquoia, en juin 2015. Le montant des engagements non couverts diminue donc chaque année. Cette diminution est accentuée en 2022 par la déduction des montants prévus dans le cadre du « débouclage » du crédit-bail pour l’achat de la Tour Séquoia (16,9 M€) et par le dédit actualisé du bail emphytéotique administratif de la Grande Arche (11,0 M€).

L’évaluation des restes à payer à couvrir au 31 décembre 2022 s’élève à 536,62 M€.

L’échéancier ci-dessus précise le rythme de mobilisation des CP nécessaires à la couverture de ces engagements.

 

Justification par action

ACTION     (27,7 %)

07 – Pilotage, support, audit et évaluations

 

 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

617 434 758

214 530 888

831 965 646

980 000

Crédits de paiement

617 434 758

229 117 347

846 552 105

980 000


L’action 7 « Pilotage, support et audit des ministères » regroupe désormais en son sein le titre 2 des personnels transverses et, depuis le projet annuel de performance (PAP) 2021, l’intégralité des crédits hors titre 2 (HT2) du programme à l’exception des crédits destinés aux autorités administratives indépendantes (AAI), qui conservent des actions dédiées. Cette nouvelle action a été constituée hors-titre 2 par fusion des anciennes actions HT2.


Les 5 469 ETPT (2 743 A, 1 721 B et 1 005 C) portés par l’action exercent des activités de nature transversale, non rattachables directement à un programme de politique publique.

Ces effectifs se répartissent à hauteur de 43 % en administration centrale, 37 % en services déconcentrés et 20 % dans les autres services (écoles, services techniques centraux, CMVRH, etc.).

Les effectifs de l’administration centrale regroupent principalement les personnels suivants :

- les effectifs des cabinets ministériels ;

- les effectifs du secrétariat général du ministère ;

- les effectifs de l’inspection générale de l’environnement et du développement durable (IGEDD, ex-CGEDD) ;

Les effectifs des services déconcentrés regroupent principalement les agents en poste dans les secrétariats généraux des directions régionales de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL), les effectifs présents dans les secrétariats généraux des directions départementales interministérielles étant transférés au ministère de l’intérieur.


Les crédits hors titre 2 sont inscrits sur huit sous-actions, permettant de conserver un niveau d’information correspondant à des distinctions fonctionnelles utilisées en gestion :

- fonction juridique ;

- fonctionnement de l’administration centrale et des services rattachés ;

- immobilier de l’administration centrale et des services rattachés ;

- services numériques-fonctionnement des infrastructures et évolution des systèmes d’information ;

- moyens hors-titre 2 consacrés aux ressources humaines ;

- actions nationales et internationales en faveur du développement durable ;

- fonctionnement courant de l’inspection générale de l’environnement et du développement durable (IGEDD, ex-CGEDD) ;

- moyens consacrés à l’ENTPE et à l’ENPC.


 

Éléments de la dépense par nature

Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

617 434 758

617 434 758

Rémunérations d’activité

280 899 269

280 899 269

Cotisations et contributions sociales

323 833 753

323 833 753

Prestations sociales et allocations diverses

12 701 736

12 701 736

Dépenses de fonctionnement

202 890 127

179 500 732

Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

152 091 176

128 701 781

Subventions pour charges de service public

50 798 951

50 798 951

Dépenses d’investissement

3 830 000

41 805 854

Dépenses pour immobilisations corporelles de l’État

3 830 000

41 805 854

Dépenses d’intervention

7 810 761

7 810 761

Transferts aux autres collectivités

7 810 761

7 810 761

Total

831 965 646

846 552 105

 

SOUS-ACTION 1 « FONCTION JURIDIQUE » (995 000 € en AE et en CP)


Les modes d’actions de la fonction juridique sont notamment :

  • le conseil, l’expertise et l’assistance auprès des services et des établissements publics sous tutelle des ministères ;

  • la défense des intérêts de l’État et l’instruction des litiges ou le règlement amiable des différends ;

  • la protection des agents dans le cadre de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires ;

  • le règlement des conséquences indemnitaires des accidents de la circulation impliquant un véhicule de l’administration.


Le tableau suivant présente le détail prévisionnel des dépenses à la maille fine de l’activité :


ÉLÉMENTS DE LA DÉPENSE PAR ACTIVITÉS

 


Autorisations d’engagement

Crédits de paiement

Conseil et assistance aux directions d’administration centrale et aux services déconcentrés

150 000

150 000

Protection statutaire des fonctionnaires

70 000

70 000

Indemnisations liées aux accidents de la circulation impliquant un véhicule de service

175 000

175 000

Autres contentieux

600 000

600 000

Total

995 000

995 000


Cette sous-action est pilotée par la direction des affaires juridiques (DAJ) des ministères qui peut s’adjoindre le concours d’avocats dans des dossiers nécessitant une présence à l’audience, un conseil sur des technicités spécifiques ou pour la réalisation d’expertises.

Cette sous-action permet également d’assurer les frais liés la défense des agents du ministère poursuivis en recherche de responsabilité dans le cadre d’une procédure pénale, ainsi que l’indemnisation des accidents de la circulation impliquant un véhicule de service.

Enfin, le poste « Autres contentieux » couvre quatre domaines :

  • le remboursement au fonds d’indemnisation des victimes de l’amiante des indemnisations versées aux agents des ministères ou à leurs ayant-droits ;

  • le contentieux de la fonction publique ;

  • certains contentieux de l’ingénierie publique ;

  • les frais de justice mis à la charge de l’État par les juridictions administratives (article L. 761-1 du code de justice administrative) et les intérêts assortissant les condamnations (articles 1153 et 1154 du code civil).



SOUS-ACTION 2 « FONCTIONNEMENT DE L’ADMINISTRATION CENTRALE ET DES SERVICES RATTACHÉS » (20 380 045 € en AE et 17 570 650 € en CP)


La finalité de cette sous-action est la mise en œuvre, en administration centrale, de prestations logistiques de qualité pour les directions générales et les cabinets ministériels du MTECT, du MTE et du secrétariat d’État à la Mer. Cette dotation ne couvre pas les services déconcentrés du ministère, dont les crédits de fonctionnement courant ont été transférés progressivement ces dernières années au programme 354 « Administration territoriale de l’État », géré par le ministère de l’Intérieur et des outre-mer.


Cette sous-action s’inscrit dans l’objectif d’exemplarité et de fonctionnement durable des services de l’État en recherchant un moindre impact des activités sur l’environnement, une efficience accrue de la dépense et une efficacité sociale renforcée de la commande publique.


Le tableau suivant présente le détail des dépenses à la maille fine de l’activité :


ÉLÉMENTS DE LA DÉPENSE PAR ACTIVITÉS



Autorisations d’engagement

Crédits de paiement

Aménagements et déménagements

246 472

212 961

Frais de déplacement, de mission et de représentation

4 216 000

4 216 000

Congés bonifiés, frais de changement de résidence, indemnisation des stagiaires

851 970

851 970

Parc automobile et taxis

954 488

824 633

Fournitures de bureau, papier, reprographie, affranchissement

3 693 875

1 220 726

Documentation et presse

525 000

525 000

Information et communication

1 994 450

1 994 450

Études

1 785 000

1 785 000

Fonctionnement de services et sites distants

3 621 000

3 621 000

Autres dépenses de fonctionnement courant

2 471 790

2 318 910

Total

20 380 045

17 570 650



SOUS-ACTION 3 « IMMOBILIER DE L’ADMINISTRATION CENTRALE ET DES SERVICES RATTACHÉS » (59 173 560 € en AE et 81 279 414 € en CP)


Cette sous-action revêt une double finalité :


1. Élaborer et piloter la politique foncière et immobilière des ministères :

Elle a en effet pour objectif de piloter et coordonner les actions foncières mises en œuvre par le pôle ministériel ou par les établissements publics qui leur sont rattachés afin d’accroître l’offre foncière d’origine publique destinée à des projets d’aménagement en vue principalement de la production de logements, notamment sociaux, d’assurer la maîtrise d’ouvrage et la conduite d’opérations pour des projets immobiliers de l’administration centrale des ministères et de piloter la politique patrimoniale et immobilière des ministères, en partenariat avec la direction de l’immobilier de l’État (DIE).


2. Fournir aux services des conditions de travail satisfaisantes dans des implantations immobilières rationalisées, en les faisant bénéficier de l’ensemble des services d’utilité collective nécessaires à leur activité dans un environnement de travail conforme aux niveaux de service attendus en optimisant les surfaces allouées en application des objectifs fixés par la politique immobilière de l’État.


Le tableau suivant présente le détail des dépenses à la maille fine de l’activité :


ÉLÉMENTS DE LA DÉPENSE PAR ACTIVITÉS



Autorisations d’engagement

Crédits de paiement

Loyers marchands et charges

18 973 528

18 973 528

Gardiennage

10 910 000

5 860 000

Accueil

660 000

660 000

Sécurité incendie

2 070 000

2 070 000

Entretien courant

1 582 400

1 582 400

Nettoyage

2 927 632

2 927 632

Énergie et fluides

15 020 000

4 200 000

Exploitation et maintenance des bâtiments

3 200 000

3 200 000

Total dépenses de fonctionnement

55 343 560

39 473 560

Loyers marchands et charges locatives- investissement

0

37 835 854

Investissements immobiliers de l’administration centrale- investissement

3 830 000

3 970 000

Total dépenses d’investissement

3 830 000

41 805 854

Total

59 173 560

81 279 414


Les loyers marchands et charges inscrits en fonctionnement permettent le paiement de l’annuité 2023 du crédit-bail, signé en 2015, pour l’acquisition de la Tour Séquoia, des intérêts et charges liés au bail emphytéotique administratif de la Grande Arche ainsi que des charges de copropriété de la Grande Arche et divers loyers et charges locatives des services centraux.

Les loyers marchands et charges locatives inscrits en investissement permettent le financement de l’annuité du volet « investissement » du bail emphytéotique administratif de la Grande Arche.

La dotation investissements immobiliers de l’administration centrale permettra le financement des dépenses relatives à la surveillance technique des systèmes électriques et groupes électrogènes ou relatives aux travaux de rénovation lourde ne pouvant pas être imputés sur les programmes immobiliers, notamment en ce qui concerne les bâtiments inscrits à l’inventaire des monuments historiques. Les études relatives au lancement des travaux de mise en œuvre du décret n° 2019-771 du 23 juillet 2019 relatif aux obligations d’actions de réduction de la consommation d’énergie finale dans des bâtiments à usage tertiaire seront prises dans le budget porté par la sous action précédente.



SOUS-ACTION 4 « SERVICES NUMÉRIQUES - FONCTIONNEMENT DES INFRASTRUCTURES ET ÉVOLUTION DES SYSTÈMES D’INFORMATIONS » (46 925 808 € en AE et 41 395 808 € en CP)


La sous-action 4 : « Services numériques - Fonctionnement des infrastructures et évolution des systèmes d’informations » porte l’ambition numérique du pôle ministériel, pionnier dans le lancement d’une transformation numérique d’ampleur de métiers fortement marqués par l’innovation, proches des préoccupations du citoyen et au cœur des priorités de l’action publique.

Les projets de transformation numérique doivent être centrés sur les utilisateurs, les usagers comme les parties prenantes (entreprises, associations, citoyens) et au profit des politiques publiques ministérielles.

La priorité est donnée à la dématérialisation et à la simplification des procédures administratives conformément à l’objectif gouvernemental de dématérialisation de l’ensemble des démarches à l’horizon 2022.

Le déclenchement des plans de continuité d’activité ministériels dû à la crise sanitaire de la Covid‑19 a fortement augmenté la dotation de cette sous-action en 2021. Des investissements complémentaires ont permis de mieux équiper les agents permettant le travail à distance et d’améliorer la disponibilité des services de télécommunications.


La sous-action 4 recouvre trois domaines définis au niveau interministériel :


1) L’élaboration de la politique informatique ministérielle et le fonctionnement des infrastructures informatiques :

Ce domaine regroupe :

a. les outils actuels de messagerie, de publications web, de travail collaboratif et de supervision des applications ; 

b. le maintien en conditions opérationnelles des infrastructures réseau (historique, cloud et sécurité), mais également leur modernisation nécessitée par le recours accru au mode agile et au travail à distance ; 

c. la protection de l’information et la sécurisation des systèmes d’informations et des accès au réseau virtuel nomade ; 

d. le financement des accès aux réseaux de données privés, internet et de conférences électroniques (visio conférences, web conférence) ; 

e. le financement de l’incubateur numérique ministériel, d’outils transverses facilitant le travail à distance et l’agilité. Elle finance également l’appui méthodologique à la transformation numérique. 


2) L’exploitation et l’évolution des systèmes d’information (SI) des activités support :

Il s’agit :

a. d’exploiter et de maintenir en condition opérationnelle les applicatifs existants ;

b. de mettre en œuvre les actions du programme de refonte du SI ressources humaines (SIRH) en cohérence avec les actions et projets interministériels ;

c. de poursuivre la dématérialisation des processus dans le cadre du SI financier en cohérence avec les actions et projets interministériels du SI financier de l’État (la troisième phase concerne les factures et engagements juridiques) et de la direction des achats de l’État, et d’améliorer les capacités de pilotage des opérateurs en mettant au point des procédures et des outils permettant de tirer un meilleur parti des données financières existantes ;

d. de développer des SI stratégiques notamment pour la gestion des connaissances et la gestion des archives, projet s’inscrivant dans une dynamique interministérielle d’archivage électronique.


3) La construction de l’environnement de travail numérique :

Il s’agit d’équiper les agents de l’administration centrale au quotidien, d’assurer leur support, d’héberger et de mettre à disposition les ressources et applications nécessaires à l’exercice de leurs missions, mais aussi d’adapter l’environnement de travail numérique des agents à l’évolution des besoins (travail en groupe, mobilité, télétravail).


Le tableau suivant présente le détail des dépenses à la maille fine de l’activité :


ÉLÉMENTS DE LA DÉPENSE PAR ACTIVITÉS



Autorisations d’engagement

Crédits de paiement

Services bureautiques : Gestion du poste de travail

6 065 000

6 385 367

Services bureautiques : Télécommunications individuelles

3 000 000

750 000

Total construction de l’environnement de travail numérique

9 065 000

7 135 367

Domaines d’échanges

7 576 123

4 546 607

Service d’hébergement applicatif

9 840 500

9 479 500

Service de sécurité

1 393 333

1 228 365

Service de transports de données – Réseaux informatiques

4 140 123

4 516 607

Services mutualisés

5 675 729

4 487 362

Total politique technique et fonctionnement des infrastructures du ministère

28 625 808

24 258 441

Système d’information « Gestion de la documentation et de la connaissance 

1 080 000

1 080 000

Système d’information « Moyens généraux et immobiliers 

 1 180 000

1 256 000

Système d’information « Finances »

1 790 000

1 790 000

Système d’information « Affaires juridiques »

510 000

510 000

Système d’information « Ressources humaines »

4 675 000

5 366 000

Total exploitation et évolution des systèmes d’information des activités support

9 235 000

10 002 000

Total

46 925 808

41 395 808


L’activité « domaine d’échanges » regroupe des produits et services au cœur de la transformation numérique comme la messagerie, le travail collaboratif. Avec le développement du travail à distance, un renouvellement substantiel des outils est nécessaire pour mettre en place un environnement numérique adapté aux enjeux des années à venir.


Le service d’hébergement applicatif assure l’hébergement de toutes les applications du pôle ministériel : maintenance des datacenters, réseau d’accès, serveurs, équipements associés, services virtualisés et cloud, hébergement externalisé.


Le service de sécurité se définit dans le cadre de l’élaboration de la politique des systèmes d’information du pôle ministériel et de sa mise en œuvre en référence aux nouvelles orientations stratégiques du plan de transformation numérique. Les actions de sécurisation des SI structurants telles que le portail d’authentification centralisé, les services de gestion de certificats (IGC) seront poursuivis. De même, le développement des plans de continuité et de reprise d’activité sur les infrastructures majeures, avec conduite de tests réguliers des dispositifs de résilience, seront des axes forts du plan d’actions sécurité 2022.


Les services de transport de données constituent l’infrastructure socle en matière d’échange des données et d’accès aux services en ligne : points d’accès au réseau interministériel de l’État (RIE) pour l’administration centrale et les services déconcentrés, gestion de réseaux privés virtuels permettant le travail en situation de nomadisme et supervision de l’ensemble. Le développement du nomadisme, les projets majeurs de dématérialisation en cours (dématérialisation de l’autorisation environnementale et du permis de construire) comme la généralisation de l’utilisation de services vidéo (visio-conférence, web-conférence, tutoriels notamment) nourrissent une croissance très soutenue du trafic. Ils s’inscrivent pleinement dans le cadre des actions interministérielles de mutualisation, soit en tant que client, soit en tant que fournisseur (service de vidéo-conférence depuis le poste de travail).


Les services mutualisés recouvrent d’une part des dispositifs mutualisés d’infrastructure (socles bureautique, géomatique, décisionnel) utilisés tant par les équipes de projet que par les utilisateurs finaux et d’autre part des dispositifs de nature méthodologique destinés à développer l’agilité des réponses aux besoins des politiques publiques (architecture des systèmes, coaching des équipes agiles, incubation de produits innovants par des start-ups d’État). À ce titre, ils participent à ce titre pleinement à la transformation numérique des métiers du pôle ministériel. Ils s’inscrivent par ailleurs dans le cadre des actions interministérielles de mutualisation, en tant que fournisseurs, comme pour les serveurs bureautiques Éole mutualisés avec le ministère de l’éducation nationale ou le socle géomatique mutualisé avec le ministère de l’agriculture et de l’alimentation.



SOUS-ACTION 5 « MOYENS HORS TITRE 2 CONSACRÉS AUX RESSOURCES HUMAINES » (27 181 162 € en AE et en CP)


Cette sous-action permet le financement des politiques de ressources humaines, dans un contexte de réformes lourdes, concernant non seulement la formation initiale et continue, le recrutement et l’affectation des agents, le conseil aux services et aux agents, la gestion des cadres dirigeants et des personnels d’encadrement, la gestion des carrières, la gestion des filières, l’organisation du travail, l’accompagnement des agents concernés par les restructurations de service, le dialogue social mais également l’action sociale et la prévention des risques professionnels. Elle contribue aux objectifs fixés en matière de responsabilité sociale du ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires (MTECT), du ministère de la transition énergétique (MTE) et du secrétariat d’État à la mer, notamment dans l’emploi des travailleurs handicapés.


Le tableau suivant présente le détail des dépenses à la maille de l’activité :


ÉLÉMENTS DE LA DÉPENSE PAR ACTIVITÉS



Autorisations d’engagement

Crédits de paiement

Prestations et soutien aux initiatives locales

3 195 000

3 195 000

Politique en matière de restauration collective

7 034 194

7 034 194

Prévention des risques professionnels

2 387 349

2 387 349

Subventions aux partenaires associatifs

4 900 000

4 900 000

Recrutement, insertion, reclassement et maintien dans l’emploi des travailleurs handicapés

300 000

300 000

Total dépenses d’action sociale

17 816 143

17 816 143

Dispositifs de formation individuelle et professionnalisation

400 000

400 000

Recrutements et organisation des concours

900 000

900 000

Centres de valorisation des ressources humaines

5 141 000

5 141 000

IPEC : Formation et fonctionnement

638 619

638 619

Total dépenses de formation

7 079 619

7 079 619

Remboursement du coût du personnel mis à disposition

1 800 000

1 800 000

Relations sociales

485 000

485 000

Total

27 181 162

27 181 162


Dépenses d’action sociale


La restauration collective revêt un caractère prioritaire dans le cadre de la politique d’action sociale conduite par le pôle ministériel dans la mesure où elle concerne directement les conditions de travail des agents, ce poste de dépense revêtant, par ailleurs, un caractère incompressible. Nonobstant le développement du télétravail, la dépense devrait rester dynamique, en raison de l’extension en 2023 de l’harmonisation des subventions repas aux agents du pôle ministériel affectés en directions interdépartementales des routes (DIR) et en directions interrégionales de la mer (DIRM). S’y ajoute la hausse du coût des denrées associée à la mise en œuvre de l’objectif fixé par la loi EGALIM du 30 octobre 2018 d’au moins 50 % de produits de qualité et durables, dont au moins 20 % de produits bios dans la restauration collective. Du fait des différentes vagues d’harmonisation intervenues, l’offre de restauration collective demeure attractive pour les agents en terme de reste à charge.


Les crédits mobilisés pour la prévention des risques professionnels doivent financer :

- le fonctionnement des cabinets médicaux ainsi que les prestations de service de santé au travail ;

- les prescriptions médicales ;

- l’accompagnement de services confrontés à des situations d’urgence, ce qui peut nécessiter le recours à des psychologues. Compte tenu des difficultés à recruter des praticiens, le départ à la retraite de médecins du travail provoque un recours accru à des conventions avec des services de médecine du travail.


Les prestations d’action sociale et comités locaux d’action sociale (CLAS) regroupent différentes prestations ayant trait :

- à la politique sociale en faveur des enfants des agents des ministères : l’organisation de l’arbre de Noël, les subventions (PIM) des séjours d’enfants et la réservation de places en crèches pour laquelle de nouveaux conventionnements sont envisagés ;

- au logement des agents ;

- aux crédits d’initiative locale (CIL), qui permettent la réalisation d’actions de nature collective, s’adressant à l’ensemble des bénéficiaires de l’action sociale sans condition de ressources. Ces crédits déployés par les CLAS sont un facteur important de développement du lien social au sein des différentes communautés de travail. Ils financent notamment les actions d’information menées par les CLAS en faveur des agents actifs, des retraités, et de leurs ayants-droit, sur des thèmes tels que les relations familiales, la santé (hors santé au travail et prévention des risques psychosociaux), le handicap (hors actions financées par le FIPHFP), la préparation à la retraite (hors information à caractère réglementaire) ou sur les loisirs ;

- aux expertises en matière de protection sociale complémentaire proposée aux agents du pôle ministériel, ainsi qu’à la participation ministérielle due à l’organisme de protection sociale complémentaire référencée (MGEN) dans le cadre du paiement des transferts de solidarité.


- Prévisions de rattachements de crédits par voie de fonds de concours :


Le montant attendu du Fonds d’Insertion des personnes handicapées dans la fonction publique (FIPHFP) en 2023 s’élève à 667 000 €.



SOUS-ACTION 6 « ACTIONS NATIONALES ET INTERNATIONALES EN FAVEUR DU DÉVELOPPEMENT DURABLE » (9 199 261 € en AE et en CP)


Les crédits de cette sous-action sont exclusivement destinés à contribuer au financement d’actions visant à structurer, coordonner et consolider des réseaux associatifs aux niveaux national, régional ou local. Ces actions doivent s’inscrire dans les objectifs statutaires des associations financées.

Ces dernières doivent également œuvrer de manière désintéressée pour la protection de l’environnement à titre principal. Ces crédits n’ont pas vocation à soutenir des actions s’inscrivant dans les domaines spécifiques relevant d’autres programmes (205, 203, 181, 174, 159, par exemple), ni d’éducation à l’environnement ou au développement durable. Dans ce cadre, une attention particulière peut, si nécessaire, être apportée aux associations présentes au sein d’instances consultatives nationales ou locales qui traitent des politiques environnementales et de développement durable (article L 141-3 du code de l’environnement).

Les subventions versées par le programme 217 sont recensées, à la demande du Parlement, dans une annexe budgétaire retraçant l’effort financier de l’État en faveur des associations. Les conditions de versement de ces subventions sont par ailleurs strictement encadrées comptablement.


Dans le domaine des relations multilatérales, les crédits de fonctionnement serviront à financer notamment :

- le fonctionnement des coalitions climat décidées lors des COP Climat ; 

- le fonctionnement des délégations lors des COP climat, biodiversité etc. ; 

- la coordination et le suivi des négociations multilatérales et communautaires dans le domaine du climat, de l’énergie, des transports et de la prévention des risques ;

- la coordination et le suivi des négociations multilatérales et communautaires relatives à la biodiversité et aux milieux (eau, mers, sols, forêts, environnement polaire…) ;

- les actions relatives à l’élaboration et à l’appui de la position française en matière de gouvernance internationale de l’environnement ;

- les relations avec les acteurs extérieurs à l’administration et la société civile.

Les crédits demandés sont destinés à gérer les relations bilatérales avec tous les pays (hors UE/EEE/AELE, Royaume-Uni et pays candidats à l’adhésion), à assurer l’accueil de délégations étrangères en France et à améliorer la connaissance de l’environnement international du pôle ministériel.


Dans le domaine communautaire, il s’agit de financer :

- le pilotage général de l’action communautaire du pôle ministériel en s’appuyant sur l’expertise de leurs services (comme les directions métiers ou le commissariat général au développement durable) ;

- la participation aux frais de fonctionnement des représentants des deux ministères en Europe, notamment ceux de la Représentation permanente à Bruxelles ;

- une assistance à la mise en œuvre et à la mise en place du programme européen Life+ ;

- les relations avec les acteurs extérieurs à l’administration et la société civile. Les crédits demandés sont destinés à gérer les relations bilatérales du pôle ministériel avec les pays de l’UE/EEE/AELE, le Royaume-Uni et les pays candidats à l’adhésion, à assurer l’accueil de délégations étrangères en France et à améliorer la connaissance de l’environnement européen du pôle ministériel.


Les crédits d’intervention de l’action européenne et internationale recouvrent deux postes :

Dans le domaine de l’appui et soutien aux intérêts français pour l’action européenne, il s’agit essentiellement de renforcer l’association de la société civile à l’action européenne du pôle ministériel et d’animer le débat national sur les dossiers européens relevant de leur compétence respective.

Dans le domaine de l’appui et soutien des intérêts français pour l’action internationale, les contributions obligatoires versées aux organisations internationales entrant dans le champ de compétence du pôle ministériel :

- énergie et matières premières ;

- lutte contre la pollution des eaux ;

- protection de l’environnement ;

- transports.


L’animation de la politique stratégique et la gouvernance en matière de changement climatique et de développement durable visent à aider les organisations internationales à porter les priorités françaises sur les thématiques suivantes : - appui aux coalitions climat, maîtrise de l’énergie et biodiversité, dans le sillage des décisions prises lors des conférences des Parties ;

- mise en place d’une gouvernance rénovée de l’environnement et du développement durable;

- préservation de la biodiversité marine et terrestre et de la qualité des milieux;

- prévention des risques;

- renforcement de la durabilité environnementale dans l’agenda du développement post‑2015;

- promotion de l’économie verte.

Ces crédits doivent également permettre de renforcer la participation de la société civile à la gouvernance de ces thématiques. La dotation demandée est destinée à assurer la promotion à l’étranger du savoir-faire et de l’expertise de la France et à renforcer la prise en compte des enjeux portés par les ministères dans les échanges internationaux.


Le tableau suivant présente le détail des dépenses à la maille fine de l’activité :



ÉLÉMENTS DE LA DÉPENSE PAR ACTIVITÉS



Autorisations d’engagement

Crédits de paiement

Participation à l’élaboration des normes et de la législation dans le cadre communautaire- fonctionnement

149 000

149 000

Appui et soutien des intérêts français dans le dispositif international- fonctionnement

1 374 500

1 374 500

Total dépenses de fonctionnement

1 374 500

1 374 500

Participation à l’élaboration des normes et de la législation dans le cadre communautaire-intervention

4 233 729

4 233 729

Appui et soutien des intérêts français dans le dispositif international-intervention

114 500

114 500

One Planet Summit

350 000

350 000

Partenariat associatif-intervention

2 977 532

2 977 532

Total dépenses d’interventions

7 675 761

7 675 761

Total

9 199 261

9 199 261



SOUS-ACTION 7 « FONCTIONNEMENT COURANT DE L’IGEDD » (697 101 € en AE et en CP)


Ces crédits sont destinés au fonctionnement courant de l’inspection générale de l’environnement et du développement durable (IGEDD, ex-CGEDD) y compris les missions d’inspections générales territoriales (MIGT), de l’autorité environnementale (AE), des missions régionales d’autorité environnementale (MRAe), de l’autorité de la qualité de service dans les transports (AQST), du bureau d’enquête et d’analyse risques industriels (BEA-RI), du comité d’histoire ministériel. Ils recouvrent la prise en charge des frais de mission (déplacements), de réception et de représentation, de financement de l’informatique spécifique (notamment suivi et gestion des rapports et audits), de la communication, des formations, des publications, ou encore des colloques, journées d’études, séminaires et conférences de presse organisés par l’Inspection ainsi que des prestations d’études, de conseil et d’analyse.



SOUS-ACTION 8 « MOYENS CONSACRÉS À L’ENPC ET À L’ENTPE » (50 798 951 € en AE et en CP)


La sous-action concourt au financement de deux écoles du pôle ministériel :

L’École nationale des ponts et chaussées (ENPC) à hauteur de 28 753 403 € en AE et en CP et l’École nationale des travaux publics de l’État (ENTPE) à hauteur de 22 045 548 € en AE et en CP, voir la partie « opérateurs » infra,

50 000 € de fonds de concours sont rattachés sur cette ligne.

 

ACTION     (19,8 %)

08 – Personnels œuvrant pour les politiques de transport

 

 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

593 400 248

0

593 400 248

0

Crédits de paiement

593 400 248

0

593 400 248

0


Pour 2023, les personnels œuvrant pour les actions du programme « politiques de transport » représentent un total de 9 165 ETPT (1 567 A, 2 792 B et 4 807 C).


Ces personnels sont répartis de façon analytique selon les différentes actions opérationnelles suivantes :

- Développement des infrastructures routières (action 01) ;

- Infrastructures de transports collectifs et ferroviaires (action 10) ;

- Infrastructures fluviales, portuaires et aéroportuaires (action 11) ;

- Entretien et exploitation du réseau routier national (action 12) ;

- Soutien, régulation, contrôle et sécurité des services de transports terrestres (action 13) ;

- Soutien, régulation et contrôle dans les domaines des transports fluviaux, maritimes et aériens (action 14).



 

Éléments de la dépense par nature

Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

593 400 248

593 400 248

Rémunérations d’activité

375 494 667

375 494 667

Cotisations et contributions sociales

214 750 852

214 750 852

Prestations sociales et allocations diverses

3 154 729

3 154 729

Total

593 400 248

593 400 248

 

 

ACTION

09 – Personnels oeuvrant pour les politiques du programme "Sécurité et éducation routières"

 

 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

0

0

0

0

Crédits de paiement

0

0

0

0



 

 

ACTION     (6,9 %)

11 – Personnels oeuvrant pour les politiques du programme "Affaires maritimes"

 

 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

206 095 814

0

206 095 814

0

Crédits de paiement

206 095 814

0

206 095 814

0


Les personnels œuvrant pour les politiques du programme « Affaires maritimes » sont affectés en métropole et en outre-mer, en direction interrégionale de la mer (DIRM), en direction départementale des territoires et de la mer (DDTM), en direction de la mer (DM) ou service des affaires maritimes (SAM) outre-mer, ainsi qu’en administration centrale (direction des affaires maritimes, inspection générale des affaires maritimes (IGAM), bureau d’enquête sur les événements de mer (BEA mer) et dans deux services à compétence nationale (armement de phares et balises (APB) et école nationale de sécurité et d’administration de la mer (ENSAM)).

Ces personnels sont répartis entre les budgets opérationnels de programme (BOP) par le responsable du programme « Affaires maritimes ».


En 2023, les 2 668 ETPT (955 A, 1074 B et 713 C) œuvrant à la mise en œuvre de ce programme tout en étant rattachés budgétairement au programme support du MTE (programme 217, action 11) sont répartis selon les actions opérationnelles suivantes :

• sécurité et sûreté maritimes ;

• gens de mer et enseignement maritime ;

• flotte de commerce ;

• action interministérielle de la mer



 

Éléments de la dépense par nature

Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

206 095 814

206 095 814

Rémunérations d’activité

129 205 422

129 205 422

Cotisations et contributions sociales

75 700 919

75 700 919

Prestations sociales et allocations diverses

1 189 473

1 189 473

Total

206 095 814

206 095 814

 

 

ACTION     (8,9 %)

13 – Personnels œuvrant pour la politique de l'eau et de la biodiversité

 

 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

266 539 288

0

266 539 288

0

Crédits de paiement

266 539 288

0

266 539 288

0


Cette action, intitulée « Personnels œuvrant pour les politiques du programme paysages, eau et biodiversité », regroupe les effectifs de la direction de l’eau et de la biodiversité, d’une partie de la sous-direction de la qualité du cadre de vie de la direction de l’habitat, dans les domaines des sites, des paysages, de la publicité, de l’évaluation environnementale et des ressources naturelles.


Pour 2023, le plafond d’emplois de l’action 13 est fixé à 3 300 ETPT (1 507 A, 1 337 B et 460 C).


Le programme comprend les actions 01, 02 et 07 qui portent des ETPT :

• l’action 01 « Sites, paysages, publicité » ;

• l’action 02 « Logistique, formation et contentieux » ;

• enfin, l’action 07 « Gestion des milieux et biodiversité ».


 

Éléments de la dépense par nature

Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

266 539 288

266 539 288

Rémunérations d’activité

166 957 823

166 957 823

Cotisations et contributions sociales

97 984 377

97 984 377

Prestations sociales et allocations diverses

1 597 088

1 597 088

Total

266 539 288

266 539 288

 

 

ACTION     (22,5 %)

15 – Personnels œuvrant pour les politiques du programme Urbanisme, territoires et aménagement de l'habitat

 

 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

676 463 214

0

676 463 214

0

Crédits de paiement

676 463 214

0

676 463 214

0


L’action 15 « Urbanisme, Territoires et Amélioration de l’Habitat » regroupe les effectifs qui mettent en œuvre les politiques des programmes 109 « Aide à l’accès au logement » et 135 « Urbanisme, territoires, et amélioration de l’habitat ».

Ils sont, pour la grande majorité d’entre eux, affectés au sein des services déconcentrés : directions régionales de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL et DEAL), directions départementales des territoires (DDT et DDTM) et directions départementales de la cohésion sociale (DDCS et DDCSPP).

L’action comprend également les personnels qui, en administration centrale contribuent à l’élaboration et à la mise en œuvre de ces politiques.

Pour 2023, les personnels œuvrant pour les politiques du programme représentent un total de 9 137 ETPT (2 565 A, 4 805 B et 1 767 C).



 

Éléments de la dépense par nature

Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

676 463 214

676 463 214

Rémunérations d’activité

419 824 585

419 824 585

Cotisations et contributions sociales

252 814 399

252 814 399

Prestations sociales et allocations diverses

3 824 230

3 824 230

Total

676 463 214

676 463 214

 

 

ACTION     (8,9 %)

16 – Personnels œuvrant pour la politique de la prévention des risques

 

 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

267 854 064

0

267 854 064

0

Crédits de paiement

267 854 064

0

267 854 064

0


Cette action regroupe les personnels affectés tant en administration centrale qu’en services déconcentrés (DREAL, DEAL, DR IDF et DDT(M)) et œuvrant pour le programme 181 « Prévention des risques », dont les principales politiques menées sont les suivantes :

- prévention des risques technologiques et des pollutions industrielles ;

- prévention des risques naturels et hydrauliques ;


Pour 2023, les personnels œuvrant pour les politiques du programme représentent un total de 3 246 ETPT (1 638 A, 1159 B et 449 C).



 

Éléments de la dépense par nature

Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

267 854 064

267 854 064

Rémunérations d’activité

167 984 879

167 984 879

Cotisations et contributions sociales

98 245 729

98 245 729

Prestations sociales et allocations diverses

1 623 456

1 623 456

Total

267 854 064

267 854 064

 

 

ACTION

18 – Personnels relevant de programmes d'autres ministères

 

 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

0

0

0

0

Crédits de paiement

0

0

0

0



 

 

ACTION     (0,6 %)

22 – Personnels transférés aux collectivités territoriales

 

 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

17 717 506

0

17 717 506

9 050 000

Crédits de paiement

17 717 506

0

17 717 506

9 050 000


Cette action permet d’identifier les personnels affectés dans les services transférés aux collectivités territoriales et mis à disposition des collectivités territoriales, principalement en application de la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales et de la loi du 26 octobre 2009 relative au transfert aux départements des parcs de l’équipement et à l’évolution de la situation des ouvriers des parcs et ateliers (loi « parcs »).

 

La prise en charge de la rémunération de ces agents par la collectivité bénéficiaire n’est réalisée qu’après l’exercice, pour les agents qui en disposent, de leur droit d’option entre l’intégration dans un cadre d’emploi de la fonction publique territoriale ou le maintien dans leur corps de la fonction publique de l’État. L’exercice du droit d’option s’effectue dans un délai de deux années après le décret prévoyant le transfert de service.

 

Chaque année, l’action 22 est abondée des effectifs des nouveaux services transférés qui sont mis à disposition des collectivités territoriales, et diminuée à hauteur des transferts définitifs vers les collectivités (intégration à la fonction publique territoriale, détachement sans limitation de durée) et des départs définitifs des agents mis à disposition (départs à la retraite, autres départs).

 

Pour 2023, cette action regroupe 513 ETPT (99 A, 245 B et 170 C) travaillant pour les collectivités et payés par le MTE.

 

L’« effet décentralisation » sur le plafond autorisé d’emplois (PAE), c’est-à-dire les ETPT retirés du PAE ministériel au titre des droits d’option exprimés en 2022 des départs définitifs en cours d’année 2022, etc. n’est pas pris en compte à ce stade. Un amendement gouvernemental permettra d’ajuster le plafond d’emplois de l’action 22 lors du débat budgétaire afin de tenir compte des différents mouvements liés aux services transférés, à l’exercice du droit d’option et aux ajustements en fonction de la réalité constatée dans les transferts.


 

Éléments de la dépense par nature

Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

17 717 506

17 717 506

Rémunérations d’activité

11 451 946

11 451 946

Cotisations et contributions sociales

6 242 397

6 242 397

Prestations sociales et allocations diverses

23 163

23 163

Total

17 717 506

17 717 506

 

 

ACTION     (2,2 %)

23 – Personnels œuvrant pour les politiques de l'énergie et du climat

 

 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

66 189 573

0

66 189 573

0

Crédits de paiement

66 189 573

0

66 189 573

0


Cette action identifie les personnels œuvrant notamment pour les politiques du programme 174 de la mission « Écologie, développement et mobilité durables ».

 

Ces personnels sont répartis entre les différentes unités opérationnelles par le responsable du programme « Énergie, climat et après-mines », également responsable du BOP central correspondant.

 

En 2023, 812 ETPT (404 A, 233 B et 175 C) vont œuvrer à la mise en œuvre du programme 174 tout en étant rattachés budgétairement au programme support du MTE.


 

Éléments de la dépense par nature

Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

66 189 573

66 189 573

Rémunérations d’activité

41 448 294

41 448 294

Cotisations et contributions sociales

24 344 135

24 344 135

Prestations sociales et allocations diverses

397 144

397 144

Total

66 189 573

66 189 573

 

 

ACTION     (0,1 %)

25 – Commission nationale du débat public

 

 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

3 102 422

964 149

4 066 571

1 500 000

Crédits de paiement

3 102 422

964 149

4 066 571

1 500 000


Autorité administrative indépendante, la Commission nationale du débat public (CNDP) veille au respect de la participation du public au processus d’élaboration des projets d’aménagement ou d’équipement d’intérêt national, dès lors qu’ils présentent de forts enjeux socio-économiques ou ont des impacts significatifs sur l’environnement ou l’aménagement du territoire et des plans et programmes de niveau national. Elle ne se prononce pas sur le fond des plans, programmes ou projets.

Elle organise des débats publics et des concertations préalables et veille à la participation et la bonne information du public, depuis l’engagement des études préliminaires jusqu’à l’ouverture de l’enquête publique sur des plans et programmes et certains projets d’infrastructures ou équipement d’intérêt national, ayant un impact sur l’environnement et fait réaliser, le cas échéant, des expertises complémentaires.

Par ailleurs, la CNDP gère une liste nationale de garants de la concertation (appel à candidatures, sélection, formation). A la demande du porteur d’un projet, plan ou programme relevant de l’évaluation environnementale, elle désigne un ou plusieurs garants chargés de veiller à la participation et à bonne information du public.

Lorsqu’elle désigne un garant, la CNDP en assure l’indemnisation et le défraiement.

La CNDP mène une activité de conseil auprès des maîtres d’ouvrage et des autorités publiques sur toute question relative à la participation du public tout au long de l’élaboration d’un plan, programme ou projet. Elle peut émettre tous avis et recommandations à caractère général ou méthodologique de nature à favoriser et développer la participation du public.

Le plafond d’emplois autorisé pour 2023 s’élève à 11 ETPT (9 A, 2 B, 0 C).

La CNDP, par mesure d’optimisation de ses coûts de fonctionnement, est adossée aux services support du ministère en charge de l’écologie.


 

Éléments de la dépense par nature

Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

3 102 422

3 102 422

Rémunérations d’activité

2 110 125

2 110 125

Cotisations et contributions sociales

988 180

988 180

Prestations sociales et allocations diverses

4 117

4 117

Dépenses de fonctionnement

964 149

964 149

Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

964 149

964 149

Total

4 066 571

4 066 571

 

L’activité de la CNDP dépend de l’initiative des maîtres d’ouvrage ou des autres tiers (parlementaires, collectivités, associations et désormais ressortissants de l’Union européenne résidant en France) qui peuvent la saisir. La CNDP enregistre une augmentation très forte de ses sollicitations, qui ont été multipliées par 6 entre 2016 et 2019. Malgré des années 2020 et 2021 traversées par la crise sanitaire, 125 processus participatifs ont été garantis par l’institution, témoignant de la forte attente citoyenne en matière de participation. L’enveloppe budgétaire permet d’assurer le bon fonctionnement de l’institution dont environ un tiers est consacré à l’exécution des missions, un tiers à la communication et un tiers aux fonctions support (RH, numérique, juridique...).


Prévisions de rattachements de crédits par voie de fonds concours

Des financements de débats publics par voie de fonds de concours sont prévus pour 2023 à hauteur de 1,5 M€.

 

ACTION     (0,1 %)

26 – Autorité de contrôle des nuisances aéroportuaires (ACNUSA)

 

 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

1 501 727

509 158

2 010 885

0

Crédits de paiement

1 501 727

509 158

2 010 885

0


L’Autorité de contrôle des nuisances aéroportuaires (ACNUSA) a été créée par la loi n° 99-588 du 12 juillet 1999. Première autorité administrative indépendante dans le domaine de l’environnement, ses objectifs sont de restaurer le dialogue, rétablir la confiance, faire que les nuisances des activités aéroportuaires soient maîtrisées et ne pénalisent pas les collectivités et populations riveraines.

L’ACNUSA comprend un président et 9 membres. Leur mandat est de six ans, non révocable, non renouvelable. Son président est ordonnateur des dépenses.

L’Autorité est dotée d’un pouvoir de sanction à l’encontre des personnes morales et/ou physiques ne respectant pas les règles de protection environnementales sur et autour des aéroports. Les poursuites sont engagées par les agents de l’État assermentés à cet effet (police de l’environnement).

Depuis la loi n° 2010-788 du 12 juillet 2010 portant engagement national pour l’environnement, l’Autorité exerce le contrôle de toutes les nuisances aéroportuaires dans une approche globale et systémique.

Elle est adossée, pour son fonctionnement, aux services support du secrétariat général des ministères de la transition écologique et de la cohésion des territoires (MTECT) et de la transition énergétique (MTE) et bénéficie de l’appui des organismes scientifiques et techniques compétents dans ses domaines d’intervention.

En 2023, le nombre d’ ETP rattachés à cette action est de 11 (7 A, 3 B et 1 C) hors président.


 

Éléments de la dépense par nature

Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

1 501 727

1 501 727

Rémunérations d’activité

1 059 795

1 059 795

Cotisations et contributions sociales

434 925

434 925

Prestations sociales et allocations diverses

7 007

7 007

Dépenses de fonctionnement

509 158

509 158

Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

509 158

509 158

Total

2 010 885

2 010 885

 

Les crédits de l’ACNUSA de titre 3 sont destinés à couvrir ses dépenses dans les 4 domaines suivants :

 

- les dépenses de fonctionnement courant (matériel et fournitures de bureau, frais de déplacement des agents, des membres et membres associés, reprographie, télécommunications, frais de correspondance, informatique dont logiciel de gestion des amendes administratives, la maintien du nouveau site internet, les coûts de formation du personnel permanent et des contrats d’apprentissage, gratifications stagiaires, etc.) pour un effectif composé de 12 agents, un président, 9 membres et 7 membres associés titulaires, sont programmées à hauteur de 219 158 € en AE et CP pour 2023.

- les études, évaluées à 90 000 € en AE et en CP pour 2023, dans le domaine du bruit et de la pollution de l’air (études générales et campagnes de mesures) permettent de disposer de données indépendantes, d’enrichir la réflexion et d’aider aux contrôles à la définition de ses recommandations.

- la communication - documentation est un poste important, programmé à hauteur de 100 000 € en AE et en CP qui permet à l’ACNUSA de remplir le rôle qui lui a été confié par la loi d’information du public (conception et édition du rapport annuel d’activités et de brochures diverses, diffusion d’études), et de contribuer au débat en matière d’environnement aéroportuaire (rencontres avec des élus français et européens, professionnels, associations de riverains, etc.).

- les dépenses pour contentieux (frais de justice et assistance juridique) restent élevées après la censure par le Conseil constitutionnel de certaines dispositions du code des transports relatives à la procédure de sanctions applicables devant l’ACNUSA. Il est donc nécessaire pour l’Autorité de recourir à un cabinet d’avocats pour traiter une partie des dossiers devant le tribunal administratif et, en tout état de cause, pour tout pourvoi en appel devant la cour administrative d’appel et les recours devant le Conseil d’État. La dotation prévue pour 2023 est de 100 000 € en AE et en CP.

 

ACTION     (0,7 %)

27 – Commission de régulation de l'énergie (CRE)

 

 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

15 905 476

4 168 545

20 074 021

0

Crédits de paiement

15 905 476

6 729 215

22 634 691

0


Née de l’ouverture à la concurrence des marchés de l’électricité et du gaz (loi du 10 février 2000 de modernisation et le développement du service public de l’électricité), la Commission de régulation de l’énergie (CRE) est une autorité administrative indépendante chargée de leur bon fonctionnement.

La CRE s’appuie sur deux organes indépendants, le collège de la Commission, dont les missions ne cessent de se renforcer, et le Comité de règlement des différends et des sanctions (CoRDiS) dont l’activité croît depuis sa création, en 2006.

  • Le collège comprend 5 commissaires qui définissent les grandes orientations et adoptent les décisions et avis en s’appuyant sur l’expertise des directions, placées sous l’autorité du président.

  • Le CoRDIS est composé de 4 magistrats (Cour de cassation et Conseil d’État) chargés de régler les différends portant sur l’accès aux réseaux publics d’électricité et de gaz, leur utilisation entre gestionnaires et utilisateurs, et de sanctionner les infractions au code de l’énergie.

Instance indépendante aux analyses techniques approfondies et reconnues, la CRE est un rouage indispensable de la confiance des acteurs et des citoyens dans le système énergétique. Elle entretient un dialogue nourri avec les pouvoirs publics chargés de la politique énergétique, ainsi qu’avec les institutions européennes.

Très impliquée dans les instances de coopération des régulateurs européens de l’énergie, elle étend cet engagement à l’international.

Son expertise, son dynamisme et son ouverture lui ont permis d’adapter son fonctionnement pour accompagner le secteur énergétique en 2022, dans un contexte de crise sanitaire et économique.

Pour 2023, le plafond d’autorisations d’emplois s’élève à 155 ETPT.


 

Éléments de la dépense par nature

Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

15 905 476

15 905 476

Rémunérations d’activité

11 535 313

11 535 313

Cotisations et contributions sociales

4 316 328

4 316 328

Prestations sociales et allocations diverses

53 835

53 835

Dépenses de fonctionnement

4 168 545

6 729 215

Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel

4 168 545

6 729 215

Total

20 074 021

22 634 691

 

Le budget de la CRE s’élève à 4 168 545 € en AE et 6 729 215 € en CP, hors dépenses de personnel.

 

1. Dépenses spécifiques liées à l’activité de la CRE (3 595 545 € en AE et 2 786 215 € en CP)

Les activités de la CRE se sont particulièrement développées depuis 2017 et les dépenses directement liées à son activité représenteront en 2023, près de 64 % des dépenses de fonctionnement (en AE).

Justifiés par l’appel à de l’expertise externe, nécessaire dans des domaines dans lesquels la CRE ne dispose pas des moyens techniques adéquats pour exercer les missions de contrôle et d’audit prévues par la loi, ces crédits de fonctionnement permettent notamment :

- de réaliser les études et les enquêtes liées à la surveillance des marchés de l’électricité et du gaz, ainsi que les études communes réalisées avec les autres régulateurs européens. Une partie de ces audits est remboursée, en application de la loi n° 2015-992 du 17 août 2015 - art. 169 modifiant l’article L. 134-18 du code de l’énergie, par les entreprises régulées.

- de financer les activités européennes de la CRE, qui a un rôle central dans les instances européennes pour la définition des règles du marché européen de l’énergie (0,2 M€ en AE et CP).

- de financer le fonctionnement du comité de la prospective au sein de la CRE, outil d’animation à haut niveau du secteur de l’énergie et de réflexion collective sur l’avenir du secteur.

- de financer des actions de communication et de rayonnement national et international de la CRE (refonte du site internet, organisation de forums et de colloques).

- de couvrir les frais de déplacements, les dépenses de documentation et de formation des personnels et le paiement des honoraires de conseils.

 

2. Dépenses liées à l’immobilier (720 000 € en AE et 4 090 000 € en CP)

Ces dépenses totaliseront environ 13 % des crédits de fonctionnement en 2023. Les dépenses liées à l’immobilier comprennent également les charges locatives, la maintenance de l’immeuble, ainsi que les dépenses relatives à la sécurité, l’accueil, le nettoyage, les fluides, etc.

 

3. Dépenses de fonctionnement courant (663 000 € en AE et en CP)

Les dépenses de fonctionnement courant regroupent les autres dépenses nécessaires à la vie collective de la Commission : matériels et fournitures de bureaux, de matériels techniques après réforme des matériels obsolètes, de matériels liés à la téléphonie, les frais de télécommunication et frais de correspondance, les prestations d’action sociale, travaux de remise en état des locaux. Ces dépenses représentent 12 % des crédits de fonctionnement en 2023.

 

4. Dépenses d’informatique – hors consommables liés à la bureautique inclus dans les dépenses de fonctionnement courant (670 000 € en AE et en CP)

Les dépenses informatiques de la CRE représenteront en 2023 environ 12 % du total des dépenses de fonctionnement. Elles doivent permettre à la CRE de disposer d’outils performants pour la protection des données des entreprises régulées et la surveillance des marchés, de se doter d’outils performants d’analyse des investissements industriels et d’accroître ses capacités de stockage et de sécurisation des données. La dotation doit également permettre un fonctionnement optimal des services avec le développement des nouveaux modes de travail par une augmentation de la bande passante et le renouvellement de matériels techniques (serveurs par exemple).

 

La CRE prévoit par ailleurs l’encaissement de recettes immobilières et de coopération à hauteur de 1 480 000 €.

 

ACTION     (1,7 %)

28 – Personnels œuvrant dans le domaine de la stratégie et de la connaissance des politiques de transition écologique

 

 

Titre 2

Hors titre 2

Total

FdC et AdP
attendus

Autorisations d'engagement

52 084 916

0

52 084 916

0

Crédits de paiement

52 084 916

0

52 084 916

0


Les effectifs du Commissariat général au développement durable correspondent à ceux exerçant des missions transverses de développement durable. Pour 2023, le plafond autorisé d’emplois de l’action 28 s’élève à 600 ETPT (373 A, 147 B et 80 C).


 

Éléments de la dépense par nature

Titre et catégorie

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Dépenses de personnel

52 084 916

52 084 916

Rémunérations d’activité

32 765 541

32 765 541

Cotisations et contributions sociales

18 995 353

18 995 353

Prestations sociales et allocations diverses

324 022

324 022

Total

52 084 916

52 084 916

 

 

 

Récapitulation des crédits et emplois alloués aux opérateurs de l'État

Récapitulation des crédits alloués par le programme aux opérateurs

 

LFI 2022

PLF 2023

Opérateur financé (Programme chef de file)
Nature de la dépense

Autorisations
d’engagement
 

Crédits
de paiement

Autorisations
d’engagement

Crédits
de paiement

ENTPE - Ecole nationale des travaux publics de l'Etat (P217)

19 451 043

19 451 043

22 045 548

22 045 548

Subventions pour charges de service public

19 451 043

19 451 043

22 045 548

22 045 548

ENPC - Ecole nationale des Ponts et Chaussées (P217)

27 300 030

27 300 030

28 753 403

28 753 403

Subventions pour charges de service public

27 300 030

27 300 030

28 753 403

28 753 403

Total

46 751 073

46 751 073

50 798 951

50 798 951

Total des subventions pour charges de service public

46 751 073

46 751 073

50 798 951

50 798 951

Total des dotations en fonds propres

0

0

0

0

Total des transferts

0

0

0

0

Total des subventions pour charges d'investissement

0

0

0

0

 

 

Consolidation des emplois des opérateurs dont le programme est chef de file

   Emplois en fonction au sein des opérateurs de l'État

 

LFI 2022

PLF 2023

Intitulé de l'opérateur

ETPT rémunérés
par d’autres
programmes
(1)

ETPT rémunérés
par ce
programme
(1)

ETPT rémunérés
par les opérateurs

ETPT rémunérés
par d’autres
programmes
(1)

ETPT rémunérés
par ce
programme
(1)

ETPT rémunérés
par les opérateurs

sous
plafond

hors
plafond

dont
contrats
aidés

dont
apprentis

sous
plafond

hors
plafond

dont
contrats
aidés

dont
apprentis

ENPC - Ecole nationale des Ponts et Chaussées

 

 

307

174

 

 

 

 

309

174

 

 

ENTPE - Ecole nationale des travaux publics de l'Etat

 

19

158

35

 

 

 

 

171

35

 

 

Total ETPT

 

19

465

209

 

 

 

 

480

209

 

 


(1) Emplois des opérateurs inclus dans le plafond d'emplois du ministère

 

   Schéma d’emplois et plafond des autorisations d'emplois des opérateurs de l'État

 

ETPT

Emplois sous plafond 2022

465

Extension en année pleine du schéma d'emplois de la LFI 2022

 

Impact du schéma d'emplois 2023

4

Solde des transferts T2/T3

11

Solde des transferts internes

 

Solde des mesures de périmètre

 

Corrections techniques

 

Abattements techniques

 

Emplois sous plafond PLF 2023


Rappel du schéma d’emplois 2023 en ETP

480
 
 
4

 

Les opérateurs rattachés au programme 217 connaissent un schéma d’emploi de +4 ETP en 2023, après un schéma d’emploi nul en 2022 et plusieurs années de schémas d’emplois négatifs auparavant. Par ailleurs, l’ENTPE bénéficie d’une mesure de transfert de +11 ETPT depuis les emplois du ministère. Ainsi, les plafonds d’emplois inscrits au PLF 2022 s’élèvent respectivement à 309 ETPT pour l’ENPC et 171 ETPT pour l’ENTPE, soit un total de 480 ETPT.

Les emplois hors plafond, financés par des ressources propres, concernent des CDD.