$@FwLOVariable(annee#2023)

 

Opérateurs

 

OPÉRATEUR

ANDRA - Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs

 

   Analyse de l’activité et des résultats de l’opérateur

Missions

L’ANDRA, créée par l’article 13 de la loi n° 91-1381 du 30 décembre 1991 relative aux recherches sur la gestion des déchets radioactifs dont les dispositions ont été codifiées à l’article L. 542-12 du code de l’environnement par l’ordonnance n° 2000-914 du 18 septembre 2000, est chargée des opérations de gestion à long terme des déchets radioactifs. Ses missions, confirmées, précisées et élargies par les modifications de rédaction de l’article L. 542-12 du code de l’environnement par l’article 1er de la loi du 28 juin 2006 relative à la gestion durable des matières et déchets radioactifs, consistent notamment à :

  • Établir et publier tous les trois ans l’inventaire des matières et déchets radioactifs présents sur le territoire national ;

  • Réaliser ou faire réaliser, conformément au plan national de gestion des matières et déchets radioactifs, des recherches et études sur l’entreposage et le stockage en couche géologique profonde et assurer leur coordination ;

  • Contribuer à l’évaluation des coûts afférents à la mise en œuvre des solutions de gestion à long terme des déchets radioactifs de haute et moyenne activité à vie longue ;

  • Prévoir, dans le respect des règles de sûreté nucléaire, les spécifications pour le stockage des déchets radioactifs et donner un avis aux autorités compétentes sur les spécifications pour le conditionnement des déchets ;

  • Concevoir, implanter, réaliser et assurer la gestion de centres d’entreposage ou des centres de stockage de déchets radioactifs compte tenu des perspectives à long terme de production et de gestion de ces déchets ;

  • Assurer la collecte, le transport et la prise en charge de déchets radioactifs et la remise en état de sites de pollution radioactive, sur demande et aux frais de leurs responsables, ou sur réquisition publique lorsque les responsables de ces déchets ou de ces sites sont défaillants ;

  • Mettre à la disposition du public des informations relatives à la gestion des déchets radioactifs et participer à la diffusion de la culture scientifique et technologique dans ce domaine ;

  • Diffuser à l’étranger son savoir-faire.


L’ANDRA intervient dans la mise en œuvre de l’action n° 01 « Politique de l’énergie » du programme 174 « Énergie, climat et après mines ». En 2023, l’établissement a perçu à ce titre 3,1 M€ en autorisations d’engagement et en crédits de paiement après mise en réserve. Ce montant traduit la volonté de poursuivre la remise en état des sites radio-contaminés dont le propriétaire des anciennes installations à l’origine de la pollution a disparu ou est insolvable.


Concernant les terres entreposées sur l’installation nucléaire de base (INB) du Commissariat à l’énergie atomique (CEA) du site de Cadarache, un versement de 1 M€ a été effectué en 2023 par la direction générale de la prévention des risques (DGPR) au titre du programme 181 « Prévention des risques ».


Gouvernance et pilotage stratégique

L’ANDRA est placée sous la tutelle des ministères chargés de l’énergie, de l’environnement et de la recherche. Elle est liée à l’État par un contrat d’objectifs et de performance (COP) sur la période 2022-2026 qui définit des orientations et fixe des objectifs pour chacune de ses différentes missions.


Ses priorités stratégiques sont transverses à l’organisation managériale de l’ANDRA et conçues pour disposer d’une lisibilité au-delà de la période quinquennale du contrat. Elles sont issues d’une démarche de construction collective menée avec l’encadrement de l’agence et partagée en interne avec l’ensemble du personnel. Elle s’est enrichie d’une écoute des parties prenantes externes : producteurs, évaluateurs, partenaires et ONG.


 Le COP 2022-2026 décline l’action de l’ANDRA en 7 axes stratégiques :

  • Réussir Cigéo collectivement, dans le cadre de ses missions de maître d’ouvrage ;

  • Anticiper les besoins futurs pour la gestion des déchets radioactifs et structurer les filières correspondantes ;

  • Maintenir l’excellence industrielle de l’exploitation des centres de stockage, de la collecte et de l’entreposage des déchets, et de la dépollution de sites ;

  • Adapter et conduire les recherches et études nécessaires aux développements et aux évolutions des filières de déchet ;

  • Conforter la prise en compte de l’environnement, de la santé et de la sécurité au cœur des projets et des activités de l’ANDRA ;

  • Poursuivre le dialogue avec la société et garantir l’équité intergénérationnelle et territoriale ;

  • Renforcer la performance de l’Agence et conduire sa transformation.



Bilan année 2023


L’année 2023 a notamment été marquée par les événements suivants :

S’agissant du projet Cigéo :

  • Déclaration d’utilité publique et d’intérêt national : Suite aux recours déposés en septembre 2022 par plusieurs associations, les décrets déclarant d’utilité publique le centre de stockage Cigeo (n° 2022-993) et l’inscrivant parmi les opérations d’intérêt national (n° 2022-992) ont été validés par le Conseil d’État (décision du 1er décembre 2023).

  • Démarrage de l’instruction de la demande d’autorisation de création (DAC) : l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a confirmé le 22 juin 2023 la recevabilité du dossier de demande d’autorisation de création de Cigéo déposé officiellement le 16 janvier 2023

  • Publication du 3e rapport d’étape présentant le bilan des garants de la Commission nationale du débat public (CNDP) sur les démarches de participation du public conduites entre mars 2022 et juin 2023 par l’ensemble des acteurs concernés par le projet Cigéo.

  • Réunions publiques locales portant sur l’organisation des futurs chantiers de Cigéo et sur les suites données aux recommandations des participants à la conférence des citoyens concernant la phase industrielle pilote.

  • Comité de Haut Niveau : Réunion de suivi visant à faire le point sur les projets des territoires concernés ainsi que les enjeux de fiscalité locale associés au projet.

  • Acquisitions foncières : Dépôt en préfecture au début de l’année 2024 du dossier d’enquête parcellaire visant à acquérir les terrains nécessaires à la construction de Cigéo.

  • Visite officielle du directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) sur les installations en Meuse et en Haute-Marne.

  • Laboratoire de recherche : Prolongation du chantier de creusement des galeries jusqu’en 2026, l’objectif étant de mieux répondre aux différents objectifs fixés durant la phase d’instruction du dossier de DAC de Cigéo. L’année 2023 a été marquée par le creusement de trois prototypes d’alvéoles haute activité ainsi que la préparation du dossier de demande d’autorisation pour la réalisation d’un bâtiment dédié à l’accueil d’un cantonnement de la Gendarmerie nationale, déposé en janvier 2024.

  • Mise en place en 2023 d’une nouvelle structuration des activités du programme Cigéo.

  • Dossier de chiffrage Cigéo : mise à jour de l’évaluation du coût global en cours, l’objectif étant de finaliser le dossier de justification du chiffrage au profit des producteurs en 2024 et de rédiger le dossier de chiffrage en vue de la rédaction du futur arrêté coûts.

S’agissant de l’exploitation des centres industriels de l’Andra :

  • Sureté nucléaire : aucun incident ou événement significatif en matière de sûreté n’a été observé en 2023.

  • Projet d’augmentation de la capacité de stockage du Cires (ACACI) : l’année 2023 a été marquée par le dépôt de la demande d’autorisation environnementale le 7 avril 2023, l’obtention d’un avis défavorable du CNPN (conseil national de protection de la nature) et d’un avis favorable avec recommandations de l’Autorité environnementale. Le début de l’enquête publique est prévu au printemps 2024.

  • Signature d’un avenant au contrat de prise en charge des déchets sur le centre de stockage de l’Aube (CSA) pour la période 2022-2026 permettant d’avoir une couverture totale des coûts d’électricité du centre par les sommes versées par les producteurs.


Autres faits marquants :

  • Poursuite de la stratégie filière : cette stratégie s’inscrit dans l’approche globale donnée par le Plan national de gestion des matières et des déchets radioactifs (PNGMDR) dont la 5e édition a été publiée en décembre 2022.

  • Publication de l’édition 2023 de l’inventaire national : la nouvelle édition de 2023 répertorie et rend publiques les informations sur la provenance, l’état des stocks et la localisation des matières et déchets radioactifs au 31 décembre 2021.

  •  Mise en place d’une filière indépendante de la protection des intérêts (FIPRI) et d’une mission d’inspection général en application du COP de l’Andra.

  • Volet nucléaire de « France 2030 » : dans le cadre du programme dédié à l’innovation dans la gestion des déchets radioactifs, le contrat de collaboration avec Bpifrance a été signé en 2023.


Contexte inflationniste : L’impact 2023 a porté majoritairement sur les coûts de l’énergie, la hausse ayant été contenue grâce à l’éligibilité au dispositif de l’amortisseur électricité, la signature d’un avenant sur le financement à l’euro des coûts sur le CSA et les efforts sur la sobriété énergétique.

 

   Financement apporté à l’opérateur par le budget de l’État

(en milliers d'euros)

 

Réalisation 2022

Prévision LFI 2023

Réalisation 2023

Programme intéressé
Nature de la dépense
 

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

P175 – Patrimoines

 

 

 

 

 

94

Transferts

 

 

 

 

 

94

P181 – Prévention des risques

2 500

2 500

 

 

1 000

1 000

Subventions pour charges de service public

2 500

2 500

 

 

1 000

1 000

P174 – Énergie, climat et après-mines

2 549

2 549

3 200

3 200

3 082

3 082

Subventions pour charges de service public

2 549

2 549

3 200

3 200

3 082

3 082

P363 – Compétitivité

90

40

 

 

 

 

Transferts

90

40

 

 

 

 

Total

5 139

5 089

3 200

3 200

4 082

4 175

Note : Les subventions d'investissement sont introduites par la LOLF au PAP 2023. Leur réalisation 2022 est sans objet.

 

 

   Compte financier 2023

Avertissement
La situation du compte financier au regard de son vote n'est pas renseignée. Le compte financier de l’opérateur n’a pas été certifié par un commissaire aux comptes.

 

Compte de résultat

 

(en milliers d'euros)

Charges

Budget
initial
2023

Compte
financier
2023 *

Produits

Budget
initial
2023

Compte
financier
2023 *

Personnel

82 675

74 375

Subventions de l'État

4 019

4 082

  dont contributions employeur au CAS pensions

300

312

  – subventions pour charges de service public

4 019

4 082

 

 

  – crédits d'intervention( transfert)

 

 

Fonctionnement autre que les charges de personnel

222 883

187 146

Fiscalité affectée

134 746

133 383

Intervention (le cas échéant)

 

 

Autres subventions

1 044

921

Total des charges non décaissables sur le fonctionnement et/ou l’intervention

31 886

35 342

Revenus d’activité et autres produits

181 335

139 884

  dont dotations aux amortissements, dépréciations et provisions

30 946

34 615

  dont reprises sur amortissements, dépréciations et provisions

8 050

8 575

  dont valeur nette comptable des éléments d'actif cédés

940

727

  dont produits de cession d’éléments d’actif

920

240

 

 

  dont quote-part reprise au résultat des financements rattachés à des actifs

16 803

18 211

Total des charges

305 558

261 521

Total des produits

321 144

278 270

Résultat : bénéfice

15 586

16 749

Résultat : perte

 

 

Total : équilibre du CR

321 144

278 270

Total : équilibre du CR

321 144

278 270


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée

 

Évolution de la situation patrimoniale

 

(en milliers d'euros)

Emplois

Budget
initial
2023

Compte
financier
2023 *

Ressources

Budget
initial
2023

Compte
financier
2023 *

Insuffisance d'autofinancement

 

 

Capacité d'autofinancement

21 699

25 065

Investissements

46 602

40 111

Financement de l'actif par l'État

 

 

 

 

Financement de l'actif par les tiers autres que l'État

 

 

 

 

Autres ressources

17 419

19 106

Remboursement des dettes financières

1 125

1 125

Augmentation des dettes financières

 

 

Total des emplois

47 727

41 236

Total des ressources

39 118

44 171

Augmentation du fonds de roulement

 

2 935

Diminution du fonds de roulement

8 609

 


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée

 

Le niveau de la trésorerie (cf ci-dessous) est en légère hausse par rapport à 2022 (+2,9 M€ tous fonds confondus) avec une augmentation simultanée du besoin en fonds de roulement (BFR) et du fonds de roulement (FDR). Pour mémoire, la variation du BFR de l’Andra reflète essentiellement celle des fonds dédiés tandis que la hausse du FDR est à l’image de celle des fonds non dédiés (liée principalement au crédit d’impôt recherche).

 

Trésorerie

(en milliers d'euros)

Compte financier
2022

Budget initial
2023

Compte financier
2023

205 907

171 000

208 842

 

Le niveau des disponibilités de l’Andra à fin 2023 se compose :

  • Pour 204 368 k€ de trésorerie logée au Trésor Public (soit un taux de dépôt de 98 %)

  • Pour 161 359 k€ de trésorerie dédiée (137 585 k€ dédié à Cigeo et 23 774 k€ aux investissements d’avenir).

 

Dépenses par destination

(en milliers d'euros)

Destination

Budget initial   
Compte financier * 

Personnel

Fonctionnement

Intervention

Investissement

Total

Autres services publics et privés

646
623

88
52

0
0

0
0

734
675

Hors exploitation

1 469
2 547

16 429
17 558

0
0

3 804
742

21 702
20 847

Innovations, développement et valorisation

2 818
2 658

1 385
1 047

0
0

29
0

4 232
3 705

Opérations industrielles

21 660
20 495

44 972
40 021

0
0

8 008
5 089

74 640
65 605

Projets de stockage

56 081
48 052

109 577
79 971

0
0

16 499
13 316

182 157
141 339

Total

82 674
74 375

172 451
138 649

0
0

28 340
19 147

283 465
232 171


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée


 

   Consolidation des emplois de l’opérateur

 

Réalisation 2022
(1)

Prévision 2023
(2)

Réalisation 2023

Emplois rémunérés par l'opérateur :

730

784

731

  – sous plafond

250

265

244

  – hors plafond

480

519

487

        dont contrats aidés

18

22

16

        dont apprentis

 

 

 

Autres emplois en fonction dans l'opérateur :

 

 

 

  – rémunérés par l'État par d'autres programmes

 

 

 

  – rémunérés par d'autres collectivités ou organismes

 

 

 


(1) La réalisation reprend la présentation du RAP 2022.


(2) La prévision fait référence aux plafonds des autorisations d'emplois votés en loi de finances initiale ou, le cas échéant, en lois de finances rectificatives 2023.

 

L’Andra fait l’objet d’un plafonnement partiel de ses emplois : ceux soumis au plafond concernent le projet Cigéo (pour la partie financée par la taxe de recherche), les missions d’intérêt général financées par les subventions publiques et une quote-part des effectifs des fonctions support.

Fin 2023, cet effectif sous plafond atteint 244 ETPT pour un plafond de 265 ETPT, soit un écart de 21 ETPT et un recul de 6 ETPT par rapport à fin 2022. L’effectif en ETP passe de 252 ETP en 2022 à 242 ETP en 2023, soit une variation de ‑10 ETP. Les effectifs hors plafonds réalisés fin 2023 (487 ETPT) sont également inférieurs aux prévisions (519 ETPT), mais progressent par rapport à 2022 (+7 ETPT).

 

OPÉRATEUR

ANGDM - Agence nationale pour la garantie des droits des mineurs

 

   Analyse de l’activité et des résultats de l’opérateur

Mission

L’Agence nationale pour la garantie des droits des mineurs (ANGDM), établissement public administratif créé par la loi n° 2004-105 du 3 février 2004, a pour mission de prendre la suite des exploitants miniers au fur et à mesure de leur disparition, notamment des Charbonnages de France qui ont été mis en liquidation au 1er janvier 2008. Elle assure ainsi, pour les mineurs encore actifs, les obligations de l’employeur ayant disparu afin de garantir les engagements sociaux pris envers ses salariés. Elle peut, en outre, gérer les mêmes droits pour le compte d’entreprises minières et ardoisières en activité.


A ce titre, l’ANGDM verse aux anciens mineurs ou à leurs conjoints survivants les prestations prévues par le statut du mineur et les différents protocoles et règlements applicables dans les entreprises disparues. Dans ce cadre, l’agence a géré, en 2023, 69 616 ayants droit (nombre annuel moyen). Ils étaient 78 595 en 2022 (effectifs moyens), soit une baisse globale de 7,7 %. Les ayants droit reçoivent des indemnités de logement ou de chauffage, des prestations de préretraite ou des indemnités de cessation d’activité. Par ailleurs, l’ANGDM permet à 15 486 personnes d’être logées gratuitement et mène à cet effet une politique d’adaptation de ces logements aux populations âgées.


Enfin, l’ANGDM assume les obligations de l’employeur pour les 34 anciens salariés des Charbonnages de France qu’ils soient mis à disposition d’une autre entreprise ou en dispense d’activité.


Gouvernance et pilotage stratégique

L’Agence est placée sous la double tutelle du ministre chargé des mines et du ministre chargé du budget. Son conseil d’administration comprend, outre son président, un représentant du ministre chargé des mines, un représentant du ministre chargé du budget, un représentant du ministre chargé de la sécurité sociale, un représentant du ministre chargé du logement, ainsi qu’un représentant de chacune des cinq fédérations syndicales des anciens mineurs et ardoisiers et cinq personnes désignées en raison de leur compétence en matière économique et sociale. La direction de l’énergie et du climat du ministère de la transition écologique dispose d’un siège de commissaire du Gouvernement.


L’agence assure également, depuis le 1er avril 2012, la gestion de l’action sanitaire et sociale (ASS) du régime minier de sécurité sociale. Le financement des dépenses correspondantes (prestations, masse salariale et fonctionnement) est assuré principalement par un transfert de la Caisse autonome nationale de la sécurité sociale dans les mines (CANSSM) (33,7 M€ en 2023). Les dépenses et les recettes afférentes à la gestion de l’ASS ne sont donc pas retracées dans les tableaux ci-après qui ne concernent que le programme 174. Les effectifs correspondants, financés par l’ASS (137 ETPT au 31/12/2023), figurent néanmoins dans le tableau des emplois de l’opérateur du présent rapport.



 

   Financement apporté à l’opérateur par le budget de l’État

(en milliers d'euros)

 

Réalisation 2022

Prévision LFI 2023

Réalisation 2023

Programme intéressé
Nature de la dépense
 

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

P174 – Énergie, climat et après-mines

252 643

252 643

235 014

235 014

237 776

237 776

Subventions pour charges de service public

12 055

12 055

12 946

12 946

12 753

12 753

Transferts

240 588

240 588

222 068

222 068

225 023

225 023

P363 – Compétitivité

90

90

 

 

 

 

Transferts

90

90

 

 

 

 

Total

252 733

252 733

235 014

235 014

237 776

237 776

Note : Les subventions d'investissement sont introduites par la LOLF au PAP 2023. Leur réalisation 2022 est sans objet.

 

Le total des recettes de l’agence est de 290,8 M€, dont 252,7 M€ issu du programme 174 et 34,5 M€ issu de l’Action sanitaire et sociale (ASS) et 3,7 M€ de ressources propres, qui proviennent essentiellement des refacturations des personnels mis à disposition, du recouvrement d’indus et de cotisations sociales.

 

   Compte financier 2023

Avertissement
La situation du compte financier au regard de son vote n'est pas renseignée. Le compte financier de l’opérateur n’a pas été certifié par un commissaire aux comptes.

 

Compte de résultat

 

(en milliers d'euros)

Charges

Budget
initial
2023

Compte
financier
2023 *

Produits

Budget
initial
2023

Compte
financier
2023 *

Personnel

9 584

8 577

Subventions de l'État

223 718

237 783

  dont contributions employeur au CAS pensions

209

212

  – subventions pour charges de service public

12 753

12 753

 

 

  – crédits d'intervention( transfert)

210 965

225 030

Fonctionnement autre que les charges de personnel

4 491

4 357

Fiscalité affectée

 

 

Intervention (le cas échéant)

238 476

244 758

Autres subventions

14 000

8

Total des charges non décaissables sur le fonctionnement et/ou l’intervention

5 159

4 847

Revenus d’activité et autres produits

8 272

18 388

  dont dotations aux amortissements, dépréciations et provisions

5 159

4 847

  dont reprises sur amortissements, dépréciations et provisions

5 770

11 648

  dont valeur nette comptable des éléments d'actif cédés

 

 

  dont produits de cession d’éléments d’actif

 

12

 

 

  dont quote-part reprise au résultat des financements rattachés à des actifs

2

68

Total des charges

252 552

257 692

Total des produits

245 990

256 179

Résultat : bénéfice

 

 

Résultat : perte

6 562

1 513

Total : équilibre du CR

252 552

257 692

Total : équilibre du CR

252 552

257 692


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée

 

Évolution de la situation patrimoniale

 

(en milliers d'euros)

Emplois

Budget
initial
2023

Compte
financier
2023 *

Ressources

Budget
initial
2023

Compte
financier
2023 *

Insuffisance d'autofinancement

7 175

8 394

Capacité d'autofinancement

 

 

Investissements

1 123

912

Financement de l'actif par l'État

 

 

 

 

Financement de l'actif par les tiers autres que l'État

 

 

 

 

Autres ressources

11 620

10 488

Remboursement des dettes financières

 

 

Augmentation des dettes financières

 

 

Total des emplois

8 298

9 306

Total des ressources

11 620

10 488

Augmentation du fonds de roulement

3 322

1 182

Diminution du fonds de roulement

 

 


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée

 

 

Trésorerie

(en milliers d'euros)

Compte financier
2022

Budget initial
2023

Compte financier
2023

11 939

5 371

12 052

 

Le solde budgétaire, calculé par différence entre les encaissements et les décaissements, fait apparaître un léger excédent de 0,8 M€ sur le P174, dans la lignée de celui de 2022 (+0,7 M€) après les lourds déficits de 6,8 M€ en 2021, de 10,4 M€ en 2020 et 30,4 M€ en 2019.

La trésorerie finale est de 12 M€ contre 11,9 M€ au 31/12/2022 soit une situation plus favorable que la prévision du BI 2023 qui était de 5,4 M€. Exprimée en nombre de jours de dépenses, et en tenant compte des 5 M€ de fonds réservés au bilan, la trésorerie nette est de 7 M€ soit 11 jours de dépenses. Il s’agit d’un seuil bas que l’agence pilote de façon infra annuelle en liaison avec les tutelles et avec le contrôleur budgétaire pour ne pas prendre le risque de difficultés de paiement.

 

Autorisations budgétaires

 

(en milliers d'euros)

Dépenses

Budget initial 2023

Compte financier 2023 *

AE

CP

AE

CP

Personnel

9 584

9 584

9 334

9 334

Fonctionnement

2 900

3 288

2 248

2 559

Intervention

232 290

232 290

227 889

227 878

Investissement

710

785

548

358

Total des dépenses AE (A) CP (B)

245 484

245 947

240 019

240 129

dont contributions employeur au CAS pensions

209

209

212

212


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée

 

 

(en milliers d'euros)

Recettes

Budget initial
2023

Compte financier
2023 *

Recettes globalisées

239 918

240 813

Subvention pour charges de service public

12 753

12 753

Autres financements de l’État

210 965

210 965

Fiscalité affectée

0

0

Autres financements publics

14 000

14 000

Recettes propres

2 200

3 095

Recettes fléchées

300

161

Financements de l’État fléchés

0

0

Autres financements publics fléchés

0

0

Recettes propres fléchées

300

161

Total des recettes  (C)

240 218

240 974

Solde budgétaire (excédent)  (D1 = C – B)

0

845

Solde budgétaire (déficit)  (D2 = B – C)

5 729

0


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée

 

Dépenses par destination

(en milliers d'euros)

Destination

Budget initial   
Compte financier * 

Personnel

Fonctionnement

Intervention

Investissement

Total

AE = CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

AE

CP

Autres dépenses

0
0

0
0

0
0

1 930
3 569

1 930
3 569

0
0

0
0

1 930
3 569

1 930
3 569

Dispositif d'aides FNASS

0
0

0
0

0
0

300
255

300
255

0
0

0
0

300
255

300
255

Gestion des actifs

0
0

0
0

0
0

4 092
3 686

4 092
3 675

0
0

0
0

4 092
3 686

4 092
3 675

Mineurs licenciés 1948-1952

0
0

0
0

0
0

200
50

200
50

0
0

0
0

200
50

200
50

Pilotage des activités

9 584
9 334

2 900
2 248

3 288
2 559

0
0

0
0

710
548

785
358

13 194
12 130

13 657
12 251

Prestations chauffage espèces

0
0

0
0

0
0

52 934
52 506

52 934
52 506

0
0

0
0

52 934
52 506

52 934
52 506

Prestations logement espèces

0
0

0
0

0
0

58 738
59 521

58 738
59 521

0
0

0
0

58 738
59 521

58 738
59 521

Prestations logement nature

0
0

0
0

0
0

101 129
96 329

101 129
96 329

0
0

0
0

101 129
96 329

101 129
96 329

Prestations préretraite

0
0

0
0

0
0

12 967
11 973

12 967
11 973

0
0

0
0

12 967
11 973

12 967
11 973

Total

9 584
9 334

2 900
2 248

3 288
2 559

232 290
227 889

232 290
227 878

710
548

785
358

245 484
240 019

245 947
240 129


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée


 

Équilibre financier

(en milliers d'euros)

Besoins

Budget initial
2023

Compte financier
2023 *

Solde budgétaire (déficit)  (D2)

5 729

0

Remboursements d'emprunts (capital), nouveaux prêts (capital), dépôts et cautionnements

0

1

Opérations au nom et pour le compte de tiers : besoins

4 529

4 815

Autres décaissements non budgétaires

1 500

1 755

Sous-total des opérations ayant un impact négatif sur la trésorerie de l'organisme  (1)

11 758

6 572

ABONDEMENT de la trésorerie  = (2) - (1)

0

114

Abondement de la trésorerie fléchée

0

0

Abondement de la trésorerie non fléchée

0

213

Total des besoins

11 758

6 685


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée

 

(en milliers d'euros)

Financements

Budget initial
2023

Compte financier
2023 *

Solde budgétaire (excédent)  (D1)

0

845

Nouveaux emprunts (capital), remboursements de prêts (capital), dépôts et cautionnements

0

0

Opérations au nom et pour le compte de tiers : financement

4 529

4 341

Autres encaissements non budgétaires

1 600

1 499

Sous-total des opérations ayant un impact positif sur la trésorerie de l'organisme  (2)

6 129

6 685

PRÉLÈVEMENT sur la trésorerie  = (1) - (2)

5 629

0

Prélèvement sur la trésorerie fléchée

0

100

Prélèvement sur la trésorerie non fléchée

5 629

0

Total des financements

11 758

6 685


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée

 

 

   Consolidation des emplois de l’opérateur

 

Réalisation 2022
(1)

Prévision 2023
(2)

Réalisation 2023

Emplois rémunérés par l'opérateur :

123

120

116

  – sous plafond

121

118

114

  – hors plafond

2

2

2

        dont contrats aidés

 

 

 

        dont apprentis

 

 

 

Autres emplois en fonction dans l'opérateur :

 

 

 

  – rémunérés par l'État par d'autres programmes

 

 

 

  – rémunérés par d'autres collectivités ou organismes

 

 

 


(1) La réalisation reprend la présentation du RAP 2022.


(2) La prévision fait référence aux plafonds des autorisations d'emplois votés en loi de finances initiale ou, le cas échéant, en lois de finances rectificatives 2023.

 

En exécution au 31 décembre 2023, l’agence compte au total 252 ETPT (dont 136 ETPT pris en charge par le budget de la CANSSM), soit une diminution de 15 ETPT par rapport au réalisé 2022.

S’agissant du budget P174, l’agence a rempli les deux objectifs qui lui sont imposés :

  • Le plafond d’autorisations d’emplois voté de 120 ETPT, dont 118 ETPT sous plafond inscrit en loi de finances initiale 2023 a été respecté.

  • L’objectif de réduction du plafond d’emplois de 4 ETP, conformément au schéma d’emplois inscrit dans le PLF, est respecté : au 31 décembre 2023, l’agence compte 113,45 ETP, soit une baisse de 7,93 ETP par rapport à 2022.

 

OPÉRATEUR

CITEPA - Centre interprofessionnel technique d'études de la pollution atmosphérique

 

   Analyse de l’activité et des résultats de l’opérateur

Missions

Créé en 1961, le Centre interprofessionnel technique d’études de la pollution atmosphérique (CITEPA) est une association à but non lucratif (loi 1901), organisme de référence au niveau national en matière de changement climatique et de pollution atmosphérique. Le CITEPA identifie, analyse et diffuse des informations sur les émissions de polluants atmosphériques et de gaz à effet de serre (GES), en France et à l’international. Il évalue et rapporte les actions d’adaptation à toutes échelles territoriales et d’entreprises. Le CITEPA est ainsi une charnière entre l’État, ses administrations et le secteur privé, en France et dans d’une vingtaine de pays. Il rassemble plus de 90 adhérents représentatifs des émissions atmosphériques et leur expertise (industriels, fédérations et syndicats professionnels, producteurs et distributeurs d’énergie, constructeurs automobiles, éco-industries, associations dans l’environnement, bureaux d’études, organismes de recherche, associations de mesures de la qualité de l’air (AASQA) et laboratoires de mesure).

 

En France, le CITEPA remplit, à la demande du ministère chargé de l’environnement, la fonction de centre national de référence des émissions dans l’air en application de l’arrêté du 24 août 2011 relatif au système national d’inventaires d’émissions et de bilans dans l’atmosphère (SNIEBA) pour mettre en œuvre certaines dispositions issues du code de l’environnement notamment au chapitre IX Effet de serre du titre II Air et atmosphère du livre II Milieux physiques de la partie législative du code de l’environnement. À ce titre, le CITEPA détermine régulièrement les quantités de polluants et de gaz à effet de serre rejetées dans l’atmosphère provenant de différentes sources prolongeant et confirmant ainsi une compétence et une expérience acquises depuis le milieu des années 1960. Il a notamment développé dans les années 1980 et 1990 une méthodologie de réalisation de ces inventaires (CORINAIR), reconnue et utilisée au niveau de l’Europe entière. L’activité du CITEPA en matière d’inventaires d’émissions revêt un intérêt particulièrement important dans la mesure où elle constitue l’un des éléments indispensables au regard des engagements souscrits par la France (Kyoto, Göteborg, directives européennes sur les plafonds d’émissions de polluants, grandes installations de combustion, etc.). La production des inventaires d’émissions, la réalisation d’activités associées (audits des Nations Unies, audits des Parties tierces, cohérence avec les autres instruments de la politique environnementale telles que projections, mécanismes de marché quotas CO2, projets domestiques, etc.), sont des actions essentielles pour que la France respecte ses diverses obligations.

 

Gouvernance et pilotage stratégique

Son statut associatif confère au CITEPA un cadre juridique non lucratif de droit privé. La réalisation des inventaires pour le compte du MTE est encadrée par une convention pluriannuelle d’objectifs. Des échanges réguliers ont lieu entre les services du MTE et le CITEPA dans ce cadre, et trois réunions annuelles rassemblant l’ensemble des administrations intéressées sont organisées pour valider les évolutions méthodologiques et les résultats d’inventaires (GCIIE – Groupe de Concertation et d’Information sur les Inventaires d’Émissions).

 

Bilan 2023

En 2023, le Citepa a renforcé ses missions dans une perspective élargie de transition écologique et de développement durable, avec une intensification et une diversification de ses actions auprès des entreprises et filières françaises afin de les accompagner dans leurs démarches de décarbonation, à travers des bilans d’émissions de GES et de polluants, l’élaboration de trajectoires de décarbonation, la mise en place de formations aux nouvelles règles de l’ETS, et le renforcement des capacités de près de 20 pays tiers pour mettre en œuvre l’accord de Paris et lutter contre la pollution atmosphérique transfrontière.

 

Ses actions en 2023 ont été cadrées par les objectifs définis par la Convention pluriannuelle d’objectifs 2022-2024, notamment la spatialisation des données d’inventaires pour les secteurs des terres (UTCATF), le baromètre mensuel des émissions de gaz à effet de serre et de polluants atmosphériques, l’amélioration continue des inventaires, et le renforcement des capacités à l’international.

 

 

 

   Financement apporté à l’opérateur par le budget de l’État

(en milliers d'euros)

 

Réalisation 2022

Prévision LFI 2023

Réalisation 2023

Programme intéressé
Nature de la dépense
 

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

Autorisations
d'engagement

Crédits
de paiement

P149 – Compétitivité et durabilité de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt

69

73

 

 

73

66

Transferts

69

73

 

 

73

66

P181 – Prévention des risques

200

214

 

 

194

194

Transferts

200

214

 

 

194

194

P174 – Énergie, climat et après-mines

1 590

1 590

1 540

1 540

1 708

1 708

Subventions pour charges de service public

1 456

1 456

1 540

1 540

1 574

1 574

Transferts

133

133

 

 

133

133

Total

1 859

1 876

1 540

1 540

1 975

1 968

Note : Les subventions d'investissement sont introduites par la LOLF au PAP 2023. Leur réalisation 2022 est sans objet.

 

 

   Compte financier 2023

Avertissement
La situation du compte financier au regard de son vote n'est pas renseignée. Le compte financier de l’opérateur n’a pas été certifié par un commissaire aux comptes.

 

Compte de résultat

 

(en milliers d'euros)

Charges

Budget
initial
2023

Compte
financier
2023 *

Produits

Budget
initial
2023

Compte
financier
2023 *

Personnel

3 536

3 383

Subventions de l'État

1 710

1 707

  dont contributions employeur au CAS pensions

 

 

  – subventions pour charges de service public

1 710

1 574

 

 

  – crédits d'intervention( transfert)

 

133

Fonctionnement autre que les charges de personnel

1 441

1 496

Fiscalité affectée

 

 

Intervention (le cas échéant)

 

 

Autres subventions

283

124

Total des charges non décaissables sur le fonctionnement et/ou l’intervention

68

33

Revenus d’activité et autres produits

2 984

3 117

  dont dotations aux amortissements, dépréciations et provisions

68

33

  dont reprises sur amortissements, dépréciations et provisions

 

 

  dont valeur nette comptable des éléments d'actif cédés

 

 

  dont produits de cession d’éléments d’actif

 

 

 

 

  dont quote-part reprise au résultat des financements rattachés à des actifs

 

 

Total des charges

4 977

4 879

Total des produits

4 977

4 948

Résultat : bénéfice

 

69

Résultat : perte

 

 

Total : équilibre du CR

4 977

4 948

Total : équilibre du CR

4 977

4 948


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée

 

Évolution de la situation patrimoniale

 

(en milliers d'euros)

Emplois

Budget
initial
2023

Compte
financier
2023 *

Ressources

Budget
initial
2023

Compte
financier
2023 *

Insuffisance d'autofinancement

 

 

Capacité d'autofinancement

68

102

Investissements

30

25

Financement de l'actif par l'État

 

 

 

 

Financement de l'actif par les tiers autres que l'État

 

 

 

 

Autres ressources

 

 

Remboursement des dettes financières

 

 

Augmentation des dettes financières

 

 

Total des emplois

30

25

Total des ressources

68

102

Augmentation du fonds de roulement

38

77

Diminution du fonds de roulement

 

 


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée

 

 

Trésorerie

(en milliers d'euros)

Compte financier
2022

Budget initial
2023

Compte financier
2023

1 625

1 700

1 591

 

 

Dépenses par destination

(en milliers d'euros)

Destination

Budget initial   
Compte financier * 

Personnel

Fonctionnement

Intervention

Investissement

Total

Activités associatives - diffusion de l'information

162
155

63
67

0
0

0
0

225
222

Etudes technico-économiques et prospectives

1 906
1 756

741
764

0
0

0
0

2 647
2 520

Formation

248
236

96
102

0
0

0
0

344
338

Inventaires et connexes (CPO) - part DGEC

1 083
1 100

420
479

0
0

0
0

1 503
1 579

Inventaires et connexes (CPO) - Part DGPR

137
136

53
139

0
0

0
0

190
275

Total

3 536
3 383

1 373
1 551

0
0

0
0

4 909
4 934


* Étape du processus de validation du compte financier non indiquée


 

   Consolidation des emplois de l’opérateur

 

Réalisation 2022
(1)

Prévision 2023
(2)

Réalisation 2023

Emplois rémunérés par l'opérateur :

38

39

37

  – sous plafond

16

16

16

  – hors plafond

22

23

21

        dont contrats aidés

 

 

 

        dont apprentis

 

 

 

Autres emplois en fonction dans l'opérateur :

 

 

 

  – rémunérés par l'État par d'autres programmes

 

 

 

  – rémunérés par d'autres collectivités ou organismes

 

 

 


(1) La réalisation reprend la présentation du RAP 2022.


(2) La prévision fait référence aux plafonds des autorisations d'emplois votés en loi de finances initiale ou, le cas échéant, en lois de finances rectificatives 2023.